PADC : Impulsion du développement communautaire au Niger

Niamey, Niger – La représentante résidente par intérim, Mme. Jaye Eyebah, a inauguré l’atelier de validation de l’étude de base du Programme Accéléré de Développement Communautaire (PADC) pour le Niger. Cet événement marque une étape cruciale dans la quête du pays pour un développement communautaire rapide et efficace.

En effet, l’atelier vise à rassembler divers acteurs pour une réflexion approfondie et des contributions méticuleuses afin d’examiner et d’enrichir le rapport initial. Mme. Eyebah a souligné l’importance de cette collaboration, invitant les participants à apporter leur expertise et leur connaissance locale pour affiner la stratégie du programme.

L'initiative PADC au Niger, visant à stimuler le développement communautaire en s'inspirant des succès régionauxLe Niger s’inspire des expériences réussies de programmes similaires en Afrique, notamment au Sénégal, au Togo, au Ghana et en République Démocratique du Congo. Ces modèles serviront de guide pour identifier les meilleures pratiques et les leçons apprises, essentielles pour accélérer le développement communautaire dans le contexte nigérien.

Le PADC est une initiative ambitieuse qui vise à transformer les communautés à travers le Niger en catalysant le développement socio-économique et en renforçant la résilience des populations locales. Avec l’appui de partenaires internationaux et l’engagement du gouvernement nigérien, le programme aspire à devenir un modèle de développement communautaire réussi en Afrique.

La représentante résidente par intérim a conclu en exprimant son optimisme quant à l’impact positif du PADC sur le bien-être des Nigériens, tout en reconnaissant les défis à venir. L’atelier de validation est donc un pas de plus vers la réalisation des objectifs de développement durable du Niger.

Révolution STEM en Afrique : Financer l’éducation pour l’avenir

Dans le cadre de la série de dialogues sur l’Afrique 2024, le Secrétaire exécutif Claver Gatete a mis en lumière un défi crucial pour le développement du continent : la nécessité d’une éducation en science, technologie, ingénierie et mathématiques (STEM). Avec seulement 25 % des étudiants de l’enseignement supérieur en Afrique engagés dans les disciplines STEM et les femmes ne représentant que 30 % de cette population, l’appel à l’action est clair et urgent.

L’Afrique se trouve à un carrefour. Pour naviguer dans l’économie mondiale en rapide évolution, marquée par l’automatisation et l’intelligence artificielle, l’investissement dans l’éducation STEM et la recherche et développement (R&D) est impératif. Les plateformes numériques et l’IA ne sont pas seulement des outils de progrès, mais des catalyseurs essentiels pour améliorer les résultats éducatifs et l’accès à l’apprentissage.

Cependant, un obstacle majeur demeure : un déficit de financement de l’éducation de plus de 70 milliards de dollars. Ce gouffre financier représente un frein significatif à la réalisation des objectifs nationaux d’éducation et à la promotion d’opportunités d’apprentissage tout au long de la vie. Sans une action immédiate, les pays risquent de ne pas atteindre leurs cibles éducatives pour 2030, comme le souligne le rapport de l’UNESCO.

La solution réside dans une collaboration transnationale et un engagement renouvelé des gouvernements africains, des partenaires du secteur privé et des organisations internationales telles que l’Union Internationale des Télécommunications et la Banque mondiale. Ensemble, ils doivent combler ce déficit et libérer le potentiel de millions de jeunes Africains.

En cette année de l’Union africaine dédiée à l’éducation, il est temps d’agir. L’avenir de l’Afrique dépend de sa jeunesse et de sa capacité à innover. L’éducation STEM n’est pas seulement un choix, mais une nécessité pour un continent prêt à façonner son propre avenir.

La vision de GNASSINGBÉ pour une cuisson propre

Paris, le 14 mai 2024 – Dans un élan progressiste pour l’Afrique, le Président du Togo, Faure Essozimna GNASSINGBÉ, a marqué sa présence au premier sommet dédié à la problématique de la cuisson propre sur le continent. En effet, ce sommet historique, qui se tient aujourd’hui à Paris , voit la collaboration du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) et de l’Agence internationale de l’énergie.

L’Appel du Président GNASSINGBÉ pour l’action environnementale

Le Président GNASSINGBÉ, dans son discours, a souligné l’urgence de s’attaquer à la pollution de l’air résultant de l’utilisation de combustibles inappropriés pour la cuisson. Un problème qui touche profondément la santé des populations africaines, en particulier celle des femmes dans les zones rurales.

“La cuisson propre n’est pas seulement une question de santé publique, c’est aussi une question de dignité humaine et d’égalité des sexes,” a déclaré le Président GNASSINGBÉ. Il a insisté sur la nécessité d’une action politique et financière concertée pour relever ces défis majeurs, qui doivent converger vers la protection de l’environnement et l’amélioration significative de la qualité de vie en Afrique.

Le Président du Togo, Faure Essozimna GNASSINGBÉ, participe au premier sommet sur la cuisson propre en Afrique à Paris ,Vers des solutions durables : Les alternatives de cuisson non polluantes

Par ailleurs, le sommet vise à catalyser un changement, en promouvant des solutions de cuisson non polluantes qui sont à la fois abordables et accessibles. Les discussions porteront sur des stratégies pour réduire la dépendance aux combustibles traditionnels et explorer des alternatives durables, telles que les cuisinières à gaz et solaires.

En outre , Les participants, comprenant des chefs d’État, des experts en énergie et des représentants de la société civile, exploreront des voies pour intégrer ces technologies dans les politiques nationales et régionales. L’objectif est clair : faire de la cuisson propre une réalité pour tous les Africains, et ce, dans un avenir proche.

En somme, Ce sommet est un pas de géant vers un avenir où chaque foyer africain pourra préparer ses repas dans un environnement sain, contribuant ainsi à la vision d’une Afrique plus verte et plus prospère.

Accra : Un pas de plus vers l’intégration africaine avec la ZLECAf

ACCRA, Ghana – Dans une démarche visant à consolider les efforts d’intégration continentale, le Secrétaire général de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), Wamkele Mené, a organisé un déjeuner de travail avec les chefs de mission africains accrédités au Ghana.

L’événement, qui s’est tenu aujourd’hui à Accra, a offert une plateforme pour renouveler l’engagement mutuel envers l’objectif d’« un continent intégré, prospère et pacifique ». Mené a saisi cette opportunité pour mettre en lumière les avancées significatives dans la mise en œuvre de l’AfCFTA, soulignant les progrès réalisés malgré les défis persistants.

Accra accueille un déjeuner de travail clé entre Wamkele Mené et les chefs de mission africains pour dynamiser l'intégration continentaleLa rencontre a également été l’occasion d’une session d’échanges fructueux sur les stratégies à adopter au sein des différents États membres afin de garantir le succès du marché unique. Les discussions ont porté sur l’importance de la collaboration et de l’adoption de mesures concrètes pour surmonter les obstacles au commerce intra-africain.

En somme, ce déjeuner de travail marque une étape importante dans le renforcement des relations diplomatiques et commerciales entre les nations africaines, et illustre l’engagement continu du Secrétariat de la ZLECAf à travailler de concert avec les représentants africains pour réaliser la vision d’une Afrique unie et florissante. C’est à travers de telles initiatives que l’Afrique peut progresser vers la réalisation de son potentiel économique et renforcer sa position sur la scène mondiale.

Paris accueille le Sommet sur la cuisson propre

Paris, 14 mai 2024 – La capitale française brille aujourd’hui d’un éclat particulier, non seulement par sa beauté mais aussi par son engagement envers un avenir durable. Le Sommet sur la cuisson propre, qui se tient à Paris, est le théâtre d’une rencontre historique entre des leaders mondiaux, orchestrée par la Banque africaine de développement (BAD) et l’Agence internationale de l’énergie (IEA).

Mila AZIABLE, une vision pour l’avenir de l’énergie

Par ailleurs, Mila AZIABLE, Ministre déléguée chargée de l’Énergie et des Mines auprès du Président de la République Faure, a exprimé son honneur de participer à cet événement crucial. “C’est un grand honneur de représenter notre nation à ce sommet et de partager notre engagement envers des solutions énergétiques innovantes,” a-t-elle déclaré.

Mila AZIABLE participe au Sommet sur la cuisson propre à Paris, avec des leaders mondiaux engagés pour un avenir énergétique durable.Un engagement mondial pour un avenir durable au Sommet sur la cuisson propre

Le sommet vise à mettre en lumière les défis et les opportunités liés à la transition vers des méthodes de cuisson plus propres. Les feux ouverts et l’utilisation de combustibles traditionnels tels que le bois et le charbon sont au cœur des discussions, avec un accent particulier sur les alternatives écologiques.

Les participants explorent des solutions durables qui amélioreront non seulement les conditions de cuisson mais contribueront également à réduire les impacts négatifs sur la santé, le climat et les conditions sociales. “Nous sommes déterminés à trouver des voies qui respectent à la fois notre environnement et notre santé,” souligne Mila AZIABLE.

Des recommandations politiques pour l’égalité des sexes

Le sommet se penche également sur des recommandations politiques et des engagements financiers, avec un objectif clair : promouvoir un développement sain et l’égalité des sexes. “L’accès à des méthodes de cuisson propres est un droit pour tous et peut jouer un rôle déterminant dans l’émancipation des femmes,” ajoute la ministre.

Dans la ville-lumière, un engagement renouvelé envers le progrès unit les leaders mondiaux. Mila AZIABLE, avec une détermination inébranlable, et ses pairs, rassemblés à Paris, tissent les fils d’un avenir où la technologie et l’action politique convergent pour le bien commun. Tandis que le sommet sur la cuisson propre avance, l’optimisme est palpable : les résolutions de ce jour promettent de dessiner un horizon radieux pour l’humanité tout entière.

Togo : L’éducation financière, un pas vers l’autonomie des jeunes

Lomé , le 14 mai 2024 – La Ministre auprès du Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, chargée de l’Inclusion Financière et du Secteur Informel, Mme Mazamesso Assih, a exprimé sa fierté d’avoir participé à l’ouverture de la Réunion Régionale pour l’Afrique Francophone sur l’Éducation Sociale et Financière. En effet,  cet événement, qui a eu lieu le lundi 13 mai, marque un jalon important dans la quête d’autonomisation des jeunes générations.

Organisée par le Ministère Inclusion Financière et du Secteur Informel en collaboration avec Aflatoun et le Ministère des Enseignements Primaire et Secondaire du Togo, la réunion a rassemblé divers acteurs déterminants dans le domaine de l’éducation sociale et financière (ESF).  Par ailleurs, Cette initiative s’inscrit dans le prolongement des efforts continus du Togo, notamment lors de la Semaine Africaine de la Microfinance en 2023, pour renforcer les capacités des enfants et des jeunes adultes.

La Ministre Mazamesso Assih met en avant les initiatives du Togo pour l'autonomisation des jeunes à travers l'éducation sociale et financièreDurant son discours d’ouverture, Mme Assih a mis en exergue les avancées significatives du Togo en matière d’inclusion financière. Elle a souligné que l’éducation financière reste un pilier central de la stratégie nationale, visant à équiper les citoyens des compétences nécessaires pour naviguer dans le secteur financier avec assurance et compétence.

Les Ministères perçoivent la réunion régionale comme une opportunité de partager les meilleures pratiques, d’explorer de nouvelles méthodologies et de forger des partenariats solides pour l’avenir de l’éducation économique en Afrique francophone. Ils mettent l’accent sur l’importance de l’éducation à la stabilité financière (ESF) dans le développement d’une jeunesse préparée à relever les défis économiques de demain.

Le Togo, sous la houlette de Mme Assih, continue de jouer un rôle de premier plan dans la promotion de l’inclusion financière, démontrant ainsi son engagement envers le progrès social et économique non seulement au niveau national mais aussi sur la scène régionale.

Partenariat UA-Canada : Avancées en santé et égalité

Dans un effort concerté pour faire avancer les politiques de développement en Afrique, le Vice-président de la Commission de l’Union Africaine (CUA), M. Monique Nsanzabaganwa, et l’Honorable Ahmed Hussen, Ministre du Développement International du Canada, ont présidé aujourd’hui l’ouverture d’un dialogue de haut niveau au siège de l’Union Africaine.

Cette session cruciale, axée sur des thèmes aussi essentiels que la santé, la nutrition et l’égalité des genres, a vu la participation de figures éminentes telles que l’Ambassadeur Minata Samate . Ils ont discuté des diverses initiatives prises par leurs institutions respectives pour améliorer la nutrition des femmes et des filles, promouvoir la santé mondiale, soutenir l’agenda de Lusaka et renforcer l’égalité des sexes.

La réunion UA-Canada a pour objectif d'améliorer la santé, la nutrition et l'égalité des genres en Afrique.La réunion a mis en lumière l’importance de la collaboration intercontinentale et le rôle crucial que jouent les politiques de développement dans la réalisation des objectifs de développement durable. Les discussions ont également souligné la nécessité d’une approche inclusive qui tient compte des besoins spécifiques des femmes et des filles, en particulier dans les domaines de la santé et de la nutrition.

Le Canada a clairement affirmé son engagement envers le développement en Afrique, manifestant la volonté de collaborer étroitement avec l’Union Africaine pour surmonter les défis communs et bâtir un avenir meilleur pour tous.

En somme , ce dialogue de haut niveau est un témoignage de la détermination des deux parties à mettre en œuvre des politiques efficaces qui auront un impact positif sur la vie des citoyens africains, et marque une étape importante dans le renforcement des liens entre le Canada et l’Afrique.

Togo : Nouvelle loi sur les tournages en milieu scolaire

Lomé, Togo – Le ministère des Enseignements Primaire, Secondaire et Technique du Togo a annoncé une nouvelle mesure réglementaire le vendredi 10 mai, exigeant une autorisation préalable pour toute prise de vue ou tournage dans les établissements scolaires. Cette initiative, pilotée par le ministre Dodzi Kokoroko, vise à protéger la dignité des élèves et du personnel éducatif, ainsi que l’intégrité des biens et infrastructures scolaires.

Protection de l’intégrité scolaire et coordination des activités

La décision du ministère entend non seulement préserver le respect dû aux apprenants et aux membres du personnel, mais aussi optimiser la coordination des activités au sein des établissements et réduire l’impact sur le temps d’apprentissage. Pour réguler les demandes d’autorisation de tournage, les responsables ont élaboré deux types de formulaires.

Les formulaires concernés sont le document d’autorisation de tournage et de prise de vue, accessible auprès des directions régionales de l’éducation, et un formulaire permettant aux parents d’élèves de consentir à la captation et à la diffusion d’images de leurs enfants dans le cadre scolaire. Ces documents doivent être remplis en début d’année scolaire.

Procédure de publication : Une étape cruciale

Le ministre Kokoroko souligne l’importance de la procédure de publication et stipule que la direction régionale de l’éducation concernée doit également recevoir une copie de tout contenu destiné à la diffusion préalablement à sa publication.

En somme, cette nouvelle réglementation fait suite à la révocation du proviseur du lycée d’Alokoègbé par le ministre Kokoroko. La destitution est intervenue après une interview accordée à TV5 Monde par le proviseur, critiquée pour avoir enfreint le devoir de réserve. La mesure reflète l’engagement du ministère à maintenir les normes éthiques et professionnelles au sein du système éducatif togolais.

TOGOCOM inaugure une nouvelle école à Adétikopé

Dans le cadre de son engagement continu envers le développement éducatif, le groupe TOGOCOM a récemment inauguré un nouveau bâtiment scolaire à l’École primaire publique (EPP) Adétikopé « D ». Ce projet ambitieux, réalisé grâce au programme “NUNYA-TOGOCOM”, a été officiellement ouvert le vendredi 10 mai 2024, par le Directeur général de TOGOCOM, Pierre-Antoine LEGAGNEUR.

Une cérémonie symbolique pour l’avenir des enfants d’Adétikopé

En effet, la cérémonie d’inauguration s’est tenue en présence de personnalités éminentes, dont le Directeur régional de l’éducation du Grand Lomé, Mawouna Gadewa, et d’autres dignitaires locaux. L’Agence de presse AfreePress a été témoin de cet événement marquant pour la communauté.

Par ailleurs, le nouveau complexe, érigé à une centaine de mètres de l’ancien établissement, se compose de trois salles de classe, d’un bureau administratif, d’un magasin et d’un bloc sanitaire moderne. Cette infrastructure de pointe vise à améliorer les conditions d’apprentissage en réduisant la surpopulation des classes existantes.

TOGOCOM inaugure une école primaire moderne à Adétikopé, marquant un pas significatif vers l'amélioration de l'éducation Togo.Réactions et perspectives : Les acteurs locaux s’expriment

En outre , le Directeur de l’EPP Adetikopé « D », Koffi TCHEZOUM, a exprimé sa gratitude envers TOGOCOM pour leur générosité, soulignant l’impact positif que ce nouveau bâtiment aura sur le confort et l’efficacité éducative des élèves.

Pour TOGOCOM, ce don s’inscrit dans une stratégie plus large visant à soutenir les initiatives gouvernementales dans le domaine de l’éducation. Son Directeur Général  a mis en avant l’importance de ce type d’action pour l’avenir du Togo et la prospérité de ses jeunes citoyens.

Le Programme NUNYA-TOGOCOM : une initiative pour l’éducation pour tous

Lancé en 2021, le programme NUNYA-TOGOCOM incarne l’engagement de TOGOCOM en matière de responsabilité sociétale. Il vise à créer un impact positif en facilitant l’accès à l’éducation et en améliorant les infrastructures scolaires à travers le pays.

Mawouna Gadewa, au nom du ministère de l’Éducation, a félicité TOGOCOM pour son engagement envers une éducation de qualité, alignée sur les objectifs de développement du gouvernement. Il a encouragé les élèves à tirer le meilleur parti de ces nouvelles installations pour enrichir leur parcours éducatif.

Suite à une inauguration triomphante à Adétikopé, TOGOCOM s’apprête à dévoiler un nouveau joyau architectural éducatif à Tchamba. Ce geste illustre également l’engagement continu de l’entreprise envers l’éducation et souligne une avancée significative dans son ambitieux programme d’expansion éducative.

La fête du folklore national illumine Lomé

Lomé, le 10 mai – Dans une explosion de couleurs et de rythmes, la Scène Bella Bellow de l’Université de Lomé a vibré au son des tambours et des chorégraphies éblouissantes lors de la soirée de clôture de la 7ème édition du Festival national des danses traditionnelles (FESNAD). Sous un ciel étoilé, le Ministère de la Culture et du Tourisme, en partenariat avec le Conseil de l’Entente, a orchestré un spectacle mémorable, célébrant la richesse du patrimoine culturel togolais.

Douze groupes, une passion commune , les danses traditionnelles

En effet,  Douze groupes de danseurs ont investi la scène, chacun incarnant l’essence de leur région avec fierté et énergie. De Assafo à Komposiek, les formations ont rivalisé d’adresse et de créativité, offrant une finale haute en couleur qui a captivé le public. Le thème de l’événement, « Ensemble portons le folklore national », a été magnifiquement incarné par ces artistes qui ont mis en lumière la diversité et l’unité du Togo.

Récompenses et Reconnaissance

À l’issue de cette soirée festive, le comité organisateur a honoré chaque groupe pour son talent et son dévouement. Les participants ont reçu un chèque de 400 000 F CFA, un trophée scintillant et une attestation de participation, symbolisant la gratitude et le soutien du ministère aux gardiens de la tradition.

Par ailleurs ,  Le ministre de la culture et du tourisme, Dr Kossi Gbenyo Lamadokou, n’a pas caché sa joie face au succès retentissant de la soirée. Il a  également souligné l’importance de cet événement, initialement prévu pour coïncider avec la fête de l’indépendance du pays, et a exprimé sa satisfaction quant au déplacement de la célébration au cœur de la population, un choix symbolique fort.

Le ministère annonce déjà une sélection de trois à quatre groupes par région pour la prochaine édition, promettant un événement encore plus grandiose. En outre,  le FESNAD continue de tisser les liens de l’unité à travers l’art, projetant le folklore togolais sur la scène internationale.

En somme, dans une ambiance festive, Lomé a donc célébré son héritage culturel, anticipant déjà les merveilles que réserve la 8ème édition du danses traditionnelles .