RDC: un Nobel de la paix pour l’assainissement des institutions nationales

Pour Dr Denis Mukwege, le temps est venu de rompre avec les politiques visant à accorder des promotions à ceux qui devraient répondre de leurs actes devant la justice.La récente nomination par ordonnance présidentielle d’un ancien chef rebelle du RCD-Goma, du M-23 et de l’Alliance pour la libération de l’est du Congo (ALEC), comme Coordonnateur du Programme de Désarmement, Démobilisation, Relèvement Communautaire et Stabilisation (P-DDRCS) ne passe pas auprès du lauréat du le prix Nobel de la paix 2018.

Dans une déclaration rendue publique ce mercredi, Dr Mukwege, gynécologue et militant des droits de l’homme kino-congolais a exprimé sa « circonspection » suite à cette promotion d’Emmanuel Tommy Tambwe Rudima à la tête du P-DDRCS.

« En gratifiant ainsi des criminels au lieu de les traduire en justice, cette stratégie de tireurs de ficelles tapis à Kinshasa (RDC), Kigali (Rwanda), Kampala (Ouganda) et Bujumbura (Burundi) encourage les groupes armés en brousses à attendre leur tour », a déploré le lauréat du prix Sakharov 2014.

Dr Mukwege est d’autant plus peiné que « cette situation favorise l’émergence d’un système légitimant la violence et la commission de crimes comme mode d’accès au pouvoir. (Et) elle entretient (par la même occasion) une spirale infernale de violences sans fin et hypothèque l’instauration d’une paix durable. »

Partant de là, il estime que pour avancer sur le chemin d’une paix durable, les dirigeants de son pays devraient retenir les erreurs du passé et rompre avec les politiques qui ont prolongé et aggravé la souffrance du peuple congolais et l’instabilité ayant occasionné des conséquences désastreuses sur la protection des civils.

Pour cela, il plaide pour l’adoption d’une stratégie nationale holistique de justice transitionnelle. Celle-ci devra prioriser, selon lui, des réformes institutionnelles visant à prévenir la non-répétition des atrocités commises sur les populations civiles, notamment par une réforme profonde des secteurs de la sécurité et de la justice.

« Le lien le plus manifeste entre la justice transitionnelle et la réforme des institutions consiste en la mise en place de procédures d’assainissement qui visent à l’identification et à la mise à l’écart des institutions publiques des personnes responsables de violations des droits humains et du droit international humanitaire ainsi qu’à la mise en place des mécanismes de vérification des antécédents en matière de droits humains de ceux qui aspirent à entrer dans les services publics », préconise-t-il.

Poursuivant, il souligne que dans le cadre de la genèse du processus de justice transitionnelle auquel aspire le peuple congolais, le gouvernement devrait par ailleurs entreprendre, sans tarder, des réformes institutionnelles pour garantir le respect de l’état de droit, favoriser une culture des droits humains et rétablir la confiance dans les institutions.

Pour le pasteur évangélique pentecôtiste, s’il existe une réelle volonté politique d’appliquer ses recommandations, le gouvernement du président Félix Tshisekedi pourra compter sur les femmes et hommes intègres sans antécédent de violations graves des droits humains dont dispose son pays.

« Le temps est venu d’exploiter pleinement les potentialités de ce capital humain épris de paix et de justice et de rompre avec les politiques visant à accorder des promotions à ceux qui devraient répondre de leurs actes devant la justice », conclut-il.

Le feu ravage plus de 2.500 dattiers dans le sud du Maroc

Des incendies ont ravagé, mardi, plusieurs hectares de palmiers de dattiers dans les communes de Taliouine et Toughza tagrsift dans la région de Zagoura au Sud du Maroc.«La canicule ambiante, les vents forts ainsi que l’état très sec des palmiers ont favorisé la propagation du feu en un temps record», confient des sources locales citées par la chaine de télévision marocaine 2M.ma.

L’incendie a détruit plus de 2.500 des palmiers de la région, ajoute-t-on. Outre la forte vitesse du vent et la présence d’arbres et de palmiers secs qui ont contribué à la propagation rapide de l’incendie, les éléments de la protection civile ont été confrontés à des difficultés dans le processus d’intervention en raison de l’absence de routes qui mènent aux champs incendiés. 

Une enquête a été ouverte pour élucider les circonstances et les causes de l’incendie. Une équipe spéciale a également été dépêchée sur place au cas où un nouvel incendie se déclencherait.

La province de Zagora est connue pour la qualité et la diversité de sa production de dattes. Selon les chiffres de l’Office régional de mise en valeur agricole (ORMVA) de Ouarzazate, la production de dattes pour la saison agricole 2019-2020 dans la province de Zagora est estimée à plus de 63 000 tonnes.

Le nombre de palmiers que compte la province est estimé à 600 000, dont 200.000 palmiers dattiers, répartis sur plusieurs oasis, notamment Agdez, Mezguita, Tanzouline, Mhamid, bassin de Maider, Fezouta et Ternata.

Afrique de l’Est: Bolloré s’engage pour le développement durable

Bolloré Transport & Logistics et la société de services en chaîne logistique Czarnikow concourent au développement durable en Afrique de l’Est, à travers le programme Vive.Ledit programme est conçu pour créer des chaînes d’approvisionnement entièrement durables, dans lesquelles tous les acteurs s’engagent à s’améliorer durablement. Bolloré Transport & Logistics renforce grâce à sa participation au programme Vive son empreinte d’acteur d’un commerce entièrement durable.

Dans un communiqué, Will Rook, responsable du programme Vive, déclare : « Le programme VIVE s’engage à aider ses participants à atteindre leurs objectifs de durabilité grâce à une vérification par un tiers et à des plans d’amélioration sur mesure. Nous sommes fiers de soutenir Bolloré Transport & Logistics par le biais de notre module de chaîne de contrôle, développé pour assurer la transparence des marchandises circulant dans la chaîne logistique. »

Dans le cadre de ce programme de développement durable basé sur l’amélioration continue et piloté par Czarnikow et Intellync, Bolloré Transport & Logistics en Afrique de l’Est va bénéficier d’un audit de durabilité et d’un plan d’amélioration sur trois ans. Les filiales kényane et tanzanienne de Bolloré Transport & Logistics prendront part à cette initiative.

Le programme Vive que rejoint l’entreprise va renforcer la stratégie de développement durable de l’entreprise. En 2018, la division logistique de Bolloré Transport & Logistics a lancé sa stratégie RSE « Powering Sustainable Logistics » pour répondre aux enjeux ESG de ses activités.

Cette stratégie reconnue par les agences de notation extra-financière a permis à l’entreprise d’intégrer des mesures d’amélioration de l’efficacité énergétique, de développement des alternatives à faible émission de carbone, et de mobiliser les parties prenantes de l’entreprise.

Jason Reynard, CEO de Bolloré Transport & Logistics, région Afrique de l’Est, soutient : « En tant qu’entreprise, Bolloré Transport & Logistics s’efforce d’améliorer en permanence ses opérations afin de répondre aux préoccupations actuelles et futures de nos clients et de nos parties prenantes, ainsi qu’aux problématiques générales qui émergent dans notre secteur. »

Elections générales : la Zambie sous haute tension

Le climat est tendu en Zambie, pays enclavé d’Afrique australe, à quelques heures des élections générales.Les Zambiens se rendent aux urnes, demain jeudi, pour élire un président, des membres de l’assemblée nationale et des conseillers municipaux. L’issue du scrutin s’annonce indécise entre les deux candidats et laisse présager des risques de troubles politiques.

A cet effet, le Secrétaire général du Gouvernement, Simon Miti a annoncé une batterie de mesures pour garantir la tenue du scrutin du jeudi 12 août 2021, dans des conditions pacifiques. « La sécurité a été renforcée dans certains points chauds identifiés, en particulier là où des violences ont été enregistrées », a-t-il déclaré

En effet, le candidat sortant Edgar Lungu avait mis le feu aux poudres en pleine campagne électorale en attaquant frontalement son adversaire. « Quand je serai réélu, je l’enverrai en prison », avait-il lancé à l’endroit de Hakainde Hichilema, son rival historique.

Seize candidats sont en lice pour cette présidentielle, mais deux se détachent nettement pour la victoire finale. Il s’agit d’Edgar Lungu, président sortant et candidat du Front patriotique du au pouvoir depuis 2014 et le chef de file de l’opposition, Hakainde Hichilema à la tête du Parti uni pour le développement national (UPND).

En 2015, Lungu avait gagné de justesse le scrutin face à Hichilema. Mais son quinquennat a été marqué notamment par l’inflation et un taux de chômage élevé.

Son adversaire estime qu’il a plongé le pays dans le gouffre avec des projets d’infrastructures coûteux menant ce pays riche en cuivre, vers un premier défaut de paiement de sa dette en Afrique.

La campagne électorale a été marquée par de violents affrontements entre les deux camps dans la capitale Lusaka et dans plusieurs provinces du Nord, du Sud et de Muchinga.

Cette situation d’instabilité avait poussé le président Lungu à déployer l’armée dans les zones touchées au début du mois d’août. Et pour permettre aux électeurs de voter dans le calme, les autorités zambiennes ont déclaré les 12 et 13 août jours fériés.

Le Rwanda, pays hôte de la prochaine conférence eLearning Africa

Le Centre des congrès de Kigali va accueillir, du 11 au 13 mai 2022, la plus grande conférence et exposition d’Afrique consacrée à l’apprentissage assisté par les technologies.Durant trois jours, des responsables politiques, des investisseurs et des experts en matière d’éducation et de technologies participeront aux débats dans la capitale rwandaise.  Rebecca Stromeyer, fondatrice et PDG d’eLearning Africa, a déclaré, dans un communiqué reçu mercredi à APA, que son ambition est que la conférence contribue à « un nouvel objectif pour l’enseignement » en favorisant des discussions approfondies sur « le monde d’après-Covid ».

Puisque « la pandémie a entraîné de nombreux changements dont certains seront permanents », elle a affirmé que l’accent doit à présent être mis sur « l’adaptabilité, la résilience et la durabilité dans le secteur de l’éducation ».

De l’avis de Rebecca Stromeyer, « un agenda africain est nécessaire, pas seulement pour l’Afrique, mais parce que le monde a tant à apprendre (d’elle) ». À cet effet, a-t-elle ajouté, « l’expérience africaine et les traditions du continent, telles que la philosophie   » Ubuntu « , reviendront au goût du jour. De même, les conceptions africaines de communauté et de partenariat avec la nature porteront l’Afrique au firmament, et la feront de plus en plus reconnaître comme un haut lieu du savoir, de l’expérience et de l’éducation dans le monde ».

La conférence eLearning Africa 2022 sera organisée sur le thème « Un Nouvel Objectif pour l’Enseignement » décliné en plusieurs thématiques : les défis auxquels feront face les pays africains à l’issue de la pandémie, l’adéquation des modèles internationaux au contexte africain, la réorientation du secteur éducatif en vue de répondre aux besoins futurs des pays africains, l’usage des technologies par les pays africains pour répondre aux besoins spécifiques, la mise en place d’un marché unique africain, ainsi que des opportunités et des exigences des employeurs y afférentes et la contribution de l’Afrique à l’apprentissage et à la résolution de problèmes à l’échelle mondiale.

Outre les sessions plénières, les séminaires, les ateliers…, une exposition majeure mettra en valeur certaines des dernières technologies et solutions pour l’éducation.

Le ministre israélien des AE entame ce mercredi une visite officielle au Maroc

Le ministre israélien des Affaires étrangères, Yair Lapid, va entamer ce mercredi une visite de deux jours au Maroc, la première du genre depuis la reprise des relations diplomatiques entre les deux pays.Le diplomate israélien sera accompagné de plusieurs responsables de son pays, représentant notamment dans les secteurs du tourisme, de l’emploi et de la santé.

Lors de cette visite, le ministre israélien s’entretiendra avec son homologue marocain, Nasser Bourita. Cette rencontre sera marquée par la signature de trois conventions en vue de renforcer les liens entre les deux pays, qui ont repris leurs relations diplomatiques le 10 décembre dernier.

Par la suite, le ministre israélien procédera à l’inauguration du nouveau bureau de liaison de l’Etat hébreu au Maroc.

Au programme également de la délégation israélienne, une rencontre des responsables israéliens avec la ministre marocaine du Tourisme, de l’artisanat et de l’aérien, Nadia Fettah Alaoui, ainsi qu’avec quelques responsables du ministère de la Santé, pour échanger autour de la pandémie et ses répercussions sur les différents secteurs.

Le deuxième jour de la visite de la délégation israélienne sera aussi marqué par une prière dans une synagogue casablancaise, ainsi que par une conférence de presse qui sera organisée dans un hôtel de la métropole.

Cette visite se veut une occasion pour renforcer les relations entre les deux pays. Pour rappel, la communauté juive du Maroc est la plus importante d’Afrique du Nord avec environ 3.000 personnes et que les quelque 700.000 Israéliens d’ascendance marocaine ont gardé des liens très forts avec leur pays d’origine.

Climat au Kenya : Greenpeace Africa plaide pour un système d’alerte précoce

La branche africaine de l’organisation militant pour la protection de l’environnement estime que l’approche proactive pourrait atténuer les effets du réchauffement climatique sur l’agriculture kényane.Année après année, le Kenya subit de « récurrentes périodes de sécheresse et d’inondations », a souligné, dans un communiqué reçu mercredi à APA, Claire Nasike, chargée de campagne à Greenpeace Africa.

Selon des organisations humanitaires, 1,4 million de Kenyans ont besoin d’une aide alimentaire à cause de ces phénomènes climatiques extrêmes. En Afrique, ces faits naturels seront de plus en plus « imprévisibles et intenses » dans les décennies à venir, a averti Greenpeace Africa. 

Au Kenya, l’anticipation des risques imminents devraient protéger les petits agriculteurs qui produisent 80 % de la nourriture consommée dans le pays. Pour Greenpeace Africa, le gouvernement gagnerait à construire des infrastructures comme les barrages. Objectif : constituer des réserves en eau qui permettront aux communautés de survivre aux sécheresses.

Celles-ci dévastent le bétail kenyan d’où la nécessité pour l’organisation environnementale d’indemniser les éleveurs affectés. Si Greenpeace Africa a loué la politique nationale d’assurance agricole en vigueur au Kenya, elle a également appelé l’Etat à supprimer son plafonnement et à augmenter les sommes versées parce que censées « couvrir les pertes subies ».

Ethiopie : fin du « cessez-le-feu unilatéral » au Tigré

L’Ethiopie a annoncé mardi la fin d’un « cessez-le-feu humanitaire unilatéral », au moment où les rebelles du Front populaire de libération du Tigré (TPLF) intensifient les combats dans les régions d’Amhara et d’Afar.Ce revirement des autorités s’explique par le fait que gouvernement éthiopien fait face à la forte pression de l’opinion publique parce que le TPLF est accusé d’avoir tué des centaines de civils, dont des enfants et des femmes, dans ces deux régions.

Dans ce qui semble être une réponse à l’opinion publique, le bureau du Premier ministre Abiy Ahmed a annoncé que le cessez-le-feu était terminé et que l’armée avait reçu l’ordre de lancer une contre-offensive contre le TPLF dans les régions troublées.

« Nos forces de défense, nos forces spéciales régionales et nos milices ont reçu l’ordre de mettre fin une fois pour toutes aux destructions causées par l’organisation traître et terroriste du TPLF et aux machinations de mains étrangères. Le moment est venu pour tous les Ethiopiens capables et en âge de le faire, de rejoindre les forces de défense, les forces spéciales et les milices et de montrer leur patriotisme », a déclaré le bureau du Premier ministre Abiy dans un communiqué.

Le gouvernement avait déclaré un cessez-le-feu unilatéral le 28 juin après avoir pris le contrôle de Mekele, capitale du Tigré, au terme de trois semaines de combats contre les forces du TPLF.

Mais les rebelles du TPLF n’ont jamais déposé les armes. Ils avaient posé plusieurs conditions dont le retrait des troupes érythréennes pour faire taire les armes.

« Il est bien connu que le peuple éthiopien, bien conscient des problèmes au sein du groupe terroriste TPLF, lui a donné de nombreuses opportunités et 27 ans pour s’auto-réformer. Cependant, le groupe terroriste, qui a été conçu dans la conspiration et nourri dans la destruction, est devenu de plus en plus nuisible au lieu de chercher à s’auto-corriger », a ajouté une source du cabinet du Premier ministre.

Sénégal : Covid-19 et les nouveaux khalifes de Layènes et Thiénaba à la Une

Les quotidiens sénégalais, parvenus mercredi à APA, mettent en exergue le nouveau record de décès de la pandémie du coronavirus au Sénégal et l’intronisations des nouveaux khalifes des Layènes et Thiénaba.La Covid-19 accélère sa cadence au Sénégal avec un « nouveau record de 31 décès » titre Vox Populi. Le journal fait état de 351 morts rien que pour le mois de juillet.

Face aux risques d’un nouveau drame sanitaire, « un médecin urgentiste écrit à Macky Sall et lui donne des raisons de confiner Dakar pour quinze jours » souligne L’Observateur. Docteur Cheikh Oumar Koné estime que c’est le seul moyen d’arrêter « cette vague de trop ».

L’AS informe que les patients souffrant de cancer et drépanocytose sont désormais invités à se faire vacciner.

Lendemain de rappel à Dieu de Baye Alassane Thiaw et Serigne Abourahim Seck, « Yoff et Thiénaba pleurent leurs khalifes » informe Le Témoin.

Walf Quotidien nous présente le profil des nouveaux khalifes. Le nouvel homme fort de Yoff, affectueusement appelé « Doudou » est présenté comme « intellectuel ingénieur et informatique qui a fait ses études en France ». S’agissant du Khalife de Thiénaba, le journal le décrit comme un « grand érudit et un homme véridique ».

Le riche legs spirituel des défunts khalifes à la Une du Soleil. Le quotidien national rend hommage à Seydina Abdoulaye Thiaw Laye en saluant « l’œuvre admirable d’un fédérateur », sans oublier de mentionner « l’éclipse d’un gardien de l’orthodoxie musulmane » avec la disparition de Serigne Abdourahim Seck.

En politique, EnQuête, parle des élections locales avec le débat sur les certificats de résidence. Afin de lutter contre les transferts illégaux d’électeurs, la loi exige la production d’un certificat de résidence pour l’inscription sur les listes électorale.

Sud Quotidien évoque la survenue du variant Delta à l’approche des Locales. « Les états-majors revoient leur copie et réajustent leurs stratégies » informe le journal, qui précise que la troisième vague de Covid-19 a donné un coup de frein aux tournées politiques à l’intérieur du pays.

En Sport, « Messi, nouveau roi de Paris » titre Stades, le quotidien sportif. Le sextuple ballon d’or lié au PSG jusqu’en 2023, s’est dit « impatient de débuter un nouveau chapitre à Paris » après avoir foulé le sol parisien.

Six personnes décèdent de la Covid-19 en Côte d’Ivoire

Six personnes sont décédées de la Covid-19, annonce, mardi, le ministère ivoirien de la Santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle.

Dans un communiqué, ce ministère annonce avoir enregistré « ce mardi 10 août 2021, 149 nouveaux cas de Covid-19 sur 3 096 échantillons prélevés, soit  4,8 % de cas positifs, 130 guéris et 6 décès ».

A la date du 10 août 2021, la Côte d’Ivoire compte donc 51 548 cas confirmés dont 50 335 personnes guéries, 347 décès et 866 cas actifs. Le nombre total d’échantillons est de 818 804.

Le 9 août 2021, 17 523 doses de vaccins contre la Covid-19 ont été administrées, soit un total de 1 165 391 doses administrées.

« Le ministre de la Santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle invite toutes les personnes de plus de 18 ans à se faire vacciner dans les centres de vaccination », ajoute le communiqué, concluant que « la vaccination contre la Covid-19 est gratuite et volontaire ».