Maroc: une croissance économique entre 1,5% et 1,7% prévue en 2022

L’économie marocaine devrait enregistrer un taux de croissance entre 1,5% et 1,7% en 2022, au lieu d’une progression de 3,2%, comme prévu au niveau de la loi des finances, a indiqué, lundi, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch.« Selon les données actuelles, qui prennent en considération les derniers développements aux niveaux national et international, le Maroc devrait enregistrer un taux de croissance oscillant entre 1,5% et 1,7%« , a-t-il fait savoir lors de son intervention au parlement.

Ce niveau de croissance prévu, recouvre, principalement, le recul de la valeur ajoutée agricole de 11%, contre une hausse de 18% au cours de la précédente campagne agricole, a expliqué M. Akhannouch

Le déficit pluviométrique devrait impacter la campagne agricole actuelle, et la récolte céréalière est attendue en baisse, comparativement aux prévisions de la loi des finances 2022 qui table sur une récolte de 80 millions de quintaux, a-t-il fait remarquer.

Grâce aux efforts consentis dans le cadre des stratégies « Plan Maroc vert » et « Génération Green », la dépendance de la valeur ajoutée agricole aux cultures céréalières s’est réduite, eu égard à l’essor des cultures maraîchères à forte valeur ajoutée, a relevé le chef du gouvernement.

Les exportations des légumes et des agrumes ont ainsi progressé respectivement de 18% et de 37%, a-t-il précisé, notant que les exportations des produits de la pêche se sont accrues de 44% en valeur et de 17% en volume au cours du mois de février 2022.

Les dernières précipitations enregistrées récemment au Maroc sont à même de maintenir à un bon niveau la productivité des cultures de printemps et d’été, ce qui permettra un approvisionnement régulier des marchés intérieurs et étrangers, a assuré M. Akhannouch, ajoutant que cela devrait réduire le repli prévu du PIB agricole.

De son côté, le PIB non agricole devrait progresser d’environ 3,1% en 2022, a fait remarquer M. Akhannouch, rappelant que le taux d’inflation s’est établi à 3,6% en février 2022, selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP), suite à la hausse de 5,5% de l’indice des produits alimentaires et de 2,5% de l’indice des produits non alimentaires.

Le chef du gouvernement a souligné que ces chiffres « sont à prendre avec prudence », vu l’incertitude qui plane sur la conjoncture internationale, où l’espoir est lié à la fin de cette crise, ce qui va faciliter une reprise complète de l’activité économique nationale.

La Bid va décaisser 233 milliards F CFA en faveur du Sénégal

Amadou Hott, ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération et Muhammad Sulaiman Al-Jasser, président du Groupe de la Banque islamique de développement (Bid) ont signé, ce dimanche à Djeddah, en Arabie Saoudite, trois accords de financement.La Banque islamique de développement (Bid), l’un des partenaires financiers les plus dynamiques de l’État du Sénégal, s’engage à participer à la construction de l’Autoroute Dakar-Tivaouane-Saint Louis (156 milliards F CFA), à la mise en œuvre de la Phase 2 du Train express régional Diamniadio-AIBD (65,5 milliards F CFA) et à l’érection d’un complexe commercial et résidentiel Waqf au profit des daaras qui sont des écoles traditionnelles d’apprentissage du Coran (environ 12 milliards F CFA).

Ces montants cumulés font 233,595 milliards F CFA, soit plus de 356 millions d’euros. « L’Autoroute Dakar-Tivaouane-Saint Louis permettra de désenclaver de vastes zones agricoles au Nord et constituera un important levier économique pour l’exploitation pétrolière et gazière en perspective dans la zone de Saint-Louis », indique un communiqué du ministère de l’Économie, du Plan et de la Coopération.

De plus, indique la source, cette infrastructure routière contribuera au désengorgement de Dakar en ouvrant de bonnes perspectives à l’intérieur du pays avec notamment le pôle du Lac Rose. Au plan sous-régional, le Sénégal présente cette voie de communication comme un maillon essentiel du corridor Alger-Tanger-Nouakchott-Dakar-Conakry-Abidjan-Lagos.

Pour ce qui est du Train express régional (Ter), le gouvernement sénégalais estime qu’il va permettre « de favoriser une politique de développement urbain et rural à l’extérieur des zones saturées de Dakar, de contribuer à la résolution des problèmes de mobilité urbaine et interurbaine entre Dakar et les capitales régionales, de relier Dakar à d’importants pôles de développement tels que la nouvelle zone économique intégrée de Diamniadio, l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), le centre touristique de Mbour, ainsi que l’intérieur du pays, etc. »

Enfin, le complexe commercial et résidentiel Waqf « de 19 niveaux » sera bâti « sur un terrain de 2273 m² ». L’objectif est de générer des ressources pour la modernisation des daaras au Sénégal.

Mali : l’Armée de l’air renforce son arsenal

Deux hélicoptères de combat de type MI-24P, des radars de 4e génération et d’autres matériels de combat sont arrivés ce dimanche à l’aéroport international Modibo Keïta de Bamako.Sur terre comme dans l’air, le Mali est en train de mobiliser les moyens pour maitriser la menace jihadiste. Dans cette dynamique, Bamako a reçu « de nouveaux équipements de pointe » pour son Armée de l’air.

Ces acquisitions sont « le fruit d’une collaboration franche entre la Russie et le Mali qui ne date pas d’aujourd’hui, mais aussi de la volonté affichée des autorités de la transition à équiper les Forces armées maliennes (Fama) pour relever le défi sécuritaire », a déclaré le Chef d’Etat-Major Général des Armées, le Général de division Oumar Diarra, lors de la cérémonie de réception.

Poursuivant, il a affirmé que « ce deuxième lot de matériels, venant de la Russie, permettra à coup sûr d’aider les Fama dans leur lutte de tous les jours pour l’éradication du terrorisme sur toute l’étendue du territoire national ». Le Mali doit recevoir de son allié « d’autres matériels militaires », a conclu le Général de division Oumar Diarra.

Politique, économie et tourisme au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce lundi traitent de nombreux sujets dont l’entame du Maroc de son deuxième mandat triennal au sein du CPS de l’UA, la hausse des prix du carburant, la relance du tourisme après la réouverture des frontières terrestres et maritimes et bien d’autres sujets.+Le Matin+ écrit que pour son deuxième mandat triennal au sein du CPS de l’UA, le Maroc, de par son expérience et ses efforts soutenus qui remontent à longtemps en faveur de la consolidation de la paix et de la sécurité en Afrique, se consacrera à impulser un nouvel élan aux actions de ce Conseil.

Le Royaume figure en effet au premier rang des pays qui ont participé aux opérations de maintien de la paix sur le continent africain. Ses forces de maintien de la paix sont actuellement présentes en République centrafricaine et en République démocratique du Congo, et ont été déployées avant dans divers pays du continent tels la Somalie, la Côte d’Ivoire ou l’Angola, rappelle le quotidien.

Le Royaume s’emploiera aussi à donner, durant son mandat au sein du CPS de l’UA, la vigueur qui convient au concept de diplomatie préventive, en particulier dans son volet portant sur la médiation pour la résolution des crises qui agitent le continent africain, estime-t-il.

Une telle détermination a été exprimée par l’ambassadeur représentant permanent du Royaume auprès de l’UA et de la CEA, Mohamed Arrouchi, qui a réaffirmé que «le Royaume du Maroc adhère pleinement et de manière responsable, aux côtés des pays africains frères, dans les chantiers de réforme du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine». « L’approche marocaine, à cet égard, repose sur le renforcement de la transparence des méthodes de travail et de la crédibilité du processus de prise de décision au sein du Conseil », avait déclaré M. Arouchi lors d’une réunion du CPS tenue début avril, cité par la publication.

+L’Economiste+ qui s’intéresse à l’inflation galopante, aux difficultés d’approvisionnement, et à la hausse vertigineuse du prix du fret, relève que l’impact de la guerre en Ukraine plonge le monde et l’entreprise dans beaucoup d’incertitudes.

Un cycle difficile à vivre, souligne d’emblée Chakib Alj, président de la CGEM, invité au Club de L’Economiste. Le représentant du patronat revient sur les principales préoccupations des chefs d’entreprises, notamment les délais de paiement ou encore la transparence dans les marchés publiques.

+L’Opinion+ indique que les ports de Mohammedia et de Nador sont prêts pour recevoir le GNL.

Lors d’un échange avec des médias nationaux, tenu récemment, la ministre en charge de la Transition énergétique, Mme Laila Benali a affirmé que cette infrastructure gazière qui comprend des gazoducs, des ports et des unités de stockage et de regazéification ne permettra pas uniquement de garantir une énergie compétitive au secteur de l’électricité mais également au secteur industriel qui peine à avoir accès au gaz naturel aujourd’hui.

La ministre a également insisté sur l’importance de la construction d’unités de regazéification, faisant savoir que la réalisation de la souveraineté énergétique en matière de gaz naturel passe par la transformation du gaz liquéfié (GNL) qui doit se faire sur le territoire national et l’espace maritime marocain, qu’elle soit au niveau d’une centrale flottante ou d’un terminal terrestre.

Elle a appelé les industriels à procéder à leurs calculs économiques et financiers pour statuer sur la solution la plus immédiate, notant que, selon l’ANP, les ports qui sont prêts relativement pour recevoir le GNL sont ceux Mohammedia et Nador.

+Al Bayane+ estime que depuis la réouverture des frontières aériennes et maritimes, les touristes étrangers sont de plus en plus nombreux à venir visiter le pays.

Dans l’ancienne médina de Tanger, les groupes de touristes sont de retour. Souvent accompagnés de guides touristiques, les voyageurs découvrent et s’abandonnent à la magie de la médina. Les bazaristes et autres commerçants dépendant principalement du tourisme durement impacté par la crise sanitaire, sont confiants et ont de l’espoir, fait observer la publication.

Lutte contre la désinformation : l’UE finance les médias numériques ivoiriens

L’Union Européenne (UE) compte décaisser 655 millions F CFA en faveur notamment du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI) pour lutter contre les fausses informations qui peuvent « déstabiliser les institutions et détruire la confiance des citoyens ».À l’ère du numérique, les infox poussent comme un champignon. Le projet dénommé Implication des médias numériques dans la prévention active des conflits et des tensions (Impact) de l’Union Européenne (UE), qui sera mis en œuvre en Guinée et en Côte d’Ivoire pendant deux ans, vise à démêler le vrai du faux.

Lancé le 7 avril dernier, ce programme a été officialisé cinq jours plus tard à Abidjan en présence des acteurs de l’écosystème de la presse en ligne, de la société civile et des autorités administratives. Le nouvel instrument, a soutenu Antonio Dal Borgo, le représentant de l’UE chargé des programmes de gouvernance démocratique et emploi, permettra aux journalistes de collecter, vérifier et diffuser des informations crédibles dans le but de maintenir la paix sociale.

« Plus d’un demi-milliard de dollars a été dépensé par les forces politiques dans le monde entier avec l’objectif de manipuler l’opinion publique et de procéder à des manœuvres psychologiques sur les médias sociaux », a renseigné M. Dal Borgo. À sa suite, Lassina Sermé, le président du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI), a fait savoir que le projet Impact s’inscrit dans « une démarche participative et inclusive basée sur une approche centrée sur le droit » d’accès à une information de qualité.

Poursuivant, M. Sermé a souligné l’importance de l’implication active des organisations de la presse, des partenaires techniques, de la société civile, mais aussi des autorités étatiques dans l’exécution du projet afin qu’il soit « couronné de succès ».

Représentant Kouadio Konan Bertin, ministre de la Réconciliation et de la Cohésion nationale, le préfet Guillaume Konan s’est réjoui de cette initiative qui contribue à la cohésion nationale et à la paix en Côte d’Ivoire. Le REPPRELCI, a mentionné son président, va organiser des caravanes de sensibilisation dans dix villes. L’organisation y tiendra des discussions autour de « 1000 sujets » avec les populations, surtout les élèves et étudiants, pour former « 10.000 journalistes citoyens ».

Poursuivant, Lassina Sermé a annoncé la création d’une plateforme de 160 journalistes chargés de censurer les contenus haineux en ligne. Le renforcement de l’Observatoire des médias numériques de Côte d’Ivoire (Omenci), un organe d’autorégulation, est également envisagé.

En Côte d’Ivoire, d’après le dernier recensement du REPPRELCI, il existe une centaine de médias numériques. « À peine 50 % (d’entre eux) remplissent les conditions d’une entreprise de presse », Samba Koné, le président de l’Autorité Nationale de la Presse (ANP) qui régulate la presse écrite et numérique.

La Côte d’Ivoire compte 31 millions de téléphones mobiles connectés pour environ 26 millions d’habitants. En 2021, le taux de pénétration d’Internet était de 46,8 %, soit plus de 12 millions d’internautes.

Côte d’Ivoire : les mareyeuses bientôt formées sur la gouvernance des pêches

Les modules de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO, sigle en anglais) porteront notamment sur le leadership féminin, la comptabilité simplifiée et la gestion financière.Faire des mareyeuses ivoiriennes de « véritables managers » et leurs groupements des entreprises viables capables de capter les financements, c’est l’objectif poursuivi par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Dans cette optique, Fatou Sock, Coordonnatrice régionale du projet Initiative Pêche Côtière – Afrique de l’Ouest (IPC-AO), lors d’une visite effectuée mercredi dernier au débarcadère Mohammed VI de Locodjro, dans l’Ouest d’Abidjan, a souligné que « les femmes, dans la pêche artisanale, ont des charges très lourdes, mais ne sont pas souvent mises en valeur ou sont faiblement appréciées ».

Elles sont nombreuses, ces dames qui prennent en charge leurs familles grâce aux ressources générées par cette activité. Face à Fatou Sock, les mareyeuses de ce site pilote ont expliqué leurs difficultés d’accès à la ressource.

« Ici, la pêche est saisonnière. Avec des bateaux, une pêche quotidienne est possible », a affirmé Hypolithe Beugré, le président des marins actifs durant « seulement trois mois » dans l’année. Fruit de la coopération entre la Côte d’Ivoire et le Maroc, le débarcadère de Locodjro est doté de 18 fours FTT (fourneau à double fonction de cuisson et de séchage mécanique, pouvant également servir au stockage), mais « deux ou trois marchent » à cause du déficit de produits halieutiques. Ils présentent l’avantage d’éviter aux femmes de développer des maladies découlant de la fumée, a relevé Isabeth Abo, la doyenne des mareyeuses.

L’IPC-AO prévoit, dans ces séances de formations, de tout mettre en œuvre pour renforcer la qualité des produits afin de faciliter leur commercialisation. Le débarcadère de Locodjro, selon son gestionnaire Lama Bakayoko, vise une production de 3000 tonnes de poissons par an. Actuellement, elle est estimée à 782 tonnes.

Les mareyeuses de Locodjro sont aidées en continu par un consultant en chaîne des valeurs. Avec cet accompagnement, elles ont acquis une expertise pointue dans le domaine du fumage des poissons. Ainsi, les mareyeuses de Sassandra (Sud-Ouest ivoirien), un autre site pilote, sont venues se former à Locodjro.

« De cette même façon, on va amener les femmes de Locodjro à Dionewar, au Sénégal, où les fours FTT ont été initiés par la FAO pour qu’elles leur apprennent leurs techniques », a informé Fatou Sock, la Coordonnatrice régionale du projet Initiative Pêche Côtière – Afrique de l’Ouest (IPC-AO).

RCA : arrivée de la force de réaction rapide du Sénégal

L’envoi de ces 162 Casques bleus s’inscrit dans le cadre de la résolution 2566 qui autorise l’accroissement des effectifs de la force de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en Centrafrique (Minusca).L’avion transportant les soldats de la force de réaction rapide du Sénégal a atterri, hier samedi, à l’aéroport international Mpoko de Bangui. Venu accueillir les Casques bleus, le Général Stéphane Marchenoir, Chef d’état-major de la force de la Minusca, a déclaré : « Ils vont être engagés sous les ordres de ce qu’on appelle un commandant de secteur et employés partout dans le secteur en suivant les missions qui leur seront données ».

Cette unité de l’armée sénégalaise sera basée à Bouar, dans l’Ouest de la République centrafricaine. Elle est censée augmenter la capacité opérationnelle de la Minusca.

Ligue des champions d’Afrique : Al Ahly d’Egypte bat le Raja de Casablanca (2-1)

Le club égyptien, Al Ahly, le plus titré d’Afrique, a battu samedi à domicile, son homologue du Raja de Casablanca (2-1) en quart de finale aller de la Ligue des champions d’Afrique de football.Dans un match disputé et accroché, les Egyptiens ont ouvert le score dès la 11ème minute sur penalty inscrit par Amro Soulaya avant que son coéquipier Houcine Chahat ne double la mise à la 23ème minute du jeu.

L’unique but du Raja de Casablanca a été l’œuvre de Mohamed Zrida (45+1è minute).

Réduits à 10 pendant 30 minutes, les Marocains ont résisté aux nombreuses attaques d’Al Ahly qui a raté un penalty à la 61ème minute du jeu.

Le match retour aura lieu la semaine prochaine à Casablanca.

Le Maroc condamne fermement l’incursion des forces d’occupation israélienne dans la mosquée Al Aqsa

Le Maroc, dont le Roi Mohammed VI, préside le Comité Al Qods relevant de l’Organisation de la Coopération Islamique, exprime sa ferme condamnation et sa forte dénonciation de l’incursion des forces d’occupation israélienne dans la mosquée Al Aqsa, la fermeture de ses portes et l’agression des fidèles désarmés dans l’enceinte de la mosquée et sur ses esplanades, causant nombre de blessés.Dans un communiqué, le ministère marocain des Affaires Étrangères indique que le Royaume considère que cette agression flagrante et cette provocation méthodique durant le mois sacré du Ramadan contre le caractère sacré de la mosquée et sa place dans le cœur de la Oumma islamique ne fera qu’attiser les sentiments de haine et d’extrémisme et réduire à néant les chances de relance du processus de paix dans la région.

Le Maroc appelle les Nations Unies et la communauté internationale à intervenir d’urgence pour mettre un terme à ces violations et agressions contre le peuple palestinien désarmé et ses valeurs sacrées, ajoute la même source.

Sur instructions du Roi Mohammed VI, cette condamnation et cette dénonciation ont été communiquées directement au chef du bureau de liaison israélien à Rabat, conclut le communiqué.

Rugby à 7 : le Sénégal avance masqué vers la Coupe d’Afrique

La sélection olympique espère frapper un grand coup durant la compétition prévue les 23 et 24 avril 2022 à Kampala, en Ouganda.« On nous tue, mais on ne nous déshonore pas ! ». La Fédération Sénégalaise de Rugby (FSR) a fait sienne la devise de l’armée du pays pour aller à l’assaut de ses adversaires dans le cadre de l’Africa Cup.

Ce tournoi est qualificatif à la Coupe du monde de rugby à 7 et aux Jeux du Commonwealth. Il mettra aux prises 14 nations africaines : l’Ouganda, la Namibie, le Sénégal, la Zambie, le Cameroun, le Burkina, le Bostwana, le Ghana, le Zimbabwe, le Kenya, l’île Maurice, le Burundi et Madagascar.

Pour son entrée en lice, le Sénégal sera opposé au Kenya considéré comme « un géant du rugby mondial », souligne la FSR.