Gbagbo et Blé Goudé sont « libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent » (Ouattara)

L’ex-chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo et Blé Goudé, acquittés par la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire de crimes contre l’humanité lors des violences postélectorales de 2010-2011, sont « libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent », a déclaré mercredi Alassane Ouattara, lors d’un Conseil des ministres.

« La Cour pénale internationale a rendu le 31 mars 2021 sa décision sur l’appel du procureur relatif au procès de M. Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. Nous en prenons acte », a affirmé M. Alassane Ouattara, lors du premier Conseil des ministres du gouvernement Patrick Achi. 

Il a ajouté avoir « bien évidemment, une pensée émue pour les victimes et leurs familles », tout en les assurant de la compassion et du soutien de l’Etat. En outre, « le gouvernement continuera de leur apporter assistance ».

« Quant à M. Laurent Gbagbo et Blé Goudé, ils sont libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent. Les frais de voyage de M. Laurent Gbagbo ainsi que ceux des membres de sa famille seront pris en charge par l’Etat de Côte d’Ivoire », a dit M. Ouattara.

Le président ivoirien a relevé que « les dispositions seront également prises pour que M. Laurent Gbagbo bénéficie conformément aux textes en vigueur, les avantages et les indemnités dus aux anciens présidents de la République de Côte d’Ivoire ».

Le secrétaire général d’une aile du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Assoa Adou qui a rencontré les 3 et 4 avril 2021 M. Gbagbo à Bruxelles, a rapporté que l’ancien président ivoirien a assuré qu’il sera en Côte d’Ivoire « incessamment ».

Gbagbo et Blé Goudé sont « libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent » (Ouattara)

L’ex-chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo et Blé Goudé, acquittés par la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire de crimes contre l’humanité lors des violences postélectorales de 2010-2011, sont « libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent », a déclaré mercredi Alassane Ouattara, lors d’un Conseil des ministres.

« La Cour pénale internationale a rendu le 31 mars 2021 sa décision sur l’appel du procureur relatif au procès de M. Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. Nous en prenons acte », a affirmé M. Alassane Ouattara, lors du premier Conseil des ministres du gouvernement Patrick Achi. 

Il a ajouté avoir « bien évidemment, une pensée émue pour les victimes et leurs familles », tout en les assurant de la compassion et du soutien de l’Etat. En outre, « le gouvernement continuera de leur apporter assistance ».

« Quant à M. Laurent Gbagbo et Blé Goudé, ils sont libres de rentrer en Côte d’Ivoire quand ils le souhaitent. Les frais de voyage de M. Laurent Gbagbo ainsi que ceux des membres de sa famille seront pris en charge par l’Etat de Côte d’Ivoire », a dit M. Ouattara.

Le président ivoirien a relevé que « les dispositions seront également prises pour que M. Laurent Gbagbo bénéficie conformément aux textes en vigueur, les avantages et les indemnités dus aux anciens présidents de la République de Côte d’Ivoire ».

Le secrétaire général d’une aile du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), Assoa Adou qui a rencontré les 3 et 4 avril 2021 M. Gbagbo à Bruxelles, a rapporté que l’ancien président ivoirien a assuré qu’il sera en Côte d’Ivoire « incessamment ».

Sénégal : la BM s’investit pour l’accès universel à l’électricité

La Banque mondiale va allouer 300 millions de dollars, soit plus de 165 milliards FCFA pour financer l’accès universel à l’électricité.Le Sénégal est sur la bonne voie pour atteindre son objectif d’accès universel à l’électricité d’ici 2025. En effet, la Banque mondiale vient de lui accorder le tiers de la totalité du financement requis pour la réalisation de ce programme.

Dans un communiqué parvenu ce mercredi à APA, l’institution de Bretton Woods informe qu’elle prépare deux projets additionnels avec le gouvernement du Sénégal pour atteindre ce but. Tout d’abord un projet régional qui permettra de raccorder les localités situées dans le périmètre des postes construits dans le cadre du Projet OMVG (Organisation pour la mise en Valeur du Fleuve Gambie). Mais également un projet national, en cours d’identification.

« Ces nouvelles interventions permettront d’électrifier une portion significative des 24% des ménages actuellement sans accès à l’électricité et de les sortir de la pauvreté », a déclaré le Directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Sénégal, la Mauritanie, la Guinée-Bissau, la Gambie et Cabo Verde, Nathan Belete.

Pour ce dernier, le défi à relever pour la réalisation de cette grande ambition n’est pas seulement la mobilisation du financement, mais c’est surtout le défi de la mise en œuvre. A l’en croire, cela passera par un renforcement institutionnel en termes d’organisation, de coordination, de contrôle et de suivi.

Le responsable de la BM a en outre salué les efforts qui ont permis d’atteindre « un niveau d’électrification enviable de l’ordre de 76 %, là où les pays de l’Afrique sub-saharienne ont pu apporter l’électricité à seulement deux cinquièmes (2/5) de leur population ».

Rappelant le rôle essentiel de l’électricité dans le développement et la transformation économique, Nathan Betele a soutenu que l’accès universel est une opportunité historique pour le pays pour atteindre l’émergence à l’horizon 2035.

En effet, souligne-t-il, en plus d’améliorer la qualité de vie des ménages, l’électrification est une condition essentielle au développement d’activités productives génératrices de revenus et de création d’emplois, notamment pour les jeunes. Elle permet également l’amélioration et la résilience de certains services publics essentiels comme l’éducation et la santé.

C’est pourquoi, au-delà des projets précités, son organisation accompagne actuellement le Sénégal pour atteindre l’objectif d’accès universel à travers d’autres projets que sont : le Projet d’Appui au Secteur de l’Électricité (PASE) et le Projet d’interconnexion régionale OMVG sans oublier le Projet régional Manantali 2.

Les deux projets nommés totalisent un financement de 200 millions de dollars. Ils permettront d’améliorer la couverture électrique du pays et de raccorder au réseau de nouvelles localités à travers la construction de dorsales moyenne tension notamment dans le sud et de lignes haute tension reliant le pays à ses voisins et au Système d’Échanges d’Énergie Électrique Ouest Africain.

Sénégal : la BM s’investit pour l’accès universel à l’électricité

La Banque mondiale va allouer 300 millions de dollars, soit plus de 165 milliards FCFA pour financer l’accès universel à l’électricité.Le Sénégal est sur la bonne voie pour atteindre son objectif d’accès universel à l’électricité d’ici 2025. En effet, la Banque mondiale vient de lui accorder le tiers de la totalité du financement requis pour la réalisation de ce programme.

Dans un communiqué parvenu ce mercredi à APA, l’institution de Bretton Woods informe qu’elle prépare deux projets additionnels avec le gouvernement du Sénégal pour atteindre ce but. Tout d’abord un projet régional qui permettra de raccorder les localités situées dans le périmètre des postes construits dans le cadre du Projet OMVG (Organisation pour la mise en Valeur du Fleuve Gambie). Mais également un projet national, en cours d’identification.

« Ces nouvelles interventions permettront d’électrifier une portion significative des 24% des ménages actuellement sans accès à l’électricité et de les sortir de la pauvreté », a déclaré le Directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Sénégal, la Mauritanie, la Guinée-Bissau, la Gambie et Cabo Verde, Nathan Belete.

Pour ce dernier, le défi à relever pour la réalisation de cette grande ambition n’est pas seulement la mobilisation du financement, mais c’est surtout le défi de la mise en œuvre. A l’en croire, cela passera par un renforcement institutionnel en termes d’organisation, de coordination, de contrôle et de suivi.

Le responsable de la BM a en outre salué les efforts qui ont permis d’atteindre « un niveau d’électrification enviable de l’ordre de 76 %, là où les pays de l’Afrique sub-saharienne ont pu apporter l’électricité à seulement deux cinquièmes (2/5) de leur population ».

Rappelant le rôle essentiel de l’électricité dans le développement et la transformation économique, Nathan Betele a soutenu que l’accès universel est une opportunité historique pour le pays pour atteindre l’émergence à l’horizon 2035.

En effet, souligne-t-il, en plus d’améliorer la qualité de vie des ménages, l’électrification est une condition essentielle au développement d’activités productives génératrices de revenus et de création d’emplois, notamment pour les jeunes. Elle permet également l’amélioration et la résilience de certains services publics essentiels comme l’éducation et la santé.

C’est pourquoi, au-delà des projets précités, son organisation accompagne actuellement le Sénégal pour atteindre l’objectif d’accès universel à travers d’autres projets que sont : le Projet d’Appui au Secteur de l’Électricité (PASE) et le Projet d’interconnexion régionale OMVG sans oublier le Projet régional Manantali 2.

Les deux projets nommés totalisent un financement de 200 millions de dollars. Ils permettront d’améliorer la couverture électrique du pays et de raccorder au réseau de nouvelles localités à travers la construction de dorsales moyenne tension notamment dans le sud et de lignes haute tension reliant le pays à ses voisins et au Système d’Échanges d’Énergie Électrique Ouest Africain.

Côte d’Ivoire : un gouvernement « Achi-1 » plus jeune

Dans la sélection de son nouveau gouvernement, le président ivoirien Alassane Ouattara a choisi de rajeunir son équipe mais dans la continuité.Le chef de l’Etat ivoirien a procédé mardi 6 avril à la nomination de 37 ministres et de quatre secrétaires d’État, dont huit femmes. Pas de grands changements n’ont été notés par rapport au précédent gouvernement de 47 ministres. A part que Téné Birahima Ouattara, frère cadet du président Ouattara, occupe désormais le poste stratégique de ministre de la Défense. Au-delà, aucun ministre n’est âgé de plus de 68 ans dans le nouveau gouvernement.

Confirmé au poste de Premier ministre après le décès de Hamed Bakayoko, Patrick Achi, 65 ans, est suivi dans l’ordre protocolaire par Kandia Camara, nommée ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora. Proche de Ouattara et figure du parti au pouvoir, le RHDP, vainqueur des dernières élections législatives de mars, elle était jusque-là ministre de l’Education nationale.

Réagissant à ce « grand honneur pour moi et en même temps une grande fierté », Mme Camara dit dédier cette « nomination aux femmes de Côte d’Ivoire ». Selon elle, c’est la première fois dans l’histoire de la Côte d’Ivoire qu’une femme est nommée à ce poste.

Le numéro trois du gouvernement, Téné Birahima Ouattara, est confirmé à la Défense dont il dirigeait l’intérim depuis le décès, le 10 mars dernier, du Premier ministre Hamed Bakayoko.

Le général Vagondo Diomandé conserve aussi son poste de ministre de l’Intérieur et de la Sécurité là où Kobenan Kouassi Adjoumani est promu ministre d’Etat en charge de l’Agriculture et du Développement rural.

Par ailleurs, 13 nouveaux ministres effectuent leur entrée contre 18 sortants. Il s’agit entre autres, pour les nouvelles têtes, d’Amadou Coulibaly, patron des services de renseignement extérieurs, nommé ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement. Pierre Dimba, ancien directeur général de l’Ageroute, est le nouveau ministre de la Santé là où Thomas Camara, ancien Directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR), est devenu ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie.

Parmi les sortants, on retrouve Ally Coulibaly, ex-ministre des Affaires étrangères, Sidiki Konaté, qui occupait l’Artisanat, ou encore Eugène Aka Aouélé, qui avait en charge la Santé. Ce dernier est nommé à la tête du Conseil économique et social.

En revanche, le nouveau gouvernement n’est pas élargi à l’opposition malgré le vent de décrispation notée ces derniers mois dans la vie sociopolitique du pays.

Celle-ci reste marquée par une présidentielle très tendue tenue en octobre dernier et des législatives un peu plus calmes en mars, mais aussi par le récent acquittement de l’ex-président Laurent Gbagbo par la Cour pénale internationale (CPI). L’organisation du retour de celui-ci dans son pays est d’ailleurs l’une des missions prioritaires du nouveau gouvernement.

Côte d’Ivoire : un gouvernement « Achi-1 » plus jeune

Dans la sélection de son nouveau gouvernement, le président ivoirien Alassane Ouattara a choisi de rajeunir son équipe mais dans la continuité.Le chef de l’Etat ivoirien a procédé mardi 6 avril à la nomination de 37 ministres et de quatre secrétaires d’État, dont huit femmes. Pas de grands changements n’ont été notés par rapport au précédent gouvernement de 47 ministres. A part que Téné Birahima Ouattara, frère cadet du président Ouattara, occupe désormais le poste stratégique de ministre de la Défense. Au-delà, aucun ministre n’est âgé de plus de 68 ans dans le nouveau gouvernement.

Confirmé au poste de Premier ministre après le décès de Hamed Bakayoko, Patrick Achi, 65 ans, est suivi dans l’ordre protocolaire par Kandia Camara, nommée ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora. Proche de Ouattara et figure du parti au pouvoir, le RHDP, vainqueur des dernières élections législatives de mars, elle était jusque-là ministre de l’Education nationale.

Réagissant à ce « grand honneur pour moi et en même temps une grande fierté », Mme Camara dit dédier cette « nomination aux femmes de Côte d’Ivoire ». Selon elle, c’est la première fois dans l’histoire de la Côte d’Ivoire qu’une femme est nommée à ce poste.

Le numéro trois du gouvernement, Téné Birahima Ouattara, est confirmé à la Défense dont il dirigeait l’intérim depuis le décès, le 10 mars dernier, du Premier ministre Hamed Bakayoko.

Le général Vagondo Diomandé conserve aussi son poste de ministre de l’Intérieur et de la Sécurité là où Kobenan Kouassi Adjoumani est promu ministre d’Etat en charge de l’Agriculture et du Développement rural.

Par ailleurs, 13 nouveaux ministres effectuent leur entrée contre 18 sortants. Il s’agit entre autres, pour les nouvelles têtes, d’Amadou Coulibaly, patron des services de renseignement extérieurs, nommé ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement. Pierre Dimba, ancien directeur général de l’Ageroute, est le nouveau ministre de la Santé là où Thomas Camara, ancien Directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR), est devenu ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie.

Parmi les sortants, on retrouve Ally Coulibaly, ex-ministre des Affaires étrangères, Sidiki Konaté, qui occupait l’Artisanat, ou encore Eugène Aka Aouélé, qui avait en charge la Santé. Ce dernier est nommé à la tête du Conseil économique et social.

En revanche, le nouveau gouvernement n’est pas élargi à l’opposition malgré le vent de décrispation notée ces derniers mois dans la vie sociopolitique du pays.

Celle-ci reste marquée par une présidentielle très tendue tenue en octobre dernier et des législatives un peu plus calmes en mars, mais aussi par le récent acquittement de l’ex-président Laurent Gbagbo par la Cour pénale internationale (CPI). L’organisation du retour de celui-ci dans son pays est d’ailleurs l’une des missions prioritaires du nouveau gouvernement.

Énergie, économie et société au menu de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus mercredi à APA traitent d’une diversité de sujets dominés par les négociations du pays pour universaliser l’accès à l’électricité en 2025.Walf Quotidien et Le Soleil titrent sur le financement du programme « accès universel à l’électricité d’ici 2025 ». Selon le premier journal, « les bailleurs traînent les pieds ». Mais pour le quotidien national, les « partenaires promettent déjà plus de 437 milliards de FCFA au Sénégal ».

L’AS note pour sa part que le pays est « branché avec 175 milliards » des bailleurs de fonds dans son objectif d’intégration intégrale à l’horizon 2025.

Sur la gouvernance foncière, EnQuête souligne que le Sénégal est une « terre de conflits ». Le ministère de l’Intérieur « a répertorié 300 conflits fonciers dans le pays ». Mais « le problème c’est surtout le foncier agricole », selon un agent du ministère des Finances, cité par le journal.

Dans Vox Populi, « le Forum civil esquisse la machine de guerre » pour un parquet national financier contre la grande délinquance économique et financière.

Sud Quotidien passe « à la loupe l’emploi fast-track » du président Macky Sall. Le chef de l’Etat a annoncé lors de son dernier discours à la nation un programme d’urgence pour l’emploi et l’insertion socio-économique des jeunes.

A propos du micmac autour de l’or sénégalais, Libération informe que le mandat d’arrêt décerné contre le PDG de Teranga Gold est annulé. Selon le journal, la Chambre d’accusation « a cassé l’ordonnance du doyen des juges ».

En société, Le Quotidien note que l’Onu se penche sur le génocide rwandais ce mercredi, « à la mémoire des martyrs ».

L’AS renseigne que « les Etats-Unis reviennent à la charge » pour la reconnaissance des droits des homosexuels par le Sénégal. Mais Mamadou Salif Sow, un des responsables du ministère de la Justice, rappelle que « le président a dit que tant qu’il est à la tête du pays, il ne va pas accepter cette situation ».

En sport, Stades et Record titrent sur l’affiche de Ligue des champions de ce soir Bayern / PSG. Face au « rêve de revanche » de Paris à Munich évoqué par Record, Stades répond que ce sera « à hauts risques ».

Sur l’équipe nationale, Yaya Baldé, membre du Comité exécutif de la fédération de football, affirme dans Stades avoir « demandé le limogeage d’Aliou Cissé ». Pour lui, « il faut qu’il respecte les Sénégalais » et que « c’est au président Me Senghor de le recadrer ».

En lutte avec frappe, Vox Populi note que « le Jakaarlo (face à face) Ama Baldé-Modou Lo (est) gâché par la violence » entre les supporters des deux lutteurs qui vont se croiser en mai prochain.

Énergie, économie et société au menu de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus mercredi à APA traitent d’une diversité de sujets dominés par les négociations du pays pour universaliser l’accès à l’électricité en 2025.Walf Quotidien et Le Soleil titrent sur le financement du programme « accès universel à l’électricité d’ici 2025 ». Selon le premier journal, « les bailleurs traînent les pieds ». Mais pour le quotidien national, les « partenaires promettent déjà plus de 437 milliards de FCFA au Sénégal ».

L’AS note pour sa part que le pays est « branché avec 175 milliards » des bailleurs de fonds dans son objectif d’intégration intégrale à l’horizon 2025.

Sur la gouvernance foncière, EnQuête souligne que le Sénégal est une « terre de conflits ». Le ministère de l’Intérieur « a répertorié 300 conflits fonciers dans le pays ». Mais « le problème c’est surtout le foncier agricole », selon un agent du ministère des Finances, cité par le journal.

Dans Vox Populi, « le Forum civil esquisse la machine de guerre » pour un parquet national financier contre la grande délinquance économique et financière.

Sud Quotidien passe « à la loupe l’emploi fast-track » du président Macky Sall. Le chef de l’Etat a annoncé lors de son dernier discours à la nation un programme d’urgence pour l’emploi et l’insertion socio-économique des jeunes.

A propos du micmac autour de l’or sénégalais, Libération informe que le mandat d’arrêt décerné contre le PDG de Teranga Gold est annulé. Selon le journal, la Chambre d’accusation « a cassé l’ordonnance du doyen des juges ».

En société, Le Quotidien note que l’Onu se penche sur le génocide rwandais ce mercredi, « à la mémoire des martyrs ».

L’AS renseigne que « les Etats-Unis reviennent à la charge » pour la reconnaissance des droits des homosexuels par le Sénégal. Mais Mamadou Salif Sow, un des responsables du ministère de la Justice, rappelle que « le président a dit que tant qu’il est à la tête du pays, il ne va pas accepter cette situation ».

En sport, Stades et Record titrent sur l’affiche de Ligue des champions de ce soir Bayern / PSG. Face au « rêve de revanche » de Paris à Munich évoqué par Record, Stades répond que ce sera « à hauts risques ».

Sur l’équipe nationale, Yaya Baldé, membre du Comité exécutif de la fédération de football, affirme dans Stades avoir « demandé le limogeage d’Aliou Cissé ». Pour lui, « il faut qu’il respecte les Sénégalais » et que « c’est au président Me Senghor de le recadrer ».

En lutte avec frappe, Vox Populi note que « le Jakaarlo (face à face) Ama Baldé-Modou Lo (est) gâché par la violence » entre les supporters des deux lutteurs qui vont se croiser en mai prochain.

Un accord pour développer les compétences de 20 000 agriculteurs ivoiriens

Le programme des Ponts du Commerce Arabo Africains (AATB) a conclu à Rabat au Maroc, un partenariat avec OCP Africa pour développer les compétences de 20 mille agriculteurs ivoiriens à travers son programme dénommé « Agribooster » .AATB est un  programme multi-organisations dirigé par la Société Internationale Islamique de Financement du Commerce (ITFC).

Selon une note d’information transmise mardi à APA, cet accord qui bénéficiera à 20 000 agriculteurs ivoiriens, a pour objectif de soutenir les riziculteurs ivoiriens et améliorer les chaînes de valeur agricoles dans le pays. 

« La subvention de l’ITFC pour le programme OCP Africa Agribooster en Côte d’Ivoire a pour objectif de minimiser l’impact économique de la Covid-19 en maintenant les chaînes d’approvisionnement alimentaire mondiales mais aussi en améliorant les chaînes de valeur agricoles du pays surtout pendant les circonstances difficiles », a indiqué Hani Salem Sonbol, le directeur général de l’ITFC.

De son côté,  Dr Mohamed Anouar Jamali, le directeur général d’OCP Africa a soutenu que « le programme Agribooster est un bon exemple d’initiative destiné à supporter les systèmes alimentaires africains à devenir plus résilients ».

Le programme Agribooster d’OCP Africa est consacré au développement durable de l’agriculture. Il permet une formation approfondie aux bonnes pratiques agricoles et un suivi régulier tout au long de l’année.

A l’échelle du continent africain, a conclu la note, ce programme a touché plus de 630 000 petits exploitants agricoles dans quatre pays (Ghana, Sénégal, Nigéria et Côte d’Ivoire), avec une augmentation de leur rendement allant jusqu’à 40 % pour les principaux exploitants.

L’AATB est un programme multi-donateurs, multi-pays et multi-organisations, qui vise à promouvoir et à accroître le commerce et l’investissement entre les pays africains et arabes. Quant à OCP Africa qui est une filiale du groupe OCP, elle a pour mission de contribuer au développement d’écosystèmes agricoles intégrés en Afrique.

Un accord pour développer les compétences de 20 000 agriculteurs ivoiriens

Le programme des Ponts du Commerce Arabo Africains (AATB) a conclu à Rabat au Maroc, un partenariat avec OCP Africa pour développer les compétences de 20 mille agriculteurs ivoiriens à travers son programme dénommé « Agribooster » .AATB est un  programme multi-organisations dirigé par la Société Internationale Islamique de Financement du Commerce (ITFC).

Selon une note d’information transmise mardi à APA, cet accord qui bénéficiera à 20 000 agriculteurs ivoiriens, a pour objectif de soutenir les riziculteurs ivoiriens et améliorer les chaînes de valeur agricoles dans le pays. 

« La subvention de l’ITFC pour le programme OCP Africa Agribooster en Côte d’Ivoire a pour objectif de minimiser l’impact économique de la Covid-19 en maintenant les chaînes d’approvisionnement alimentaire mondiales mais aussi en améliorant les chaînes de valeur agricoles du pays surtout pendant les circonstances difficiles », a indiqué Hani Salem Sonbol, le directeur général de l’ITFC.

De son côté,  Dr Mohamed Anouar Jamali, le directeur général d’OCP Africa a soutenu que « le programme Agribooster est un bon exemple d’initiative destiné à supporter les systèmes alimentaires africains à devenir plus résilients ».

Le programme Agribooster d’OCP Africa est consacré au développement durable de l’agriculture. Il permet une formation approfondie aux bonnes pratiques agricoles et un suivi régulier tout au long de l’année.

A l’échelle du continent africain, a conclu la note, ce programme a touché plus de 630 000 petits exploitants agricoles dans quatre pays (Ghana, Sénégal, Nigéria et Côte d’Ivoire), avec une augmentation de leur rendement allant jusqu’à 40 % pour les principaux exploitants.

L’AATB est un programme multi-donateurs, multi-pays et multi-organisations, qui vise à promouvoir et à accroître le commerce et l’investissement entre les pays africains et arabes. Quant à OCP Africa qui est une filiale du groupe OCP, elle a pour mission de contribuer au développement d’écosystèmes agricoles intégrés en Afrique.