Global Voice Group accompagne l’ARPT pour une Guinée numérique inclusive

L’Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPT) de la Guinée et la société Global Voice Group (GVG) ont annoncé, mercredi, la conclusion d’un nouveau partenariat entre les deux organisations.

Paraphée à Conakry le 1er avril 2021 par leurs dirigeants respectifs, MM. Yacouba Cissé et James Gabriel Claude, l’entente prévoit le déploiement d’une plateforme de pointe pour la régulation de l’écosystème mobile et numérique en Guinée, souligne un communiqué transmis à APA.

Les travaux d’installation de cette plateforme numérique débuteront le 1er juin prochain. Il s’agit, à ce jour, du plus ambitieux projet de numérisation des outils de régulation du pays, englobant des aspects majeurs tels que la gestion réglementaire des identités mobiles et numériques, de l’interconnectivité, des services data et de l’argent mobile.

En vertu du contrat, GVG assumera le déploiement de la plateforme ainsi que les opérations techniques liées à celle-ci pour une période de cinq ans, au terme de laquelle la société en transférera la propriété à l’ARPT.

L’objectif de la plateforme est de promouvoir et pérenniser un écosystème mobile et numérique inclusif, dans lequel les Guinéens pourront évoluer en toute confiance. Pour cela, elle met en place des technologies de régulation reposant sur l’analyse des données, qui assurent la conformité réglementaire de cet écosystème et son adéquation avec les orientations de l’Etat en matière de développement et d’inclusion numériques.

 « Nous avons un lien particulier avec la Guinée qui a été l’une des premières nations africaines à déployer nos anciennes plateformes, il y a plus de dix ans. Nous nous reconnaissons dans l’esprit visionnaire de ses dirigeants, notamment ceux de l’ARPT » a déclaré James Claude, PDG de GVG.

« Il y a entre nous une réelle convergence de visions. Avec nos nouvelles technologies qui ont beaucoup évolué avec le temps, nous sommes convaincus d’apporter des réponses concrètes aux nouveaux besoins du régulateur dans l’environnement actuel et futur des télécoms en Guinée. », a-t-il ajouté.

Le Directeur général de l’ARPT, Yacouba Cissé, souligne l’avènement d’une approche numérique de la régulation. Selon lui, la numérisation des outils de régulation fait l’objet d’un fort consensus dans le domaine réglementaire en Afrique.

« L’ARPT a fait œuvre de pionnière à ce chapitre en numérisant la régulation des interconnexions nationales et internationales dès 2009 », rappelle-t-il.

« Les nouveaux outils numériques que nous mettons en place vont beaucoup plus loin. Ils couvrent tous les aspects de l’écosystème mobile et numérique susceptibles d’affecter les abonnés guinéens qui doivent être protégés par un cadre réglementaire efficace. », a conclu M. Cissé.

Maroc : prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 mai

Le gouvernement marocain a décidé de prolonger l’état d’urgence sanitaire sur l’ensemble du territoire national jusqu’au 10 mai prochain pour faire face à la propagation de la Covid-19, indique jeudi un communiqué de la présidence du gouvernement.Mercredi, l’exécutif a instauré un couvre-feu nocturne à l’échelle nationale de 20H00 à 06H00, à compter du 1er jour du mois de Ramadan, sauf pour les cas exceptionnels, avec le maintien des différentes mesures préventives annoncées précédemment.

Selon un communiqué du gouvernement, cette décision intervient sur la base des recommandations de la Commission scientifique et technique au sujet de la nécessité de poursuivre la mise en œuvre des mesures nécessaires visant à lutter contre la propagation du nouveau coronavirus (Covid-19), essentiellement avec l’apparition de nouveaux variants dans le pays.

Elle s’inscrit également dans le cadre du renforcement des mesures de précaution prises pour préserver la santé des citoyens, tient compte de la forte mobilité qui caractérise le tissu social marocain pendant le Ramadan et émane du souci que ce mois béni se déroule dans des conditions de santé appropriées, à la mesure de sa grande symbolique religieuse, selon la même source.

Maroc : prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 mai

Le gouvernement marocain a décidé de prolonger l’état d’urgence sanitaire sur l’ensemble du territoire national jusqu’au 10 mai prochain pour faire face à la propagation de la Covid-19, indique jeudi un communiqué de la présidence du gouvernement.Mercredi, l’exécutif a instauré un couvre-feu nocturne à l’échelle nationale de 20H00 à 06H00, à compter du 1er jour du mois de Ramadan, sauf pour les cas exceptionnels, avec le maintien des différentes mesures préventives annoncées précédemment.

Selon un communiqué du gouvernement, cette décision intervient sur la base des recommandations de la Commission scientifique et technique au sujet de la nécessité de poursuivre la mise en œuvre des mesures nécessaires visant à lutter contre la propagation du nouveau coronavirus (Covid-19), essentiellement avec l’apparition de nouveaux variants dans le pays.

Elle s’inscrit également dans le cadre du renforcement des mesures de précaution prises pour préserver la santé des citoyens, tient compte de la forte mobilité qui caractérise le tissu social marocain pendant le Ramadan et émane du souci que ce mois béni se déroule dans des conditions de santé appropriées, à la mesure de sa grande symbolique religieuse, selon la même source.

La France réitéré son appui aux efforts sérieux et crédibles du Maroc en tant que pourvoyeur de paix

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a eu, jeudi, une réunion en visioconférence avec le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean Yves Le Drian sur nombre de questions bilatérales et d’intérêt commun.Lors de cette réunion, les deux responsables se sont félicités de l’excellence des relations entre Rabat et Paris, soulignant la volonté du Roi Mohammed VI et du président français Emmanuel Macron de consolider le partenariat d’exception entre les deux pays, à travers le dialogue permanent entre les deux dirigeants, indique un communiqué du ministère marocain des Affaires étrangères.

Le chef de la diplomatie française a salué la gestion exemplaire du Maroc de la pandémie de la Covid-19 et a renouvelé le soutien de la France au partenariat stratégique entre le Maroc et l’Union européenne (UE), ajoute la même source.

La France a également réitéré son appui aux efforts sérieux et crédibles du Maroc en tant que pourvoyeur de paix et de stabilité et en tant que pôle de développement et de croissance.

Les deux parties ont réaffirmé leur volonté à poursuivre la concertation et la coordination de leurs actions au sein des instances multilatérales et internationales sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun.

La France réitéré son appui aux efforts sérieux et crédibles du Maroc en tant que pourvoyeur de paix

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a eu, jeudi, une réunion en visioconférence avec le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean Yves Le Drian sur nombre de questions bilatérales et d’intérêt commun.Lors de cette réunion, les deux responsables se sont félicités de l’excellence des relations entre Rabat et Paris, soulignant la volonté du Roi Mohammed VI et du président français Emmanuel Macron de consolider le partenariat d’exception entre les deux pays, à travers le dialogue permanent entre les deux dirigeants, indique un communiqué du ministère marocain des Affaires étrangères.

Le chef de la diplomatie française a salué la gestion exemplaire du Maroc de la pandémie de la Covid-19 et a renouvelé le soutien de la France au partenariat stratégique entre le Maroc et l’Union européenne (UE), ajoute la même source.

La France a également réitéré son appui aux efforts sérieux et crédibles du Maroc en tant que pourvoyeur de paix et de stabilité et en tant que pôle de développement et de croissance.

Les deux parties ont réaffirmé leur volonté à poursuivre la concertation et la coordination de leurs actions au sein des instances multilatérales et internationales sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun.

Le Maroc, le pays le plus avancé en termes de vaccination en Afrique (OMS)

Le Maroc est le pays le plus avancé en termes la vaccination contre le COVID-19 en Afrique, a annoncé jeudi, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).« Le Maroc est le pays le plus avancé dans la vaccination en Afrique », s’est félicitée Dr. Matshidiso Rebecca Moeti, directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique, lors d’une conférence de presse, tenue jeudi par l’Organisation.

Selon les chiffres fournis par le ministère de la Santé dans son bilan livré jeudi, un total de 4.433.939 personnes ont reçu une première dose du vaccin et 4.075.290 autres se sont vues administrer la deuxième dose.

Cette nouvelle intervient alors que le Maroc a enregistré ces dernières semaines un ralentissement de sa campagne de vaccination notamment à cause de problèmes d’approvisionnement chez les producteurs de vaccins.

Le Maroc, le pays le plus avancé en termes de vaccination en Afrique (OMS)

Le Maroc est le pays le plus avancé en termes la vaccination contre le COVID-19 en Afrique, a annoncé jeudi, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).« Le Maroc est le pays le plus avancé dans la vaccination en Afrique », s’est félicitée Dr. Matshidiso Rebecca Moeti, directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique, lors d’une conférence de presse, tenue jeudi par l’Organisation.

Selon les chiffres fournis par le ministère de la Santé dans son bilan livré jeudi, un total de 4.433.939 personnes ont reçu une première dose du vaccin et 4.075.290 autres se sont vues administrer la deuxième dose.

Cette nouvelle intervient alors que le Maroc a enregistré ces dernières semaines un ralentissement de sa campagne de vaccination notamment à cause de problèmes d’approvisionnement chez les producteurs de vaccins.

La presse en ligne de Côte d’Ivoire ne doit pas être un «dépotoir» (Président CIJP)

La presse en ligne de Côte d’Ivoire ne doit pas être un « dépotoir » où tout le monde vient se « défouler », a estimé, jeudi à Abidjan, le président de la Commission paritaire d’attribution de la carte d’identité de journaliste professionnel et de professionnel de la communication (CIJP), Vamara Coulibaly.

A la tête d’une délégation de son institution, M. Coulibaly s’est rendu au siège du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI) pour solliciter l’implication de cette faîtière des médias en ligne de Côte d’Ivoire en vue de «l’assainissement et de la professionnalisation» du secteur.

«Nous sollicitons votre implication pour l’assainissement du secteur (…) La presse en ligne de Côte d’Ivoire ne doit pas être un dépotoir où tous les demi lettrés viennent pour se défouler», a soutenu Vamara Coulibaly, entouré de plusieurs membres de la Commission et du Secrétaire permanant, Mama Fofana.

En retour, le président du REPPRELCI, Lassina Sermé a salué cette démarche de la Commission paritaire qui permet de «recueillir les avis, les observations et les propositions»  des acteurs pour la professionnalisation du secteur.

Les échanges ont notamment porté sur la durée de la carte CIJP qui est d’un an ainsi que le coût qui est de 10 000 FCFA. Selon Mama Fofana, cette durée et ce coût sont des éléments déjà prévus et fixés par la loi qui institue la CIJP.

La valorisation de la CIJP et la numérisation de la procédure de demande de cette carte ont été également évoquées au cours de cette rencontre avec le REPPRELCI qui s’inscrit dans le cadre d’une tournée auprès des organisations professionnelles des médias.

Créée par la loi du 14 décembre 2004 portant régime juridique de la presse, la Commission paritaire d’attribution de la Carte d’identité de journaliste professionnel ou de professionnel de la communication (CIJP), a pour mission principale l’attribution de la carte d’identité professionnelle.

 Elle est composée de 12 membres issus des différentes organisations professionnelles des médias et de structures publiques du secteur des médias.

Créé en 2006, le REPPRELCI regroupe les acteurs de la presse numérique en Côte d’Ivoire. Cette faîtière des médias numériques ivoiriens s’est donnée pour mission d’organiser, structurer et de promouvoir l’écosystème de la presse numérique en Côte d’Ivoire.

La presse en ligne de Côte d’Ivoire ne doit pas être un «dépotoir» (Président CIJP)

La presse en ligne de Côte d’Ivoire ne doit pas être un « dépotoir » où tout le monde vient se « défouler », a estimé, jeudi à Abidjan, le président de la Commission paritaire d’attribution de la carte d’identité de journaliste professionnel et de professionnel de la communication (CIJP), Vamara Coulibaly.

A la tête d’une délégation de son institution, M. Coulibaly s’est rendu au siège du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI) pour solliciter l’implication de cette faîtière des médias en ligne de Côte d’Ivoire en vue de «l’assainissement et de la professionnalisation» du secteur.

«Nous sollicitons votre implication pour l’assainissement du secteur (…) La presse en ligne de Côte d’Ivoire ne doit pas être un dépotoir où tous les demi lettrés viennent pour se défouler», a soutenu Vamara Coulibaly, entouré de plusieurs membres de la Commission et du Secrétaire permanant, Mama Fofana.

En retour, le président du REPPRELCI, Lassina Sermé a salué cette démarche de la Commission paritaire qui permet de «recueillir les avis, les observations et les propositions»  des acteurs pour la professionnalisation du secteur.

Les échanges ont notamment porté sur la durée de la carte CIJP qui est d’un an ainsi que le coût qui est de 10 000 FCFA. Selon Mama Fofana, cette durée et ce coût sont des éléments déjà prévus et fixés par la loi qui institue la CIJP.

La valorisation de la CIJP et la numérisation de la procédure de demande de cette carte ont été également évoquées au cours de cette rencontre avec le REPPRELCI qui s’inscrit dans le cadre d’une tournée auprès des organisations professionnelles des médias.

Créée par la loi du 14 décembre 2004 portant régime juridique de la presse, la Commission paritaire d’attribution de la Carte d’identité de journaliste professionnel ou de professionnel de la communication (CIJP), a pour mission principale l’attribution de la carte d’identité professionnelle.

 Elle est composée de 12 membres issus des différentes organisations professionnelles des médias et de structures publiques du secteur des médias.

Créé en 2006, le REPPRELCI regroupe les acteurs de la presse numérique en Côte d’Ivoire. Cette faîtière des médias numériques ivoiriens s’est donnée pour mission d’organiser, structurer et de promouvoir l’écosystème de la presse numérique en Côte d’Ivoire.

Lancement à Abidjan d’un film documentaire sur le paludisme en Afrique

Un film documentaire intitulé « Vaincre le paludisme », réalisé en Afrique et devant être diffusé le 20 avril 2021, cinq jours avant la Journée mondiale de la lutte contre le paludisme, a été projeté jeudi à Abidjan.

Ce film documentaire vise à « sensibiliser les communautés, les médias, le secteur privé pour vraiment nous assurer que le paludisme est priorisé », a dit Mme Yacine Diop Djibo, directrice exécutive et fondatrice de SpeakUpAfrica, une ONG qui a soutenu la réalisation de cette production. 

Pour Mme Yacine Diop Djibo, présente lors de la projection du film, « c’est une maladie qu’on peut éviter et qu’ on peut guérir, parce qu’ aujourd’hui il est inacceptable qu’ il y ait encore des personnes qui meurent du paludisme en Afrique et dans le monde ».

« Vaincre le paludisme », le titre de ce film documentaire « est cette idée que nous avons de vraiment nous assurer qu’ on va éliminer cette maladie là », a-t-elle expliqué, avant d’ajouter « on a vraiment besoin de tous pour pouvoir le faire ».

Dans ce film de 52 minutes qui sera diffusé sur Canal+ le 20 avril 2021 , l’on peut voir des experts sur cette maladie exerçant dans des instituts de recherche, des acteurs du secteur privé, des bailleurs, des champions communautaires, tel El Hadj Diouf, qui sensibilisent les populations. 

Il a été notamment tourné au Cameroun, au Sénégal et au Bénin et met entre autres l’accent sur des agents communautaires qui parcourent des milliers de kilomètres chaque jour pour traiter les populations dans les zones les plus reculées du pays. 

« A travers ce documentaire, on a vraiment voulu montrer tous les progrès qui ont été réalisés, mais également les défis qui nous restent à relever avec un message positif pour dire que c’est possible, il faut qu’on unisse nos efforts et nos ressources pour pourvoir atteindre l’objectif d’élimination du paludisme », a-t-elle poursuivi. 

Aujourd’hui, dans le monde, l’on enregistre 400.000  décès du paludisme par an, dont 90% sont en Afrique où on a une personne qui meurt toutes les deux minutes du paludisme  et qui impacte les femmes enceintes et les enfants en premier lieu.

Des progrès sont toutefois relevés. En Côte d’Ivoire, la mortalité a été réduite de 50% ces trois dernières années, cependant « beaucoup d’efforts restent encore à faire, surtout au niveau de l’utilisation des moustiquaires imprégnés », où l’objectif visé est de 80% contre 63% actuellement. 

Journaliste dans le documentaire, Maelle Ba, par ailleurs responsable communication stratégique chez SpeakUpAfrica, a parcouru des localités pour échanger avec les victimes du paludisme dont les agents pathogènes résistent parfois aux traitements.  

La pandémie de la Covid-19, fait-elle observer, est venue ralentir les campagnes de prévention. Selon l’Organisation mondiale de la santé, une recrudescence des cas de paludisme est à craindre sur le continent africain et le nombre de décès pourrait même doubler en 2021.

Le film a été produit par Taxi-brousse production et réalisé par Clément Alline. Pour le réalisateur, les histoires sur le paludisme dans les zones tropicales et sahéliennes ne sont pas les mêmes, des approches qui permettront d’avancer dans la lutte contre le palu et d’uniformiser les moyens de dépistage et de traitement.