La politique et l’économie meublent la Une de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais reçus, ce samedi à APA, mettent en exergue l’actualité politique et économique.En prélude aux prochaines élections territoriales du 23 janvier 2022, L’As informe que la formation politique de l’ex-président de la République, Me Abdoulaye Wade, le Parti démocratique sénégalais  (Pds) « rebat les cartes ».

« Wade sur la reconquête du pouvoir: le Pds est debout et prêt », note Le Quotidien en manchette.

Informant que Wade lance son opération de vente des cartes, ce samedi 4 septembre 2021, 24 Heures répète ses propos: « Le Pds est debout et prêt pour la reconquête du pouvoir. Nous avons fait un pari, celui de nous compter le plus possible de la réalité et de nous organiser.  Il nous faut le gagner ».

« Le Pds toujours debout », renchérit Direct News.

Revenant sur l’ambiance des inscriptions sur les listes électorales à Ziguinchor, Libération informe que « l’Apr et Pastef échangent des coups de poing ».

L’Info revient sur le lancement, avant-hier, de la coalition « Yewwi Askan Wi », insistant sur « les défis de Khalifa », ex-maire de Dakar.

« Entretien: les vérités de Abdoul Mbaye à Sonko, Khalifa », membres de « Yewwi Askan Wi », titre L’Observtauer. Dans ce journal, l’ancien Premier ministre et président du parti ACT affirme: « Les petits calculs et l’absence de transparence nous ont empêché de rejoindre Yewwi Askan Wi ».

À la Une de Vox Populi, l’enseignant-chercheur, Moussa Diaw estime que « Yewwi Askan Wi aura peu de chances devant (la coalition présidentielle) Benno Bokk Yakkar ».

« Ambition, guerre de légitimité…Ces dangers qui guettent Yewwi Askan Wi », renchérit Walf Quotidien.

Dans sa rubrique « Grand’Place », EnQuête affiche l’ex-ministre de la Justice, professeur Ismaila Madior Fall, « à coeur ouvert ». « Lorsqu’en 2013, le président Sall fit appel à moi, j’ai aussitôt réalisé que je perdais des libertés. 2024 (la présidentielle) se joue en réalité  (aux élections territoriales) en 2022 ».

« Situation politique à la Médina: (le maire) Bamba Fall attaque et cogne » les anciennes gloires, rapporte Les Échos.

En économie, EnQuête informe que le Sénégal lève 55 milliards f cfa sur le marché régional des titres de l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA).

« Hausse générale des prix: Le petit commerce tire la langue », constate Walf Quotidien.

Pendant ce temps, Le Soleil s’intéresse au nouveau statut de la Pharmacie nationale d’approvisionnement  (PNA) et explique ce qui va changer.

La demi-finale  (Sénégal-Côte d’Ivoire) de l’Afrobasket ce samedi à Kigali (Rwanda) fait la Une de Sud Quotidien qui lance aux Lions de à Téranaga: « Rugissez encore…! »

Éliminatoires mondial 2022: la Côte d’Ivoire et le Mozambique se neutralisent (0-0)

La Côte d’Ivoire et le Mozambique se sont neutralisés (0-0), vendredi, dans le cadre de la première journée du deuxième tour des éliminatoires du mondial 2022 de football, au stade de Zimpeto, à Maputo.

A la première mi-temps, les Éléphants de Côte d’Ivoire ont eu du mal à pénétrer la défense du Mozambique, qui avait formé un bloc invincible. En dépit des tentatives des hommes de Patrice Beaumelle, les pachydermes manquaient d’arguments offensifs.

L’attaquant ivoirien, Sébastien Haller, qui avait une opportunité de faire la différence à la 26e minute, dans la surface de réparation des Mambas du Mozambique, a été gêné par un défenseur. Ébranlé, ses co-équipiers ont réclamé un penalty en vain.

Les Éléphants, favoris au regard de leur palmarès, n’ont pas développé un jeu pouvant emballer l’équipe adverse. Les Mambas du Mozambique, qui dans le fil du match ont eu une forte confiance devant leur public, ont tenu la dragée haute.

 La Côte d’Ivoire, qui évolue dans le Groupe D, affronte le 6 septembre 2021, les Lions indomptables du Cameroun, à domicile, au stade Alassane Ouattara d’Ebimpé d’Anyama, à l’occasion de la 2e journée du 2e tour des éliminatoires de la Coupe du monde Qatar 2022.

Découverte de pétrole: la part de la Côte d’Ivoire est « déséquilibrée » (FPI)

Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition) juge « déséquilibrée » la part de10% revenant à la Côte d’Ivoire dans la répartition de la récente découverte de réserves de pétrole et de gaz, en offshore, dans le pays.

Petroci Holding, une structure publique ivoirienne, et le groupe italien ENI ont découvert des réserves pétrolières et gazières évaluées respectivement à environ 2 milliards de barils et 2400 milliards de pieds cube.

Dans un communiqué, le groupe ENI « précise la clé de répartition, soit  90% pour ENI et 10% pour l’État de Côte d’Ivoire. Pour le FPI cela « suscite de fortes interrogations sur l’impact réel de cette découverte sur le quotidien » des Ivoiriens. 

« L’exploration pétrolière est une activité à forte consommation de capitaux, bien souvent sans garantie de succès, c’est pourquoi lorsqu’une découverte est faite, le concessionnaire du permis d’exploration est remboursé de ses coûts », relève le parti.

Ensuite, »c’est après absorption de ces coûts que le surplus de production est partagé », souligne le FPI dans un communiqué, qui martèle que « là réside l’explication du déséquilibre dans la répartition des fruits de la production pétrolière ». 

Le parti fait observer que l’industrie pétrolière est une industrie particulièrement rentable avec un taux de rentabilité interne de 15% en moyenne, selon les chiffres indiqués par le cabinet Wood Mackenzie.

Cette découverte n’est d’ailleurs qu’une étape, dans l’attente des résultats des permis accordés à Total, Tullow Oil et à d’autres compagnies internationales, c’est pourquoi, le FPI engage l’Etat de Côte d’Ivoire à s’impliquer davantage dans les opérations d’exploration, poursuit le texte. 

Le FPI estime par ailleurs « urgent la création d’un fonds souverain d’investissement » qui mobiliserait des ressources financières adéquates pour jouer un rôle décisif dans l’exploration aux côtés de ses partenaires habituels que sont les grandes compagnies pétrolières mondiales.

Avec cette découverte, la Côte d’Ivoire amorce inexorablement sa marche vers la création d’un écosystème pétrolier de premier rang, se félicite le parti qui ajoute qu’ « il serait dommageable de ne pas en faire un instrument de développement au service des populations ».  

La production du pétrole et du gaz pose à long terme la problématique de l’impact des énergies fossiles sur l’environnement.Alors, le FPI encourage l’Etat à envisager en parallèle des mesures fortes dans le cadre du développement durable, conclut le texte.

Côte d’Ivoire: Serge N’Guessan lauréat du Super prix « La plume anti-tabac »

Le journaliste ivoirien, Serge N’Guessan, du quotidien pro-gouvernemental Fraternité Matin, a été déclaré vendredi lauréat de la première édition du Super prix « La plume anti-tabac », lors d’une cérémonie de distinction, à Abidjan.

« Le Grand prix pour cette première édition a été gagné », avec un dossier, intitulé « Tabagisme: 5.000 personnes meurent chaque année en Côte d’Ivoire » par M. Serge N’Guessan, qui a obtenu 322 points sur 500, a indiqué le président du jury, M. Zio Moussa.

Il lui a été décerné le prix de la catégorie presse écrite et numérique. Le super prix La plume anti-tabac est dotée, pour cette édition de 2 millions Fcfa offert par le ministre de la Santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle, Pierre Dimba, co-président de la cérémonie de distinction.   

Le prix de la catégorie radio a été remporté par Ernest Kouakou de Radio Chandelier avec 309 points sur 500 pour son dossier (9’47) intitulé « le tabac, un poison mortel qui tue à petit feu les cerveaux de demain ».

L’OMS, un partenaire à ce projet a promis soutenir le journaliste Ernest Kouakou avec du matériel radiophonique à hauteur de 1 million de Fcfa. Pour la radio, le 2e prix a été décroché par Marie Ouantchémé de Abobo FM (293 points) et le 3e prix par Mardochée Kouassi (Adjamé FM, 287 points).  

Dans la catégorie meilleure production presse écrite et numérique, le deuxième a été attribué à Rodrigue Konan de Arc-en-ciel avec 309 points sur 500. Raphaël Okaingni du site InfosIvoire.net, a été classé troisième avec 277 points.   

La journaliste Agnès Kraidy, membre du jury, qui représentait le ministre de la Communication, des médias et de la Francophonie, co-président de la cérémonie, a salué cette « aventure » et félicité les lauréats qui deviendront des ambassadeurs de la lutte anti-tabac.

M. Sosthène Zombré, qui représentait le chef du bureau de l’OMS en Côte d’Ivoire, Dr Jean-Marie Yaméogo, a fait savoir que « le tabac tue plus de 8 millions de personnes chaque année » dans le monde et constitue un facteur aggravant du cancer, du diabète et des maladies respiratoires chroniques.

Sur le plan économique, chaque année, le tabagisme coûte à l’économie mondiale environ 2% du Produit intérieur brut mondial, a-t-il fait remarquer, ajoutant que « depuis 1980, les mégots de cigarettes constituent pas moins de 30 à 40% des produits ramassés lors des nettoyages ». 

Le représentant du ministre de la Santé, de l’hygiène publique, et de la couverture maladie universelle, Dr Ablé Ekissi, a indiqué qu’en Côte d’Ivoire, environ 5.000 consommateurs décèdent chaque année du tabagisme et des produits associés.  

« Face à cette tragédie, des actions vigoureuses méritent d’être déployées pour inverser cette tendance qui menace le développement de nos États », a-t-il dit, se réjouissant de l’enthousiasme suscité par ce concours qui a enregistré 18 participations. 

Le concours de La plume anti-tabac est organisé par le Réseau des communicateurs pour la lutte contre le tabagisme et l’alcoolisme en milieu scolaire et universitaire (RECLTASU), présidé par le journaliste Dimitri Agoutsi. Les lauréats ont reçu également un trophée, chacun.  

L’APCE va observer les élections législatives au Maroc

Une délégation de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), composée de 11 membres et conduite par Alberto Ribolla (Italie), se rendra au Maroc du 6 au 9 septembre pour y observer le déroulement des élections législatives, prévues le 8 septembre courant.La mission de l’APCE aura des rencontres notamment avec le président de la délégation APCE du Parlement marocain, le directeur du département en charge des questions électorales au ministère de l’Intérieur, des représentants du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et de la Haute Autorité pour la communication audiovisuelle (HACA), ainsi que des représentants de la communauté internationale, de la société civile et des médias, indique un communiqué du Conseil de l’Europe.

Un membre de la Commission de Venise – le groupe d’experts juridiques indépendants du Conseil de l’Europe – fournira un conseil juridique lors de cette visite, précise la même source.

Une délégation du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l’Europe observera en parallèle les élections régionales et communales le même jour, ajoute le communiqué.

Depuis 2011, le Parlement marocain bénéficie du statut de partenaire pour la démocratie auprès de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), ce qui lui permet une participation active aux activités de l’Assemblée.

Le Maroc et la Hongrie renforcent leur coopération en matière d’industrie nucléaire

Le Maroc et la Hongrie ont convenu de renforcer leur coopération en matière d’éducation et de formation sur les utilisations pacifiques de l’énergie nucléaire.Ainsi, un mémorandum d’entente a été signé, vendredi à Rabat, entre le ministère marocain de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement et le ministère hongrois de l’Innovation et de la Technologie.

Il vise l’établissement d’une coopération à long terme entre les deux parties qui s’engagent à travailler en étroite collaboration pour mettre en place de programmes en matière de formation et d’éducation, notamment dans les domaines du développement de la recherche fondamentale et appliquée, des sciences et technologies nucléaires et de la réglementation sur les utilisations pacifiques de l’énergie nucléaire.

Les deux parties s’engagent, en vertu de cet accord, à développer la capacité industrielle locale, à travers la coopération commerciale entre les fournisseurs des deux pays de biens et services et l’élaboration de programmes d’échanges d’étudiants, professeurs et doctorants entre les universités marocaines et hongroises avec la participation d’instituts de recherche.

Le Sénégal lève 55 milliards F CFA sur le marché des titres publics de l’UMOA

La Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor, au terme d’une émission par adjudication d’obligations assimilables du Trésor, a levé ce vendredi 11,5 milliards F CFA à 5 ans au taux de 5,05 % et 43,5 milliards F CFA à 7 ans au taux de 5,3 %.Ces taux sont « les meilleurs actuellement obtenus sur le marché » selon un communiqué du ministère des Finances et du Budget reçu à APA. Ils attestent, poursuit la source, de la bonne qualité de la signature du Sénégal.

En outre, indique le document, les taux obtenus sont en baisse par rapport aux précédentes émissions du Sénégal pour lesquelles le pays s’était engagé à 5,5 et 5,97 % pour 5 et 7 ans.

Pour cette opération, s’inscrivant « dans le cadre des Obligations de relance », l’Etat a mis en adjudication 50 milliards F CFA mais les soumissions ont atteint 283 milliards F CFA. Cela représente près de 600 % de l’argent recherché. Toutefois, le montant retenu est de 55 milliards F CFA.

Le Sénégal a collaboré avec l’Agence UMOA-Titres et la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao) dans la réalisation de cette intervention.

Éliminatoires Mondial 2022 : le Nigeria domine le Liberia (2-0)

Les Super Eagles ont battu, vendredi au stade Teslim Balogun de Lagos, les Leone Stars lors d’un match comptant pour la première journée des qualifications à la Coupe du monde Qatar 2022.Kelechi Iheanacho a ouvert le score à la 22e minute de jeu. Juste avant la pause, l’attaquant de Leicester, en Premier League anglaise, a doublé la mise pour le Nigeria. Le but du break est consécutif à une longue touche déviée par Alex Iwobi. Les Leone Stars sont revenus des vestiaires avec de meilleures intentions sans pour autant inquiéter la défense nigériane.

Grâce à cette victoire, les Super Eagles prennent seuls la tête de leur groupe avec trois points au compteur devant notamment Cabo Verde et la République centrafricaine qui se sont neutralisés mercredi à Douala, au Cameroun.

Nigeria : reddition de plusieurs milliers de terroristes

Au total, 5.890 terroristes et leurs familles actifs dans le nord-est du Nigeria se sont rendus à l’armée.Le porte-parole du quartier général de la défense nigériane, le brigadier général Bernard Onyeuko, a déclaré, lors d’une conférence de presse hier jeudi à Abuja, que la reddition a eu lieu entre le 12 août et le 2 septembre 2021.

Il a expliqué que parmi les rebelles qui se sont rendus, il y a 565 terroristes de Boko Haram, dont trois commandants, quatre émirs, cinq Nakibs et cinq spécialistes du vol de bétail. Ils ont été remis au gouvernement de l’Etat de Bornou à Maiduguri pour une gestion ultérieure après un profilage approfondi.

Onyeuko a révélé que les opérations soutenues des troupes de l’opération HADIN KAI contre les terroristes dans le théâtre du nord-est ont contraint ces derniers à se rendre en grand nombre.

Selon lui, les engagements opérationnels soutenus à travers le pays contre tous les éléments criminels ont donné des résultats significatifs.

Le brigadier général Bernard Onyeuko a souligné qu’un total de 52 armes et 1.977 cartouches de calibre 7,62 mm, y compris des fusils AK-47 et FN avec chargeurs, des grenades à main, des fusils de mortier commando, des fusils fabriqués localement, des canons anti-aériens Dushka, des canons Dane et des fusils de la police nigériane, entre autres, ont été récupérés sur des terroristes qui se sont rendus et lors d’opérations menées sur la même période.

Il a ajouté que sept collaborateurs/informateurs terroristes et fournisseurs de logistique avaient été arrêtés et remis aux autorités judiciaires compétentes pour qu’elles prennent les mesures nécessaires à leur sujet.

« Les forces armées du Nigeria restent déterminées dans la lutte contre toutes les formes de criminalité dans différentes parties du pays. Le haut commandement militaire apprécie les sacrifices continus des troupes sur les différents théâtres d’opérations à travers le pays », a indiqué le porte-parole du quartier général de la défense nigériane.

Afrique du Sud : l’état de catastrophe nationale prolongé

Décrété en mars 2020 à cause de la pandémie de la Covid-19, l’état de catastrophe nationale sera prolongé jusqu’en octobre 2021 par le gouvernement.Le Cabinet sud-africain a approuvé la prolongation de l’état de catastrophe au moment où le pays a franchi jeudi la barre des 13 millions de personnes vaccinées contre le coronavirus.

Le ministre de la Présidence Mondli Gungubele a déclaré jeudi que le pays resterait au niveau 3 du confinement dans le cadre de la réponse nationale à la pandémie de Covid-19 jusqu’au 15 octobre. Depuis la fin du mois de juillet, l’Afrique du Sud est sous le coup d’un confinement de niveau 3 ajusté, en vertu duquel toutes les activités économiques sont autorisées, à quelques exceptions.

Pendant cette période, l’alcool est vendu pour la consommation domestique et uniquement à des jours spécifiques, tandis que la vente de produits du tabac reste interdite.

L’Afrique du Sud a administré 250.843 doses jeudi, ce qui porte le nombre de personnes vaccinées à 13.112.268, selon le ministère de la Santé. Les autorités sanitaires ont ajouté que le nombre d’adultes entièrement vaccinés s’élevait désormais à 6.301.758 personnes. Selon l’Institut national des maladies transmissibles (NICD), le nombre total de cas s’élève à 2.796.405 en comptant les 9.203 nouvelles infections du jeudi.

Le NICD a déclaré que la province du KwaZulu-Natal continue d’être le moteur des nouvelles infections avec 2.691 contaminations. Elle est suivie par les provinces du Cap occidental et oriental avec respectivement 1.796 cas et 1.652, a indiqué le NICD, ajoutant qu’il y a eu « une augmentation de 437 admissions à l’hôpital au cours des dernières 24 heures ».

Le bilan des victimes continue de s’alourdir. 418 personnes sont décédées de la Covid-19 jeudi, portant le bilan total dans le pays à 82.914 décès depuis l’apparition de la pandémie en mars 2020, a expliqué le NICD.