Golfe 2 et Hope Actions font briller les yeux des enfants d’ENVOL

Lomé, le 19 décembre 2025 – La magie de Noël s’est invitée ce vendredi au centre IMPP ENVOL de Tokoin Wuiti. Dans un élan de générosité, l’association Hope Actions et la Mairie de la Commune Golfe 2 ont uni leurs forces pour offrir un moment de réconfort aux enfants en situation de handicap. En effet, Entre sourires et émotion, cette remise de dons marque le début des célébrations sous le signe de la solidarité.

Un panier de fête pour soulager le quotidien

À travers sa Direction des Affaires Sociales (DASSSEC), la commune Golfe 2 a mobilisé un lot important de vivres. Sacs de riz, bidons d’huile, tubercules d’igname, pâtes alimentaires et friandises : rien n’a été oublié pour garnir les tables du centre.

Au-delà de l’aide matérielle, ce geste vise surtout à briser l’isolement d’une population souvent vulnérable et confrontée aux préjugés. Pour M. TSOGBE Komi, directeur de l’IMPP ENVOL, cet acte « apporte du soulagement et motive les équipes éducatives » tout en rassurant les familles sur la place de leurs enfants dans la société.

À Lomé, la Commune Golfe 2 et l'ONG Hope Actions offrent des vies aux enfants handicapés du centre ENVOL. Un geste de solidarité fort pour un Noël inclusif.

Golfe 2 et l’ONG Hope : l’espoir contre la stigmatisation

 

La représentante de Hope Actions, Mme KATRO Mawulolo Abigaël, a rappelé la mission de son organisation : redonner de l’espoir aux enfants marginalisés. En effet, l’objectif est de briser les barrières sociales pour favoriser l’épanouissement de ces jeunes talents.

De son côté, Mme AMAGLO-NEGLOKPE ADJEVI Djatougbé, représentante du maire du Golfe 2, a réaffirmé l’engagement de la municipalité. Elle a aussi profité de l’occasion pour lancer un appel dynamique : chaque acteur social doit contribuer, à son échelle, à bâtir une société plus inclusive.

Une fin de cérémonie en chansons

 

L’événement s’est achevé dans une ambiance festive et chaleureuse. Les enfants ont pris la parole à leur manière, en interprétant des chants qui ont ému l’assistance. Ces instants de partage, rythmés par des éclats de rire et des embrassades, rappellent aussi que la solidarité reste le plus beau des cadeaux en cette période de fin d’année.

En somme, cette initiative confirme le statut de la Commune Golfe 2 comme une référence en matière de gouvernance sociale. Elle prouve qu’avec des partenariats solides, il est également possible de transformer le quotidien des plus fragiles et de semer des graines d’espoir pour l’avenir.

Togo : Top départ pour le soutien financier à 700 000 ménages

Agoè-Nyivé, le 19 décembre 2025 – C’est un tournant historique pour la solidarité nationale au Togo. Sous l’impulsion du Président Faure Essozimna Gnassingbé, le Programme national de protection sociale (PNPS) est officiellement entré dans sa phase active ce 18 décembre à Agoè-Nyivé. Avec l’activation de transferts monétaires directs au profit de 700 000 ménages, l’État togolais franchit une étape décisive pour éradiquer la précarité et garantir à chaque citoyen une place dans la croissance du pays.

Une mobilisation au sommet à Agoè-Nyivé 4

 

La cérémonie de lancement a été présidée par la ministre Sandra Ablamba Johnson, secrétaire générale de la Présidence et représentante personnelle du chef de l’État. Elle s’est déroulée en présence de hauts responsables, dont la première vice-présidente de l’Assemblée nationale, Ibrahima Mémounatou, ainsi que plusieurs membres du gouvernement et partenaires internationaux.

Dans son intervention, la ministre Johnson a salué le leadership du Président dans la lutte contre la pauvreté. Toutefois, elle a également tenu à encourager les bénéficiaires à une gestion responsable de ces fonds. Pour le gouvernement, ces aides ne sont pas de simples secours, mais un véritable tremplin vers une autonomie durable.

Le Togo lance le PNPS : transfert d'argent pour 700 000 ménages précaires. Une étape historique vers l'autonomie et la réduction de la pauvreté.

Un levier vers l’autonomie et l’insertion

 

Au-delà de l’aide financière directe, le PNPS intègre également des volets dédiés à l’insertion professionnelle des jeunes vulnérables et à l’autonomisation économique des femmes via le financement d’activités génératrices de revenus. Ce dispositif vient renforcer un arsenal de mesures sociales déjà bien en place :

  • Santé : L’Assurance maladie universelle couvre plus de 4,4 millions de personnes, incluant les travailleurs informels et les femmes enceintes (programme Wezou).
  • Éducation : 41 millions de repas gratuits servis dans les cantines scolaires et 100 000 kits distribués aux jeunes filles pour la rentrée 2025-2026.
  • Économie rurale : 8,7 milliards FCFA de crédits d’intrants pour les producteurs et 17,2 milliards FCFA distribués via le FNFI à près de 2 millions de personnes.

Des résultats historiques : Le Togo change de catégorie.

 

Grâce à ces efforts constants, les résultats sont désormais visibles sur le plan international. La pauvreté multidimensionnelle est passée de 37,1 % en 2018 à 28,9 % en 2021, représentant une baisse de 8,2 points malgré l’impact de la pandémie mondiale.

Plus impressionnant encore, pour la première fois de son histoire, le Togo est passé de la catégorie des pays à indice de développement humain (IDH) « faible » à celle des pays à IDH « moyen ».

En somme, ce nouveau déploiement de la protection sociale n’est pas qu’une simple réponse à la conjoncture économique ; c’est le moteur d’une transformation profonde de la société togolaise. En faisant passer le pays dans la catégorie des nations à IDH « moyen », le gouvernement prouve que la croissance n’a de sens que si elle est partagée. Désormais, avec un filet de sécurité renforcé pour les plus vulnérables, le Togo s’impose comme un modèle de résilience et d’équité en Afrique de l’Ouest, établissant résolument l‘humain au cœur de l’émergence.

Lomé : Grand succès pour le concours régional de langue chinoise

Lomé, le 19 décembre 2025 – L’auditorium de l’Institut Confucius à l’Université de Lomé a vibré ce vendredi. Le site a accueilli la grande finale d’un concours prestigieux dédié à la langue et à la culture chinoises, clôturée par une remise solennelle de distinctions aux meilleurs talents de chaque catégorie.

L'Institut Confucius de Lomé a accueilli la finale régionale du concours de culture chinoise. Les lauréats de ce concours réunissant 6 pays

Un carrefour de talents pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre

Cet événement vient couronner un parcours sélectif particulièrement rigoureux. En effet, la compétition a réuni des candidats venus de plusieurs nations sœurs, notamment le Togo, le Burkina Faso, le Bénin, le Ghana, le Mali et la Côte d’Ivoire. Cette participation multinationale souligne non seulement le caractère régional de la manifestation, mais met également en lumière la richesse et la variété des profils en poux.

De ce fait, la remise des récompenses a honoré les vainqueurs dans une atmosphère de fête, célébrant l’effort, la performance et les liens éducatifs profonds entre les pays impliqués. Par ailleurs, cette initiative contribue au prestige international de l’Université de Lomé et favorise des interactions académiques dynamiques dans toute la sous-région.

Concours régional : une cérémonie placée sous le signe de l’excellence

La rencontre s’est tenue sous la présidence du professeur Komlan Batawila, premier vice-président de l’Université de Lomé. Il était accompagné pour l’occasion du Dr Maman Aboudou, directeur de l’Institut Confucius, et de Son Excellence Madame Wang Wen, ambassadrice de la République populaire de Chine au Togo. Devant un public composé de cadres universitaires, d’enseignants et d’étudiants, les officiels ont apprécié le niveau exceptionnel des compétiteurs.

Consolider les ponts entre la Chine et l’Afrique

En définitive, cet événement renforce les partenariats sino-africains dans le domaine de l’enseignement des langues. À travers ce concours, l’Institut Confucius illustre une fois de plus son engagement à promouvoir l’excellence linguistique et culturelle. C’est un pas de plus vers une compréhension mutuelle accumulée, faisant de Lomé un pôle incontournable du rayonnement de la culture chinoise en Afrique.

Atakpamé : Yas Togo forme 100 commerçantes au numérique

Atakpamé, le 19 décembre 2025 – Le programme « Dagan Connectée 2025 », lancé par Yas Togo, vient de franchir une étape majeure. En effet, la série de formations s’est achevée avec la clôture officielle de la quatrième et dernière cohorte à Atakpamé. Au total, une centaine de femmes, toutes actrices de petites activités commerciales, ont suivi un parcours intensif pour intégrer le numérique dans leur gestion quotidienne.

 Yas Togo : le digital au service du commerce de proximité

Déployé avec succès dans quatre localités du pays, ce dispositif a mis l’accent sur des compétences concrètes. L’objectif était double : développer les aptitudes numériques des participants et optimiser leurs pratiques de gestion. Grâce à l’utilisation d’outils en ligne, ces microentreprises sont désormais mieux armées pour se dynamiser. Les bénéficiaires de cette ultime séance ont d’ailleurs démontré une assiduité remarquable, confirmant ainsi l’efficacité de cette approche pratique et accessible.

Clôture du programme Dagan Connectée 2025 à Atakpamé : 100 femmes commerçantes formées au numérique par Yas Togo pour dynamiser l'économie locale.

Un hommage à la persévérance féminine

Face à ce succès, Yas Togo adresse ses chaleureuses félicitations aux membres de cette cohorte finale, ainsi qu’à l’ensemble des femmes ayant participé à l’édition 2025. Par ce geste, l’initiateur salue leur persévérance et leur engagement constant tout au long des différents modules de formation.

Clôture du programme Dagan Connectée 2025 à Atakpamé : 100 femmes commerçantes formées au numérique par Yas Togo pour dynamiser l'économie locale.

 Yas Togo: un levier pour l’entrepreneuriat inclusif au Togo

Au-delà de la simple formation, cette initiative illustre l’engagement de l’opérateur télécom en faveur de l’autonomisation économique des femmes. En misant sur le numérique, Yas Togo contribue à bâtir un entrepreneuriat plus inclusif et plus résilient sur l’ensemble du territoire national.

En conclusion, le programme a désormais outillé les bénéficiaires pour transformer radicalement leurs activités. Elles sont prêtes à saisir de nouvelles opportunités dans un environnement numérique en pleine expansion, faisant d’Atakpamé un exemple de réussite pour l’inclusion financière par le numérique.

Togo: le Sénat togolais examine le budget 2026

Lomé, le 19 décembre 2025 – Le Sénat togolais entre désormais dans le vif des débats sur le projet de loi de finances 2026. Ce budget ambitionne d’atteindre un niveau record de plus de 2 750 milliards FCFA. Après son adoption par l’Assemblée nationale le 9 décembre, ce texte, qui marque le premier exercice budgétaire complet de la Vᵉ République, met l’accent sur une croissance projetée à 6,5 % et des priorités sociales renforcées.

Budget 2026 : une nouvelle ère parlementaire et fiscale

 

L’attention se porte particulièrement sur les mesures fiscales innovantes destinées à favoriser l’inclusion sociale et à relancer des secteurs clés comme l’agriculture et l’emploi. Ce budget, qui marque une étape importante dans la consolidation du bicaméralisme, intègre des dispositifs ciblés pour soutenir les entrepreneurs vulnérables et booster la production nationale.

Dans ce cadre, les commissions sénatoriales, actives depuis le début de la semaine, passent au crible ces initiatives. Elles travaillent en collaboration étroite avec les gouvernements responsables, notamment le ministre des Finances et du Budget, Essowè Georges Barcola, et le ministre de l’Économie et de la Veille stratégique, Badanam Patoki. Ces auditions permettent, de fait, aux sénateurs d’obtenir des précisions sur les prévisions de recettes, les allocations par secteur et la viabilité des dépenses dans un contexte international incertain.

Le Sénat togolais examine le record budgétaire de 2 750 milliards FCFA pour 2026. Focus sur les mesures sociales, l'emploi des jeunes et l'exonération agricole.

Priorité au social et à la transformation économique

 

Avec une hausse d’environ 15 % par rapport à 2025, ce budget équilibré traduit la résilience économique du pays. Concrètement, près de 48 % des dépenses sont consacrées aux secteurs sociaux (santé, éducation, protection sociale) pour favoriser l’inclusion et le capital humain. Par ailleurs, les investissements dans la transformation économique progressent de plus de 29 %, ciblant l’agriculture, l’industrie, le numérique et la création d’emplois, notamment pour les jeunes et les femmes.

Parmi les points phares, on note l’instauration d’un crédit d’impôt dédié à l’embauche de personnes en situation de handicap, visant à promouvoir l’égalité des chances sur le marché du travail. De même, le budget prévoit des allègements fiscaux pour les marchés publics attribués aux femmes entrepreneurs ou aux jeunes, encourageant ainsi la diversification économique et l’autonomisation.

Budget 2026 : soutien au monde agricole et souveraineté

 

Dans le domaine agricole, une exonération de TVA sur les importations d’aliments pour bétail se distingue. Cette mesure est précisément destinée à réduire les coûts pour les éleveurs et à renforcer la production locale de viande et de produits laitiers. Ces initiatives s’inscrivent dans une stratégie plus large de résilience économique, avec un accent sur la transformation agro-industrielle.

En examinant la faisabilité de ces incitations, les sénateurs cherchent désormais à optimiser ces dispositifs pour garantir un impact maximal sur le quotidien des populations.

Le Sénat togolais examine le record budgétaire de 2 750 milliards FCFA pour 2026. Focus sur les mesures sociales, l'emploi des jeunes et l'exonération agricole.

Vers une adoption finale et transparente

 

Au-delà des chiffres, ces innovations fiscales pourraient transformer le paysage socio-économique togolais en favorisant une croissance inclusive. De plus, ce débat garantit une gestion rigoureuse et transparente de l’argent public, en conformité avec les critères de l’UEMOA et les engagements pris avec le FMI.

Enfin, une fois les travaux en commission achevés, le Sénat procédera à l’examen en plénière, avant une éventuelle navette avec l’Assemblée nationale pour l’adoption finale. Ce budget ambitieux vise à accélérer la mise en œuvre de la feuille de route Togo 2030 pour un développement durable. Les Togolais observent avec intérêt ces évolutions, porteuses d’espoir pour un avenir plus équitable.

Lomé : Top départ pour la future Cité ministérielle

Lomé, le 19 décembre 2025 – Le Togo accélère sa transformation économique grâce à des projets structurants comme la future Cité ministérielle, dont la phase opérationnelle a été lancée cette semaine. En effet, la signature d’un accord stratégique entre l’État togolais et le groupe PFO Africa ouvre la voie à un chantier d’envergure qui promet non seulement de booster le secteur du bâtiment, mais aussi de générer un impact positif sur l’emploi et la croissance locale.

Le Togo lance la phase opérationnelle de sa future Cité ministérielle à Lomé II. Un projet d'envergure de 18 bâtiments pour moderniser l'État et booster l'emploi.

Un complexe moderne au cœur de Lomé II

Ce nouveau pôle exécutif, s’étendant au cœur du quartier administratif de Lomé II, autour du palais présidentiel, comprendra 18 bâtiments modernes, dont huit tours d’hauteurs variées et dix structures plus basses. Au total, il y aura 90 000 m² de surfaces bureautiques, accompagnés d’un vaste jardin central et de plus de 900 places de parking souterrain. Grâce à cette infrastructure, près de 4 500 fonctionnaires y trouveront un environnement de travail optimisé, favorisant les synergies interministérielles et une meilleure efficacité administrative.

Par ailleurs, ce complexe qui regroupera une grande partie des services publics dans un site unique représente un investissement significatif pour le pays. Avec ses vastes espaces de travail et ses infrastructures intégrées, il vise à dynamiser l’activité économique en créant des opportunités directes et indirectes pour les Togolais.

 

Un moteur pour l’emploi et l’économie locale

Selon les estimations liées aux financements antérieurs de la BOAD pour ce type de projet, un tel chantier pourrait engendrer plus d’un millier d’emplois pendant la phase de construction. De plus, il stimulera les filières locales de matériaux et de services. À terme, l’accueil de milliers de fonctionnaires dans un environnement optimisé contribuera à une administration plus fluide, favorisant un climat des affaires attractif pour les investisseurs.

Dans cette optique, le Groupe PFO, à travers sa filiale spécialisée SOCOCIM, apporte son savoir-faire régional acquis sur de nombreux chantiers ouest-africains. Clyde Fakhoury, administrateur du groupe, a souligné lors de la cérémonie que cette collaboration illustre le potentiel des partenariats public-privé pour réaliser des infrastructures durables et créatrices de valeur au Togo.

Cité ministérielle: la vision « Togo 2030 » en marche

Il est important de noter que ce projet s’inscrit pleinement dans la vision Togo 2030, où la modernisation des institutions va de pair avec le développement économique inclusif. En centralisant les ministères dans un pôle exécutif harmonieux, doté d’espaces verts et de parkings adaptés, l’État togolais mise sur une croissance partagée, où l’urbanisme intelligent profite à l’ensemble de la population.

En conclusion, à l’heure où le Togo affiche une dynamique de réformes et d’investissements, la Cité ministérielle apparaît comme un catalyseur supplémentaire pour une économie résiliente et tournée vers l’avenir. Les Togolais attendent désormais avec intérêt les premières avancées du chantier, prévues pour s’étaler sur plusieurs années.

ONU-FETAPH : un partenariat pour l’inclusion

Lomé, 18 décembre 2025 – Les Nations Unies au Togo et la Fédération Togolaise des Associations de Personnes Handicapées (FETAPH) ont formalisé ce vendredi un partenariat , marquant l’aboutissement de plusieurs années de collaboration en faveur des droits des personnes en situation de handicap. En effet, cet accord vise à aligner les initiatives communes sur les orientations prioritaires des autorités nationales.

ONU-FETAPH :  une signature officielle pour consolider la coopération

 

La coordonnatrice résidente des Nations Unies au Togo, Coumba Dieng Sow, et le président de la FETAPH, Enyonam Akakpo Numado, ont apposé leur signature sur le document, en présence des co-présidents de la commission interne de l’ONU dédiée à l’inclusion du handicap, le Dr Yayé Kanny Diallo et un représentant du Programme Alimentaire Mondial.

Par ailleurs, cet acte vient consolider des pratiques déjà efficaces, telles que les actions de plaidoyer coordonnées, l’intégration systématique des personnes handicapées dans les programmes onusiens, ainsi que des immersions professionnelles au sein des agences des Nations Unies au Togo. Ces mesures démontrent une meilleure représentation et une participation accumulée des acteurs concernés aux projets de développement.

Les Nations Unies au Togo et la FETAPH signent un accord stratégique pour renforcer l’inclusion des personnes handicapées, aligner les actions sur les priorités nationales et promouvoir une participation équitable au développement.

Un mois d’inclusion marqué par des initiatives immersives

 

De plus, lors de cette rencontre, les signataires ont passé en revue les réalisations du Mois de l’inclusion , tenue du 15 novembre au 15 décembre. Durant cette période, l’ensemble des agences onusiennes au Togo a ouvert ses portes à des personnes en situation de handicap, leur offrant des stages et des expériences immersives afin de promouvoir l’égalité des chances et de sensibiliser les équipes internes.

En somme, ce partenariat marque une nouvelle étape dans l’ambition togolaise de promouvoir l’inclusion et de garantir le respect des droits pour tous. En harmonisant leurs efforts avec les politiques gouvernementales, l’ONU et la FETAPH ambitionnent d’accélérer les progrès vers une société plus équitable, où les personnes handicapées contribuent pleinement au développement national. Cette alliance renforcée pourrait inspirer d’autres initiatives régionales, illustrant ainsi comment la synergie entre partenaires internationaux et acteurs de terrain peut générer des transformations sociales profondes et pérennes.

Kara Music Awards : un atelier dédié à l’épanouissement des talents

Kara, 18 décembre 2025 – À l’occasion du dixième anniversaire des Kara Music Awards, un atelier dédié au perfectionnement professionnel a captivé une audience variée mercredi à l’Hôtel Étoile de la Kozah. Cette initiative, centrée sur les mutations du paysage culturel, a équipé les professionnels d’outils innovants pour naviguer dans un environnement de plus en plus connecté.

À Kara, un atelier professionnel organisé pour les 10 ans des Kara Music Awards forme artistes et acteurs culturels aux stratégies numériques, à la promotion en ligne et aux nouveaux outils de l’industrie créative.

Des experts pour décrypter les mutations de l’industrie créative

Dirigé par Mme Ziadi, spécialiste mandatée par le Conseil International de l’Industrie et des Initiatives Artistiques (CONIIA), et par Francis Akovi, expert en communication numérique, le programme a exploré les défis contemporains du domaine artistique. Par ailleurs, les sessions ont mis l’accent sur les dynamiques actuelles de l’industrie créative, les approches pour valoriser les compétences émergentes et les tactiques de promotion adaptées au monde digital, incluant l’usage des réseaux sociaux et des plateformes en ligne.

Parmi les présents : des créateurs musicaux, des agents artistiques, des organisateurs d’événements et des amateurs passionnés. Chacun est reparti avec des méthodes applicables immédiatement, destinées à amplifier leur influence au sein de l’écosystème culturel togolais. Ces acquis couvrent notamment la construction d’une présence en ligne solide et la monétisation des contenus artistiques dans un marché globalisé.

À Kara, un atelier professionnel organisé pour les 10 ans des Kara Music Awards forme artistes et acteurs culturels aux stratégies numériques, à la promotion en ligne et aux nouveaux outils de l’industrie créative.

Kara Music Awards : des échanges interactifs salués par les participants

Les facilitateurs ont été applaudis pour la richesse de leurs interventions, qui ont favorisé des interactions vivantes et pertinentes. L’atelier, intégré aux festivités des Kara Music Awards – une plateforme dédiée à la reconnaissance des talents musicaux régionaux –, illustre une vision proactive : professionnaliser les intervenants pour une scène culturelle plus compétitive et résiliente face aux défis numériques.

En somme, cette rencontre renforce l’héritage des Kara Music Awards, qui célèbrent une décennie de promotion artistique au Togo. Elle pourrait catalyser de nouvelles collaborations et innovations, contribuant à un secteur plus dynamique et inclusif. Les organisateurs expriment leur satisfaction face à la mobilisation et à l’enthousiasme général, augurant d’un avenir prometteur pour la culture togolaise.

Togo lance la HATIC, un nouvel outil pour la transparence

Lomé, 18 décembre 2025 – Le paysage institutionnel togolais évolue avec la mise en place d’une entité dédiée à la promotion de l’intégrité dans la sphère publique. Adoptée lors du conseil des ministres du 17 décembre, la Haute Autorité pour la Transparence, l’Intégrité de la Vie Publique et la Lutte contre la Corruption (HATIC) entre en fonction, succédant à l’ancienne Haute Autorité de Prévention et de Lutte contre la Corruption (HAPLUCIA). Cette réforme s’inscrit dans une volonté affirmée de consolider les mécanismes de bonne gouvernance.

 

 HATIC : un contrôle renforcé des déclarations de biens et d’intérêts

Au centre des attributions de cette nouvelle autorité figure une tâche essentielle : collecter, analyser et vérifier les déclarations de biens et d’intérêts émises par les figures de l’État. D’ailleurs, ce mécanisme, imposé aux hauts cadres administratifs, aux représentants élus et à d’autres catégories équivalentes, représente un levier majeur pour anticiper les dysfonctionnements potentiels.

Une telle mission, si elle est menée avec rigueur et indépendance, pourrait devenir un outil déterminant pour renforcer la transparence publique. Elle conditionne en grande partie la crédibilité de la nouvelle autorité, dont l’efficacité se mesurera à sa capacité à prévenir les dérives plutôt qu’à simplement les constater.

 

Prévenir les conflits d’intérêts et promouvoir la reddition de comptes

Les ambitions de la HATIC sont claires et bipartites. D’abord, elle vise à identifier et à neutraliser les situations de conflits d’intérêts, tout en repérant les accroissements patrimoniaux suspects en les confrontant aux sources de revenus déclarées. Ensuite, elle aspire à instaurer une culture de reddition de comptes plus robuste, favorisant une administration publique plus ouverte et responsable vis-à-vis des citoyens. Cette initiative découle directement des dispositions de la Constitution adoptée le 6 mai 2024, qui prévoyait une telle restructuration pour adapter les outils de contrôle aux défis contemporains.

 

Une nouvelle dynamique dans la régulation de la communication

Parallèlement, le secteur des médias connaît une transformation notable : la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) se mue en Haute Autorité de Régulation de la Communication (HARC), élargissant ainsi potentiellement son champ d’action pour mieux encadrer l’écosystème informationnel dans un contexte numérique croissant.

 

En somme, Cette série de changements institutionnels reflète l’engagement des autorités togolaises à moderniser leurs dispositifs de surveillance éthique. En remplaçant des structures existantes par des entités aux mandats renforcés, le gouvernement espère non seulement dissuader les pratiques déviantes mais aussi restaurer la confiance des citoyens dans les institutions. Observateurs et acteurs de la société civile suivront de près l’impact concret de la HATIC sur la lutte anticorruption, dans un pays où la transparence reste un enjeu majeur pour le développement durable.

 

Mathématiques et IA : Lomé réunit chercheurs et experts

Lomé, 18 décembre 2025 – L’Université de Lomé accueille aujourd’hui et demain la cinquième édition des Journées d’Analyse Harmonique et d’Analyse Stochastique (JAHAS), une conférence internationale orchestrée par le Laboratoire d’Analyse, de Modélisation Mathématique et Applications (LAMMA). Hébergée dans la salle B du bloc pédagogique 2, cette manifestation adopte un format mixte, alliant présence physique et participation virtuelle, pour aborder le thème « Les Mathématiques de la Décision et l’Intelligence Artificielle ».

Un public diversifié pour un croisement de perspectives

Par ailleurs, ce rassemblement attire un public varié, incluant des universitaires émérites comme le deuxième vice-doyen de la Faculté des Sciences, le Dr Nadjime Pindra, et le professeur Yaogan Mensah, qui préside le comité organisateur. Des doctorants, des ingénieurs, des étudiants en master et des invités internationaux complètent ce panel, favorisant ainsi un croisement de perspectives enrichissant.

L’Université de Lomé ouvre la 5ᵉ édition des JAHAS, une conférence internationale dédiée aux mathématiques de la décision et à l’intelligence artificielle, réunissant chercheurs, doctorants et experts pour renforcer la recherche et l’innovation.

Les mathématiques, moteur de l’innovation technologique

À une époque où les transformations technologiques redéfinissent les sociétés, les mathématiques émergent comme un pilier indispensable de l’innovation, particulièrement dans les domaines de l’intelligence artificielle. Ainsi, cette édition des JAHAS se positionne comme une plateforme privilégiée pour des débats entre académiciens, spécialistes et jeunes chercheurs sur les implications futures de ces disciplines dans le progrès socio-économique.

 

Mathématiques et IA : un programme dense entre exposés, ateliers et sessions interactives

Le programme des deux jours est dense et orienté vers l’action : exposés dédiés à l’analyse harmonique, à l’analyse stochastique, aux probabilités et aux statistiques ; ateliers explorant les usages concrets des mathématiques en soutien à la prise de décision et à l’IA ; et sessions interactives reliant experts africains et européens avec des doctorants. En plus, ces échanges visent à stimuler des collaborations transcontinentales et à générer des idées novatrices applicables aux défis contemporains.

L’Université de Lomé ouvre la 5ᵉ édition des JAHAS, une conférence internationale dédiée aux mathématiques de la décision et à l’intelligence artificielle, réunissant chercheurs, doctorants et experts pour renforcer la recherche et l’innovation.

L’Université de Lomé, un acteur majeur de la recherche scientifique

Organisée par le LAMMA, cette conférence confirme le dynamisme de l’Université de Lomé dans la promotion des sciences exactes. Elle souligne comment les modèles mathématiques peuvent catalyser des avancées en IA, influençant aussi des secteurs variés comme l’économie, la santé ou l’environnement. Les retombées attendues pourraient inspirer de nouveaux projets de recherche et renforcer les réseaux académiques régionaux. Les participants, qu’ils soient sur place ou connectés, sont invités à contribuer activement à ces réflexions collectives pour un avenir où les mathématiques guident l’innovation responsable.

En refermant ces deux journées d’échanges, chercheurs et étudiants repartiront avec une conviction partagée : l’avenir de l’innovation africaine se jouera aussi dans les équations, les modèles et l’audace scientifique que ces rencontres contribuent à faire émerger.