Lomé, Épicentre de l’Innovation Financière avec le FONI 2024

Dans une effervescence d’anticipation, la capitale togolaise, Lomé, se prépare à devenir le théâtre de la troisième édition du Forum international de l’intermédiation du Numérique et de l’Innovation (FONI). L’événement d’envergure, prévu pour se tenir du 16 au 17 mai à l’hôtel 2 Février, s’annonce comme un carrefour d’échanges prometteur. Entre 300 et 1000 délégués y participeront pour explorer les synergies entre la finance et la technologie numérique.

“Intermédiation et Financement des PME-PMI”: Au Cœur de l’Inclusion Financière en Afrique

Sous le thème central “Intermédiation, financement des PME-PMI pour une inclusion financière, numérique et sociale en Afrique”, le FONI 2024 ambitionne, en effet, de mettre en lumière des solutions novatrices dans les secteurs clés tels que la banque, la finance, les télécommunications et les assurances. Par conséquent, l’objectif est clair : il s’agit de propulser les Fintech et les PME-PMI africaines sur la voie du financement adéquat et de l’intégration économique.

Blaise Ahouantchede, Président d’Afrik Créances, Déclare le FONI Plateforme Unique pour l’Inclusion Financière

À l’approche de ce forum, Blaise Ahouantchede, président d’Afrik Créances, a exprimé son enthousiasme face aux médias, affirmant que le FONI représente une occasion inégalée pour les acteurs financiers et les Fintech de se rencontrer et de collaborer en faveur de l’inclusion financière sur le continent.

Pour rappel, Afrik Créances, ancrée à Lomé et opérant dans trois pays de la sous-région, se spécialise dans l’intermédiation financière. Elle offre une palette de services diversifiés, incluant le courtage en crédit, le recouvrement de créances et la gestion des flux, contribuant ainsi activement au dynamisme économique de l’Afrique de l’Ouest.

Numérique pour tous: L’engagement de Genève

Genève, Suisse – Du 6 au 8 mai 2024, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) a tenu sa septième session du Groupe intergouvernemental d’experts (GIE) du commerce électronique et de l’économie numérique. Cette rencontre de haut niveau, placée sous le thème « Préparation au numérique : de l’évaluation à la mise en œuvre », s’est déroulée à Genève, marquant un tournant décisif pour les pays en voie de développement.

Les défis du commerce électronique pour les pays émergents

Les nations en développement font face à une multitude d’obstacles qui entravent leur pleine participation au commerce électronique et à l’économie numérique. Pour surmonter ces barrières, souvent complexes et interconnectées, il faut adopter une approche stratégique globale.

L’élaboration d’une stratégie intégrale est impérative pour adresser ces défis. Cela implique des interventions ciblées, des dialogues constructifs avec le secteur privé, la société civile, et un appui conséquent de la part des partenaires de développement. L’objectif est clair : agir de concert pour éliminer ces barrières de manière coordonnée et cohérente.

Renforcement des capacités et réduction des disparités Numériques à Genève

Il est crucial de renforcer les capacités des pays les moins avancés et, par conséquent, de proposer des mesures adaptées pour améliorer leur préparation au numérique. En effet, l’ambition est de combler les fossés existants et, par la même occasion, d’assurer que la transition numérique bénéficie à tous, sans exception.

D’autre part, la session a vu la participation active d’experts en commerce électronique, de représentants de communautés économiques régionales, et d’institutions internationales. Ainsi, ils ont uni leurs forces afin de débattre et, en outre, de proposer des solutions innovantes pour une économie numérique plus inclusive.

Le rôle clé du ministère du commerce local

Par ailleurs, le Ministère du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale a joué un rôle prépondérant lors de cette session. Représenté par Monsieur DARAGO Rachid, Directeur de la promotion du commerce électronique, le ministère a affirmé son engagement envers une économie numérique accessible et profitable à tous.

En conclusion, cette 7ème session du GIE à Genève a posé les jalons d’une ère nouvelle où le commerce électronique et l’économie numérique deviennent des vecteurs de développement durable et équitable pour les pays en développement.

Vers une mise en œuvre optimale d’assurance maladie universelle

Lomé, le 7 mai 2024 – Les acteurs sociaux togolais se mobilisent pour affiner les stratégies d’application de l’Assurance maladie universelle (AMU), un dispositif ambitieux lancé depuis le début de l’année et qui promet un accès élargi aux soins pour tous les citoyens.

Concertation nationale pour l’assurance maladie universelle

Par ailleurs, une réunion cruciale s’est tenue ce lundi à Lomé, rassemblant les centrales syndicales dans le cadre d’une démarche collaborative. Orchestrée par le Cadre permanent de concertation bipartite (CPCB) et appuyée par le Bureau international du travail (BIT), en outre, cette assemblée vise à harmoniser les visions et à surmonter les obstacles inhérents à l’implémentation de l’AMU.

Durant trois jours, les discussions porteront sur les directives gouvernementales concernant l’AMU et les enjeux rencontrés par les partenaires sociaux. « L’introduction de cette assurance marque un changement majeur, offrant ainsi une solution courageuse à une nécessité pressante. Néanmoins, sa concrétisation nécessite une réflexion approfondie et une coordination de tous les acteurs, étant donné que son financement reste une question épineuse », souligne Yawovi Fantowou, directeur régional du travail.

En revanche , Laurent Coami Tamegnon, président du Conseil national du patronat (CNP), considère cette rencontre comme une opportunité précieuse pour aborder les défis pratiques et les potentialités offertes par l’AMU. « C’est un moment propice pour évaluer les mécanismes actuels et envisager des améliorations concrètes », déclare-t-il.

Fondé en 2020, le CPCB se positionne comme une plateforme d’échange privilégiée entre les syndicats et le Conseil National du Patronat. Sa mission est de traiter les problématiques communes ou spécifiques aux employeurs et aux travailleurs du secteur privé, jouant ainsi un rôle clé dans la dynamique sociale du pays.

Togo: Une nouvelle constitution pour une gouvernance renforcée

Dans une atmosphère empreinte de solennité, le Président Faure Gnassingbé a promulgué la nouvelle Constitution de la République Togolaise le lundi 06 mai 2024, marquant l’avènement d’une nouvelle république pour cette nation de 8 millions d’âmes. Cette réforme constitutionnelle, qui a pris forme suite à son adoption en seconde lecture par l’Assemblée nationale le 19 avril dernier, est le fruit d’une initiative parlementaire audacieuse.

Le texte révisé inaugure un changement de paradigme dans la gouvernance togolaise avec la transition vers un régime parlementaire. Cette évolution majeure est accompagnée par l’introduction de la fonction de Président du Conseil, ainsi que par la création d’un Conseil d’État, des institutions destinées à renforcer la démocratie et la séparation des pouvoirs au sein du pays.

La population togolaise accueille avec espoir et optimisme la promulgation de cette loi fondamentale. En effet, bientôt publiée dans le Journal Officiel de la République Togolaise, elle représente pour les citoyens l’aube d’une ère de progrès et de stabilité politique. Par ailleurs, cette loi, attendue avec impatience, marque un tournant décisif pour le pays.

D’autre part, cette révision constitutionnelle représente un tournant démocratique significatif pour le Togo. Elle reflète l’aspiration des citoyens à une gouvernance plus inclusive et participative. De plus, l’instauration d’un régime parlementaire promet une répartition plus équilibrée du pouvoir et une meilleure représentativité au sein des instances décisionnelles.

Vers une gouvernance renouvelée

Avec l’émergence de la fonction de Président du Conseil et la création d’un Conseil d’État, le Togo s’engage sur la voie d’une gouvernance renouvelée, où la concertation et le dialogue politique prendront une place prépondérante. Ces nouvelles structures visent à consolider l’architecture institutionnelle du pays et à garantir une meilleure gestion des affaires publiques.

La nouvelle Constitution togolaise est plus qu’un simple document juridique; elle est le symbole d’un engagement collectif envers la démocratie et le développement durable. Elle ouvre la voie à des réformes profondes et nécessaires pour assurer la prospérité et le bien-être de tous les Togolais.

En somme, cette promulgation historique est une étape cruciale dans la quête d’un Togo plus juste et prospère, où chaque citoyen aura la possibilité de contribuer pleinement à l’essor de sa nation.

 

Élections Togolaises : Unir s’impose, la nation célèbre la Paix

Dans l’éclat des récentes élections législatives et régionales, le parti Union pour la République (Unir) s’est distingué par une victoire retentissante, s’adjugeant une majorité écrasante des sièges. Par ailleurs, ce succès, annoncé par la Commission électorale nationale indépendante, marque un tournant décisif dans le paysage politique togolais. En outre, la nation a réagi avec une profonde gratitude face à la sérénité qui a prévalu lors du scrutin. De même, aux quatre coins du Togo, des offices religieux ont été célébrés, témoignant de la reconnaissance collective pour la tranquillité des élections.

 Victoire électorale de l'Union pour la République au Togo, la nation célèbre la paix et l'appel à l'unité après les électionsD’autre part, le Président Faure Essozimna Gnassingbé a honoré de sa présence le culte d’actions de grâce à l’Église évangélique presbytérienne de Kougnohou. Cet événement a rassemblé divers membres du gouvernement et a été l’occasion d’appeler à l’unité, à la fraternité et au vivre-ensemble, piliers de la paix et de l’harmonie nationales. Par conséquent, plus de 14.000 bureaux de vote ont été le théâtre d’une participation citoyenne exemplaire. Les observateurs internationaux, présents en nombre, ont salué le déroulement impeccable du double scrutin, reflétant l’engagement démocratique du peuple togolais.

Enfin, à Lomé et dans d’autres localités, les célébrations ont réuni des fidèles de diverses confessions, illustrant la diversité et la richesse spirituelle du Togo. Ces rassemblements ont été l’occasion de renouveler l’engagement envers des valeurs fondamentales de fraternité et de coexistence pacifique, essentielles à la prospérité et à la stabilité de la nation.

Majorité absolue pour Unir aux élections législatives

Dans le cadre des récentes élections législatives, l’Union pour la République (Unir) a remporté une victoire retentissante, s’adjugeant 108 des 113 sièges disponibles à l’Assemblée nationale, ce qui représente une quasi-unanimité de 96%. Cette domination électorale laisse seulement cinq sièges à l’opposition, répartis entre l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) avec deux sièges, et un siège respectivement pour l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP), et les Forces Démocratiques pour la République (FDR).

Annonce solennelle des résultats provisoires des élections législatives

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a solennellement annoncé les résultats provisoires lors d’une cérémonie au siège de la CENI à Lomé, retransmise en direct à la nation. Par ailleurs, le président de la CENI, Dago Yabré, a également fait savoir que les proclamations des résultats des élections régionales, concernant 179 sièges, se feront sous peu.

D’autre part, l’affluence aux urnes a été notable avec un taux de participation de 61%, soit 2 565 623 votants sur les 4 203 711 inscrits. De plus, les observateurs internationaux, issus de l’Union africaine, de la CEDEAO, de la CEN-SAD et de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), ont attesté de la transparence et de la liberté du scrutin, tout en louant l’excellente organisation par les autorités électorales.

En conclusion, le président de la CENI a exhorté les partis politiques ayant des griefs à se référer aux instances judiciaires adéquates, en assurant que la commission électorale s’emploiera à rectifier les irrégularités et les difficultés rencontrées. Finalement, la Cour constitutionnelle doit ratifier les résultats pour qu’ils soient définitifs.

Droits de l’homme : Rapport sur la lutte contre les disparitions

Le Secrétariat d’État à la justice, à l’éducation civique et aux rapports avec les organes constitutionnels a tenu, en ce jour du 3 mai 2024, dans l’enceinte de l’établissement hôtelier La Concorde à Lomé, une séance de travail nationale consacrée à l’examen du rapport préliminaire du Togo concernant l’application de la convention mondiale pour la sauvegarde de tout individu contre les enlèvements arbitraires.

 Rapport sur les mesures prises contre les disparitions forcées, reflétant son adhésion aux normes internationales des droits de l'homme.Processus d’adhésion aux normes internationales

Dans l’optique de satisfaire aux engagements internationaux, notamment ceux découlant de la Convention mondiale pour la sauvegarde de tout individu contre les enlèvements arbitraires, ratifiée volontairement le 21 juillet 2014, le département ministériel en charge de la justice a orchestré diverses réunions et séminaires avec les parties prenantes, dans l’objectif de rédiger le rapport préliminaire sur les actions menées par le Togo pour honorer ses responsabilités en vertu de ladite Convention. Dans la poursuite de cette démarche, les délégués des organes constitutionnels, ainsi que les membres de la Commission interdépartementale de rédaction des rapports et de suivi des recommandations en matière de justice (CIRR) et les acteurs de la société civile ont collaboré pour finaliser le document proposé.

Évaluation de la protection des droits fondamentaux

Cette initiative représente également pour le Togo une opportunité d’apprécier la sauvegarde des droits fondamentaux, en général, et la prévention des enlèvements arbitraires, en particulier. À cet effet, les participants ont été divisés en deux collectifs. Le premier, regroupant l’ensemble des organes constitutionnels, s’est penché sur les données générales. Le second, constitué des représentants de la magistrature, des forces armées, de la sécurité, etc., s’est attelé à l’examen des clauses du rapport.

 Rapport sur les mesures prises contre les disparitions forcées, reflétant son adhésion aux normes internationales des droits de l'homme.Allocution inaugurale

Lors de son allocution inaugurale, M. ODIE Kossi N’Kpako, Conseiller technique du ministre de la justice, a affirmé que le Togo qualifie les enlèvements arbitraires de crimes contre l’humanité. Il a évoqué l’article 29 de la Charte des Nations Unies, qui stipule que chaque nation signataire doit soumettre un exposé sur ses démarches conformément à la Charte dans un délai de deux ans après son activation pour ladite nation.

Il a rappelé aux participants que la notion d’enlèvements arbitraires s’interprète comme « la capture, la rétention, la séquestration ou toute autre forme de privation de liberté par des agents étatiques ou par des entités ou des collectifs agissant sous l’égide, l’appui ou l’approbation de l’État, suivie par la négation de la reconnaissance de la privation de liberté ou par la dissimulation du devenir de l’individu absent ou du lieu de sa détention, le soustrayant de ce fait à la sauvegarde de la loi ».

M. Akpaou Abdoul-Gafaou, directeur de la législation et de la sauvegarde des droits fondamentaux, a mis en exergue l’importance de la réunion qui signe l’achèvement d’un processus initié depuis longtemps. Il a mis l’accent sur la portée du rapport préliminaire qui dresse un panorama des réglementations juridiques du Togo dans ce domaine. Il a également encouragé les participants à rester impliqués et actifs dans cette initiative.

Brésil et Finlande : Vers une lutte commune contre la pauvreté

Dans le cadre de la réunion ministérielle de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE), une rencontre significative a eu lieu entre le ministre brésilien Mauro Vieira et son homologue finlandais du Commerce extérieur et du Développement, Ville Tavio. Cette réunion a été l’occasion d’aborder des sujets d’importance capitale pour les relations bilatérales et multilatérales.

Les discussions ont principalement porté sur les investissements conséquents, s’élevant à près de 1,5 milliard de dollars, ainsi que sur les avancées des négociations de l’accord entre le MERCOSUR et l’Union Européenne. Ces échanges ont mis en lumière l’importance de la coopération économique et le potentiel de croissance mutuelle.

Par ailleurs, le ministre Vieira a mis en exergue le soutien indéfectible de l’Argentine à l’Alliance mondiale contre la faim et la pauvreté, initiative prioritaire sous la présidence argentine du G20. Cette alliance vise à mobiliser des ressources et des efforts internationaux pour éradiquer ces fléaux qui touchent des millions de personnes à travers le monde.

En 2023, les échanges commerciaux entre le Brésil et la Finlande ont atteint un volume impressionnant de 1,4 milliard de dollars, témoignant de la force du partenariat économique. Le Brésil a exporté pour 578 millions de dollars de marchandises, tandis que les importations se sont élevées à 821 millions de dollars, confirmant ainsi la position de la Finlande en tant que partenaire commercial majeur de l’Amérique latine.

Cette rencontre entre les deux ministres est un pas de plus vers un avenir où la coopération économique et la solidarité internationale jouent un rôle prépondérant dans la construction d’un monde plus prospère et équitable.

L’éloge du courage des médias pour défendre la démocratie

Au quotidien, les correspondants et les experts médiatiques manifestent avec bravoure leur droit à la parole, bravant souvent d’immenses périls. L’investigation autonome et établie sur des données vérifiables est un pilier de la sauvegarde de nos régimes démocratiques, dévoilant les abus, interpellant les gouvernants pour qu’ils justifient leurs actes et autorisant les citoyens à opérer des choix éclairés. En cette année électorale mondiale, où plus de soixante nations se préparent aux urnes, l’importance de la presse n’a jamais été aussi cruciale. En cette Journée internationale de la liberté de la presse, nous saluons leur engagement et leur intrépidité.

Hommage à l'audace des Médias qui défendent la démocratie et la liberté de la presse, malgré les risques, et souligne l’engagement de l’UELa protection des gardiens de la vérité

Les reporters, véritables sentinelles et messagers de l’actualité, méritent une protection inconditionnelle. L’Union Européenne réprouve avec vigueur toute forme d’agression, y compris les intimidations, visant les acteurs de l’information dans l’exercice de leur métier, qu’ils émanent d’autorités étatiques, de factions organisées ou d’individus. La tolérance zéro pour ces exactions est de mise, sans exception géographique.

Le respect du droit international pour les Médias en zone de guerre

Les acteurs médiatiques en zones de conflit doivent bénéficier de la protection stipulée par les conventions internationales humanitaires. L’UE exprime sa consternation face à l’escalade des pertes humaines journalistiques, victimes de la barbarie des combats. Un nombre alarmant de reporters ont été fauchés en relatant les tragédies de Gaza. De même, la menace plane quotidiennement sur ceux qui couvrent l’offensive russe en Ukraine, les tensions en Birmanie/Myanmar, au Soudan et au-delà.

L’inquiétude face à la censure des médias dans les territoires confligés

L’UE s’alarme des entraves imposées aux médias libres, empêchés d’accéder aux théâtres d’affrontements, une manœuvre visant à monopoliser le discours informatif et à limiter l’accès à une information juste et impartiale.

À travers le globe, la presse libre fait face à des menaces existentielles diverses. Il est impératif d’agir résolument pour assurer un environnement propice à l’exercice médiatique, stable sur les plans politique, économique et juridique. L’UE a marqué un tournant décisif en adoptant la législation européenne sur la liberté des médias, un texte législatif majeur qui consolide l’indépendance rédactionnelle, la confidentialité des sources et la clarté sur la propriété des organes de presse au sein de l’UE.

L’UE s’engage avec fermeté à préserver la liberté et la diversité des médias à l’échelle planétaire. En défendant la liberté de presse, nous sauvegardons non seulement notre droit à l’information, mais aussi notre faculté à édifier un futur ancré dans la vérité et la responsabilité.

Mali-Pays-Bas: Bilan et perspectives d’un partenariat Stratégique

Bamako, le 2 mai 2024— Dans l’enceinte solennelle du Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, une réunion de haut niveau s’est tenue ce jeudi. Elle avait pour but d’évaluer l’état actuel et l’avenir prometteur de la coopération bilatérale entre le Mali et le Royaume des Pays-Bas. Par ailleurs, sous la co-présidence de l’éminent Ambassadeur Sékou dit Gaoussou CISSE, Directeur Europe, et de Son Excellence Madame Caecilia WIJGERS, Ambassadeur des Pays-Bas au Mali, cette revue stratégique a été l’occasion non seulement de célébrer les réussites passées mais aussi de tracer une feuille de route pour l’avenir.

Revue de la coopération bilatérale entre le Mali et les Pays-Bas, soulignant les succès et les défis pour un partenariat durable et prospère.En outre, depuis des décennies, le Mali et les Pays-Bas tissent des liens indéfectibles, ancrés dans une quête mutuelle de développement durable, de stabilité et de prospérité pour leurs peuples respectifs. Effectivement, cette collaboration a eu un impact tangible sur la vie des Maliens, avec des initiatives néerlandaises qui ont touché des secteurs clés tels que la sécurité, la justice, le développement économique, la gestion des ressources hydriques, la sécurité alimentaire et la santé.

De plus, la session a permis un examen approfondi des axes majeurs de la coopération bilatérale et a abouti à l’élaboration de recommandations pertinentes. Ces dernières, visant à consolider et à étendre le partenariat entre les deux nations, s’appuient sur les succès et relèvent les défis identifiés, afin d’assurer un avenir encore plus radieux pour la coopération Mali-Pays-Bas.