Maroc : La vaccination ouverte aux personnes souffrant d’allergies et aux femmes enceintes

La campagne de vaccination anti-Covid-19 est désormais ouverte aux personnes souffrant d’allergies, aux femmes allaitantes et aux femmes enceintes dès le quatrième mois de grossesse, a annoncé jeudi un communiqué du ministère de la Santé.Cette décision est prise sur la base des dernières données scientifiques internationales et des recommandations du Comité scientifique national de la vaccination, selon lesquelles les femmes allaitantes et les femmes enceintes dès le quatrième mois de grossesse peuvent accéder au vaccin anti-Covid-19, a affirmé le ministère.

De même, le Comité scientifique en charge de la stratégie nationale de vaccination contre le Covid-19 a levé les contre-indications au vaccin pour les personnes souffrant de problèmes allergiques, sauf pour les chocs anaphylactiques sévères (par exemple, œdème de Quincke), précise la même source.

Le ministère a appelé toutes les catégories ciblées à continuer leur engagement dans ce grand chantier national, dans le but de parvenir à une immunité collective, insistant sur la nécessité de continuer à respecter les mesures de prévention avant, pendant et après la vaccination.

Affaire Pegasus/Maroc: Pas de preuves fournies par « Forbidden Stories » et « Amnesty International »

L’avocat du Maroc dans l’affaire Pegasus, Me Olivier Baratelli, a affirmé que « Forbidden Stories » et « Amnesty International » n’ont pas réussi à produire, après le délai fixé de 10 jours, de preuve de leurs accusations à l’encontre du Maroc. »Le délai de 10 jours dans lequel Amnesty et Forbidden pouvaient prouver ce qu’ils affirmaient est expiré. Ils n’ont rien sorti. La situation est ubuesque. Cela démontre ce que j’ai appelé depuis le premier jour être une supercherie », a souligné l’avocat français dans une interview exclusive, mercredi, à CNEWS.

Cela est un premier fait d’actualité concernant cette affaire. Le second fait est que « nous avons saisi la justice française, et que le Maroc a parallèlement saisi la justice allemande et espagnole », a indiqué Me Baratelli qui a annoncé qu’il allait « remettre au procureur de la République de Paris, un rapport d’expertise informatique réalisé par un collège d’experts (…) qui vont exclure toute utilisation par le Maroc » du logiciel espion Pegasus.

Selon Me Baratelli, « forcément, le Maroc a des détracteurs sur la scène internationale. Le Maroc est leader dans la lutte internationale contre le terrorisme. Le Maroc, qui est un ami de toujours de la France, a beaucoup aidé à déjouer des attentats sur le territoire français. Cela peut déplaire à certains. C’est ce que nous avons demandé à la justice française d’éclairer pour savoir qui pourrait être derrière (cette affaire) et savoir qui pourrait être derrière cette manipulation ».

Burkina : 30 morts dans une attaque près du Niger

Dambam, Gudba et Tokabangou, trois villages situés au Nord du pays, ont été attaqués le mercredi 4 août par des groupes armés terroristes.Une série infernale ! 30 décès, c’est le bilan officiel d’un nouvel assaut au Burkina Faso. Dans un communiqué daté du 5 août, Aimé Barthélémy Simporé, le ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants, renseigne que les assaillants ont tué « onze civils », emporté « du bétail » et incendié « des concessions ».

Pour voler au secours des populations en détresse, « une unité du détachement militaire de Markoye (Nord), avec des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), a été immédiatement déployée », indique le document.

Leur face-à-face avec les jihadistes, dans les environs de Tokabangou, a été sanglant : « 15 militaires et 4 VDP décédés et plus d’une dizaine de terroristes neutralisés » selon le Colonel-major Simporé.

Actuellement, « la zone est sous contrôle des unités militaires et la contre-offensive pour retrouver les assaillants se poursuit avec des moyens aériens et terrestres », annonce le ministre burkinabè de la Défense nationale et des Anciens combattants.

Mali : dissolution du CNT, la Cour suprême renvoie son délibéré

La Cour suprême du Mali annonce le renvoi au 2 septembre prochain du délibéré sur le recours déposé par le M5-RFP contre la nomination des membres du Conseil National de Transition (CNT).Le temps de la justice n’est pas celui des hommes, dit l’adage. Le Mouvement du 5 juin et rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP) qui avait, en janvier dernier, déposé un recours pour la dissolution du CNT l’a appris à ses dépens.

Après avoir grandement contribué à la chute d’Ibrahim Boubacar Keïta, le 18 août 2020, les responsables de cette force du changement, composée de partis politiques et d’organisations de la société civile, avaient fustigé la mise en place de cet organe, appelé à exercer la fonction législative durant les dix-huit mois de transition.

La pomme de discorde résidait dans la composition des 121 membres du Conseil national de transition. Elle leur attribuait huit sièges contre onze pour les partis politiques et vingt-deux pour les militaires. Une répartition des postes qui violait, selon eux, le principe d’égalité entre les citoyens.

Devant tout cela, le mouvement populaire, dont certains des membres siègent malgré tout au CNT, continuait de considérer cet organe législatif comme une institution « illégale et illégitime ». Mais entre janvier, période où le recours a été déposé à la Cour suprême, et aujourd’hui, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts.

Le colonel Assimi Goïta, devenu officiellement nouvel homme fort du Mali depuis le 7 juin dernier, a fait du M5-RFP un interlocuteur de premier plan. Cela s’est matérialisé dès son investiture par le choix du docteur Choguel Kokalla Maiga, figure de premier plan du M5-RFP, pour occuper le poste de Premier ministre. Ce dernier a d’ailleurs présenté lundi 2 août son plan d’actions gouvernementales devant les membres du CNT, qui l’ont ensuite plébiscité.

Un partenariat « stratégique » suivi de plusieurs débauchages de personnalités du mouvement dont l’imam Oumarou Diarra, membre du nouveau gouvernement, qui estime que le M5-RFP a terminé sa mission.

Ainsi, la nouvelle alliance entre les militaires au pouvoir semble refroidir l’ardeur que le mouvement contestataire faisait preuve lors du dépôt de sa lettre de protestation. Et en repoussant son délibéré, la plus haute juridiction ne veut-elle pas aménager une porte de sortie au M5-RFP, fissuré en interne sur la suite à donner à ce recours ?

« On ne peut pas demander la dissolution du Comité national de la transition et continuer de discuter avec eux », fustigeaient certains ex-responsables du M5-RFP comme Sy Kadiatou Sow, Mountaga Tall et Cheick Oumar Cissoko. Ces derniers ont décidé de quitter le mouvement pour rejoindre l’opposition.

Le président zimbabwéen publie sa biographie

Dans ce livre rendu public ce jeudi, Emmerson Mnangagwa retrace sa vie et sa contribution au développement du pays.La biographie intitulée « Une vie de sacrifices-Biographie d’Emmerson Dambudzo Mnangagwa », a été écrite par l’économiste et ancien député de l’opposition, Eddie Cross.

S’exprimant lors de la cérémonie de lancement au palais présidentiel à Harare, Cross a déclaré être fasciné par le niveau de dévouement affiché par le leader zimbabwéen pour la libération et le développement de son pays.

Mnangagwa a été accompagné de la Première dame, Auxillia Mnangagwa, le Secrétaire en chef du président et du cabinet, Misheck Sibanda, de hauts fonctionnaires du gouvernement et de chefs d’entreprise.

Le livre retrace le rôle que Mnangagwa a joué dans la lutte de libération du Zimbabwe à partir des années 1960 et sa contribution après l’indépendance du pays en 1980.

Emmerson Mnangagwa est à la tête du pays depuis une transition assistée par l’armée qui a abouti à la destitution de l’ancien président, Robert Mugabe, en novembre 2017.

Avant son ascension au sommet de l’Etat, M. Mnangagwa a occupé plusieurs postes ministériels et gouvernementaux depuis 1980, notamment ceux de président de l’Assemblée nationale et de ministre du Renseignement.

Corne de l’Afrique : Ahmat Abdelkerim nommé DG de Bolloré

Le Tchadien a pris fonction au mois de juillet 2021 comme Directeur général du cluster Corne de l’Afrique de Bolloré Transport & Logistics.Ahmat Abdelkerim dirigera les activités de l’entreprise sur trois pays : Djibouti, Éthiopie et Érythrée. Il succède à Patrick Gerenthon qui a été appelé à d’autres fonctions au sein de Bolloré Transport & Logistics.

M. Abdelkerim est diplômé de Sup’Management au Maroc et titulaire d’un Master spécialisé en politiques et management du développement obtenu à Sciences Po Paris, informe l’entreprise.

En 20 ans de carrière au sein des différentes filiales de Bolloré Transport & Logistics, il a occupé plusieurs fonctions managériales avant d’être promu Directeur général de Bolloré Transport & Logistics Tchad en 2016.

Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Ahmat Abdelkerim supervisera le développement des activités logistiques de l’entreprise dans les pays du cluster et contribuera à renforcer sa présence en Afrique de l’Est.

Sa connaissance des métiers opérationnels, lui permettra de développer des solutions innovantes et agiles adaptées aux besoins de la clientèle locale et internationale.

« C’est une grande fierté pour moi de rejoindre les équipes du périmètre de la Corne de l’Afrique et de contribuer avec le soutien des collaborateurs au succès de Bolloré Transport & Logistics. Ensemble, nous allons continuer à développer les activités de l’entreprise en Afrique de l’Est et à offrir à nos clients des solutions compétitives en s’appuyant sur notre savoir-faire et notre connaissance des marchés », a déclaré Ahmat Abdelkerim.

Elections en Zambie : Ernest Bai Koroma dirige la mission de l’UA

L’ancien président de la Sierra Leone va diriger la mission d’observation électorale de l’Union africaine pour élections générales zambiennes de la semaine prochaine, a annoncé jeudi l’UA.Dans un communiqué, l’organe continental a déclaré que M. Koroma dirigerait la mission d’observation à court terme, qui a été approuvée par le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, et serait composée « d’anciens et d’actuels ambassadeurs africains accrédités en Éthiopie, de membres d’organes de gestion des élections en Afrique, de membres d’organisations de la société civile et d’experts électoraux indépendants ».

« L’objectif de la mission est de fournir une évaluation indépendante et impartiale de tous les aspects du processus électoral de 2021, y compris le cadre juridique, le contexte politique et la transparence et l’efficacité des préparatifs électoraux », a déclaré l’UA.

La mission devrait présenter ses conclusions préliminaires peu après la fin du scrutin, qui seraient suivies d’un rapport final plus détaillé comprenant des recommandations pour l’amélioration du processus électoral en Zambie.

Les Zambiens iront aux urnes pour élire un président, des membres de l’assemblée nationale et des conseillers municipaux lors d’une élection très attendue prévues le 12 août, qui devrait se jouer entre le Front patriotique au pouvoir et le Parti uni pour le développement national.

Tokyo 2020: le Burkinabè Zango décroche une médaille historique

Le triple sauteur Hugues Fabrice Zango a remporté jeudi 5 août à Tokyo la toute première médaille olympique de son pays.Historique ! L’athlète burkinabè de 28 ans a décroché jeudi en finale le bronze pour avoir réalisé un triple saut de 17 mètres 47. Il permet au Burkina Faso, qui fête en même temps ce jour le 61e anniversaire de son indépendance, de décrocher sa première médaille aux Jeux olympiques.

Après deux sauts moins réussis de 15 mètres 91 et 16 mètres 90, l’athlète s’est surpassé avec un saut à 17 m 31. Une performance qui lui permet de se hisser sur le podium. Même s’il est loin de son record d’Afrique en plein air (17 mètres 82), Zango réussit tout de même l’exploit d’accrocher une médaille olympique pour une première participation aux JO.

Il termine le concours derrière l’intouchable Portugais Pedro Pichardo (17 m 98) et le Chinois Yaming Zhu (17 m 57). Une nouvelle médaille qui vient s’ajouter au bronze décrochée aux Mondiaux de Doha (Qatar) en 2019.

« Ce n’est pas la médaille que je voulais », a-t-il réagi dans la foulée sur le site de L’Équipe. Mais il se dit « plutôt heureux pour le Burkina parce que c’est aujourd’hui le jour de la Fête de l’indépendance de mon pays et je gagne sa première médaille. C’est historique pour moi et pour mon pays. Le Burkina est très heureux, je pense qu’il va organiser une grande fête pour moi ».

Porte-drapeau de la délégation burkinabè, Hugues Fabrice Zango est un athlète atypique qui poursuit ses études en France. Thésard en génie électrique, il est depuis le 16 janvier 2021 le recordman mondial du triple saut masculin en salle avec une marque de 18,07 mètres réalisée lors d’un meeting à Aubière, une ville du centre de la France. L’ancien record (18,07 m), qui datait de 2011, était jusque-là détenu par son entraîneur Teddy Tamgho.

L’athlète burkinabè n’a cessé de progresser depuis ses débuts aux championnats d’Afrique 2016 de Durban (Afrique du Sud) où il avait remporté la médaille d’argent en portant son record personnel à 16,81 mètres. Deux ans plus tard, à Asaba au Nigeria, il connaît la consécration africaine avec la médaille d’or aux championnats d’Afrique avec un bond de 17,11 mètres.

A Tokyo, l’athlète regrette de ne pas avoir sauté à son meilleur niveau. « Ces Jeux ont été vraiment très compliqués pour moi. Je n’arrive pas vraiment à me l’expliquer parce que ce n’était pas un problème physique, ni mental, je n’avais pas de pression particulière, j’étais très motivé. J’ai eu des jours sans », a-t-il expliqué.

Santé, justice et politique à la Une des quotidiens sénégalais

Les journaux sénégalais, parvenus ce jeudi à APA, traitent d’une diversité de sujets allant de la santé à la politique sans oublier l’actualité judiciaire marquée par la convocation, hier, du docteur Babacar Niang à la Brigade de recherche de la Gendarmerie.« Tragique hausse », titre Le Quotidien avant de soutenir que « tout va mal » dans la gestion de la pandémie de la Covid-19. « C’est une journée noire avec un record de 29 décès dus à la pandémie. C’est un baromètre fiable pour mesurer la sévérité du variant Delta un contexte où une partie du personnel réclame le paiement des indemnités Covid-19 », écrit le journal.

Cela fait dire au journal Le Témoin que la « situation (devient) de plus en plus alarmante ». Face à la flambée des morts, « les Catholiques limitent l’accès aux cimetières, interdisent l’exposition mortuaire et les condoléances », informe WalfQuotidien.

En solitaire, Le Soleil fait le focus sur la pathologie du nerf sciatique et alerte sur « une pathologie qui prend de l’ampleur. »

WalfQuotidien revient par ailleurs sur la convocation de Dr Babacar Niang à la Brigade de recherche de la Gendarmerie et affirme que le médecin « a passé l’examen de contrôle ». Le médecin-chef de la clinique privée Suma Assistance est poursuivi par le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, pour « propos diffamatoires, de nature à porter du discrédit sur les efforts déployés dans le cadre de la lutte contre la pandémie au Sénégal. »

Dr Niang avait en effet soutenu lors d’une émission radiophonique dont il était l’invité que « du matériel public destiné à la lutte contre la Covid-19 était vendu à des privés. »

Après son audition, le mis en cause, qui « aurait mis beaucoup dans ses accusations » est rentré chez lui, affirme L’Observateur.

Les journaux sénégalais se sont également intéressés au bras de fer judiciaire qui oppose le journaliste Madiambal Diagne et le magistrat Souleymane Téliko. A ce propos, Sud Quotidien soutient que « Madiambal Diagne +traque+ Téliko ». Dans les colonnes du Le Quotidien, l’Administrateur général du groupe Avenir communication déclare : « Téliko s’organise systématiquement pour ne pas recevoir la sommation interpellative. »

M. Diagne compte poursuivre Téliko devant la Chambre criminelle de la Cour suprême pour des accusations formulées contre lui par le magistrat à la barre, en juin dernier, au cours d’un procès en diffamation.

L’inscription des primo-votants sur les listes électorales, en vue des Locales fait la Une de Sud Quotidien. Ce dernier estime que « le consensus (est) le dernier recours » pour surmonter ce énième bras de fer entre le pouvoir et l’opposition.

Divers sujets au menu des quotidiens marocains

Les défis lancés aux chambres professionnelles et la planification des politiques publiques sont les principaux sujets traités par les éditorialistes des quotidiens parus jeudi.+L’Economiste+ écrit qu’« il faudra attendre les résultats des élections des chambres professionnelles qui auront lieu ce vendredi pour avoir une idée sur la cartographie politique du scrutin du 8 septembre prochain ».

L’assouplissement de la tutelle et le statut des Chambres ainsi que la réhabilitation du rôle des élus sont autant de revendications qui figurent dans les programmes des parties politiques durant cette campagne, fait savoir le quotidien, regrettant qu’une fois les élections passées, les partis rangent le programme électoral pour un prochain rendez-vous et les chambres retombent dans le train quotidien.

A cet effet, la publication appelle à inverser l’équation pour que les chambres professionnelles aient leur mot à dire dans tout ce qui a trait au monde économique et à l’investissement

“Si elles veulent peser sur les grands choix, les chambres professionnelles devront s’impliquer dans les conseils d’administration des universités car les besoins en matière de formation pour l’emploi se dessinent aussi à ce niveau”, conclut-il.

Sur un autre registre, +Aujourd’hui le Maroc+ écrit que quand le Maroc met en place des stratégies et des politiques sectorielles, elles sont souvent et naturellement dans des horizons lointains, soutenant que les prévisionnistes et autres experts de diverses disciplines sont presque tous unanimes sur le fait qu’il est devenu aujourd’hui impossible de planifier sur de longues durées.

Et comme il le fait depuis quelques années, ces politiques sont revisitées, modifiées, réajustées en cours de chemin au gré des nouveautés et des évolutions de l’environnement national et mondial, poursuit le journal, appelant à se projeter dans l’avenir même le plus proche pour anticiper les imprévus et d’y être préparé quand ils arriveront.

“C’est le seul moyen pour rester dans l’anticipation”, assure-t-il.

+Al Ahdath Al Maghribia+ croit savoir que la commission nationale consultative d’autorisation du vaccin anti-Covid-19 et la direction des médicaments et de la pharmacie au ministère de la Santé tiennent des réunions depuis mercredi pour étudier la question de l’autorisation d’urgence du vaccin Pfizer BioNTech.

L’étude porte sur les dossiers du produit, les normes de fabrication, de sécurité, de qualité et d’efficacité du vaccin, les résultats des essais précliniques et cliniques de la première phase à la quatrième, ainsi que la reconnaissance internationale de ce vaccin.

Et eu égard aux bons résultats de ce vaccin à l’échelle internationale, les autorités compétences devraient accorder l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin Pfizer BioNTech, rapporte le quotidien. Cette autorisation, font savoir les sources du journal, permettra au Maroc de recevoir au cours de cette semaine un lot de 1,2 million de doses du vaccin Pfizer BioNTech.

Cette nouvelle commande renforcera le stock des vaccins et permettra au Maroc de se prémunir contre les risques d’approvisionnement en la matière. Ce nouvel arrivage va sans doute accélérer davantage la campagne de vaccination qui bat déjà son plein dans le pays et qui sera certainement élargie aux personnes âgées de plus de 18 ans.