Engagement Présidentiel pour l’Écologie et la Jeunesse à Aného

Dans une démarche empreinte de solennité et de respect pour la nature, le Président Faure Essozimna Gnassingbé a honoré la préfecture des Lacs de sa présence inopinée.

Le Président Faure Essozimna Gnassingbé a honoré la préfecture des Lacs de sa présence inopinée et a planté un baobab.Lors de cette visite, qui s’inscrivait en marge du premier séminaire gouvernemental de l’année, le dirigeant togolais a marqué son engagement envers l’écologie par un geste hautement symbolique : la plantation d’un Baobab, cet arbre majestueux, véritable emblème de la sagesse et de la pérennité au sein des communautés locales.

Par ailleurs, le périple présidentiel s’est poursuivi par une halte au Centre de lecture et d’animation culturelle, où le Président a pu mesurer l’étendue du talent de la jeunesse togolaise à travers leur maîtrise du noble jeu d’échecs. Cette visite a souligné l’importance que le chef de l’État accorde à l’épanouissement intellectuel et culturel des jeunes.

En point d’orgue, le Président a également inspecté les avancées du chantier du centre multifonctionnel des jeunes d’Aného. Cette future institution se veut un catalyseur d’initiatives entrepreneuriales et sportives, promettant de devenir un pilier central pour le dynamisme et l’autonomie des jeunes de la région.

Lors de chaque étape de ce voyage, les citoyens ont exprimé leur enthousiasme et leur soutien indéfectible au Président par des acclamations ferventes, témoignant ainsi de l’harmonie entre le peuple et son dirigeant.

Le séminaire gouvernemental du Togo

Sous la présidence éclairée de Son Excellence Faure Essozimna Gnassingbé, le gouvernement togolais s’est réuni dans la ville historique d’Aného pour un séminaire d’importance capitale. L’objectif primordial de cette rencontre était de catalyser les efforts nationaux pour la réalisation de la vision ambitieuse de la Feuille de route gouvernementale Togo 2025. Le Président a exhorté ses ministres à intensifier leurs actions pour concrétiser les aspirations des citoyens togolais.

Bilan et perspectives : une analyse multisectorielle durant le séminaire.

Par ailleurs, les dignitaires ont méticuleusement examiné l’avancement des initiatives clés, avec un accent particulier sur les secteurs vitaux tels que l’agriculture, l’hydraulique, la santé, l’éducation et le numérique. Ils ont également évalué les progrès accomplis et les obstacles à surmonter, réaffirmant leur engagement envers une transformation significative et tangible.

En outre, une innovation majeure a été mise en lumière : l’Agence de transformation agricole, une percée présidentielle de 2023. Cette initiative vise à alléger la charge de travail des agriculteurs, à promouvoir des méthodes agricoles modernes et à accroître la productivité, tout en améliorant substantiellement les revenus des travailleurs ruraux.

Détermination face aux adversités : un cap maintenu.

Malgré les turbulences sécuritaires régionales et un climat économique global incertain, le gouvernement togolais reste inébranlable dans sa quête des objectifs du Togo 2025. La solidarité ministérielle et la volonté de progresser reflètent une résolution ferme à surmonter les défis présents et futurs.

La gouvernance au diapason du peuple

Le Président Gnassingbé a mandaté son cabinet de renforcer le lien indissoluble entre les politiques publiques et le quotidien des Togolais. Il souligne que l’expérience vécue par les populations doit être le baromètre ultime d’une gouvernance réellement dédiée à leur service.

En plus, la Feuille de route gouvernementale, pierre angulaire de cette nouvelle ère, aspire à édifier un Togo pacifié et moderne, caractérisé par une croissance économique inclusive et durable. Depuis son inauguration en 2020, cette stratégie a déjà porté ses fruits, avec des avancées notables dans des domaines cruciaux pour le développement national.

En somme, ce séminaire gouvernemental à Aného marque un tournant décisif, où le Togo réaffirme son engagement envers un avenir prospère, équitable et résilient.

Une Nouvelle Ère Numérique en Afrique de l’Ouest

 Le 6 mars 2024 marque une date historique pour l’Afrique de l’Ouest avec l’annonce par la Banque mondiale de l’activation d’un accord de financement avec la Commission de la CEDEAO. Cette initiative, soutenue par l’Association internationale de développement, inaugure une ère de progrès numérique grâce à une subvention dédiée au Programme régional pour la transformation numérique de l’Afrique (DTfA/WARDIP).

Objectifs Ambitieux pour une Région Connectée

Le programme DTfA/WARDIP se lance dans une mission audacieuse : élargir l’accès au haut débit et intensifier son utilisation pour une intégration économique accrue. En visant à réduire la fracture numérique, le programme aspire à rendre Internet plus accessible et compétitif, tout en améliorant les infrastructures essentielles.

L’ambition est de créer des opportunités d’emploi inédites et d’offrir des services améliorés à plus d’un million de personnes, en mettant l’accent sur l’équité de genre et l’inclusion des personnes handicapées.

La Commission de la CEDEAO, en collaboration avec des acteurs régionaux clés, s’engage à établir un marché numérique régional cohérent. Grâce à une subvention de 10,5 millions USD sur cinq ans, la Commission vise à encourager la coopération transfrontalière et à renforcer la sécurité des initiatives numériques.

Vision Prospère pour l’Économie Numérique

En harmonie avec les objectifs de la CEDEAO, le DTfA/WARDIP se positionne comme catalyseur de croissance économique et d’inclusion sociale. La subvention allouée soutiendra le renforcement des cadres juridiques et réglementaires, ainsi que le développement d’infrastructures réseau robustes.

Elle contribuera également à la cyber-résilience régionale et à la promotion de services financiers numériques, de commerce électronique et de services digitaux étatiques, essentiels à l’intégration régionale et à un avenir prospère.

Une Vision Économique pour l’huile de Palme en Afrique de l’Ouest

Dans la capitale nigériane, Abuja, du 12 au 14 mars 2024, les éminents spécialistes et industriels de l’or vert de l’Afrique de l’Ouest échangent sous l’égide de la CEDEAO. Leur objectif  est de  Forger un consensus sur la régulation de la production et du commerce de l’huile de palme, pierre angulaire de l’économie régionale, dans le cadre du Schéma de Libéralisation des Echanges (SLE).

Un pas vers l’autosuffisance économique grâce à l’Huile de Palme

En effet, la réunion a été l’occasion de débattre des seuils métriques, ces indicateurs essentiels à l’évaluation de la capacité de production d’huile de palme. Ces seuils, véritables balises de la performance économique, doivent refléter les réalités des États membres pour favoriser une exportation avantageuse sous le régime préférentiel.

M. Yakubu A. DADU, PhD, figure de proue de la CEDEAO au Nigeria, a salué la présence des experts venus des quatre coins de la région. Il a également exhorté les participants à une réflexion approfondie sur la capacité de production, l’analyse des flux commerciaux et la compréhension des défis inhérents au secteur.

Abuja, du 12 au 14 mars 2024, les spécialistes et industriels de l'huile de palme en Afrique de l’Ouest échangent  sous l’égide de la CEDEAO

Plaidoyer de la Commissaire aux Affaires Economiques et à l’Agriculture de la CEDEAO pour un secteur fortifié

Madame Massandjé Touré-Litsé, Commissaire aux Affaires Economiques et à l’Agriculture de la CEDEAO, a souligné l’importance cruciale du secteur de l’huile de palme. Elle a aussi appelé à un renforcement du secteur pour assurer la compétitivité internationale des opérateurs économiques ouest-africains.

La réunion a également mis en lumière les frictions liées à l’origine des produits et leur libre circulation transfrontalière. Ces discussions visent à harmoniser les positions et à consolider le secteur face aux défis présents et futurs.

Pour conclure, rappelons que le SLE est un instrument vital pour la libre circulation des biens au sein de la CEDEAO, favorisant ainsi l’épanouissement du marché commun ouest-africain et stimulant la croissance économique régionale.

 

Expansion des CLAC : Une Nouvelle Ère Culturelle au Togo

Le 4 mars 2024 a marqué un jalon historique pour le Togo avec l’inauguration officielle de son second réseau de Centres de lecture et d’animation culturelle (CLAC). Cette expansion porte à 20 le nombre de centres dédiés à la culture et à la lecture, témoignant de l’engagement du pays envers l’accessibilité culturelle.

Depuis leur création en 2000, les CLAC ont joué un rôle crucial dans la démocratisation de l’accès à la cultureVingt Ans de Progrès et d’Inclusion Culturelle avec les CLAC

Depuis leur création en 2000, les CLAC ont joué un rôle crucial dans la démocratisation de l’accès à la culture. Avec 12 centres initiaux, ils ont accueilli annuellement plus de 200 000 visiteurs, promouvant l’égalité des sexes en attirant presque autant de femmes que d’hommes. Malgré ces succès, la demande culturelle croissante a conduit à une réforme ambitieuse en 2021, soutenue par l’OIF, visant à unifier les CLAC et les bibliothèques publiques sous un même réseau.

Le nouveau réseau enrichit l’offre culturelle avec 8 nouveaux centres, étendant son influence à la région des Savanes. Cette initiative porte à plus de 500 000 le nombre de Togolais bénéficiant directement des services des CLAC, consolidant ainsi la vision d’une nation culturellement prospère.

Des Objectifs Ambitieux pour l’Avenir Culturel du Togo 

Lors de la cérémonie d’inauguration, le ministre de la Culture et du Tourisme, Kossi Lamadokou, a souligné l’importance des CLAC dans la promotion des talents locaux et la rétention des jeunes dans leurs communautés. Ces centres ne sont pas seulement des lieux de lecture, mais des incubateurs de créativité et d’identité culturelle.

Initiés par l’OIF en 1986, les CLAC ont toujours eu pour mission de rapprocher la culture des populations rurales et péri-urbaines. Aujourd’hui, avec 328 centres dans 22 pays, ils continuent d’innover en intégrant des technologies numériques pour enrichir leur offre documentaire.

L’OIF et le Togo : Partenaires pour une Culture Durable et Inclusive

Dans sa programmation 2024-2027, l’OIF s’engage à moderniser davantage les CLAC, en améliorant l’accès aux ressources pour les femmes et les filles, en valorisant le patrimoine local, et en réduisant l’empreinte écologique par l’utilisation de l’énergie solaire. TRAN Thi Hoang Mai, représentante de l’OIF pour l’Afrique de l’Ouest, a exhorté les communautés à s’approprier pleinement ces espaces culturels.

Un Horizon de Possibilités pour la Côte d’Ivoire

L’expansion des CLAC ne s’arrête pas au Togo. La Côte d’Ivoire, avec son riche héritage francophone, se prépare également à inaugurer son réseau de CLAC, promettant de nouvelles opportunités de développement culturel et de participation citoyenne.

En conclusion, les CLAC, à travers leur évolution constante, démontrent une capacité remarquable à s’adapter aux besoins des populations. Ils représentent une vision culturelle sans frontières, où chaque individu a la liberté d’explorer, d’apprendre et de contribuer au patrimoine commun. Avec l’inauguration imminente des CLAC en Côte d’Ivoire, l’espace francophone s’apprête à franchir un nouveau seuil d’intégration culturelle et de dynamisme communautaire.

 

L’Assemblée Nationale Prolonge l’État d’Urgence

Dans un élan de solidarité nationale, l’Assemblée nationale de la République a unanimement adopté la prorogation de l’état d’urgence sécuritaire dans la région des Savanes. Cette décision, prise lors de la première séance plénière de l’année 2024, reflète la détermination du gouvernement à contrer la menace terroriste persistante.

 

l’Assemblée nationale de la République a unanimement adopté la prorogation de l’état d’urgence sécuritaire dans la région des Savanes. Une Réponse Législative à l’Insécurité Croissante 

Face à l’escalade des attaques terroristes, le gouvernement, sous l’égide de Hodabalo Awaté et Pacôme Adjourouvi, a proposé une extension de douze mois de l’état d’urgence, expirant initialement le 12 mars 2024. Cette mesure vise à renforcer les capacités des forces de défense et de sécurité et à assurer la protection des citoyens et de leurs biens.

Un Consensus Parlementaire pour la Sécurité Nationale

Les groupes parlementaires NET-PDP, UFC et UNIR ont exprimé leur soutien indéfectible au projet de loi. Gerry Taama a rendu hommage à la bravoure des forces armées, tandis que Komi Agbanu a souligné l’importance du soutien gouvernemental dans la protection civile. Atcholi Aklesso a, quant à lui, honoré la mémoire des victimes et réitéré son appui aux mesures gouvernementales.

Vers une Stabilité Renforcée en Prévision des Élections

Dans le contexte des élections législatives et régionales d’avril 2024, cette prorogation est perçue comme essentielle pour maintenir l’ordre public et la sécurité. Elle permettra également de préparer les forces de l’ordre à répondre efficacement à toute évolution de la situation sécuritaire.

l’Assemblée nationale de la République a unanimement adopté la prorogation de l’état d’urgence sécuritaire dans la région des Savanes.

L’Engagement du Gouvernement et de l’Assemblée Nationale

Hodabalo Awaté a salué l’engagement de l’Assemblée nationale, soulignant que l’adoption du projet de loi illustre la capacité à agir promptement pour la sauvegarde de la nation. Le vote confère au gouvernement les outils juridiques nécessaires pour assurer la sérénité des élections à venir. Sous la direction du Président de la République, ces instruments légaux seront utilisés pour garantir des élections pacifiques et sécurisées.

Pacôme Adjourouvi a mis en avant l’importance de ce vote, qui offre aux citoyens les moyens de pleinement exercer leur droit de vote. La Présidente de l’Assemblée nationale a félicité les députés pour leur sens aigu du devoir, ayant permis l’adoption de cette mesure cruciale. Elle a également loué la prévoyance du Président de la République, assurant la sécurité et le bien-être des citoyens.

Une Démarche Législative pour la Sécurité et la Démocratie

Le projet de loi, composé de deux articles, est un témoignage de la résilience et de l’unité du peuple face à l’adversité. Il représente un jalon important dans la préservation de l’intégrité territoriale et la garantie de la sécurité nationale, tout en respectant les droits fondamentaux des citoyens.

En somme, cette initiative législative est une étape cruciale pour la préservation de l’intégrité territoriale et la garantie de la sécurité nationale, témoignant de la résilience et de l’unité du peuple face à l’adversité.

 

Élan Innovateur : Le Togo Forge Son Avenir Économique

Le 05 mars 2024, dans l’écrin numérique du deuxième forum des Nations Unies, Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, éminente Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, a apporté sa contribution visionnaire par visioconférence.

En effet, L’événement, qui s’est déroulé sur deux jours à Helsinki, a été le théâtre d’un dialogue constructif sous le haut patronage du Bureau du Haut Représentant des Nations Unies et du Gouvernement finlandais.

Sous le thème évocateur « L’innovation au service de la transformation structurelle des PMA »

L’Innovation au Cœur du Développement

Sous le thème évocateur « L’innovation au service de la transformation structurelle des PMA », la conférence a adopté un format hybride, conjuguant présence physique et virtuelle.  Par ailleurs , Elle a rassemblé une pléiade de ministres, décideurs, chercheurs et acteurs de la société civile, tous unis par un objectif commun : exploiter l’innovation, la numérisation et la technologie pour catalyser le développement durable.

Un Forum d’Envergure Internationale

Les sessions ministérielles, panels et ateliers ont mis en lumière les stratégies innovantes et les avancées technologiques comme leviers de croissance et de résilience post-pandémique. Le forum a également souligné l’importance cruciale de la mise en œuvre du programme d’action de Doha, visant à surmonter les défis socioéconomiques et environnementaux actuels pour atteindre les objectifs de développement durable.

Le Togo au Front de l’Innovation

Madame MIVEDOR-SAMBIANI, lors de son allocution sur les « Stratégies visant à accélérer l’innovation et la transformation structurelle », a mis en exergue l’importance capitale de l’innovation dans l’ascension économique et sociale. Elle a aussi présenté les initiatives audacieuses du Gouvernement togolais, sous l’égide de Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINBGE, pour propulser l’économie togolaise vers une transformation structurelle robuste et pérenne.

La Feuille de Route 2020-2025 : Un Plan d’Action pour l’Avenir

La stratégie nationale, incarnée par la Feuille de Route 2020-2025, vise une transformation économique structurée, renforçant la résilience et favorisant une croissance inclusive. D’importants investissements dans les secteurs clés tels que l’énergie, les infrastructures et le manufacturier marquent une étape décisive vers la concrétisation de cette vision.

Partenariat Public-Privé : Un Modèle de Réussite

En outre, L’accent a été mis sur la contribution significative du secteur privé dans ce processus de métamorphose économique. Le Togo, précurseur dans la création d’un environnement propice aux investissements privés, a consolidé cette dynamique avec l’adoption de la loi sur les contrats de partenariat public-privé, ouvrant la voie à une collaboration fructueuse et à un financement partagé.

Perspectives Internationales

En conclusion, il convient de rappeler la participation active de la délégation togolaise, dirigée par la Première Ministre, à la 5e conférence des PMA à Doha en mars 2023, témoignant de l’engagement continu du Togo sur la scène internationale.

Cette réécriture vise à présenter l’article sous un angle plus formel et analytique, tout en mettant en avant les initiatives et les perspectives d’avenir pour les pays les moins avancés.

L’essor du Multilinguisme est soutenu par la Francophonie et l’ONU

Dans un monde où la communication est essentielle, la Secrétaire Générale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, a récemment rencontré Movses Abelian, Secrétaire Général adjoint des Nations Unies et Coordonnateur pour le multilinguisme. Cette rencontre a mis en lumière les défis actuels du multilinguisme, exacerbés par une crise de liquidités qui menace son effectivité.

Les discussions ont révélé une préoccupation commune quant à la capacité des organisations internationales à maintenir une communication inclusive et diversifiée. La crise financière actuelle pose un risque significatif à la promotion et à la pratique du multilinguisme, un pilier fondamental pour l’engagement global et la diplomatie.

Face à ces enjeux, le nouveau Cadre stratégique des Nations Unies sur le multilinguisme, porté par une ambition renouvelée, vise à garantir que les langues ne soient pas un frein à l’accès à l’information et à la participation aux débats mondiaux. Ce cadre stratégique perçu comme un vecteur potentiel de changement, promeut l’égalité linguistique au sein des instances internationales.

En outre, la formation des traducteurs et interprètes issus des pays francophones représente  un axe majeur. Le renforcement des dispositifs de formation est crucial pour assurer non seulement la représentation linguistique mais aussi pour favoriser l’emploi et l’intégration professionnelle des jeunes dans ces régions.

Cette rencontre entre la Francophonie et les Nations Unies souligne l’importance d’une collaboration continue pour surmonter les obstacles financiers et structurels et pour faire avancer la cause du multilinguisme. C’est un pas de plus vers un avenir où chaque voix, dans toutes les langues, peut être entendue sur la scène mondiale.

Fonds Tinga : l’électrification pour Tous au Togo

Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, la région Centrale du togo  accueille avec enthousiasme l’opérationnalisation du Fonds Tinga. Après un succès retentissant dans les régions des Savanes, de la Kara et des Plateaux, le projet phare s’implante à Blitta et à Sokodé. Sous l’égide de la ministre Mila Aziablé, responsable de l’énergie et des mines, la cérémonie inaugurale du samedi 9 mars a marqué un tournant décisif dans la politique énergétique nationale.

Une Collaboration Ministérielle pour l’Énergie Durable

En effet, La présence remarquée du ministre de l’environnement, Foli-Bazi Katari, lors de cette cérémonie, symbolise l’union des forces gouvernementales pour un objectif commun : le renforcement de la distribution énergétique. Ce projet ambitieux, qui englobe les villes de Dapaong, Kara, Sokodé, Atakpamé, Kpalimé et Aného, promet également  une révolution dans la gestion des branchements électriques et vise une augmentation significative du taux d’électrification.

Le Fonds Tinga : Un Levier pour l’Accessibilité Électrique

En outre, le Fonds Tinga se distingue comme un instrument de changement, facilitant l’accès à l’électricité pour les ménages par des branchements simplifiés aux réseaux électriques. Avec des frais d’accès symboliques de 1 000 FCFA, contre les 100 000 FCFA habituels, le projet se positionne comme un catalyseur d’équité sociale. La ministre Aziablé souligne l’importance cruciale de ce fonds, un vecteur essentiel pour dynamiser l’accès à l’électricité.

Depuis son lancement en phase pilote en 2022, le Fonds Tinga a déjà raccordé près de 42 000 ménages, touchant ainsi environ 300 000 citoyens dans trois régions. La vision à long terme du gouvernement, ambitieuse et pragmatique, aspire à connecter 1 200 000 ménages à l’horizon 2030, témoignant d’un engagement sans faille envers le progrès et l’inclusion énergétique.

Une Renaissance Infrastructurelle à Kara : Un Pont Vers le Progrès

Dans la ville de Kara, un vent de changement souffle sur les axes routiers, annonçant une ère de modernisation presque aboutie. Lors d’une visite éclair le samedi 09 mars, le Premier ministre Victoire Tomégah-Dogbé, accompagné de Ousmane Diagana, Vice-président de la Banque Mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, a pu constater l’avancement significatif des travaux.

Au cœur de cette transformation, un pont majestueux de 40 mètres linéaires émerge, composé de trois travées élégantes, s’étendant sur 13,3 mètres de long et 13,60 mètres de large

Le Pont de l’Espoir et la Voie de l’Unité

Au cœur de cette transformation, un pont majestueux de 40 mètres linéaires émerge, composé de trois travées élégantes, s’étendant sur 13,3 mètres de long et 13,60 mètres de large. Ce n’est pas qu’une simple structure, mais un lien vital qui connecte Kara à Kabou, symbolisant l’unité et la solidarité entre les communautés.

La modernisation ne s’arrête pas là. Le marché de Kpéléouwayi et l’École Primaire Publique (EPP) Kpéléouwayi bénéficient également d’une attention particulière avec la construction d’une clôture protectrice de 500 mètres linéaires. Une cantine scolaire, promesse d’un avenir meilleur pour les jeunes apprenants, est en cours de réalisation, garantissant un environnement propice à l’éducation et au bien-être.

Au cœur de cette transformation, un pont majestueux de 40 mètres linéaires émerge, composé de trois travées élégantes, s’étendant sur 13,3 mètres de long et 13,60 mètres de large

Des Infrastructures au Service du Développement

Ces projets ambitieux, fruits d’une collaboration étroite entre le gouvernement et la Banque Mondiale, s’inscrivent dans le cadre plus large du Projet d’Infrastructures et de Développement Urbain (PIDU). Le PIDU se consacre à l’amélioration de l’accès aux infrastructures essentielles et aux services de base, transformant ainsi la vie quotidienne dans les quartiers sous-développés de Lomé, Kara et Dapaong.

En somme, ces initiatives reflètent un engagement profond envers le progrès et la prospérité, non seulement pour Kara mais pour tout le Togo, en tissant des liens d’infrastructure qui sont autant de ponts vers le développement durable.