Zimbabwe : Mnangagwa nie toute implication dans les scandales du secteur minier

Le président zimbabwéen, Emmerson Mnangagwa, déclare n’avoir rien à voir avec le chaos qui secoue le secteur minier du pays, suite à des allégations selon lesquelles des proches de la Première famille seraient les piliers d’un système de contrebande et d’accaparement de mines.Dans une déclaration publiée jeudi soir, le porte-parole de Mnangagwa, George Charamba, a réprimandé les médias pour avoir prétendument colporté des « allégations malveillantes » liant le dirigeant zimbabwéen à un racket dans la contrebande de minerais hors du pays, ainsi que des conflits sur la propriété contestée des mines.

Charamba a rejeté un article dans l’édition de jeudi du NewsDay (privé) qui affirmait que l’un des neveux du président, Tarirai David Mnangagwa, était impliqué dans un différend sur la propriété d’une mine d’or.

 » Le Bureau et le Cabinet du Président continuent de suivre avec consternation ce qui constitue clairement une campagne médiatique soutenue par NewsDay et d’autres médias en ligne, contre Son Excellence le Président Mnangagwa, la Première Dame, Auxillia Mnangagwa et les enfants de la Première famille accusés dans des crimes et conflits présumés dans le secteur minier », a déclaré Charamba.

Il a exigé que les médias clarifient les faits avant de se précipiter pour publier les articles, en particulier en ce qui concerne les allégations selon lesquelles certaines personnes éminentes liées à la ZANU PF (parti au pouvoir) ont été accusées d’utiliser les noms de la Première famille pour échapper à l’arrestation.

« En outre, le Bureau exhorte les médias à s’abstenir de publier de telles allégations malveillantes qui sont désormais devenues une norme, tout à fait contraire aux normes et aux diktats du journalisme professionnel », a déclaré le responsable.

Les noms de membres de la Première famille sont apparus dans un certain nombre d’affaires très médiatisées de transactions illégales dans le secteur minier.

Dans une affaire récente concernant une tentative de contrebande d’or par l’ancienne Directrice générale de la Zimbabwe Football Association, Henrietta Rushwaya, l’une de ses complices a déclaré à la police que l’or appartenait à la femme de Mnangagwa.

La Première dame a cependant nié de telles allégations.

Sahara : Les forces armées marocaines sécurisent le flux des biens et des personnes à travers l’axe routier traversant Guergarate

Les forces armées marocaines ont mis en place un cordon de sécurité pour assurer le flux des biens et des personnes à travers l’axe routier traversant la zone tampon de Guergarate.« Suite au blocage par une soixantaine de personnes encadrées par des miliciens armés du polisario, de l’axe routier traversant la zone tampon de Guerguarate reliant le Royaume du Maroc et la République Islamique de Mauritanie, et l’interdiction du droit de passage, les Forces Armées Royales procèdent à la mise en place d’un cordon de sécurité en vue de sécuriser le flux des biens et des personnes à travers cet axe », indique un communiqué de l’état-major des Forces armées royales (FAR).

« Cette opération non offensive et sans aucune intention belliqueuse se déroule selon des règles d’engagement claires, prescrivant d’éviter tout contact avec des personnes civiles et de ne recourir à l’usage des armes qu’en cas de légitime défense », indique le communiqué.

Peu avant un communiqué du ministère marocain des Affaires étrangères a indiqué que face aux provocations graves et inacceptables auxquelles se sont adonnées les milices du « polisario » dans la zone tampon de Guergarate au Sahara marocain, « le Maroc a décidé d’agir, dans le respect de ses attributions, en vertu de ses devoirs et en parfaite conformité avec la légalité internationale ».

Réunion de haut niveau Maroc-Espagne le 17 décembre prochain à Rabat

Le chef de gouvernement marocain, Saad Eddine El Otmani s’est entretenu, jeudi, au téléphone avec son homologue espagnol Pedro Sanchez, au cours duquel les deux parties ont discuté de la préparation de la 12e réunion de haut niveau maroco-espagnole, prévue le 17 décembre prochain à Rabat, a annoncé la primature.Cette réunion de haut niveau, qui se tient dans ces conditions épidémiologiques difficiles et inquiétantes en raison de l’épidémie de la COVID-19, vise à renforcer et développer les relations bilatérales distinguées entre les deux pays, a ajouté la même source.

Les deux parties tiennent à organiser cette rencontre, malgré les circonstances de la pandémie, et ce en raison de son importance et compte tenu des résultats escomptés pour les deux pays, souligne-t-on.

La réunion de haut niveau Maroc-Espagne devrait contribuer à insuffler une forte impulsion aux accords signés entre les deux pays tout en donnant la priorité à la coopération économique bilatérale, notamment pour surmonter les répercussions économiques du coronavirus.

Elle sera également l’occasion de renforcer la coopération dans les domaines de l’industrie, du commerce, de la santé et de l’énergie, et pour faire face aux défis sécuritaires.

L’appel téléphonique a également été l’occasion de saluer la qualité des relations et de la coopération entre les deux pays voisins, et de confirmer le consensus entre les deux parties, marocaine et espagnole, sur les visions et orientations, et sur les priorités de la prochaine réunion de haut niveau, conclut la même source.

Jerry Rawlings, une icône politique africaine

Sur le continent noir, la mémoire de l’ancien président de la République du Ghana est unanimement saluée par la classe politique et les gouvernés.Dans l’histoire contemporaine de l’Afrique, Jerry Rawlings, tout comme Nelson Mandela ou Thomas Sankara, a laissé une empreinte indélébile sur les coeurs. Son action politique pour un Ghana démocratique et débarrassé du népotisme le place au tout premier rang des personnalités les plus respectées.

Selon le président du Nigeria, Muhammadu Buhari, les « qualités exceptionnelles » de ce dirigeant hors-norme manqueront au continent. Car dans la forêt africaine, note l’ambassade des États-Unis d’Amérique au Ghana, « un grand arbre est tombé ».

L’opposant guinéen, Cellou Dalein Diallo, qui a eu un tête-à-tête en septembre dernier avec l’ex-président, retient « qu’il est resté profondément attaché à l’ancrage de la démocratie et de l’Etat de droit en Afrique ».

Sans l’ombre d’un doute, Jerry Rawlings était « un chantre de la bonne gouvernance » pour Mahamadou Issoufou, le président du Niger. Une vertu qui a permis à ce « patriote » de remettre son pays « sur le chemin de la croissance », d’après le chef de l’État burkinabè. Avec sa disparition, regrette Roch Marc Christian Kaboré, l’Afrique perd un panafricaniste et le Ghana un homme de conviction.

C’est la raison pour laquelle Akinwumi Adesina, le président de la Banque africaine de développement (Bad), témoigne que le défunt « a travaillé sans relâche et avec passion pour l’Afrique ».

Jerry Rawlings est né le 22 juin à Accra, la capitale du Ghana, d’un mariage mixte entre un Écossais et une autochtone. Après avoir mené deux putschs et dirigé le pays pendant plusieurs années, le capitaine d’aviation se retire de la scène politique au début de ce millénaire. Mais avant de tirer sa révérence, il élabore une Constitution qui limite à deux mandats successifs la fonction présidentielle.

Guergarate : Face aux provocations du polisario, le Maroc a décidé d’agir (MAE)

Face aux provocations graves et inacceptables auxquelles se sont adonnées les milices du « polisario » dans la zone tampon de Guergarate au Sahara marocain, « le Maroc a décidé d’agir, dans le respect de ses attributions, en vertu de ses devoirs et en parfaite conformité avec la légalité internationale », a indiqué vendredi un communiqué du ministère des Affaires étrangères.Après s’être astreint à la plus grande retenue, face aux provocations des milices du « polisario », « le Royaume du Maroc n’a eu d’autre choix que d’assumer ses responsabilités afin de mettre un terme à la situation de blocage générée par ces agissements et restaurer la libre circulation civile et commerciale », a souligné le ministère dans un communiqué.

Le « polisario » et ses milices, qui se sont introduits dans la zone depuis le 21 octobre 2020, y ont mené des actes de banditisme, bloqué la circulation des personnes et des biens sur cet axe routier et harcelé continuellement les Observateurs militaires de la Minurso, rappelle le ministère, relevant que ces agissements documentés constituent de véritables actes prémédités de déstabilisation qui altèrent le statut de la zone, violent les accords militaires et représentent une menace réelle à la pérennité du cessez-le-feu.

Ces actes sapent les chances de toute relance du processus politique souhaitée par la Communauté internationale, a martelé le ministère, notant que depuis 2016, le « polisario » a multiplié ces agissements dangereux et intolérables dans cette zone tampon, en violation des accords militaires, au mépris des rappels à l’ordre lancés par le Secrétaire Général de l’ONU et en transgression des résolutions du Conseil de Sécurité, notamment 2414 et 2440, qui ont enjoint au « polisario » de mettre fin à ces actes déstabilisateurs.

Le Maroc avait immédiatement alerté et régulièrement informé de ces développements gravissimes, le Secrétaire Général de l’ONU et les hauts responsables onusiens, a poursuivi la même source, soulignant que le Maroc avait également pris à témoin les membres du Conseil de Sécurité et la Minurso, ainsi que plusieurs États voisins.

Et d’ajouter que le Royaume du Maroc a accordé tout le temps nécessaire aux bons offices du Secrétaire Général des Nations Unies et de la Minurso, afin d’amener le « polisario » à cesser ses actions déstabilisatrices et quitter la zone tampon de Guergerate.

Cependant, les appels de la Minurso et du Secrétaire Général de l’ONU, ainsi que les interventions de plusieurs membres du Conseil de Sécurité sont malheureusement restés vains, a déploré le ministère, soulignant que « le Maroc a donc décidé d’agir, dans le respect de ses attributions, en vertu de ses devoirs et en parfaite conformité avec la légalité internationale ».

Le « polisario » en assume, seul, l’entière responsabilité et les pleines conséquences, a conclu le ministère.

La réaction de Macky Sall à l’islamophobie alimente la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais reçus, ce vendredi à APA, traitent principalement de la sortie du président Macky Sall, hier à Paris (France), sur les discours islamophobes.« Le président Macky Sall au Forum de Paris sur la paix-Il faut accepter nos différences », titre le quotidien national Le Soleil.

Ce journal informe que le Chef de l’Etat a appelé, hier, au cours d’un panel à l’Elysée dans le cadre du Forum de Paris sur la paix, au respect des différences et des valeurs de chaque peuple, pour un meilleur vivre ensemble.

« Il faut que nous acceptions les différences pour aller ensemble vers ce que nous voulons bâtir en commun », a notamment dit Macky Sall dans des propos rapportés par Le Soleil.

« Discours islamophobe du président français-Macky Sall fait la leçon à Macron », titre de son côté L’As, estimant que le Chef de l’Etat de la France était sans doute mal à l’aise lors de la prise de parole de Macky Sall lors de ce forum.

Titrant sur « la réponse de Macky à Macron », Vox Populi note que le président sénégalais réagit depuis Paris au discours islamophobe de la France.

Dans ce journal, Macky Sall affirme : « Nous n’avons pas forcément les mêmes valeurs, mais on peut être ensemble. Je suis Africain, vous êtes Européen. On n’est pas les mêmes, on est différents, mais on peut partager certaines valeurs ».

« Propos sur l’islam-Macky corrige Macron », poursuit Le Quotidien.

« Forum de Paris-Macky s’en prend aux extrémistes », renchérit Les Echos, dans lequel journal, le président Sall déplore : « Trouver des gens dans une mosquée ou dans une église et mettre une bombe pour les tuer, on ne peut pas appeler cela l’islam. Le Prophète Mohammad (Psl), à Médine, a hébergé dans sa mosquée des gens qui étaient en quête d’une zone de prière. Nous voulons qu’il y ait de la tolérance vis-à-vis de l’islam tolérant ».

Poursuivant dans La Tribune, Macky Sall souligne que « l’islam est la première victime du terrorisme ».

Ce journal revient également sur le renouvellement, hier à Paris, des accords de pêche entre le Sénégal et l’Union européenne et s’exclame : « Le scandale de trop ! »

« Les pêcheurs affront la mort faute de poissons. Macky autorise l’Europe à pêcher 50.000 tonnes. Cinq ans de pillage de nos ressources halieutiques », explique La Tribune.

Pendant ce temps, Le Quotidien s’intéresse au rapport de rentabilité de l’Autoroute à péage et note que le concessionnaire « Eiffage roule l’Etat » car, la société augment ses charges pour diminuer ses bénéfices.

Walf Quotidien reste sur l’émigration clandestine, informant que « Macky avoue la responsabilité de son équipe ».

« Portés disparus-Révélations sur ces destins engloutis par l’océan. 154 migrants rapatriés en 48 heures », détaille Libération à sa Une.

Le Ghana en deuil national à compter de vendredi

Le chef de l’État ghanéen, Nana Akufo-Addo, a décrété un deuil national de sept jours en hommage à l’ancien président Jerry Rawlings décédé d’une courte maladie.Le Ghana a perdu, ce jeudi 12 novembre, l’un de ses plus illustres fils : Jerry Rawlings (1947-2020). En effet, ce dernier a placé l’ancienne Gold Coast sur la voie de la démocratie.

Un solide fondement qui tient toujours. C’est pourquoi la présidentielle de décembre prochain ne suscite aucune inquiétude dans une sous-région où les processus électoraux sont souvent émaillés de violences avec leur lot de morts.

Le Ghana fait exception. Et le président sortant, Nana Addo Akufo-Addo, souligne que le « monument » qui en est le principal artisan « s’est éteint ». Malgré l’enjeu de ce scrutin, le candidat du Parti National Patriotique (NPP) a donc suspendu sa campagne durant la période de recueillement.

Pour honorer la mémoire du défunt, l’actuel locataire de la Golden Jubilee House a également ordonné que « les drapeaux nationaux flottent à mi-mât dans toutes les régions du pays ».

La famille de Jerry Rawlings, le premier président de la 4e République, s’est rendue ce jeudi au palais présidentiel. Le gouvernement entend travailler « en étroite collaboration » avec elle pour organiser « des funérailles nationales ».

Maroc-Gambie: une convergence de vues à tous les niveaux (MAE gambien)

 Le Maroc et la Gambie partagent une convergence de vues à tous les niveaux, a affirmé, jeudi à Rabat, le ministre gambien des Affaires étrangères, Mamadou Tangara.Dans un point de presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, le responsable gambien a souligné que les deux pays se soutiennent mutuellement et de façon concrète dans l’ensemble des foras internationaux.

Pour sa part, M. Bourita a relevé qu’au-delà des liens historiques des deux pays et du soutien indéfectible et réciproque qui s’opère depuis leurs indépendances respectives, le Maroc et la Gambie partagent une convergence de vues totale au niveau de leur sous-région, ainsi que sur les questions d’ordre continental.

 « Notre relation est ancienne, mais toujours renouvelée notamment depuis la visite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI à Banjul », a-t-il soutenu, notant qu’après cette visite une dynamique s’est installée dans les relations bilatérales, avant d’être renforcée au lendemain de l’élection du Président gambien Adama Barrow, qui a « donné une forte impulsion à cette relation ».

« Nos relations sont basées sur un cadre juridique solide, fort d’une vingtaine d’accords, sur des échanges réguliers et sur une volonté de donner un contenu économique à nos rapports », a fait savoir le ministre marocain.

« La rencontre d’aujourd’hui nous a permis de nous mettre d’accord sur la tenue de troisième commission mixte à Banjul au début de l’année prochaine, et de lancer la préparation du prochain forum économique, en vue d’imprimer une plus forte impulsion à la dimension économique de ces relations », a-t-il encore ajouté.

 Les questions régionales et internationales ont également été à l’ordre du jour de ces entretiens, notamment la situation en Afrique de l’Ouest et en Afrique du Nord, avec une convergence parfaite des analyses et des points de vue, a dit M. Bourita.

 Lors de leur encontre, les deux responsables ont procédé à la signature d’un mémorandum d’entente de coopération dans le domaine de la formation diplomatique, ainsi que d’une déclaration commune d’intention sur la coopération dans le domaine de la Santé.

 Cette déclaration d’intention prévoit la consolidation de la coopération entre les deux pays dans le secteur de la santé et fixe les actions de coopération bilatérale à développer dans ce domaine. Ces actions s’articulent notamment autour du renforcement des capacités des professionnels de la santé dans différents domaines et sur le partage d’expertise.

Maroc : Près de 24 millions de personnes vont bénéficier de la campagne de vaccination contre la Covid-19

Près de 24 millions de Marocains vont bénéficier de la campagne de vaccination entre novembre et avril prochain, rapporte le quotidien +Al Ahdath Al Maghribia+ dans son numéro à paraitre vendredi.Selon le quotidien, le vaccin qui sera administré lors de cette opération, du moins lors sa première phase, est celui développé par le laboratoire chinois Sinopharm CNBG. Un vaccin pour lequel le Maroc participe à des essais cliniques depuis septembre dernier. Ces essais devraient prendre fin le 15 novembre prochain, selon le cahier des charges signé le 20 août dernier par les deux parties.

Pour rappel, 600 volontaires sains, hommes et femmes, ont été concernés par ces essais cliniques, selon une méthode en double aveugle. En effet, 300 volontaires ont reçu le vaccin, tandis que les 300 autres se sont vu injecter un placebo. Ni les volontaires, ni même les volontaires, ne savaient qui avait reçu quoi.

D’après les premiers résultats des essais cliniques, aucun volontaire n’a contracté une réaction négative. Seules des douleurs passagères liées à l’injection du vaccin ont été constatées.

Toujours selon la même source, le système immunitaire des volontaires âgés de plus de 60 ans a pris plus de temps à se renforcer, tandis que les patients âgés de moins de 60 ans ont pu développer des anticorps pour empêcher le virus d’infecter les cellules hôtes et de se répliquer.

A noter que l’administration de ce genre de vaccin se déroule en double inoculation, qui nécessite deux injections du même vaccin, où le virus est inactivé, à intervalle de 21 jours.

Le Maroc, pays très touché par la pandémie de la COVID-19, s’apprête à lancer dans les semaines à venir une campagne massive de vaccination contre le coronavirus, un ennemi invisible qui ne cesse de faire des ravages parmi la population tant en termes de décès qu’en termes de contamination et de complications sanitaires qui y sont liées.

Cette campagne, qui sera lancée sur hautes orientations du Roi Mohammed VI, dénote de l’implication effective royale pour réussir cette opération de grande envergure tout en mettant en œuvre tous les moyens sanitaires, logistiques et techniques nécessaires.

Certes, cette opération, de vaccination massive constitue une nouvelle anticipation royale contre la pandémie de coronavirus, et va servir de riposte efficace visant à mettre fin à l’étape critique que la pandémie a enregistrée au Maroc, pays qui a recensé ce jeudi un record de contamination avec 6.195 nouveaux cas portant le bilan à 276.821 cas confirmés et 4.570 morts depuis l’apparition du premier cas dans le Royaume le 2 mars dernier.

Éliminatoires CAN 2021: la Côte d’Ivoire bat Madagascar (2-1) et se relance dans le groupe K

La sélection nationale ivoirienne de football a battu son homologue de Madagascar ( 2-1) jeudi soir au stade olympique Alassane Ouattara d’Anyama-Ebimpé au Nord d’Abidjan dans un match joué à huit-clos et comptant pour la troisième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations ( CAN 2021) prévue au Cameroun.Après une première mi-temps relativement équilibrée entre les deux équipes, les Eléphants de Côte d’Ivoire ont ouvert le score (1-0)  à l’entame de la seconde période (47ème)  grâce à leur attaquant vedette Yao Kouassi Gervais dit  Gervinho.

 Les hommes du sélectionneur ivoirien Patrice Beaumelle bien inspirés en ce début de deuxième mi-temps, corsent l’addition (2-0) à la 54è mn sur un but inscrit par Sébastien Haller bien servi par son coéquipier Max Alain Gradel.

Malgré ces deux réalisations des ivoiriens, les malgaches déterminés à revenir au score, multiplient les offensives et réduisent le score (2-1) sur un but inscrit par Paulin Voavy à la 59è mn.

Les  Barrea de Madagascar, de plus en plus offensifs après ce but, harcèlent la défense ivoirienne, mais restent, malheureusement, maladroits devant les buts de Sylvain Gohouo, le portier des Eléphants.

Finalement, c’est sur ce score de (2-1) à l’avantage des ivoiriens que l’arbitre tunisien Haytem Guirat met fin à la confrontation. Ivoiriens et Malgaches seront opposés le 17 novembre prochain à Toamasina (Madagascar) dans un match comptant pour  la quatrième journée  de ces éliminatoires. Avec ce score, les Eléphants se relancent dans le groupe K de cette compétition.