Roland Amouzou, latéral de l’ASKO de Kara, confiant avant le duel contre l’Algérie

À l’approche du match amical opposant la sélection nationale togolaise aux redoutables Fennecs de l’Algérie, le défenseur latéral des Éperviers locaux, Roland Amouzou, a exposé sa vision quant à l’état d’esprit régnant au sein de l’équipe. La confrontation très attendue se déroulera au Stade de Kégué ce vendredi 5 janvier à 20 heures GMT.

Sous la direction du nouveau staff technique dirigé par Kader Coubadja Touré, les Éperviers locaux amorcent leur première rencontre amicale en affrontant les Fennecs de l’Algérie, qui se préparent intensément pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023 en Côte d’Ivoire. Actuellement en stage à Lomé jusqu’au 10 janvier, les Algériens représentent un test significatif pour la formation togolaise.

Selon Roland Amouzou, l’un des membres les plus chevronnés de l’équipe, qui a déclaré en ces termes : « Bien que ce soit un match amical, notre approche demeure empreinte de sérieux car nous percevons cette rencontre comme une opportunité de démontrer au public sportif que nous demeurons compétitifs dans le championnat. La cohésion au sein du groupe et avec le staff est excellente. Notre objectif consiste à réaliser une prestation de qualité. Malgré la renommée de l’Algérie en tant que grande nation du football, nous n’éprouvons aucune pression. Nous comptons sur le soutien du public, similaire à celui rencontré lors de nos précédentes confrontations contre le Sénégal et le Cap-Vert, car ensemble, nous pouvons accomplir beaucoup. » On peut affirmer que l’atmosphère au sein de la sélection des Éperviers est très calme et sereine, et leurs objectifs visés face à l’équipe dirigée par Djamel Belmadi à quelques jours de cette confrontation sont bien définis.

Ainsi, la rencontre de vendredi s’annonce comme un moment clé pour les Éperviers locaux, qui aspirent à démontrer leur constante présence sur la scène internationale du football.

 

Suspension des Évaluations et Accréditations des Diplômes par la GFN: Une Mesure Rigoureuse suite à des Révélations Troublante

Dans un communiqué officiel émis ce mardi, le gouvernement fédéral du Nigeria a pris la décision radicale de suspendre temporairement le processus d’évaluation et d’accréditation des diplômes émanant de la République du Bénin et du Togo. Cette mesure drastique fait suite à une enquête médiatique révélatrice exposant des cas avérés d’acquisition frauduleuse de qualifications académiques par des individus désireux de parvenir à la reconnaissance éducative.

Le Daily Nigerian, dans son édition du 30 décembre 2023, a exposé en détail le cheminement de son journaliste infiltré, déjà pourvu d’un diplôme d’une institution universitaire nigériane et ayant accompli une année de service au sein du National Youth Service Corps (NYSC). Ce journaliste a réussi à obtenir un diplôme universitaire à Cotonou en un temps record de six semaines, avant de participer au programme NYSC.

Répondant à ces développements, le ministère fédéral de l’Éducation a décidé de suspendre  l’évaluation et l’accréditation des diplômes en provenance du Bénin et du Togo. Cette suspension perdurera pendant la durée d’une enquête approfondie, impliquant les ministères de l’Éducation et des Affaires étrangères des deux pays, ainsi que le Département des services de sécurité de l’État et le National Youth Service Corps.

Dans le communiqué de presse émis par Mme Augustina Obilor-Duru de la Direction de la presse et des relations publiques du ministère, il est souligné : « L’attention du ministère fédéral de l’Éducation a été attirée sur le travail méritoire du journalisme d’investigation ayant abouti à la publication du Daily Nigerian en date du 30 décembre 2023, intitulée « UNDERCOVER : Comment un journaliste du DAILY NIGERIAN a décroché un diplôme universitaire à Cotonou en 6 semaines et a participé au programme NYSC ». »

Le gouvernement a exprimé sa ferme opposition à de tels agissements et a pris la décision de suspendre l’évaluation des diplômes des républiques du Bénin et du Togo à compter du 2 janvier 2024, en attendant les résultats de l’enquête impliquant les ministères des Affaires étrangères, de l’Éducation, le Département des services de sécurité de l’État (DSS) et le National Youths Service Corps (NYSC).

Le ministère appelle la population à soutenir ces mesures, à faire preuve de compréhension et à fournir des informations utiles pour faciliter la résolution de cette problématique. Des processus administratifs internes ont également été enclenchés pour déterminer la responsabilité potentielle du personnel, sous réserve des règles applicables de la fonction publique.

La question des « usines à diplômes », institutions opérant souvent en marge des régulations éducatives, est soulignée comme un enjeu mondial auquel le Nigeria est confronté. Le ministère s’engage à collaborer avec les parties prenantes, y compris les organisations de la société civile, pour constamment améliorer le système éducatif nigérian.

En conclusion, le ministère fédéral de l’Éducation exprime ses vœux pour une nouvelle année fructueuse et appelle à une coopération continue pour renforcer le secteur éducatif du pays.

Tragédie aérienne à Tokyo-Haneda : Quand le ciel Japonais verse ses larmes

Le ciel au-dessus de Tokyo s’est transformé en scène de deuil ce mardi 2 janvier, alors que deux avions se sont violemment heurtés sur la piste de l’aéroport de Tokyo-Haneda. Cette collision aérienne a entraîné une issue funeste, coûtant la vie à cinq personnes et laissant derrière elle un tableau de désolation gravé dans l’histoire de l’aviation japonaise.

Les cinq victimes, malheureusement décédées dans cet accident tragique, étaient à bord de l’avion des garde-côtes japonais impliqué dans la collision avec un avion de ligne de la Japan Airlines. Les images poignantes de l’incident ont capturé l’avion de ligne en proie aux flammes, laissant dans son sillage une traînée de destruction sur le tarmac de l’aéroport.

Le vol impliqué était le JAL 5016, un Airbus A350-900 en provenance de Sapporo, dans le nord du Japon. La perte des cinq occupants des garde-côtes japonais a suscité une profonde tristesse et a incité les autorités à fermer temporairement toutes les pistes de l’aéroport de la capitale japonaise. Les équipes de secours ont déployé des efforts héroïques pour contenir l’incendie et évacuer les passagers et l’équipage de l’avion de ligne.

Cette tragédie, secouant le Japon où de tels incidents sont rares, a transformé Tokyo-Haneda, l’un des aéroports internationaux les plus fréquentés, en un lieu de deuil. Le rappel d’accidents aériens antérieurs, notamment celui de 1985 qui a coûté la vie à 520 personnes, ajoute une couche de gravité à cette nouvelle catastrophe.

Les autorités japonaises ont rapidement mis en place des équipes d’enquête pour élucider les circonstances de cette collision mortelle. Les experts de l’aviation sont mobilisés pour comprendre les détails de cet accident inattendu, dans l’espoir que les leçons tirées renforceront la sécurité aérienne au Japon et au-delà. Cette douloureuse perte de cinq vies souligne l’urgence de réévaluer les protocoles de sécurité pour prévenir de futurs drames similaires.