Mort tragique de 04 jeunes élèves à Akoumapé

Les populations d’Akoumapé Atchanvé Nyita (Préfecture de Vo) sont dans le désarroi, ce matin de Samedi 14 Mars 2020.

Et pour cause, quatre (4) jeunes élèves partis depuis hier Vendredi après les classes pour pêcher des poissons dans un étang d’eau abandonné après l’extraction de phosphate, ont été repêchés ce matin. Ils ont perdu la vie, noyés dans les eaux.

Selon les détails donnés par le MMLK (Mouvement Martin Luther King) du pasteur Edoh Komi, il s’agit de trois (3) garçons et une (1) fille.

Avec T228

Les relations s’intensifient entre le Togo à l’Autriche

Le ministre togolais des affaires étrangères M. Dussey a échangé avec le patron de l’Agence internationale de l’énergie atomique AIEA, Rafael Mariano Grossi pour donner une nouvelle perspective aux relations et à la coopération entre l’Agence et le Togo.

Le ministre togolais des affaires étrangères, Robert Dussey a effectué un voyage dans la capitale autrichienne à cet effet.

Et, c’est par le biais de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) à Vienne que le diplomate togolais est passé.

L’Agence pourrait appuyer le Togo dans le domaine de la santé, de formation ou encore, d’agriculture.

Le chef de la diplomatie togolaise a aussi signé avec Dazhu Yang, Directeur de la Coopération technique, signé le Programme-Cadre National 2020-2025.

Ce Programme définit, avec la loi sur le nucléaire, la gestion, l’utilisation des matières nucléaires et l’application de la technologie nucléaire et radiologique au plan national pour la promotion du développement économique et social.

Agbéyomé Kodjo appelle à la conscience de ses collègues députés

La plénière de l’Assemblée nationale qui devrait être consacrée à l’examen de la demande de levée de l’immunité parlementaire du député Gabriel Agbéyomé Kodjo, accusé d’atteinte à la sûreté de l’État, a été encore reportée ce vendredi. C’est finalement ce lundi que le cas d’Agbéyomé serait tranché.

Le candidat malheureux de la dynamique Kpodjro a lancé un appel à ses collègues députés qui seront appelés à voter pour la levée de son immunité parlementaire.

« Je lutte pour le peuple togolais. Si ceux qui sont là-bas et représentent le peuple togolais peuvent envoyer leur collègue en prison pour des faits politiques, chacun a son tour. Je fais confiance aux députés et à leur sagesse. Nous avons une cause commune », a déclaré ce vendredi Agbéyomé Kodjo.

A ses collègues députés, Agbéyomé Kodjo adresse un message. Tout le monde au sein de ce parlement peut se retrouver dans la même situation que lui. « Aujourd’hui, c’est mon tour. Demain, à qui le tour ?….», s’interroge-t-il.

« Je prie Dieu qui touche le cœur de chacun pour que chacun comprenne que nous sommes tous enfants d’une même nation. Je demande que nous puissions travailler la main dans la main et laisser à la génération future, un Togo réconcilié et de paix, de progrès qui intègre les mutations », a-t-il ajouté.

Le MCD plaide pour la cause d’Agbéyomé Kodjo

Le Mouvement citoyen pour la démocratie et le développement (MCD), s’est invité dans le feuilleton de l’affaire Agbéyomé Kodjo et la procédure engagée pour la levée de son immunité parlementaire. A travers un communiqué rendu public vendredi 13 mars 2020, le Président du MCD, Me Mohamed Tchassona-Traoré dénonce la procédure en cours contre le député ainsi que le blocus sécuritaire installé autour de son domicile.

« Il s’agit d’un problème politique qui ne doit en aucun cas être transposé sur le terrain judiciaire » lit-on dans ledit communiqué. Occasion pour le parti de rappeler le parlement au « respect » intégral du règlement intérieur de l’Assemblée nationale et à la stricte observation du principe de la séparation des pouvoirs.

Me Mohamed Tchassona-Traoré dit être étonné du silence des représentations diplomatiques (G5, CEDEAO, UEMOA, Conseil de l’Entente, OIF) et des organisations religieuses, face à « la tragédie qui se trame après la présidentielle du 22 février ».

« Le MCD invite, toutes actions cessantes, à prendre des initiatives indispensables à la recherche d’une solution politique pour mettre fin à la machine judiciaire mise en route contre le Député Agbéyomé Kodjo », a écrit Me Tchassona-Traoré.

Le MCD demande à l’ensemble de la classe politique nationale ainsi qu’aux organisations de la société civile d’œuvrer davantage à trouver une solution politique à cette situation afin de ne pas aggraver le fossé des divisions entre les Togolais.

Rappelons Me Mohamed Tchassona-Traoré a été candidat au scrutin présidentiel du 22 février 2020 et il est arrivé en dernière position avec 0,68 % des suffrages exprimés.

Journée internationale des droits des femmes: BGFIBank RDC s’engage au côté du Dr Denis Mukwege

BGFIBank RDC, filiale du Groupe BGFIBank, a eu l’honneur de recevoir le Docteur Denis Mukwege à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes.

Connu mondialement pour son engagement contre les mutilations génitales pratiquées sur les femmes en République démocratique du Congo ainsi que pour son travail remarquable dans les régions en guerre de l’Est du pays, le Docteur Denis Mukwege est un gynécologue et militant des droits de l’homme congolais. Surnommé “l’homme qui répare les femmes”, il a reçu de nombreuses distinctions dont le prix Sakharov en 2014 et le prix Nobel de la paix en 2018.

“Il est rare de pouvoir rencontrer l’un de ses héros et je suis donc infiniment reconnaissante de l’opportunité qui m’est offerte aujourd’hui. Docteur Mukwege est l’un de mes héros car il nous réconcilie avec des valeurs fondamentales d’humanité, de solidarité, de compassion, de persévérance et de courage. En octobre 2018, il a été couronné du prix Nobel de la paix et j’espère que ce prix sera prophétique et que la paix s’installera durablement sur tout le territoire congolais.” A déclaré Marlène Ngoyi, Directeur Générale de BGFIBank RDC.

BGFIBank RDC a tenu à remercier symboliquement le Docteur Mukwege pour le temps consacré à partager son expérience avec le personnel de la banque. La filiale lui a donc offert une statue en bois, œuvre d’une artiste congolaise qui peut vivre dignement de son art malgré un handicap.

La direction générale de BGFIBank RDC s’est engagée par ailleurs à apporter son assistance financière à l’hôpital de Panzi pour transformer immédiatement en actes les paroles prononcées à l’occasion de cette journée exceptionnelle.

Pour BGFIBank RDC, accueillir le Docteur Mukwege résonne avec la mission que la banque s’est fixée de promouvoir toujours plus activement son personnel féminin, en ligne avec les objectifs fixés au niveau du groupe.

En effet, avec plus de 2 000 collaborateurs dont 51% d’effectifs féminins en son sein, le Groupe a su démontrer que féminisation des équipes rime avec performance. Nombre de femmes occupent déjà les plus hautes fonctions de la banque, à l’image de Marlène Ngoyi, Directeur Général de BGFIBank RDC et bien d’autres au sein du Groupe.

Maroc : plus de 1000 accidents de la circulation enregistrés du 2 au 8 mars

Le bilan est lourd, la Direction générale de la sûreté nationale DGSN a enregistré 1652 accidents de la circulation en une semaine.

Suite aux accidents intervenus sur les routes marocaines du 2 au 8 mars dernier la DGSN dénombre 21 décès et 2211 blessées. Quant aux chiffres relatifs aux opérations de contrôles et la répression des infractions l’on note 47 482 contraventions, 12 233 procès-verbaux, 35 249 amandes transactionnelles recouvrées.

Suite à ces malheurs, la direction a perçue 7 158 475 dirhams, 4 712 véhicules mis en fourrière, 7 284 documents saisis et un retrait de la circulation de 237 véhicules.

Intervenus en périmètre urbain, ces accidents sont imputables à plusieurs facteurs dont l’inadvertance des conducteurs de même pour les piétons

La Direction générale de la sûreté nationale interpelle une fois de plus la population marocaine à plus de vigilance.

Coronavirus : L’Université de Lomé adopte un plan d’actions pour réduire la propagation

La pandémie du coronavirus (Covid 19) continue de se propager un peu partout dans le monde et très récemment, un cas s’est avéré au Togo. Une dame de 42 ans a été contrôlée positif au Covid 19 mis sous soins par les autorités compétentes. Même si tout semble aller pour le mieux pour cette dernière, les précautions ne sont pas à négliger surtout de la part de la hiérarchie de l’Université de Lomé qui ne compte pas rester en marge de cette propagation sans apporter son aide.

En effet, l’Université de Lomé à travers un communiqué publié ce jeudi 12 mars 2020, lance un plan d’action dans le but de réduire la propagation de cette maladie.

Après avoir explicité les modes de transmission du virus, le communiqué expose quelques actions simples pour réduire la propagation du COVID-19 au travail, dans les lieux d’études, à la maison et autres endroits susceptibles d’abriter la maladie. Ces actions sont entre autres se rassurer que le milieu de travail soit propre et hygiénique ; les objets (téléphones, claviers) et les surfaces (tables, comptoirs, sièges, accoudoirs) sont nettoyés régulièrement avec un liquide désinfectant ; Le sol et les murs sont nettoyés plus fréquemment avec un désinfectant ; car la contamination par ces objets/surfaces est la fréquente.

Pour les dirigeants de l’Université, il faut promouvoir le lavage des mains, utiliser des gels désinfectants pour laver les mains chez les employés offrant directement des services aux clients ; placer des distributeurs de gels désinfectants à des endroits stratégiques de l’entreprise y compris les points DAB. Toujours selon le communiqué, il faut faire la promotion de l’emploi de ces distributeurs par les clients en mettant des affiches ou en formant les agents de sécurité donc il faut prendre son temps pour se laver les mains au savon et à l’eau dès que possible car laver les mains tue le virus des mains et prévient ainsi sa transmission.

Il faut aussi promouvoir une bonne hygiène respiratoire en milieu de travail ajoute le communiqué. Tousser/Éternuer au mieux en se protégeant la bouche/narine avec un tissu ou à défaut dans le creux du coude ; ne pas tousser dans la main ; éviter de cracher et de se moucher sur le sol ; rendre disponible des masques respiratoires/mouchoirs en papier à ceux qui toussent/éternuent ou ont le nez qui coule en même temps que des poubelles fermées pour leur élimination hygiénique ; se couvrir la bouche et le nez en toussant/éternuant avec le creux du coude ; éviter tout contact étroit avec une personne ayant la fièvre et la toux et consulter rapidement un médecin en cas de fièvre, toux et difficultés respiratoires ; recommandent les autorités universitaires car une bonne hygiène respiratoire empêche la propagation du COVID 19.

Il faut évaluer à chaque fois le risque lors d’un voyage. De retour d’un voyage dans une zone à risque, l’université recommande et exige même une obligation de se mettre en quarantaine pendant 14 jours.

Pour finir, le communiqué recommande d’informer les autorités sanitaires du Togo en face d’un cas suspect. Les autorités restent convaincues qu’à travers ces conseils, la propagation de ce virus sera être réduite considérablement.

Les réformes dans le secteur des affaires s’étendent au domaine juridique

Depuis quelques années, le Togo s’est lancé dans les réformes économiques en améliorant son climat d’affaires en vue de rendre le pays le plus attractif possible, pour les investisseurs et acteurs économiques, locaux et extérieurs. Il en va de même sur l’exécution des contrats, pour lequel 2019 aura été une année chargée, notamment en vue d’augmenter la transparence des procédures.

Ainsi, depuis décembre 2019, les affaires commerciales sont désormais attribuées de manière automatique et aléatoire, renseigne la cellule climat des affaires. « Depuis décembre 2019, le calendrier d’attribution des nouvelles affaires est géré de façon automatique supprimant toute intervention du président du Tribunal de commerce. », renseigne une note officielle.

Pour ce faire, le pouvoir judiciaire s’appuie sur un logiciel « sans aucune intervention humaine », sur des critères « qui ne permettent ni manipulation, ni prévisibilité, ni anticipation »

Cette année, une récente modification est venue en effet renforcer le texte sur les juridictions commerciales, et encadre désormais les délais d’accomplissement d’événements judiciaires (Loi 2020-002).

A titre d’exemple, désormais : la signification en cas d’appel contre un jugement, doit être désormais faites sous 48 heures ; pour une première audience, un défendeur, doit être assigné à comparaître dans les 15 jours de l’exploit d’assignation ; et pour le dépôt de la déclaration, la défense, dispose de jusqu’à 22 jours, ou 15 jours selon les cas, pour faire valoir ses prétentions et moyens.

D’autre part, le nouveau cadre juridique réglemente le nombre maximal d’ajournements ou prorogations pouvant être accordés, et clarifie les décisions en cas de situations imprévues et exceptionnelles.

En effet « pour obtenir des renvois au-delà des 3 prévus en cas de litige ordinaire et 2 en cas de petit litige, il faut justifier de la survenance d’un événement imprévisible, irrésistible et insurmontable à savoir : décès, accident ou catastrophe naturelle. », précise la nouvelle loi.

De plus, désormais, les rapports sur la performance et l’état d’avancement des dossiers du tribunal de commerce de Lomé sont directement accessibles au public à partir de statistiques dynamiques. A ce jour, le délai moyen de traitement des dossiers est de 75 jours.

Toujours en ce qui concerne la digitalisation, le système Forseti Commercial, permettant aux juges et avocats d’effectuer un certain nombre d’actions, a été mis en place. Autrefois réservée et utilisée par les juges et les greffiers exclusivement, la plateforme de télé-procédures est désormais étendue aux avocats et aux huissiers.

Enfin, l’ensemble des arrêts rendus par le Tribunal de commerce de Lomé (et autres juridictions compétentes, en la matière) sont désormais accessibles sur son site officiel.

Coronavirus : L’organisation mondiale de la santé parle désormais de pandémie

En raison de la vitesse de propagation de la maladie du Coronavirus (covid-19) à l’échelle mondiale, l’organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré ce mal comme une pandémie ce mercredi 11 mars 2020.

L’Organisation des Nation Unies  pour la santé se dit « extrêmement préoccupés » tant par le niveau alarmant et par la « sévérité de la propagation que le niveau d’inaction ».

Nous avons décidé de considérer que le Covid-19 peut être qualifié de pandémie » a déclaré Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS.

Il a par ailleurs lancé un appel au monde entier à plus de vigilance, ainsi qu’à la multiplication des actions face au virus. Tedros Adhanom c’est voulu rassurant en affirmant que cette épidémie « peut être contrôlé ».

Depuis son apparition en Chine, ce virus a contaminé plus de 110 000 personnes dans le monde avec une forte propagation dans tous les continents.

Coronavirus : plus de 10.000 malades en Iran, qui exhorte le FMI à l’aider

L’Iran en a appelé jeudi à la responsabilité du Fonds monétaire international, à qui, de manière très exceptionnelle, Téhéran dit avoir demandé de l’aide face au Covid-19 qui touche désormais officiellement plus de 10.000 personnes dans le pays.

« Notre banque centrale a demandé un accès immédiat » à l’instrument de financement rapide (IFR) du FMI, a déclaré le ministre des Affaires étrangères iranien Mohammad Javad Zarif sur Twitter.

M. Zarif, a fait référence à la promesse faite début mars par la directrice générale du Fonds, Kristalina Georgieva, d’utiliser « autant que possible […] les financements d’urgence » du Fonds pour aider les pays membres « à faire face aux tragédies humaines et aux difficultés économiques causées » par l’épidémie mondiale de nouveau coronavirus partie de Chine.

Téhéran n’a plus reçu d’aide du FMI depuis un crédit dont l’Iran a bénéficié entre 1960 et 1962, soit avant la fondation de la République islamique en 1979.

Avec 75 nouveaux décès annoncés jeudi et un bilan officiel de 429 personnes tuées par la maladie Covid-19, l’Iran est l’un des pays les plus touchés par cette pneumonie virale, après la Chine et l’Italie.

« Au cours des dernières 24 heures, 1.075 personnes ont été infectées » par le virus, ce qui porte « le nombre total des infections à 10.075 », a annoncé jeudi le ministère de la Santé.

Dans un message publié sur son compte Instagram et repris par l’agence officielle Irna, le gouverneur de la banque centrale iranienne, Abdolnasser Hemmati, affirme avoir demandé formellement, par lettre, le 6 mars, un accès à l’IFR.

– « 5 milliards de dollars » –

« Compte tenu de la prévalence généralisée du coronavirus dans notre pays et de la nécessité de continuer à prendre des mesures fortes afin de prévenir et guérir (cette maladie) et pour faire face à ses impacts économiques », l’Iran demande au FMI une aide d' »environ 5 milliards de dollars » au FMI, écrit M. Hemmati.

Selon le site internet du Fonds, l’IFR « offre une assistance financière rapide à tous les pays membres qui (en) ont un besoin urgent ».

M. Hemmati n’a pas publié la copie de la lettre qu’il dit avoir adressée au Fonds.

Les différents prêts que peut accorder le FMI doivent être approuvés par le Conseil d’administration de l’institution, où, dans la pratique, aucune décision ne peut être prise contre la volonté des Etats-Unis.

Ceux-ci mènent actuellement une politique de « pression maximale » destinée à assécher les finances de l’Etat iranien, et le président américain Donald Trump n’a jusqu’à présent montré aucune volonté de l’infléchir.

Sur Twitter, M. Zarif a exhorté « le Conseil d’administration du FMI [à] coller au mandat du Fonds, être du bon côté de l’histoire et agir de façon responsable ».

– « Grandes pénuries » –

M. Zarif, qui dénonce régulièrement les sanctions économiques américaines visant son pays comme du « terrorisme économique » a accusé ces derniers jours Washington de se livrer à du « terrorisme médical » contre le peuple iranien.

La mission iranienne au siège des Nations unies à New York a diffusé jeudi une lettre de M. Zarif au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, dans laquelle le ministre iranien dénonce la « punition collective » imposée par les Etats-Unis à son pays par le biais des sanctions qui « sapent [les] efforts pour combattre l’épidémie de Covid-19 en Iran ».

Washington a annoncé en 2018 le rétablissement de lourdes sanctions économiques contre Téhéran à la suite du retrait unilatéral des Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien conclu en 2015 entre la République islamique et la communauté internationale.

Sur le papier, les médicaments et les équipements médicaux échappent aux sanctions de Washington mais, en réalité, ceux-ci sont soumis au blocus américain, les banques internationales préférant généralement refuser une transaction impliquant l’Iran plutôt que de courir le risque de s’exposer à des représailles aux Etats-Unis.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a estimé mercredi que l’Iran faisait « de son mieux » pour contenir l’épidémie de Covid-19 mais que le pays manquait cruellement d’équipements. « Nous essayons de mobiliser davantage de soutien pour l’Iran », a ajouté l’agence onusienne.

« Le personnel soignant iranien se bat courageusement en première ligne contre le Covid-19 », mais « leurs efforts sont contrecarrés par de grandes pénuries causées par les restrictions sur l’accès aux médicaments [et] équipements [médicaux] imposés à notre peuple, a renchéri M. Zarif sur Twitter en déroulant une liste de « besoins urgents » de son pays.