Un horizon de leadership féminin : Victoire Dogbé et Séfora Kodjo esquissent l’avenir du FILF 2025 au Togo

C’est dans le cadre solennel de la Primature à Lomé que la Première Ministre Victoire Dogbé a rencontré, le 4 avril, Mme Séfora Kodjo, présidente de la Fondation SEPHIS, pour une audience d’une importance particulière. En effet, cet échange a jeté les bases d’un événement d’envergure : la 7ᵉ édition du Forum International du Leadership Féminin (FILF), prévu pour octobre 2025 au Togo. Animées d’un sentiment à la fois solennel et dynamique, les deux femmes ont examiné les détails d’une initiative appelée à jouer un rôle central dans l’inclusion économique des femmes, tant au Togo qu’à travers le monde.

Le Togo se prépare à accueillir le Forum International du Leadership Féminin 2025, affirmant son engagement en faveur de l’inclusionLe Togo, terre d’accueil pour le leadership féminin

En plus, la rencontre s’est teintée d’une ambition limpide. Victoire Dogbé, figure d’autorité et de détermination, a salué le choix du Togo comme terre d’accueil de ce rendez-vous prestigieux. Face à elle, Séfora Kodjo, dont la Fondation SEPHIS porte depuis des années la cause du leadership féminin, a déroulé une vision audacieuse : faire du FILF 2025 un moteur d’innovation où les idées novatrices et les expériences vécues se fusionnent pour redessiner le rôle des femmes dans l’économie. « Ce forum sera une fenêtre ouverte sur les possibles », a-t-elle affirmé, ses paroles résonnant comme une invitation à transcender les barrières encore trop présentes.

Les discussions, d’une richesse rare, ont permis d’esquisser les grandes lignes de l’événement. Au cœur des débats : l’inclusion économique, ce levier essentiel pour libérer le potentiel des femmes togolaises et africaines. Accès accru au financement, formation aux compétences entrepreneuriales, valorisation des initiatives locales : autant de pistes évoquées pour faire de ce forum un catalyseur de changements durables. La Première Ministre, avec une conviction palpable, a réaffirmé l’engagement de son gouvernement à soutenir cette dynamique, voyant dans le FILF une opportunité de conjuguer leadership féminin et progrès collectif.

FILF 2025 : une synergie entre action publique et société civile

L’audience n’a pas seulement été un moment de planification ; elle a révélé une synergie profonde entre deux femmes portées par une même flamme. Là où Victoire Dogbé incarne la puissance de l’action publique, Séfora Kodjo apporte l’élan d’une société civile déterminée à bousculer les paradigmes. Ensemble, elles ont dessiné les contours d’un octobre 2025 où Lomé vibrerait au rythme des voix féminines – entrepreneuses, innovatrices, rêveuses – venues du Togo et d’ailleurs pour partager leurs combats et leurs triomphes.

En somme, ce tête-à-tête, s’il annonce une célébration à venir, soulève aussi une réflexion plus vaste. Le FILF 2025, avec ses promesses d’inclusion et d’émancipation, saura-t-il tenir ses engagements dans un monde dans lequel les inégalités économiques restent tenaces ? Le Togo, en accueillant ce forum, s’affirme comme un éclaireur ; mais la lumière qu’il projette devra-t-elle se frayer un chemin à travers les ombres persistantes des défis structurels ? L’élan est perceptible, tout comme l’espoir ; l’enjeu est de savoir si cette ambition portera ses fruits pour devenir un héritage concret pour l’avenir.

 

Victoire Dogbé et l’UNICEF Togo tracent une voie ambitieuse pour les enfants

Lomé a été le théâtre d’un tête-à-tête empreint de gravité et d’espérance entre Victoire Dogbé, Première Ministre et cheffe du gouvernement de la République togolaise, et Dr Corinne Erinna Dia, représentante résidente de l’UNICEF Togo. En effet, la rencontre de ce lundi, bien plus qu’un simple échange protocolaire, a cristallisé une volonté commune : ériger les droits des enfants en pilier inaltérable du développement national. Dans un climat de confiance mutuelle, les deux figures ont réaffirmé la vigueur d’un partenariat qui, loin de s’essouffler, se veut le socle d’un avenir plus équitable pour la jeunesse togolaise.

Le Togo et l’UNICEF renforcent leur partenariat pour garantir les droits des enfants, avec des actions concrètes en faveur de l’éducation, Une détermination gouvernementale sans faille en faveurs des enfants

Dès les premiers instants, l’entretien s’est distingué par sa densité. Autour d’une table sur laquelle les mots pesaient autant que les actes, Victoire Dogbé a mis en lumière l’engagement indéfectible de son gouvernement à faire de chaque enfant un acteur à part entière de la société. Éducation accessible à tous, protection contre les violences, soins de santé prodigués sans distinction : ces priorités, martelées avec une fermeté sereine, ont trouvé un écho vibrant chez Dr Dia. Cette dernière, forte de l’expertise de l’UNICEF, a salué les efforts togolais tout en soulignant l’urgence d’une collaboration encore plus étroite pour combler les interstices dans lesquels persistent les fragilités.

Par ailleurs, ce dialogue, d’une rare limpidité, a permis de poser les jalons d’une coopération renforcée. Là où certains auraient vu une formalité, les deux femmes ont esquissé une feuille de route audacieuse. Il ne s’agissait pas seulement de célébrer les acquis – écoles construites dans les contrées reculées, campagnes de vaccination étendues, dispositifs de lutte contre l’exploitation infantile – mais de projeter un horizon dans lequel aucun enfant ne serait relégué aux marges de l’attention collective. « Garantir les droits de chaque enfant, c’est semer les graines d’une nation prospère et harmonieuse », a déclaré la Première Ministre, ses paroles résonnant comme un serment gravé dans le marbre.

Le Togo et l’UNICEF renforcent leur partenariat pour garantir les droits des enfants, avec des actions concrètes en faveur de l’éducation, Innovation et engagement : les clés de l’UNICEF pour le Togo

Dr Corinne Erinna Dia, avec une éloquence teintée de pragmatisme, a quant à elle insisté sur la nécessité d’innover. Financements ciblés pour les zones rurales, renforcement des capacités des communautés locales, intégration des nouvelles technologies pour recenser et protéger les plus vulnérables : ses propositions ont enrichi un échange déjà foisonnant. Ensemble, elles ont esquissé un pacte implicite, celui d’une synergie durable entre l’État togolais et l’UNICEF, où les ambitions ne se diluent pas dans les méandres des contingences.

Cette rencontre, si elle s’inscrit dans une continuité, marque pourtant un tournant. Elle révèle un Togo décidé à ne plus seulement répondre aux besoins immédiats, mais à anticiper les défis de demain. Les rires des enfants dans les cours d’écoles, les regards confiants des mères dans les dispensaires, les pas assurés des jeunes sur le chemin de l’autonomie : autant d’images que ce partenariat aspire à multiplier, comme un tableau vivant d’une société en mutation.

Cependant, cette alliance, si prometteuse soit-elle, saura-t-elle surmonter les écueils d’un monde dans lequel les ressources s’amenuisent et les priorités se disputent ? Le vœu d’un Togo où chaque enfant grandit dans la dignité est une flamme vive ; mais son éclat, dans l’ombre des incertitudes, demeure un défi à relever.

Le Togo au cœur de l’inclusion mondiale : une voix forte au 3e Sommet sur le handicap à Berlin

Lomé,7 avril 2025 – Berlin s’est érigée en carrefour des aspirations mondiales pour l’inclusion lors du 3ᵉ Sommet mondial sur le handicap (GDS 2025). Dans ce creuset d’idées et d’engagements, le Togo, représenté par la ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, Prof. Kossiwa Zinsou-Klassou, a porté haut une vision d’équité et de dignité pour tous lors de l’événement tenu les 2 et 3 avril derniers. Sous la bannière d’une délégation résolue, le pays a dévoilé ses avancées et réaffirmé une ambition audacieuse : faire de l’inclusion non pas un vœu pieux, mais une réalité tangible, façonnée par des politiques concrètes et une volonté politique inébranlable.

Le Togo affirme son engagement en faveur de l’inclusion lors du Sommet mondial sur le handicap 2025 à Berlin, Une prise de parole marquante au sommet

Dans l’enceinte vibrante du sommet, où se sont croisées des voix venues des quatre coins du globe, la ministre Zinsou-Klassou a captivé l’auditoire en exposant les jalons posés par le Togo sous l’impulsion du président Faure Essozimna Gnassingbé. Subventions ciblées pour les personnes en situation de handicap, éducation inclusive désormais ancrée dans les salles de classe, insertion professionnelle soutenue par des dispositifs innovants, accès à une santé non contributive : ces mesures, loin d’être de simples promesses, dessinent les contours d’une société dans laquelle la différence n’est plus un fardeau, mais une richesse à valoriser. « Le Togo s’attèle à bâtir un édifice social où chaque individu, quelles que soient ses particularités, peut exercer ses droits et contribuer à l’essor collectif », a-t-elle déclaré avec une conviction qui a résonné dans l’assemblée.

Le Togo affirme son engagement en faveur de l’inclusion lors du Sommet mondial sur le handicap 2025 à Berlin, Un engagement mondial scellé dans la Déclaration d’Amman-Berlin

Le sommet, co-organisé par des figures internationales telles que Svenja Schulze et Bärbel Kofler, a également été le théâtre d’échanges féconds sur des enjeux cruciaux : l’accès à l’emploi, les financements innovants pour l’inclusion et la nécessité d’une responsabilité partagée à l’échelle planétaire. La Déclaration d’Amman-Berlin, adoptée à l’issue des débats, a scellé un pacte collectif pour accélérer l’inclusion mondiale, un texte auquel le Togo a adhéré avec ferveur. Ce document, plus qu’un simple manifeste, engage les nations à transformer leurs systèmes pour que nul ne soit laissé à la lisière du progrès.

Le Togo conjugue vision et action.

Loin des discours convenus, la présence togolaise à Berlin s’est distinguée par sa capacité à conjuguer vision et action. Les initiatives présentées par la ministre ont suscité l’admiration, non pas pour leur éclat, mais pour leur ancrage dans une réalité quotidienne. Des écoles dans lesquelles les enfants en situation de handicap apprennent aux côtés de leurs pairs, des ateliers dans lesquels des mains autrefois marginalisées façonnent désormais leur avenir, des centres de santé où l’accès aux soins ne dépend plus d’un portefeuille : autant de fragments d’un Togo qui, pas à pas, redessine ses contours pour embrasser tous ses citoyens.

Entre avancées et défis, un avenir à concrétiser

Pourtant, au milieu des applaudissements et des engagements solennels, une interrogation persiste, comme une brise discrète traversant l’effervescence du sommet. Si les avancées sont indéniables, la route vers une inclusion véritable est-elle exempte d’embûches ? Les promesses scellées à Berlin sauront-elles s’incarner durablement dans les vies de ceux qui, encore aujourd’hui, luttent pour être vus et entendus ? Le Togo, fort de sa détermination, a planté une graine d’espoir ; mais son éclosion, dans un monde aux équilibres fragiles, reste une œuvre à parachever.

Guérin-Kouka : le Togo réaffirme son engagement pour les femmes

Guérin-Kouka, 7 avril 2025 – La petite commune de Guérin-Kouka, située au cœur des terres luxuriantes du nord du Togo, s’est ornée de teintes vives et d’une vitalité contagieuse le 4 avril dernier pour célébrer le point culminant de la Journée Internationale des Femmes (JIF) 2025.  En effet, sous un soleil généreux, cet événement a transcendé les modestes festivités pour devenir une tribune vibrante où se sont conjugués les idéaux d’équité, de dignité et d’autonomisation des femmes togolaises. Orchestrée sous l’égide du président Faure Essozimna Gnassingbé, cette journée a dévoilé une ambition limpide : ériger un socle solide pour une société dans laquelle la voix des femmes résonne avec force et leur place s’affirme sans ambages.

Célébration vibrante de la JIF 2025 à Guérin-Kouka : le Togo, sous l’impulsion de Faure Gnassingbé, conjugue actions concrètes Un réveil festif aux accents militants

Par ailleurs, dès les premières lueurs de l’aube, Guérin-Kouka s’est animée d’un souffle particulier. Les ruelles, d’ordinaire paisibles, ont vibré au son des tam-tams et des mélodies entonnées par des groupes de femmes drapées dans des pagnes aux motifs éclatants. D’ailleurs, ces chants, mêlés de danses gracieuses, n’étaient pas de simples ornements festifs ; ils portaient en leur cœur une revendication profonde, celle d’une reconnaissance pleine et entière des droits féminins. Cette effervescence a culminé lors d’une cérémonie empreinte de solennité, où des gestes concrets ont ponctué les discours enflammés.

Des actes concrets pour un avenir inclusif à Guérin-Kouka

Parmi les initiatives dévoilées, l’attribution de jugements supplétifs à 300 femmes a marqué les esprits. Ces documents, tenant lieu d’actes de naissance, ne sont pas de simples parchemins administratifs ; ils représentent ainsi une clé ouvrant les portes de la citoyenneté effective, permettant à ces femmes d’accéder à des droits fondamentaux trop longtemps hors de portée. Mieux encore, l’annonce d’un accompagnement prévu pour plus de 1 000 femmes à travers le pays a suscité une vague d’espoir. Cet engagement, porté avec fermeté par le gouvernement, illustre aussi une volonté de tisser un filet de solidarité nationale, où l’autonomisation féminine devient un levier de développement collectif.

Sous le regard attentif des autorités locales et nationales, les femmes de Guérin-Kouka ont offert une démonstration éloquente de leur résilience. Leur leadership, souvent forgé dans l’ombre des défis quotidiens, s’est révélé au grand jour, éclipsant les stéréotypes tenaces. Entre les mains de ces héroïnes discrètes, la JIF 2025 n’a pas seulement été une célébration, mais une affirmation : celle d’une force vive prête à remodeler l’avenir du Togo. Les échanges, empreints de ferveur, ont oscillé entre témoignages poignants et promesses d’un demain plus équitable, donnant à cette journée une saveur d’éveil collectif.

Célébration vibrante de la JIF 2025 à Guérin-Kouka : le Togo, sous l’impulsion de Faure Gnassingbé, conjugue actions concrètes Une vision présidentielle tournée vers l’égalité

L’impulsion donnée par le président Gnassingbé lors de cet événement ne saurait être sous-estimée. En plaçant les femmes au cœur de sa vision pour le Togo, il dessine les contours d’une nation dans laquelle l’égalité de genre n’est plus une chimère, mais une réalité palpable. Les actions entreprises (de l’accès à l’identité légale et à l’accompagnement économique) traduisent une stratégie réfléchie, visant à désamorcer les obstacles structurels qui entravent encore trop de parcours féminins.

JIF 2025 : Une impulsion durable ou un feu de paille ?

Pourtant, au-delà des avancées saluées, une question demeure en suspens, comme une note tenue dans l’air vibrant de Guérin-Kouka : jusqu’où cette dynamique pourra-t-elle s’étendre ? Si les fondations sont posées avec audace, le chemin reste jonché d’incertitudes. La ferveur de cette journée saura-t-elle irriguer durablement les terres togolaises, ou s’étiolera-t-elle face aux vents contraires des traditions et des inégalités persistantes ?

Samuel Munzele Maimbo : une odyssée africaine au service d’une vision ambitieuse

Du 25 mars au 1ᵉʳ avril 2025, Samuel Munzele Maimbo, aspirant à la présidence de la Banque africaine de développement (BAD), a sillonné le continent, de Lomé à Rabat, pour dévoiler une ambition aussi claire qu’exaltante. Ce périple, bien plus qu’une campagne, s’est révélé une immersion édifiante dans les dynamiques qui sculptent l’avenir africain, porté par des rencontres empreintes de ferveur et des constats lumineux.

Samuel Munzele Maimbo, candidat à la présidence de la BAD, partage une vision optimiste pour l’Afrique, inspirée par son périple Le continent, miroir de ses promesses

À chaque escale, une leçon s’est imposée avec une netteté saisissante. À Lomé, le Togo déploie l’audace numérique pour métamorphoser ses services publics, offrant un modèle dans lequel la technologie devient levier d’efficacité. Au Cameroun, les chaînes de valeur agricoles se dressent en passerelles vers des lendemains prospères, révélant un potentiel économique prêt à éclore. Le Sénégal, lui, brandit l’étendard des énergies renouvelables, prouvant que l’innovation verte peut redessiner l’horizon énergétique. Enfin, le Maroc érige ses écosystèmes industriels en bastions créateurs d’emplois dignes, témoignage d’une modernité maîtrisée. Ces étapes, autant de jalons, illustrent une Afrique qui ne se contente pas de rêver son avenir, mais le façonne avec ardeur.

L’humain, cœur battant de l’Afrique

Au fil des dialogues et des salutations échangées, Samuel Munzele Maimbo a puisé une certitude inébranlable : la véritable fortune du continent réside dans ses âmes. « L’ingéniosité, la ténacité et la volonté que j’ai contemplées m’éblouissent », confie-t-il, émerveillé par cette mosaïque de talents. Ces qualités, loin d’être de vains ornements, constituent le socle d’une transformation profonde, portée par des femmes et des hommes qui, face aux obstacles, opposent des réponses façonnées sur mesure. Les entraves existent, nul ne le nie, mais les remèdes, nés du génie africain, brillent d’une réalité tangible.

Samuel Munzele Maimbo, candidat à la présidence de la BAD, partage une vision optimiste pour l’Afrique, inspirée par son périple Samuel Munzele Maimbo : une BAD au service des possibles

Fort de ces observations, le candidat envisage une Banque africaine de développement réinventée, gardienne des aspirations continentales. Par ailleurs, son projet est d’amplifier ces initiatives locales, d’en faire des phares pour guider l’Afrique vers une prospérité partagée. Soutenir l’innovation là où elle germe, catalyser les investissements là où ils fructifient, tel est le dessein qui l’anime. « Les solutions sont là, conçues par nous, pour nous », martèle-t-il, esquissant une institution qui ne domine pas, mais accompagne, avec une écoute aussi attentive qu’éclairée.

Un futur à portée de main

Ce voyage, riche d’enseignements, laisse entrevoir une Afrique au seuil d’une métamorphose éclatante. Samuel Munzele Maimbo y voit une invitation à l’action, un appel à fédérer les énergies pour que ces éclats d’excellence deviennent la norme. La route vers la présidence de la BAD s’annonce exigeante, mais une question persiste, suspendue comme une brise incertaine : saura-t-il, une fois aux commandes, transformer ces promesses en actes durables ? Le continent, impatient, guette la réponse.

 

L’Afrique à l’aube de l’Intelligence artificielle : une vision togolaise éclaire Kigali

Hier, Kigali, capitale rwandaise, s’est muée en un creuset d’idées novatrices lors du premier Sommet mondial sur l’Intelligence artificielle en Afrique. En effet, parmi les hôtes de marque, le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a captivé l’assemblée en déroulant une vision lucide et pragmatique pour ancrer l’IA au cœur du développement continental. Sous le thème « L’IA et le dividende démographique de l’Afrique », ce conclave a réuni chefs d’État, pionniers technologiques et érudits, tous animés par l’élan de réinventer les perspectives économiques africaines.

À Kigali, le Président togolais Faure Essozimna Gnassingbé dévoile une vision stratégique et inclusive de l’Intelligence artificielle L’Intelligence artificielle : une stratégie ciselée pour un continent en devenir

Dans une allocution empreinte de gravité, le chef de l’État togolais a exhorté les nations africaines à embrasser une approche réfléchie et mesurée. « Privilégions une stratégie affûtée, en harmonie avec nos ressources véritables », a-t-il déclaré, désignant la santé, l’éducation et l’agriculture comme des champs fertiles où l’IA peut féconder des avancées tangibles. Loin des chimères, il invite à une sélection judicieuse des priorités, afin que chaque effort déploie un effet démultiplicateur au profit des populations. Ainsi, l’Afrique, riche de sa jeunesse foisonnante et de ses trésors culturels, pourrait s’ériger en un foyer d’innovation, non seulement pour elle-même, mais pour le monde entier.

La souveraineté numérique comme rempart

Face à un monde dans lequel la fracture technologique s’élargit, le Président Gnassingbé a brandi l’étendard de la souveraineté numérique. « Nos données, nos infrastructures, nos normes : voilà les piliers d’une autonomie conquérante », a-t-il martelé. Point de quête illusoire pour rivaliser avec les géants de l’IA, mais une volonté ferme d’adapter des solutions sobres et accessibles aux réalités africaines. Par ailleurs, cette ambition, ancrée dans la protection des atouts stratégiques du continent – sa démographie vigoureuse, ses ressources rares –, dessine un avenir où l’Afrique ne se contente plus d’être spectatrice, mais actrice de son destin numérique.

L’équité, boussole d’une révolution inclusive

Fidèle à son engagement pour l’inclusion, le dirigeant togolais a plaidé pour une IA au service de tous. « Que cette révolution profite aux humbles travailleurs des campagnes comme aux citadins connectés », a-t-il insisté, soulignant l’urgence de formations ciblées et de solutions taillées pour les terroirs. Devant un auditoire d’investisseurs et d’innovateurs, il a réaffirmé la détermination du Togo à œuvrer dans une dynamique collective, faisant de l’Intelligence artificielle un levier pour un essor équitable et durable, en résonance avec les aspirations profondes du continent.

Un écho continental et des perspectives en suspens

Accueilli avec chaleur par son homologue rwandais, Paul Kagamé, le Président Gnassingbé a vu sa vision saluée par le nouveau président de la Commission de l’Union africaine, Mahamoud Ali Youssouf, qui y décèle une feuille de route progressive et pragmatique. Ce sommet, ponctué d’un panel de haut vol, a planté les germes d’une réflexion collective. Mais la moisson de ces idées audacieuses portera-t-elle ses fruits ? L’Afrique saura-t-elle, sous l’impulsion de tels éclaireurs, réécrire son rôle dans la grande fresque technologique mondiale ? Le chemin s’ouvre, et l’histoire attend ses artisans.

Lomé s’illumine pour le Gala des Entrepreneurs : une 3ᵉ édition prometteuse

Le 10 mai 2025, la capitale togolaise, Lomé, se métamorphosera en un carrefour incandescent de l’ambition et de l’innovation. En effet, L’Hôtel Sarakawa, écrin de prestige, accueillera la troisième édition du Gala des Entrepreneurs, un rendez-vous orchestré avec brio par Simera Corporation sous l’égide de Torrès Blaise Amededjisso. Près de 500 âmes audacieuses – entrepreneurs, investisseurs et décideurs – convergeront autour d’un dîner somptueux, prêt à faire jaillir des étincelles d’opportunités.

 Gala des Entrepreneurs : une agora vibrante pour les bâtisseurs d’avenir

Loin de se réduire à une simple agape, ce gala se dresse comme un phare éclatant, guidant les esprits entreprenants vers de nouveaux horizons. Ses ambitions fusent avec une clarté irrésistible : tisser un réseau palpitant où les idées s’entrelacent, offrir une vitrine éclatante aux entreprises en quête de lumière, stimuler des alliances commerciales entre les forces locales et les vents internationaux, et insuffler ainsi une vigueur inédite à l’investissement togolais et africain. Chaque instant de cette soirée s’annonce comme une promesse d’élan, un creuset dans lequel les visions se forgent et les destins se croisent.

Une nuit pour oser et conquérir

Dans l’enceinte feutrée de l’Hôtel Sarakawa, les convives ne se contenteront pas de savourer un repas d’exception. Ils plongeront également dans un tourbillon d’échanges stratégiques, où les poignées de main scelleront des partenariats naissants et les regards échangés dévoileront aussi des opportunités insoupçonnées. Ce sera le théâtre idéal pour partager des récits de triomphes, sonder les perspectives d’affaires et s’inspirer des parcours qui défient l’ordinaire. Par ailleurs, Simera Corporation, fidèle à sa mission, fait de cet événement un levier puissant pour propulser l’entrepreneuriat togolais sous les feux de la rampe.

Un horizon qui appelle l’audace

À mesure que la date approche, l’excitation monte, tel un feu qui couve sous la braise. Le Gala des Entrepreneurs s’érige en une célébration de l’audace, un appel vibrant à ceux qui osent bâtir demain. Mais quel sera l’écho de cette nuit étoilée ? Les graines semées dans l’effervescence des discussions germeront-elles en projets d’envergure ? Lomé, ce 10 mai 2025, pourrait bien devenir le point de départ d’une épopée économique dont les contours restent à dessiner.

 

Le Togo inaugure son Sénat : une aube nouvelle pour la démocratie

Jeudi, le Palais des Congrès de Lomé s’est paré de solennité pour accueillir un chapitre inédit de l’histoire togolaise. Conformément à l’article 12, alinéa 2, de la Constitution du 6 mai 2024, le Sénat, seconde chambre du Parlement, a ouvert les portes de sa première session ordinaire sous la houlette de Son Excellence M. Barry Moussa Barqué. Entouré de figures éminentes telles que Mme Victoire Tomegah-Dogbé, Premier ministre, et M. Sevon-Tépé Kodjo Adédzé, Président de l’Assemblée nationale, ainsi que d’un aréopage de dignitaires, le président du Sénat a présidé une cérémonie empreinte de gravité et d’espérance.

Le  Sénat togolais inaugure sa première session sous la présidence de Barry Moussa Barqué, marquant l’avènement du bicaméralisme dans une VeSénat : un moment gravé dans le marbre de l’histoire

Dès l’entonnement de « Terre de nos aïeux », suivi de la vérification du quorum par les 53 sénateurs présents, l’assemblée a adopté à l’unisson un ordre du jour en trois actes. Puis, dans son discours inaugural, Barry Moussa Barqué n’a pas mâché ses mots : « Nous sommes les scribes d’une histoire qui s’écrit sous nos yeux. » En effet, plus qu’une formalité, cette session incarne, selon lui, l’éclosion d’un régime parlementaire porteur d’un nouveau souffle. Le président du Sénat a rendu un hommage vibrant au Président Faure Essozimna Gnassingbé, architecte de la Vᵉ République, qui transforme sa vision en un serment tacite : celui d’une nation prospère, unie et apaisée.

Une administration sénatoriale taillée pour l’excellence

Le président du Sénat a esquissé les fondations de son mandat avec une ambition limpide : ériger une machinerie administrative d’une précision horlogère, mêlant rigueur et audace. Par ailleurs, « notre Sénat se doit d’être un outil affûté au service des citoyens », a-t-il proclamé, annonçant des séminaires pour doter les sénateurs d’un savoir aussi solide qu’une ancre dans la tempête. Par la suite, les groupes parlementaires, futurs creusets du pluralisme et les commissions permanentes, ateliers de la réflexion législative, viendront bientôt compléter cette armature institutionnelle.

Le  Sénat togolais inaugure sa première session sous la présidence de Barry Moussa Barqué, marquant l’avènement du bicaméralisme dans une VeLa diplomatie parlementaire comme étendard

Dans un élan visionnaire, Barry Moussa Barqué a fait de la diplomatie un pilier de son action. En plus, les groupes d’amitié et les sections dans les instances interparlementaires seront autant de flambeaux pour éclairer la présence du Togo sur l’échiquier mondial. Dans ce but, « que notre voix résonne comme une étoile dans la nuit des dissensions », a-t-il lancé, appelant à un rayonnement qui transcende les frontières. Cette ambition s’accompagne d’un vœu de collaboration étroite avec l’Assemblée nationale et le gouvernement, dans une harmonie bicamérale au service d’un Togo fraternel.

Le  Sénat togolais inaugure sa première session sous la présidence de Barry Moussa Barqué, marquant l’avènement du bicaméralisme dans une VeUne ode au collectif et à l’exemplarité

Le président n’a pas omis de saluer les artisans de l’ombre – personnel administratif et médias – dont le labeur discret fait battre le cœur de cette jeune institution. « Vous êtes les fondations invisibles d’un édifice qui aspire aux cimes », a-t-il souligné. Pour conclure, son appel final, vibrant d’unité, a résonné comme une injonction : « Que notre exemplarité soit le miroir des espoirs de la nation. » Dès lors, pendant trois mois, cette première session posera les jalons d’une gouvernance inclusive, où le dialogue parlementaire promet de sculpter un avenir collectif.

Une page blanche à écrire

Ainsi s’ouvre l’ère du bicaméralisme togolais, sous le sceau d’une Vᵉ République aux contours encore flous, mais gorgés de potentiel. Le Sénat, inauguré hier, deviendra-t-il le phare d’une démocratie renforcée ou un défi à relever dans un paysage politique en mutation ? À l’image d’un livre dont les premiers mots viennent d’être tracés, le dénouement reste suspendu aux plumes de ceux qui oseront en tourner les pages.

Corée du Sud : La Chute de Yoon Suk Yeol

Une guillotine d’une rare unanimité s’est abattue ce vendredi, mettant un terme définitif à la destinéepolitique de Yoon Suk Yeol, désormais ex-président de la Corée du Sud. En effet, dans une décision sans appel, la Cour constitutionnelle a entériné sa déchéance, scellant ainsi la fin d’un mandat marqué par une audace aussi brève que désastreuse : une tentative d’instauration de la loi martiale, avortée en quelques heures, mais dont les secousses continuent de fissurer le socle de la nation. Par ailleurs, ce verdict, fruit d’un consensus exceptionnel des huit juges, résonne comme un cri d’alarme dans une démocratie vacillante, où la liesse des uns croise le fer avec la fureur des autres, tandis qu’un horizon électoral se profile aussi imminent qu’ombrageux.

Une nuit qui a tout bouleversé dans le parcours de Yoon Suk Yeol 

Le 3 décembre restera gravé dans les mémoires comme le moment où Yoon Suk Yeol, acculé par une cascade de scandales et une paralysie budgétaire, a joué son va-tout. En ordonnant aux forces armées de prendre position face au Parlement, il a invoqué une menace fantasmagorique : une infiltration par des « forces anti-étatiques » nord-coréennes et chinoises, censées gangréner le pays et son opposition. Cette justification, aussi ténue qu’un fil d’araignée, n’a pas résisté à l’épreuve des faits. Moins de deux heures après son annonce télévisée, une coalition de 190 législateurs, transcendant les lignes partisanes, a balayé cette tentative par un vote cinglant. Suspendu dès le 14 décembre par le Parlement, Yoon a vu son sort suspendu à l’examen de la Cour, jusqu’à ce vendredi où la sentence est tombée, implacable.

Moon Hyung-bae, président par intérim de l’institution judiciaire, n’a pas mâché ses mots. Dans une admonestation d’une gravité peu commune, il a fustigé une prise de pouvoir qui, loin de protéger la nation, s’est érigée en « rempart contre les droits mêmes qu’elle devait garantir ». Cette nuit fatidique a ranimé des spectres que la Corée du Sud croyait ensevelis : ceux d’un passé autoritaire, où la loi martiale était l’instrument des despotes. Pour une population façonnée par des décennies de lutte pour la liberté, ce sursaut dictatorial a été un électrochoc, un rappel que la démocratie, si chèrement acquise, demeure aussi une flamme fragile.

Une nation à vif

À Séoul, le verdict a libéré un torrent d’émotions contradictoires. Sous les arches de Gwanghwamun, les adversaires de Yoon ont laissé éclater une joie rauque, saluant une victoire de la souveraineté populaire sur l’arbitraire. Mais ailleurs, ses fidèles, drapés dans une colère sourde, ont conspué une justice qu’ils accusent de plier sous les vents d’une cabale élitiste. Cette fracture, béante, n’est pas née de la seule nuit du 3 décembre. Mois après mois, les théories conspirationnistes de Yoon – jamais étayées – ont trouvé un écho insidieux. En martelant que des espions communistes avaient sapé les fondements de la République, il a semé un doute corrosif, fertilisant le terreau d’une extrême droite désormais décomplexée. Les cortèges de manifestants, qui défilent chaque semaine dans la capitale, en sont la preuve criante : la Corée du Sud est une mosaïque disloquée.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Plus d’un tiers des citoyens confessent leur scepticisme envers la Cour constitutionnelle, tandis qu’un quart doute de la probité du scrutin. Cette défiance, poison lent, s’insinue alors que le pays doit se choisir un nouveau guide avant le 3 juin. L’élection anticipée, loin de promettre une catharsis, s’annonce comme un brasier dans lequel s’affronteront des visions irréconciliables. Et au-delà des frontières, les défis s’amoncellent : les sanctions douanières américaines, imposées par Donald Trump, amputent une économie déjà chancelante, tandis que les provocations de Kim Jong-un, au Nord, maintiennent une tension palpable.

 Cour constitutionnelle sud-coréenne destitue à l’unanimité Yoon Suk Yeol pour sa tentative de loi martiale, plongeant le pays dans une criseVers une refondation incertaine

Face à ce tumulte, une clameur s’élève, portée par des esprits lucides : celle d’une réforme constitutionnelle. Limiter les prérogatives présidentielles, fortifier les remparts institutionnels, voilà les remèdes proposés pour prévenir toute récidive autocratique. Mais cette entreprise, aussi noble soit-elle, exige un désintéressement rare de la part d’une classe politique habituée à s’enivrer de pouvoir. Le successeur de Yoon, quel qu’il soit, hérite d’un fardeau écrasant : panser une nation dans laquelle la méfiance est devenue une seconde nature.

Quant à Yoon lui-même, il s’éclipse sans un murmure de repentir. Dans une adresse laconique, il a déploré ses « manquements » auprès de ses partisans, tout en éludant la légitimité du jugement qui l’a foudroyé. Cette esquive, fidèle à son obstination, laisse planer une ombre : se résignera-t-il à l’exil silencieux ou cherchera-t-il, depuis les coulisses, à raviver les flammes d’un brasier qu’il a attisé ? La Corée du Sud, suspendue entre espoir et appréhension, avance vers un futur dans lequel chaque pas semble un défi, chaque choix une énigme.

Un Voyage dans les Profondeurs du Temps : L’Hommage du Gouverneur Atcha-Dedji aux Grottes de Nok

Tandjouare 2, 4 avril 2025 — Dans les replis escarpés de Tandjouare 2, au sein de la Région des Savanes au Togo, se dressent les grottes de Nok, un sanctuaire d’une valeur archéologique et culturelle hors du commun. En effet, découvertes au tournant du XXe siècle, ces cavités séculaires, creusées dans la roche par le temps et les mains humaines, auraient accueilli le peuple Nok, une civilisation ancienne dont les sculptures en terre cuite et la maîtrise précoce du fer continuent de fasciner les érudits. Ces grottes, véritable dédale de galeries ornées de gravures rupestres, dévoilent les murmures d’une époque révolue, incarnant avec éloquence le génie et la ténacité des aïeux togolais.

Les grottes de Nok, trésor archéologique du Togo, ont accueilli une visite officielle soulignant leur rôle clé dans l’identité culturelle Une visite de haut rang pour célébrer l’héritage togolais

C’est dans cet écrin chargé de mémoire qu’Affoh Atcha-Dedji, figure éminente de la gouvernance de la Région des Savanes et pilier du parti UNIR en tant que vice-président pour la Région Centrale, a récemment posé ses pas. Lors de cette visite empreinte de solennité, il a eu l’insigne privilège de fouler ce lieu emblématique, dont la renommée dépasse les frontières locales. Loin d’être une simple formalité, ce déplacement s’est révélé une ode vibrante à l’héritage togolais, une reconnaissance publique de la place centrale qu’occupent les grottes de Nok dans le récit national.

Face à la beauté de ce paysage, le gouverneur, charmé, a exalté la nécessité impérieuse de protéger ce patrimoine, soulignant que ces cavernes ne se réduisent pas à un amas de pierres et de poussière, mais constituent un miroir de l’âme collective du Togo. « Ce site emblématique, riche en histoire et en culture, témoigne de notre patrimoine inestimable et de la résilience de nos ancêtres », a-t-il affirmé, insistant sur le devoir sacré de transmettre intact ce legs aux générations montantes. Ses mots, portés par une conviction palpable, ont résonné comme un appel à l’éveil des consciences.

Les grottes de Nok, symboles vivants de l’identité togolaise

Cette visite, bien plus qu’un événement isolé, met en lumière une vérité fondamentale : les grottes de Nok transcendent leur statut de vestige archéologique pour s’ériger en symboles vivants de l’identité togolaise. En plus, elles incarnent un pont entre les époques, un lien tangible avec ceux qui, jadis, ont façonné les contours de cette terre. Pourtant, leur pérennité n’est pas acquise. Entre les assauts du temps et les défis de la modernité, leur sauvegarde exige une mobilisation sans faille, une synergie entre les volontés politiques et l’élan populaire.

Les grottes de Nok, trésor archéologique du Togo, ont accueilli une visite officielle soulignant leur rôle clé dans l’identité culturelle En quittant les lieux, Affoh Atcha-Dedji a laissé derrière lui une interrogation essentielle, suspendue dans l’air comme une invitation au sursaut. Comment conjuguer l’élan du progrès avec la fidélité à nos racines ? La réplique, encore en développement, revient à ceux qui portent actuellement la flamme de cet héritage en eux. Les grottes de Nok, impassibles et majestueuses, attendent silencieusement que nous écrivions la suite de leur histoire. Ce legs, suspendu entre la mémoire et l’avenir, repose désormais entre nos mains.