Onu: un Sénégalais réélu rapporteur du Centre de l’e-business

Mor Talla Diop a rempilé au poste de Rapporteur du Centre des Nations unies pour l’e-business (CEFACT, sigle anglais) pour l’Afrique subsaharienne.Directeur exécutif sénior de Gaïndé 2000 chargé du Business Développement et des Affaires internationales, M. Diop occupait ce poste depuis avril 2019. Il a été réélu pour deux ans (2021-2023) lors de la 27ème Session du CEFACT tenu le 19 Avril 2021 à Genève (Suisse).

En tant que Rapporteur, Mor Talla Diop est chargé du suivi de la mise en œuvre des recommandations du CEFACT au niveau de la région, explique un communiqué de Gaïndé 2000, un entreprise sénégalaise spécialisée dans la facilitation du commerce.

Le Centre des Nations unies pour l’e-business définit les normes et standards sur les échanges électroniques, mais il produit également des recommandations dans le cadre de la facilitation du commerce.

Le bilan de l’accident d’Abobo N’dotré s’alourdit à 10 morts

Le bilan de l’accident de la circulation survenu jeudi au carrefour Bandji de N’Dotré, au nord d’Abidjan impliquant un camion remorque, un mini-car et un taxi, s’est alourdit en passant de sept à dix morts au terme des opérations de secours.

Ce nouveau bilan est dressé par le Groupement des sapeurs-pompiers militaires) GSPM) dans une note d’information. 

« Après les opérations de désincarcération, le bilan définitif est de 22 victimes dont 12 blessés graves de divers traumatismes et 10 décès certains mis à la disposition des pompes funèbres », ont souligné les pompiers. 

A en croire le gouvernement ivoirien, la surcharge, l’état des routes et l’imprudence des conducteurs sont généralement à l’origine de 94% des accidents de la route qui surviennent en Côte d’Ivoire.

Hani Osman El Hassan, nouveau Directeur Général d’Expresso Sénégal

Le Soudanais, ayant pris fonction le 5 avril dernier, a pour principale mission de booster les activités de l’opérateur de télécommunications.Expresso a donc misé sur Hani Osman El Hassan pour relancer sa machine. Un homme du sérail qui, selon un communiqué reçu ce jeudi à APA, a occupé des fonctions de direction au sein de compagnies de télécommunications pionnières dans des contextes très exigeants.

Un critère qui a fait mouche auprès d’Expresso dans l’espoir que ce DG apporte « un nouveau souffle » et « consolide
sa présence au Sénégal ».

Hani Osman El Hassan est détenteur de deux diplômes d’ingénieur des Universités de Khartoum (Soudan) et de Nottingham (Angleterre) mais aussi d’un Master of Business Administration à Phoenix (Etats-Unis).

Il arrive dans la capitale sénégalaise « avec une solide expérience dans la mise en œuvre réussie de stratégies de marque dans différents groupes ». Le nouveau boss d’Expresso Sénégal a notamment été responsable du roaming international à Zain, manager général de programmes chez Nokia, manager général régional chez MTN et directeur conseil chez ENTUC. 

Expresso Sénégal, filiale de Sudatel (Soudan), attend de son patron qu’il mette en œuvre « une nouvelle orientation » en faisant notamment en sorte que « sa connaissance de l’industrie des télécoms puisse stimuler la performance commerciale de l’entreprise ».

A en croire son employeur, Hani Osman El Hassan est « hautement motivé (et) reconnu pour sa capacité à tenir des principes en matière de prise de décision, à préserver l’éthique professionnelle et à saisir les opportunités commerciales ».

Dès sa prise de fonction, il a déclaré : « Notre objectif est de redynamiser la compagnie de l’intérieur et de consolider notre présence sur le marché national. Nous allons travailler à l’amélioration du réseau de la 4G ainsi qu’à la qualité de notre réseau en général. Nous allons secouer le marché avec des offres de services innovantes, comme l’e-SIM pour le grand public et les entreprises. Nous allons pousser la compagnie à aller de l’avant ». 

La marque a indiqué que la « nomination intervient dans un contexte relativement favorable avec le lancement par Expresso de ses offres 4G en mars dernier ». Cette avancée, a souligné l’entreprise, marque sa présence sur le haut débit pour concrétiser ses ambitions de conquête du marché sénégalais.

Pour ce faire, l’opérateur de télécommunications a également investi dans « le projet de mise en place du câble sous-marin à fibre optique et envisage son autonomie sur le segment Internet ».

Expresso, d’après le document, est le premier opérateur à lancer la E-Sim au Sénégal. Contrairement à la carte Sim classique, cette « puce à mémoire vierge, préinstallée dans les mobiles, permet les mêmes usages ». Et pour l’activer, il suffit tout simplement de la « télécharger grâce à un code QR de sécurité proposé par l’opérateur ».

« Nous avons à cœur de contribuer au renforcement de la coopération entre le Sénégal et le Soudan, de consolider les relations entre pays africains et la coopération sud-sud. Cela passe par des relations d’affaires », a affirmé le nouveau dirigeant d’Expresso.

Hani Osman El Hassan, après son installation, a rendu visite à des autorités du pays dont Yankhoba Diattara, ministre de l’Economie numérique et des Télécommunications.

Présent au Sénégal  depuis 2007, « Expresso a augmenté de 45 % sa couverture 3G ». En outre, l’opérateur télécoms dispose déjà de « 350 sites 4G opérationnels » dans le pays et ambitionne, pour cette année, d’en installer davantage.

La compagnie devrait atteindre, en décembre 2021, 59 % de couverture réseau 4G et 80 % en 2022. Enfin, « une étude indépendante » de « n perf » (Baromètre des connexions Internet mobiles au Sénégal, effectuée en 2020 et publiée le 11 février 2021, a montré les « très bonnes performances (d’Expresso), supérieures à ses concurrents sur certains paramètres ».

Trente-six tracteurs électriques pour le port d’Abidjan

Les engins de manutention vont équiper le futur terminal à conteneurs du port d’Abidjan.C’est une commande de 9,9 millions d’euros (6,5 milliards Fcfa). Elle fait partie des engagements pris par les actionnaires de référence de Côte d’Ivoire Terminal, Bolloré Ports et APM Terminals, dans le cadre du partenariat public-privé signé avec les autorités ivoiriennes.

Elle s’inscrit notamment dans la volonté de faire de ce nouveau port, dont les travaux de construction ont été lancés en octobre 2020 par Côte d’Ivoire Terminal, un pionnier en matière d’éco-responsabilité, rapporte un communiqué de Bolloré reçu à APA ce jeudi.

Les 36 tracteurs qui seront livrés vers la fin de l’année 2021 sont 100 % électriques, sans émissions de CO2 ou de pollution sonore. Ils permettent de réduire de 70% le coût de l’énergie consommée sur les terminaux. Équipés des batteries LMP® de Blue Solutions, ces engins de manutention offrent des garanties de fiabilité, d’autonomie et de sécurité.

Fruit de la synergie entre Bolloré Ports, Blue Solutions, et le constructeur Gaussin, ces tracteurs électriques vont réduire l’empreinte environnementale du futur terminal à conteneurs. Côte d’Ivoire Terminal envisage ainsi de promouvoir des solutions logistiques éco-responsables sur la façade maritime ouest-africaine, plus respectueuses de l’homme et de son environnement et qui participent au programme de labélisation « Green Terminal ».

« Ces équipements électriques combinés aux efforts pour préserver la biodiversité vont réduire l’empreinte carbone de nos activités. C’est une priorité pour nous. Il s’agit pour Côte d’Ivoire Terminal d’innover et d’accélérer sa transition énergétique avec le concours du Port Autonome d’Abidjan. Les succès enregistrés par les premiers tracteurs électriques déployés par Gaussin sur d’autres terminaux portuaires en Afrique confortent la pertinence de notre choix », a déclaré Koen De Backker, Directeur général de Côte d’Ivoire Terminal.

Sénégal : Macky « déterminé » à poursuivre la lutte contre le chômage

Le président Macky Sall a fait part, jeudi à Diamniadio (Dakar), de son engagement à accompagner la jeunesse sénégalaise dans leur quête d’un emploi.Le chef de l’Etat sénégalais s’est voulu rassurant dans son discours inaugural du Conseil présidentiel sur l’emploi et l’insertion des jeunes. « Je veux surtout que vous compreniez que quelles que soient les difficultés, quelles que soient les circonstances, l’Etat ne vous abandonnera pas », a-t-il déclaré.

Rappelant que la lutte contre le chômage des jeunes est une bataille de longue haleine qui ne se gagne pas en un seul jour, Macky Sall a réitéré sa détermination à poursuivre « le combat » contre le chômage. « Je serai toujours à vos côtés, à la recherche de solutions à vos problèmes. Le gouvernement restera mobilisé et l’Etat mettra les moyens qu’il faut pour relever le défi », a-t-il martelé.

Dans cette allocution d’une vingtaine de minutes, le président Sall a de plus manifesté sa disposition à écouter les jeunes, entendre leurs points de vue, partager leurs préoccupations, et engager avec eux un dialogue constructif. Tout cela, afin de répondre au mieux à leurs attentes, leurs ambitions et leurs aspirations.

« Tout adulte est un vieux jeune. Nous, adultes, nous avons été à votre place. Nous avons vécu ce que vous vivez actuellement. Je peux donc aisément ressentir vos interrogations, vos doutes, vos attentes, vos espoirs. Je peux aisément comprendre vos besoins, vos aspirations et vos ambitions légitimes d’être utiles à vous-mêmes, à vos familles, à vos communautés et à votre pays », a-t-il dit.

Listant les « efforts, si appréciables » consentis pour régler la lancinante question du chômage, le chef de l’Etat a reconnu que ceux-ci « connaissent des limites ».

« D’abord, parce que l’Etat ne peut pas recruter tous les candidats à l’emploi dans la fonction publique, […] mais aussi parce que nous avons été brutalement rattrapés par la crise engendrée par la pandémie COVID-19 », s’est-il justifié.

Partant de là, il a indiqué que le « Programme d’urgence pour l’emploi et l’insertion socio- économique des jeunes, XËYU NDAW ÑI », qui sera issu de ce Conseil présidentiel sera « pragmatique, orienté vers l’action, et opérationnel de façon diligente à l’échelle nationale ».

C’est pourquoi d’ailleurs, explique-t-il, « j’ai tenu à ce que le processus préparatoire du Conseil soit inclusif, en partant des réalités de nos terroirs, et en associant la jeunesse dans toutes ses composantes. »

Pour mener à bien ce projet, Macky Sall a en outre souligné la nécessité de maîtriser la croissance démographique, et assurer une éducation et une formation qualifiantes, qui correspondent aux besoins du marché. Ce qui favorise, selon lui, l’employabilité des demandeurs d’emploi, en particulier les jeunes diplômés.

Il a de plus encouragé le secteur privé à soutenir davantage la formation duale école-entreprise, pour donner aux jeunes « la chance du débutant » et les aider à mieux se préparer à la vie professionnelle.

Côte d’Ivoire: ouverture du colloque de l’académie contre le terrorisme

Le ministre d’Etat, chargé de la Défense de Côte d’Ivoire, Téné Birahima Ouattara, a procédé jeudi à Abidjan à l’ouverture du premier colloque international de l’Académie internationale de lutte contre le terrorisme (AILCT), un centre régional basé dans le pays.

Ce premier colloque de l’Institut de recherche stratégique (IRS) de l’Académie internationale de lutte contre le terrorisme (AILCT) se tient autour du thème : « Terrorisme au Sahel et en Côte d’Ivoire : entre convergence et spécificités ».

« Compte tenu de son caractère transfrontalier, la lutte contre le terrorisme ne peut être mené en vase clos », a fait observer M. Téné Birahima, pour qui cela requiert une bonne collaboration entre Etats et exige une synergie et complémentarité d’actions.

Pour le gouvernement ivoirien, la lutte contre le terrorisme est une « priorité », ainsi que « la sécurité des Ivoiriens et de l’ensemble des populations qui vivent ici est au cœur de la politique du chef de l’Etat Alassane Ouattara », a-t-il dit.

Le 30 avril 2017 à Abidjan, les présidents Macron et Alassane Ouattara ont officialisé leur volonté commune de créer une académie internationale dédiée à la lutte contre le terrorisme en réponse à la volonté de nombreux pays d’Afrique de développer des capacités de lutte antiterroriste.

Ce projet a pour objectif de disposer d’un instrument de formation et de réflexion afin d’outiller tous les acteurs impliqués dans la lutte contre ce fléau et à tous les niveaux d’intervention. L’AILCT se veut un instrument de stabilité politique et de développement économique durable.

De 2017 à ce jour, l’AILCT a accueilli plus de 300 stagiaires venus d’une douzaine de pays africains qui ont été formés à la lutte et à la gestion d’une crise terroriste. En outre, les premières infrastructures de l’académie seront inaugurées dans les prochains mois.

L’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Jean-Christophe Belliard, a dans un discours, souligné que cette académie « a la vacation dès 2022 de mettre en place une gouvernance partagée entre tous les pays et les organisations internationales ».

Une conférence des donateurs sera organisée à Paris en juin 2021 dans le but de mobiliser des financements pour accroître les capacités de l’Académie internationale de lutte contre le terrorisme. Et dès 2022, l’Union européenne interviendra pour appuyer ce centre.

Cela devrait permettre de partager les stratégies de lutte contre le terrorisme, mais également de mettre en place un véritable réseau international dans l’optique de renforcer les capacités des Etats face au terrorisme.

La Côte d’Ivoire a été frappée pour la première fois par un acte terroriste, en mai 2016, à Grand-Bassam, à 40 Km au Sud-est d’Abidjan. La deuxième attaque est survenue en juin 2020 au poste frontière de Kafolo, dans l’extrême Nord ivoirien.

Le pays a connu en mars 2021 une deuxième attaque meurtrière au poste de Kafolo.

Près de 70 invités participent à ce premier colloque qui regroupe des acteurs institutionnels issus de tous les ministères impliqués dans la lutte  contre le terrorisme, ainsi que des ambassadeurs et représentants d’organisations internationales.

Rwanda : un journaliste indépendant crée son parti politique

A peine sorti de prison, le journaliste rwandais Christopher Kayumba transforme son organisation en parti politique.L’ancien rédacteur en chef de « The Chronicles », l’un des principaux journaux indépendants du Rwanda, a officiellement annoncé le lancement d’une plateforme politique après sa libération de prison, où il venait de purger un an de prison.

Une déclaration obtenue jeudi par APA à Kigali indique que la nouvelle entité politique connue sous le nom de Plate-forme rwandaise pour la démocratie (RPD) est un forum pour faire avancer et contribuer au développement d’un Rwanda plus libre, démocratique, juste, sûr et durable, pacifique et développé.

Le Dr Kayumba, qui est également un ancien maître de conférences à l’Ecole de journalisme et de communication (EJC) de l’Université du Rwanda, a expliqué que les membres fondateurs de la RPD étaient issus de différents horizons et milieux sociaux.

Selon lui, l’objectif de la RPD est de contribuer à mettre fin à cet état de fait et de mettre le Rwanda sur une voie de développement plus durable, pacifique et démocratique.

Le lancement du nouveau parti politique par l’ancien rédacteur en chef intervient après que le Bureau d’enquête du Rwanda (RIB) a annoncé le mois dernier qu’il avait ouvert une enquête sur les allégations d’une jeune journaliste selon laquelle le Dr Kayumba l’aurait été violée.

Un ancien étudiant de l’Université du Rwanda a fait récemment une sortie pour affirmer que son professeur d’alors, le Dr Christopher Kayumba, l’avait agressée et avait tenté de la forcer à avoir une relation sexuelle dans sa maison.

« Il m’a tirée et poussée sur le canapé en essayant de me forcer à coucher avec lui », a raconté une amie de l’étudiante sur Twitter.

Apparemment, la dame a réussi à échapper à l’agression de Kayumba, mais a ajouté c’était « une éternité de torture émotionnelle et psychologique ». Le Dr Kayumba nie ces allégations. « Ce n’est pas vrai, et cette dame qui a tweeté de telles allégations est payée pour faire de la propagande, rien d’autre ».

Coupe de la CAF/Maroc : la Renaissance de Berkane, tenante du titre, éliminée en phase de poules

Le club marocain de la Renaissance sportive de Berkane (RSB), tenant du titre de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), a été éliminé en phase de groupes après sa défaite, mercredi à Lusaka, face aux Zambiens de Napsa Stars FC (1-0), pour le compte de la 5è et avant-dernière journée du groupe B. L’unique réalisation de la rencontre a été marqué par Doisy Soko à la 52e minute de jeu.

Les Berkanis se sont procurés plusieurs occasions de acorer, notamment en première période, mais ont échoué à les concrétiser par manque de concentration. Dans l’autre match de ce groupe, disputé plus tôt dans la journée, les Camerounais de Coton Sport ont perdu à domicile face à la formation algérienne de la JS Kabylie par 2 buts à 1.

Coton Sport et la JS Kabylie se qualifient ainsi aux quarts de finale de la Coupe de la CAF. Au terme de cette journée, Coton Sport est toujours en tête avec 9 points, devançant au goal-average la JS Kabylie, alors que la Renaissance Berkane occupe la 3e place avec 5 points. Napsa Stars ferme la marche de cette poule avec 4 unités.

Lors de la 6e et dernière journée, la RSB recevra Coton Sport, alors que la JS Kabylie accueillera Napsa Stars.

Le Maroc et l’Indonésie soulignent la nécessité d’identifier de futurs projets d’accords

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a eu une visioconférence, mercredi, avec son homologue indonésienn, Mme Retno Marsudi.Lors de cet entretien, les deux ministres ont salué l’excellence des relations entre les deux pays dont le 60ème anniversaire a été célébré le 19 avril de cette année. Ces relations bilatérales ont été marquées, selon les deux ministres, par un dialogue régulier et amical qu’ils ont convenu de renforcer davantage, particulièrement dans le contexte de la pandémie du Coronavirus.

Ils se sont entendus sur l’ambition d’intensifier les consultations politiques et développer la coopération économique entre le Maroc et l’Indonésie à travers la mise en œuvre des accords signés lors de la 2ème session de la commission mixte tenue à Jakarta en octobre 2019.

Ils ont soulevé l’intérêt de promouvoir la coopération triangulaire et d’encourager l’interaction entre les communautés d’affaires des deux pays, notamment dans les domaines de l’agriculture, des mines et du tourisme.

Dans la perspective de la tenue la 3ème session de la commission mixte, prévue avant la fin de 2021, M. Bourita et Mme Marsudi ont également souligné la nécessité d’identifier de futurs projets d’accords en capitalisant sur les potentialités et complémentarités des deux pays.

Les deux ministres ont également mis en avant l’importance de la concertation entre le Maroc et l’Indonésie au sein des instances internationales sur des questions d’intérêt commun.

A cet égard, Mme Marsudi s’est réjouie du soutien du Maroc aux efforts de l’ASEAN et de l’Indonésie pour une sortie de crise au Myanmar, notamment ceux consentis pour la tenue d’un Sommet Spécial de l’ASEAN sur la question, à Jakarta.

Sept personnes tuées dans un accident à Abidjan

Un accident de la circulation impliquant un camion benne, un mini car et un taxi a fait jeudi un bilan provisoire de 19 victimes dont 07 morts certains au carrefour Bandji de N’Dotré, au nord d’Abidjan.

L’information a été donnée par le Groupement des sapeurs-pompiers militaires (GSPM) dans une note d’information. Selon les pompiers qui ont mené les opérations de secours avec les forces de l’ordre, cet accident a fortement perturbé le trafic routier dans cette zone.

A en croire le gouvernement ivoirien, la surcharge, l’état des routes et l’imprudence des conducteurs sont généralement à l’origine de 94% des accidents de la route qui surviennent en Côte d’Ivoire.