Lomé, épicentre de la régulation télécom francophone

L’effervescence règne à Lomé, où débute aujourd’hui le prestigieux séminaire du Réseau francophone de la régulation des télécommunications. Cette 21e édition, orchestrée par l’ARCEP Togo en partenariat avec l’ARPCE du Congo, promet d’être un carrefour d’échanges cruciaux pour l’avenir du secteur.

Sous le thème provocateur « Économie de la donnée et services numériques : nouveaux défis pour la régulation », les experts vont décortiquer les implications technico-économiques de la révolution numérique. Au cœur des débats, la gestion des données et l’adaptation des cadres réglementaires face à l’essor des services numériques et des paiements mobiles.

Par ailleurs, Les participants, venus de divers horizons institutionnels et corporatifs, s’attelleront à forger des stratégies pour naviguer dans l’écosystème numérique en pleine mutation. Leurs réflexions s’articuleront autour de la prospective des réseaux de communication et de la régulation à l’ère du big data.

Le Fratel, qui fête ses deux décennies d’existence, continue de tisser des liens entre les autorités de régulation partageant la langue de Molière. Ce réseau, né à Bamako le 28 octobre 2003 , s’est imposé comme une plateforme incontournable pour harmoniser les pratiques réglementaires dans l’espace francophone.

En somme, ce rassemblement à Lomé est une vitrine de l’expertise collective et un tremplin vers une régulation télécom plus agile et innovante, à la hauteur des enjeux actuels et futurs du secteur.

Atelier de renforcement pour Écrivains en langues nationales

Dans la capitale culturelle du Togo, un événement remarquable a pris place, marquant un jalon significatif dans la préservation et la promotion des langues nationales. Sous l’égide du ministère de la Culture et du Tourisme, un atelier de renforcement de capacités a réuni dix écrivains talentueux, spécialistes des langues kabiye et ewe. Cet atelier, qui s’est déroulé les 14 et 15 mai 2024, a été hébergé par la direction des bibliothèques et de la promotion littéraire (DBPL), un lieu emblématique pour l’avancement littéraire dans la région.

Un atelier a réuni dix écrivains en langues kabiye et ewe, visant à promouvoir la littérature dans ces langues nationalesPromouvoir la Littérature dans les Langues Nationales

L’objectif de cette rencontre était double : non seulement renforcer les compétences littéraires des participants, mais aussi encourager l’utilisation des langues nationales dans la littérature contemporaine. Les écrivains ont bénéficié de l’expertise de formateurs éminents, tels que le Professeur PERE-KEWEZIMA Essodina et M. GNANSA Atinedi de l’Académie de langue kabiye. Parallèlement, le Dr DEH Comlan Prosper et Madame ALLAHARE Caroline, tous deux de l’Académie de langue ewe, ont apporté leur précieuse contribution à cet atelier.

Les sessions de formation ont été intensives et interactives, permettant aux écrivains d’approfondir leurs connaissances et de peaufiner leur art. Les discussions ont porté sur divers aspects de l’écriture en langues nationales, y compris la stylistique, la narration et la poésie. L’atelier a également été l’occasion pour les participants de partager leurs expériences et de tisser des liens professionnels.

L’importance de cet atelier ne se limite pas à l’amélioration des compétences individuelles. Il représente un engagement fort envers la diversité culturelle et linguistique, et souligne la nécessité de préserver les langues qui constituent le riche patrimoine togolais. En outre, il met en lumière le rôle crucial des écrivains dans la transmission des cultures et des traditions à travers les mots.

En conclusion, cet atelier de renforcement de capacités en langues nationales kabiye et ewe est un exemple éloquent de la manière dont les initiatives culturelles peuvent favoriser le développement littéraire et la diversité linguistique. Il est essentiel que de telles initiatives continuent à recevoir le soutien nécessaire pour que les langues nationales prospèrent dans la littérature et dans la société en général.

CEDEAO et USAID : Vers un nouvel accord de partenariat

À Abuja, Nigeria, le 20 mai 2024, une réunion cruciale a eu lieu, marquant un tournant potentiel pour l’Afrique de l’Ouest. En effet, la Vice-Présidente de la Commission de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), SE Madame Damtien L. Tchintchibidja, et la Directrice régionale – Afrique de l’Ouest de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), Madame Jo Lesser OLTHETEN, se sont rencontrées pour jeter les bases d’un partenariat renouvelé. Par conséquent, cette rencontre a permis de revisiter les succès passés et de tracer une feuille de route pour l’avenir.

La CEDEAO et l'USAID se concertent pour la signature d'un nouvel accord de partenariat visant à stimuler le développement économiqueRéunion à Abuja pour renforcer la coopération entre la CEDEAO et l’USAID

D’une part, les discussions ont porté sur la coopération existante, qui a déjà porté ses fruits dans divers domaines tels que la paix et la sécurité, l’agriculture, et la santé. D’autre part, la CEDEAO et l’USAID ont mis l’accent sur l’importance de renforcer les liens pour répondre aux défis émergents, notamment en matière de genre et d’inclusion sociale, ainsi que dans les secteurs de l’énergie et de la communication en période de crise. En outre, l’engagement des deux parties à revitaliser leur collaboration a été clairement exprimé, soulignant la nécessité d’une action concertée.

La CEDEAO et l'USAID se concertent pour la signature d'un nouvel accord de partenariat visant à stimuler le développement économiqueMadame Tchintchibidja a souligné l’importance de la collaboration mutuelle, affirmant que la CEDEAO est prête à mobiliser ses experts pour définir des axes de coopération stratégiques. Ces efforts conjoints visent à stabiliser la région, à consolider la démocratie, à promouvoir la paix et la sécurité, et à atteindre les objectifs de développement durable. En parallèle, Madame OLTHETEN a exprimé son admiration pour l’engagement de la CEDEAO dans la lutte contre le terrorisme et pour le maintien de la paix et de la sécurité régionale.

En conclusion, l’annonce d’un accord de coopération de cinq ans, doté d’un budget conséquent, témoigne de l’ambition des deux institutions à œuvrer pour le développement économique de la région et à renforcer la résilience des populations. Cet accord, axé sur les besoins spécifiques de la CEDEAO et de ses États membres, aspire à stimuler le développement économique et à offrir une réponse robuste aux défis économiques, sécuritaires et climatiques. Ainsi, cette initiative prometteuse ouvre la voie à une ère de prospérité et de stabilité accrues pour l’Afrique de l’Ouest.

Début du 10e Forum Mondial de l’Eau à Bali

Le 10e Forum Mondial de l’Eau a débuté ce matin à Bali, en Indonésie. Sous le thème “L’eau pour une prospérité partagée”, cet événement réunit la communauté de l’eau et les décideurs politiques pour relever les défis mondiaux liés à l’eau et à l’assainissement.

Une session régionale se concentre sur les infrastructures et la sécurité de l’eau, en mettant l’accent sur le renforcement des capacités de préparation de projets, l’intégration des considérations climatiques et la promotion de la coopération dans le domaine des eaux transfrontalières pour la paix et le développement.

Le 10e Forum Mondial de l'Eau met l'accent sur les infrastructures hydrauliques en Afrique, abordant les défis du financement Les experts soulignent l’importance d’infrastructures hydrauliques résilientes en Afrique subsaharienne, compte tenu du changement climatique et de la rareté de l’eau. Pour relever ces défis, il est essentiel de moderniser les cadres, d’investir dans les infrastructures et de renforcer la coopération régionale.

La question du financement reste un défi majeur pour les projets d’eau et d’assainissement en Afrique. La session du 10e Forum Mondial de l’Eau aborde également les modèles de partenariat public-privé (PPP) et les opportunités de financement climatique pour soutenir le développement des infrastructures hydrauliques.

Le Programme pour le développement des infrastructures en Afrique (PIDA) joue un rôle crucial dans la gestion de l’eau grâce à des outils tels que la boîte à outils pour la création d’emplois, la base de données sur les infrastructures africaines et le réseau continental des entreprises. En somme, cette session met en lumière l’importance de solutions durables pour la gestion de l’eau en Afrique.

Campagne promotionnelle de la 19e foire internationale de Lomé

Lomé, le 16 mai 2024 – Une nouvelle ère s’annonce pour l’économie togolaise avec le démarrage officiel de la campagne de promotion de la 19e édition de la Foire Internationale de Lomé (FIL) et de la 5e édition de la Foire Made in Togo. La Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, a marqué de sa présence l’événement qui a eu lieu le 14 mai au Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF).

La 19e Foire Internationale de Lomé et la 5e Foire Made in Togo lancent une dynamique économique inclusive, axée sur les normesUne cérémonie prestigieuse : Vision et Objectifs de la 19e FIL

La cérémonie a réuni des personnalités de marque, incluant des membres du gouvernement, des autorités traditionnelles et des partenaires institutionnels, ainsi que des exposants et des journalistes. Dans une ambiance solennelle, Madame la Ministre a inauguré la campagne, annonçant une série d’initiatives visant à propulser la visibilité et le succès des foires à venir.

Par ailleurs, Le Directeur du CETEF, Monsieur Alexandre De Souza, a souligné l’importance de cette édition qui se tiendra du 22 novembre au 8 décembre 2024. Le thème choisi, « Normes et qualité des produits et services : outils de compétitivité et d’accès aux marchés connectés », met aussi l’accent sur l’impératif d’adhérer aux standards internationaux pour conquérir de nouveaux horizons commerciaux. Cette édition promet d’être un carrefour d’opportunités, unifiant les acteurs économiques locaux et internationaux dans un esprit d’inclusion et de qualité.

Hommage et stratégies : vers une nouvelle ère d’expansion économique et commerciale

Madame MIVEDOR-SAMBIANI a rendu hommage au Président de la République, Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE, pour son engagement envers la paix et la prospérité du Togo. Elle a également mis en lumière le rôle crucial de la FIL dans l’expansion économique du pays, la qualifiant de catalyseur de croissance et de plateforme d’échange privilégiée.

En outre , La Ministre a réitéré l’engagement du gouvernement à soutenir les entreprises locales dans leur quête de compétitivité internationale. elle a insisté sur la conformité aux normes globales, essentielle pour l’intégration des marchés et la pérennité des échanges commerciaux.

La République du Mali à l’honneur de la 19e Foire

La 19e FIL accueillera la République du Mali en tant qu’invité d’honneur, soulignant les liens forts entre les deux nations. Par ailleurs, la Foire Made in Togo, prévue du 26 juillet au 4 août 2024, mettra en avant les produits locaux, encourageant ainsi leur consommation et leur rayonnement.

En conclusion, ces événements s’annoncent comme des rendez-vous incontournables pour les acteurs économiques désireux de s’inscrire dans une dynamique de croissance et d’ouverture sur le monde.

Lomé s’illumine aux saveurs de l’Afrique lors du prestigieux FESMA

Lomé, la capitale togolaise, s’est transformée en un épicentre de délices culinaires avec le lancement du prestigieux Festival la Marmite (FESMA), qui se tient pour la troisième année consécutive.

Le 15 mai 2024, l’esplanade du Palais des Congrès s’est parée de ses plus beaux atours pour accueillir cet événement sous le haut patronage de Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale. Placé sous le signe de la transformation agricole et de l’exaltation des produits du terroir, le festival a ouvert ses portes dans une ambiance festive et colorée.

Le cœur culinaire de l'Afrique à travers le FESMA, où Lomé célèbre la richesse gastronomique togolaise et africaine,Palette de Goûts : Un voyage culinaire togolais avec le FESMA

En effet, Depuis sa création en 2021 par l’Agence de communication Focus Yakou, le FESMA est devenu un rendez-vous incontournable, rassemblant une pléiade d’exposants et de chefs cuisiniers de renom, venus des quatre coins du Togo et d’Afrique. Les visiteurs ont l’opportunité unique de goûter à une variété de plats traditionnels, tels que l’Alele, l’Ayimolu, le Djenkoumé, ou encore le Gboma accompagné d’Akumè, sans oublier les liqueurs artisanales à base de souchet et de gingembre.

Jean-Paul AGBOH AHOUELETE, Commissaire général du festival, a souligné lors de la cérémonie d’ouverture que le FESMA est désormais un point de rencontre essentiel pour les cultures culinaires africaines. Il a mis en lumière l’importance du festival non seulement comme un événement artistique et touristique, mais aussi comme une célébration des professionnels de l’alimentation.

Le FESMA s’inscrit dans les initiatives de soutien à la politique de consommation locale du gouvernement togolais, avec l’ambition de faire de Lomé la capitale de la gastronomie africaine et de promouvoir l’inscription de la cuisine togolaise au patrimoine mondial de l’UNESCO.

L’édition de cette année, qui se déroulera jusqu’au 20 mai 2024, promet une riche programmation incluant des colloques, des formations, des masterclasses, des ateliers, des concours, ainsi que des rencontres professionnelles et des animations culturelles, couronnées par une soirée de gala. Un festin pour les sens, le FESMA continue de tisser des liens entre les gourmets et les traditions culinaires, tout en mettant en valeur le patrimoine gastronomique du Togo.

Togo : Innovation et Inclusion financière à l’ère numérique

Lomé, Togo – Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, le Togo, sous l’égide de la Ministre Mazamesso Assih, a accueilli la troisième édition du Forum International de l’Intermédiation, du Numérique et de l’Innovation (Foni Afrique). Ce sommet, qui s’est tenu au nom du Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, a mis en lumière les avancées significatives du pays en matière d’inclusion financière.

Les avancées du Togo en inclusion financière et transformation numérique, ce récit met en lumière les efforts du pays pour l'économieUn forum axé sur l’innovation et l’inclusion

En effet, le thème de cette année, « Intermédiation et financement des PME/PMI pour une inclusion sociale, numérique, économique et financière », a mis en exergue l’importance cruciale de soutenir les PME/PMI en tant que levier de croissance inclusive. Par ailleurs, la Ministre Assih a souligné les réformes profondes entreprises par le Togo afin de promouvoir une transformation numérique, redéfinissant ainsi le paysage financier du continent.

En outre, le Togo a initié des réformes sans précédent visant à intégrer les progrès technologiques dans son système financier, ce qui a facilité l’apparition de nouveaux acteurs, tels que les fintechs, et la mise en place de canaux innovants pour la distribution des produits et services financiers.

Les avancées du Togo en inclusion financière et transformation numérique, ce récit met en lumière les efforts du pays pour l'économieVers une inclusion financière durable

La Ministre Assih a exprimé son désir de voir émerger des solutions innovantes pour une inclusion financière durable. Elle a souligné l’engagement du Togo à créer un environnement propice au développement des PME/PMI, essentielles à l’économie du pays et à l’inclusion financière de ses citoyens.

En somme , Le Togo, avec le soutien de ses dirigeants et la collaboration internationale, se positionne comme un leader dans le domaine de l’inclusion financière en Afrique. Le Foni Afrique est un témoignage de cet engagement et de la volonté du pays de partager son expérience et de collaborer pour un avenir prospère et inclusif.

La PIA Togo dynamise le commerce régional

Dans une démarche proactive visant à renforcer l’intégration économique régionale, la Plateforme Industrielle d’Adétikopé Togo (PIA) a accueilli le mercredi 15 mai 2024 une prestigieuse délégation des directeurs généraux des conseils de chargeurs des pays enclavés. Cette initiative stratégique avait pour objectif principal d’explorer les opportunités logistiques qu’offre la PIA pour optimiser les transferts et l’évacuation des conteneurs.

La PIA renforce le commerce intrarégional en accueillant une délégation des pays enclavés, explorant des solutions logistiques innovantesAu cours de cette visite, les discussions ont porté sur les défis majeurs auxquels sont confrontés les pays enclavés en matière de logistique. Dans cet esprit, la PIA a présenté ses solutions innovantes conçues pour améliorer significativement l’efficacité des opérations de transport.

Les participants ont également eu l’occasion de visiter les infrastructures clés de la PIA, y compris les entrepôts modernes, le port sec fonctionnel et l’usine de textile de pointe, témoignant ainsi de la capacité de l’agence à répondre aux besoins logistiques complexes.

La PIA renforce le commerce intrarégional en accueillant une délégation des pays enclavés, explorant des solutions logistiques innovantesCette journée, qualifiée de fructueuse par tous les participants, a non seulement renforcé les liens de coopération existants, mais a également ouvert de nouvelles perspectives pour le commerce intrarégional. En facilitant les échanges commerciaux et en soutenant les économies des pays enclavés, la PIA s’affirme comme un acteur clé dans le développement économique de la région.

Avec ces efforts continus, la PIA Togo s’engage à être un catalyseur de croissance, promettant un avenir prospère pour le commerce intrarégional en Afrique de l’Ouest.

Le Togo brille à la 108e Session du Comité de la Sécurité Maritime

Lomé, le 16 mai 2024 – La participation active du Togo à la 108e session du comité de la sécurité maritime (MSC108) est un signe éloquent de l’engagement du pays dans la gouvernance des mers. La session, qui a débuté hier, le 15 mai 2024, au siège de l’Organisation Maritime Internationale (OMI), réunit les délégués du monde entier pour huit jours de délibérations intensives.

Le Togo s'illustre à la 108e session de l'OMI, où il contribue activement à l'adoption de réglementations pour renforcer la sécurité maritimeL’appel de l’OMI pour la libération du Galaxy Leader résonne à la 108e Session du Comité de la Sécurité Maritime

Les travaux de cette session sont cruciaux, car ils visent à adopter des réglementations renforcées pour la sécurité et la sûreté maritime, des enjeux de plus en plus prégnants dans un contexte global d’insécurité croissante en mer. Le secrétaire général de l’OMI, M. Arsenio Dominguez, a mis en exergue la situation alarmante dans la mer Rouge, où le navire “Galaxy Leader” et son équipage sont retenus en otage depuis le 19 novembre 2023. Il a lancé un appel pressant pour leur libération immédiate.

Au programme de la MSC108, des amendements aux instruments obligatoires sont à l’ordre du jour, notamment les conventions internationales pour la sauvegarde de la vie humaine en mer (SOLAS) et sur les normes de formation, de certification et de veille pour les pêcheurs (STCW-F). Les réviseurs mettront à jour les codes International Maritime Dangerous Goods (IMDG) et Standards of Training, Certification, and Watchkeeping (STCW), ainsi que divers recueils. Cette révision active garantira que les normes restent pertinentes et efficaces pour la sécurité maritime internationale.

Le Togo, en tant que membre actif de l’OMI, joue un rôle déterminant dans l’élaboration de ces réglementations essentielles. La délégation togolaise, dirigée par des experts en sécurité maritime, contribue avec expertise et détermination aux discussions, reflétant l’importance que le pays accorde à la sécurité des voies maritimes et à la protection de l’environnement marin.

En somme, cette session est une opportunité pour le Togo de renforcer sa position sur la scène internationale et de collaborer avec ses partenaires pour assurer un avenir plus sûr et plus durable pour la navigation maritime.

 

Rencontre clé pour l’avenir de la jeunesse burundaise

Dans une réunion importante cet après-midi, le bureau du Conseil National de la Jeunesse Burundaise (CNJB), sous la direction de Dr. Ingabire et son équipe, a chaleureusement accueilli la nouvelle ambassadrice de l’East African Community Youth Ambassadors Platform (EAC-YAP), Belyse Nia, accompagnée de ses collègues. En effet,  Cette rencontre a été l’occasion d’échanger sur les perspectives de collaborations futures visant à soutenir le développement de la jeunesse au Burundi.

Par ailleurs , les discussions ont porté sur des initiatives prometteuses qui pourraient servir à renforcer les capacités des jeunes Burundais et leur permettre de jouer un rôle plus actif dans la société. Le président du CNJB s’est engagé à travailler main dans la main avec la nouvelle équipe diplomatique tout au long de son mandat, en mettant l’accent sur des projets tant au niveau national qu’international.

Le CNJB et l’EAC-YAP forment une alliance stratégique, un pas en avant significatif pour le développement de la jeunesse burundaise, qui ouvre la voie à de nouvelles opportunités et annonce un avenir plus prometteur. Les parties prenantes expriment un optimisme prudent et sont résolues à transformer cet engagement en actions concrètes bénéficiant à la jeunesse du pays.

En somme, le partenariat envisagé entre ces deux entités est un témoignage de la volonté commune de voir la jeunesse burundaise prospérer et devenir un pilier de développement durable pour la nation.