Maroc/Covid-19: L’état d’urgence sanitaire prolongé jusqu’au 31 octobre prochain

Le Conseil de gouvernement, réuni lundi à Rabat, a décidé de prolonger l’état d’urgence sanitaire sur l’ensemble du territoire national jusqu’au 31 octobre 2021.Cette mesure s’inscrit dans le cadre des efforts de lutte contre la propagation de la pandémie du nouveau coronavirus (Covid-19).

Aujourd’hui, le Royaume a recensé 2.996 nouvelles infections en 24 heures, pour un total de 813.945 cas confirmés à la Covid-19, dont 11.889 décès (+97) et 730.669 personnes guéries (+6.124).

Côte d’Ivoire: Sidibé Yacouba désigné président de l’UPCI

Le directoire politique de l’Union pour la Côte d’Ivoire (UPCI) a désigné M. Sidibé Yacouba, précédemment président d’honneur de cette formation politique proche du pouvoir, en qualité de président exécutif.

« Après l’aval du directoire politique, M. Sidibé Yacouba, précédemment président d’honneur a été désigné à l’unanimité président exécutif », indique, lundi, une note rapportant la décision de cette instance du parti. 

Par conséquent, ajoute le texte, Dr Brou Anicet, le président exécutif, assurera désormais la présidence d’honneur de l’UPCI, mentionne la note du directoire politique, signée par son secrétaire général Fadiga Mamadou. 

Le directoire politique « note avec une légitime fierté la nomination de son président en exécutif le Dr Brou Anicet, en qualité de diplomate ministre plénipotentiaire », souligne cette décision. 

Ce réaménagement intervient à la suite d’une réunion du directoire politique de l’Union pour la Côte d’Ivoire (UPCI) qui s’est tenue au siège du parti le 21 août 2021, autour de l’ordre du jour: le réaménagement de la présidence du parti.

« Le directoire politique exprime toute sa gratitude au président de la République, Monsieur Alassane Ouattara pour sa constante sollicitude à l’égard des cadres de notre parti » poursuit le texte. 

Le directoire politique explique « avoir acté la nomination de Dr Brou, considérant l’incompatibilité des fonctions politiques avec le statut de diplomate et sur proposition conjointe de ce dernier et du secrétaire général Fadiga Mamadou ». 

L’UPCI « réaffirme son appartenance entière au RHDP, également aux idéaux et valeurs incarnées par notre leader charismatique de M. Alassane Ouattara », déclare le parti qui se dit « solidement ancré au sein du RHDP (pouvoir) ». 

27e Congrès UPU: la stratégie d’Abidjan est de «haut niveau» (Bishar)

Le directeur général du Bureau international de l’Union postale universelle (UPU), Bishar Hussein, s’est félicité lundi de la stratégie postale d’Abidjan, en cours d’approbation, assurant qu’elle est de « haut niveau », lors d’une conférence de presse.

La stratégie postale d’Abidjan pour les cinq ans à venir est « une stratégie de haut niveau », a déclaré lundi le directeur général sortant du Bureau international de l’UPU, Bishar Hussein, face à la presse, en marge du 27e Congrès de l’UPU qui se déroule du 9 au 27 août à Abidjan.

Chaque pays, dira-t-il, doit regarder cette stratégie d’Abidjan pour pouvoir l’adapter à ses réalités et c’est du ressort du gouvernement de s’assurer que la Poste locale développe les services de l’Union et dispose de ressources financières nécessaires pour implémenter ce qui a été décidé.  

Les gouvernements sont signataires du traité de l’UPU et « le principe fondamental des services de l’Union sont portés par les Etats et c’est à eux de les implémenter », a expliqué M. Bishar Hussein, ajoutant que  l’UPU développe des plans stratégiques chaque 5 ans.

L’édition 2021 du congrès de l’UPU met le focus sur la digitalisation des services postaux ainsi que le développement de services financiers et logistiques. Cela devrait permettre au secteur d’être performant et d’étendre les offres dans les zones rurales.  

Faisant un bref bilan de ses deux mandats, M. Bishar a indiqué que son équipe a « refait les réformes structurelles de l’Union », en créant « l’équilibre du genre et une balance au niveau des membres du Conseil » de l’organisation onusienne.  

« Nous avions un déséquilibre au niveau des membres du Conseil. Les pays développés étaient plus représentés, et nous avons en 2018 rectifié 44 ans de déséquilibres, et pour la première fois nous avons ajouté huit pays en voie de développement » dont quatre issus de l’Afrique, a-t-il fait savoir.

Les membres du Conseil de l’UPU vont pour la première fois participer à une élection en deux jours dans l’optique du renouvellement des instances dirigeantes de l’organisation, a poursuivi le directeur général sortant.  

Avec la pandémie de Covid-19, les travaux se sont déroulés de façon hybride avec des participants à distance et d’autres en présentiel. Selon le directeur général de l’UPU, le congrès « était supposé avoir une partie de ce congrès à Genève, en Suisse », mais la Côte d’Ivoire s’est opposée.

« Le directeur général de la Poste de Côte d’Ivoire a dit non, on ne peut pas séparer le congrès, il doit avoir lieu ici en Côte d’Ivoire », lors des deux premières journées du congrès, au cours d’un grand débat, mais finalement il a été admis que le congrès se tienne entièrement à Abidjan.  

M. Bishar s’est dit « très content de cette expérience acquise depuis ces 9 ans » à la tête de l’UPU, estimant avoir fait de son mieux en donnant une « visibilité » à l’UPU qui est à son plus haut niveau, avant de faire la passe à une autre génération.

Elu le 10 octobre 2012 lors du 25e Congrès postal universel de Doha (Qatar, le Kenyan Bishar Hussein a été réélu pour un nouveau mandat à l’occasion du 26e Congrès de l’organisation en Istanbul (Turquie). L’Union postale universelle compte aujourd’hui 192 membres.   

Sénégal : la caution pour les élections territoriales connue

Le ministère de l’intérieur, dans un arrêté rendu public ce lundi, a fixé à 15 millions la caution pour participer aux prochaines élections municipales et départementales de 2022.Antoine Diome n’aura finalement accédé à aucune des propositions faites par la mouvance présidentielle et l’opposition. La première avait demandé à ce que la caution pour les Locales soit fixée à 20 millions, alors que la seconde plaidait pour 5 millions.

Faute de consensus entre les différents acteurs, le ministre de l’intérieur a donc fixé le montant à verser pour participer à ces joutes électorales à 15 millions de FCFA pour chaque type d’élection.  

Selon l’arrêté, cette somme est à verser à la Caisse de dépôts et consignations pour chaque type d’élection et par chaque liste quel que soit le nombre de départements ou de communes où la liste de candidats se présente.  

Cette caution est déposée par le mandataire au nom d’un parti politique légalement constitué, d’une coalition de partis politiques légalement constitués ou d’une entité regroupant des personnes indépendantes, précise le document.

Côte d’Ivoire: décès du pilier du Pdci à Bouaké

Le coordonnateur du Grand Conseil régional du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, opposition) de Gbêkê 1 et délégué communal de Bouaké (centre ivoirien), Lambert N’Guessan Kouamé, est décédé lundi des suites d’une longue maladie, a-t-on appris auprès du parti.

« C’était pratiquement le seul bon financier que le Pdci a dans la Région du Gbêkê », a confié une source interne au parti qui avoue que « le Pdci perd gros », voire la commune de Bouaké, la métropole du centre ivoirien.

M. Lambert N’Guessan était en outre celui-là qui animait véritablement les sections de l’ex-parti unique dans la Région du Gbêkê, qui aujourd’hui est en perte de vitesse, au profit du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp, pouvoir).  

Candidat pour le compte du Pdci aux dernières élections législatives, notamment dans la circonscription de Bouaké commune, Lambert Kouamé N’Guessan, a perdu ces joutes électorales. Selon son entourage, il souffrait depuis longtemps d’un mal de pied.

Tchad : les raisons d’un « redéploiement stratégique » au Sahel

Le Tchad rapatrie 600 de ses 1200 soldats positionnés dans la « zone des trois frontières » entre le Mali, le Niger et le Burkina Faso.N’Djaména justifie cette décision annoncée samedi, par un « redéploiement stratégique » pour mieux s’adapter à l’organisation des groupes terroristes. Toutefois, la concomitance de cette décision avec l’attaque meurtrière survenue le même jour au Niger, causant une dizaine de morts chez des civils, peut surprendre. En l’espace d’une semaine, la bande des trois frontières a subi deux attaques sanglantes qui ont fait une cinquantaine de morts.

Face à l’insécurité qui y régnait, 1200 soldats tchadiens occupaient le terrain depuis février dans le cadre de la force antijihadiste du G5 Sahel. Une mesure qui avait pour but d’endiguer les nombreuses attaques terroristes perpétrées par des groupes affiliés à Al-Qaïda ou à l’Etat Islamique du Grand Sahara (EIGS).

Selon Abderaman Koulamallah, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement tchadien, son pays avait un « surplus » de soldats dans le dispositif des bataillons sur place. Il a souligné que cette décision a été prise en accord avec le commandement du G5 Sahel. « Par rapport à la situation sur le terrain, il faut avoir une force mobile d’où le retrait de certaines de nos forces avec les armes lourdes », a indiqué le porte-parole du gouvernement.

La menace Boko Haram et FACT

Cependant, cette décision du Tchad, peut aussi trouver son fondement sur les menaces sécuritaires qui pèsent sur le pays. La récente attaque de Boko Haram dans la région du Lac Tchad a déjà causé la mort de 26 militaires tchadiens.

Cet État d’Afrique centrale, sans accès à la mer, doit en plus faire face aux attaques incessantes du Front de l’Alternance et de la Concorde (FACT) à partir du front nord de la Libye. C’est d’ailleurs lors des violents combats contre cette rébellion du FACT, que le président tchadien Idriss Deby Itno, fraîchement réélu pour un sixième mandat à la présidentielle, avait succombé de ses blessures, le 20 avril dernier.

Face à ces menaces, le cinquième pays le plus vaste du continent entend renforcer sa sécurité intérieure, surtout à l’approche de la Conférence nationale inclusive de décembre prochain. Une rencontre qui doit impliquer tous les mouvements politico-militaires tchadiens basés en Libye, au Soudan et dans les zones frontalières. La junte dirigée par Mahamat Idriss Deby, fils du défunt président, a appelé le 10 août dernier, ces « groupes armés » tchadiens à un « dialogue national inclusif » afin de créer une « impulsion collective et une dynamique de l’unité nationale et du vivre-ensemble ».

Gbagbo révèle n’avoir « jamais autant prié qu’en prison »

À un culte, dans une église évangélique dimanche à Abidjan, Laurent Gbagbo a révélé n’avoir « jamais autant prié qu’en prison », en allusion à son séjour carcéral à La Haye.

« Je n’ai jamais autant prié qu’en prison  (…) Je ne sais pas combien de fois j’ai lu la bible de la Genèse à l’Apocalypse », a déclaré M. Laurent Gbagbo, lors d’un culte à l’église évangélique Centre chrétien de Transformation, à Marcory, dans le Sud d’Abidjan.

L’ancien président ivoirien a dit être venu dire « merci » à la révérende Jeanne Monney qui est venue plusieurs fois à La Haye et à Bruxelles pour le saluer, alors qu’ il faisant encore face aux accusations de la Cour pénale internationale (CPI).

« Elle est venue me réconforter, me soutenir », a ajouté M. Gbagbo, faisant savoir qu’ il a une fois déjeuné avec son époux,  George Monney, et la révérende à Bruxelles. Pour ce faire, il a décerné à cette femme de Dieu son « amitié éternelle ».

Pendant son séjour carcéral, M. Laurent Gbagbo a confié avoir reçu la visite de trois évangéliques dont la révérende Jeanne 6 et deux prélats de l’église catholique. Pour les autres visiteurs, il n’a pas voulu dévoiler leur identité.

Après dix ans hors du pays, il a relevé qu’ il y a des personnes qui ne l’ont pas abandonné. M. Gbagbo s’est en outre réjoui de la thématique de sa prêche qui portait sur la réconciliation, un message qu’il souhaité qui soit entendu par tout le monde.

« Certains ne comprennent pas ce que c’est que la réconciliation », a-t-il laissé entendre, sans épiloguer sur la question. Certainement, le cadre n’étant pas favorable pour tenir un discours empreint d’un ton politique.

Acquitté le 31 mars 2021, l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, est rentré à Abidjan le 17 juin 2021. Depuis son arrivée en Côte d’Ivoire, il a rencontré l’ancien président Henri Konan Bédié et le chef de l’Etat Alassane Ouattara dans une optique de réconciliation. 

La Francophonie porteuse d’une stratégie économique

Louise Mushikiwabo, la Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), présentera le 24 août à Paris (France) les grandes lignes d’un plan visant à renforcer les échanges et les coopérations entre acteurs économiques de l’espace francophone.L’économie n’est pas la vocation première de la Francophonie. Mais, souligne la Rwandaise Louise Mushikiwabo, « en tant que catalyseur et acteur aux côtés de (ses) partenaires », elle doit jouer un « rôle important » dans la dynamique économique des Etats membres.

C’est pourquoi la Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), indique un communiqué reçu lundi à APA, « a voulu une nouvelle Stratégie économique de la Francophonie (SEF) pour la période 2021-2025 ».

Ladite stratégie sera à l’honneur lors de La Rencontre des entrepreneurs francophones (LaREF 21) organisée par le Mouvement des entreprises de France (Medef) et élargie à une vingtaine d’associations patronales francophones (Algérie, Cameroun, RD Congo, Côte d’Ivoire, Djibouti, Gabon, Madagascar, Maroc, Maurice, G-5 Sahel patronal, Congo, Sénégal, Togo, Tunisie…).

Sur la route de Djerba

L’OIF va lancer, dans le cadre de LaREF 21, les Rencontres précédant son Forum économique prévu en marge du 18e Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement qui aura lieu du 20 au 21 novembre 2021 à Djerba, en Tunisie.

Avant ce rendez-vous, les discussions dans la capitale française ont pour ambition « d’ouvrir des horizons partagés au sein de l’espace francophone en temps de relance économique post-Covid et d’illustrer de manière concrète les opportunités offertes sur le terrain ».

A cet effet, les participants se poseront notamment ces questions : quelles nouvelles opportunités pour des échanges économiques et commerciaux diversifiés ?  Quelles solutions pour accompagner les entreprises en croissance ? Quelles réponses au défi du numérique pour une employabilité efficace ?

Sénégal : les inondations et le Plan Orsec à la Une

Les dégâts causés par les inondations et le déclenchement du Plan Orsec (organisation des secours), sont les sujets dominants des journaux sénégalais parvenus ce lundi à APA.« Revoilà Orsec » titre Sud Quotidien, qui revient sur la descente mouvementée, dimanche en banlieue, du ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome.

« Une visite sous haute tension » souligne L’AS, qui informe que « Keur Massar noie le Plan Orsec dans les inondations ».

Devant la gravité du problème, « L’Etat mobilise de gros moyens » en déclenchant le Plan Orsec national, informe Le Soleil. 120 motopompes et une cinquantaine d’hydro-cureurs mobilisés, ajoute le journal.

Le Quotidien évoque une « pompe à fric » dans la gestion des inondations. Abdoulaye Wade et son « plan Jaaxay » et Macky avec son « plan décennal », ont injecté plus de 1000 milliards sans résultats probants, renchérit le journal.

L’AS pour sa part, annonce que l’Etat mobilise 27,8 milliards sur fonds propre « pour arriver au bout des inondations ».

« Les cris déchirants de la banlieue » racontés dans L’Observateur. Le journal estime que certains quartiers de Keur Massar (département de Dakar) sont dans le désarroi. Les fortes pluies de ces derniers jours « ont failli emporter un nouveau-né de cinq mois » indique le journal.

Devant l’ampleur des dégâts, « la banlieue étale sa colère » souligne Libération. Des manifestants venus des communes de Lansar, Tivaouane Diacksao, et Diamaguène ont bloqué l’autoroute à péage », hier dimanche.

Vox Populi estime que la « colère des jeunes est toujours vive » dans la banlieue. Le journal relate les scènes de manifestations à Keur Massar et le blocage de l’autoroute à péage.

«La banlieue se révolte, le cortège du ministre de l’Intérieur bloqué » souligne Walf Quotidien, qui parle de « chaos et désordre » organisés dans les zones touchées.

Dans Vox Populi, Alioune Fall, ministre conseiller du Président de la République, tempère et soutient que les « inondations sont un problème mondial, à l’image de la Covid-19 ».

Des inondations à l’hivernage, on reste dans les eaux. EnQuête annonce que malgré les fortes pluies, une « panique » s’empare des paysans dans certaines régions du pays. « Avec des sols appauvris et sans engrais, les paysans redoutent des récoltes catastrophiques à Matam, Kaolack, et Diourbel ».

En politique, Walf Quotidien craint « une stratégie perdante pour l’opposition » en prévision des élections locales du 23 janvier 2022, en raison de nombreuses coalitions en gestation. Le journal note « plusieurs divergences » au sein de l’opposition qui « avantage les actuels gérants du pouvoir ».

En sport, Stades met en exergue les Lions du Beach Soccer, qualifiés en quart de finale de la Coupe du monde à Moscou (Russie). Le Sénégal s’est offert le Portugal, triple champion du monde (3-5) pour sa deuxième sortie. Une victoire que les Lions dédient à leur coéquipier Raoul Mendy, qui a perdu sa mère à la veille de la rencontre.

Six nouveaux décès de la Covid-19 en Côte d’Ivoire

Six nouveaux décès de la Covid-19 ont été enregistrés, dimanche, en Côte d’Ivoire où sévit la troisième vague de cette pandémie.

Dans un communiqué parvenu à APA, le ministère de la Santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle annonce avoir enregistré « ce dimanche 22 août 2021, 189 nouveaux cas de Covid-19 sur 4 601 échantillons prélevés soit 4,1 % de cas positifs, 224 guéris et 6 décès ».

A la date du 22 août 2021, la Côte d’Ivoire compte donc 53 645 cas confirmés dont 52 405 personnes guéries, 395 décès et 845 cas actifs. Le nombre total d’échantillons est de 864 834.

Le 21 août, 5 095 doses de vaccins contre la Covid-19 ont été administrées soit un total de 1 274 083 doses administrées.

« Le ministre de la Santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle invite toutes les personnes de plus de 18 ans à se faire vacciner dans les centres de vaccination », ajoute le texte, précisant que « la vaccination contre la Covid-19 est gratuite et volontaire ».