UNESCO : le retrait américain ne freine pas sa mission mondiale

L’UNESCO face au retrait américain : un coup dur, mais une détermination intacte

 

Paris, 22 juillet 2025 Une onde de choc a traversé les couloirs de l’UNESCO ce mardi, alors que le Président américain Donald Trump a officialisé sa décision de retirer une nouvelle fois les États-Unis de l’organisation internationale. Cette mesure, qui entrera en vigueur fin décembre 2026, marque un revers significatif. Néanmoins, face à ce coup dur, l’UNESCO réaffirme sa résilience et son engagement inébranlable à promouvoir la paix, la culture et l’éducation à travers le monde.

 

Multilatéralisme sous attaque : Les conséquences d’un départ lourd de sens

 

Cette annonce, bien que prévisible pour certains observateurs, frappe de plein fouet les valeurs du multilatéralisme que l’UNESCO incarne avec force. En effet, ce départ menace directement les nombreux partenaires américains de l’organisation, qu’il s’agisse des sites aspirant à rejoindre la prestigieuse liste du Patrimoine mondial, des villes intégrées au réseau des villes créatives, ou encore des chaires universitaires collaborant activement avec l’UNESCO. Ce choix, qui fait tristement écho à celui de 2017, suscite une profonde déception, d’autant plus que l’organisation a multiplié les efforts pour prouver son rôle central sur la scène mondiale.

 

L’organisation plus forte que jamais : Une organisation financièrement blindée face aux tempêtes

 

Anticipant cette décision potentielle, l’UNESCO a su se réinventer au fil des années. Ainsi, depuis 2018, des réformes structurelles d’envergure ont permis de diversifier ses sources de financement, réduisant la part de la contribution américaine à seulement 8 % de son budget, contre parfois 40 % pour d’autres agences onusiennes. Grâce à une hausse spectaculaire des contributions volontaires, doublées depuis 2018, et au soutien massif de nombreux États et acteurs privés, l’UNESCO se trouve aujourd’hui dans une position financière plus solide que jamais. Par ailleurs, aucune suppression d’emploi n’est à ce jour envisagée, un signe manifeste de la robustesse et de la capacité d’adaptation de l’organisation.

 

Malgré les obstacles, l’UNESCO multiplie les succès et les engagements mondiaux

 

L’UNESCO n’a pas attendu ce retrait pour faire ses preuves. Ces dernières années, elle a orchestré des projets d’envergure, tels que la reconstruction de la vieille ville de Mossoul à partir de 2018, l’une des plus grandes opérations de son histoire. Elle a également adopté un cadre normatif unique au monde sur l’éthique de l’intelligence artificielle et lancé des initiatives majeures pour soutenir l’éducation et la culture dans des zones de conflit, comme l’Ukraine, le Liban ou le Yémen. La protection de la biodiversité, la sauvegarde du patrimoine naturel et l’éducation des filles figurent également parmi ses priorités absolues.

De surcroît, l’organisation s’est imposée comme un acteur clé dans la lutte contre l’antisémitisme et le négationnisme, notamment à travers l’enseignement de la Shoah. En collaborant avec des institutions prestigieuses comme le Musée mémorial de l’Holocauste à Washington, le Congrès juif mondial ou l’American Jewish Committee, l’UNESCO a formé des enseignants et développé des outils pédagogiques dans 85 pays. Ces efforts, largement salués internationalement, contredisent avec force les arguments avancés par Washington pour justifier ce retrait.

 

Un futur d’action : L’UNESCO, phare de la coopération, malgré les départs

 

Malgré la réduction inévitable de ses ressources, l’UNESCO reste déterminée à poursuivre ses missions essentielles. L’organisation, fidèle à sa vocation universelle, continuera d’accueillir toutes les nations, y compris les États-Unis, dont elle espère ardemment le retour. En attendant, elle maintiendra ses partenariats solides avec les acteurs privés, académiques et associatifs américains, tout en poursuivant un dialogue constructif avec l’administration et le Congrès.

Ce nouveau départ des États-Unis, motivé par des raisons similaires à celles invoquées il y a sept ans, intervient dans un contexte pourtant transformé, où l’UNESCO s’est affirmée comme un espace rare de consensus et d’action concrète. Mais loin de se décourager, l’organisation promet de redoubler d’efforts pour bâtir un monde plus juste, éduqué et uni, prouvant que sa mission transcende les aléas politiques et demeure plus vitale que jamais.

Lomé : le port stratégique séduit les ambitions américaines

Togo : Le Port de Lomé, une passerelle incontournable vers l’Afrique pour les entreprises américaines

 

Lomé, 22 juillet 2025 Imaginez un lieu où l’innovation maritime rencontre des opportunités économiques sans limites. Ce lieu existe : c’est le Port de Lomé, au Togo, fièrement classé quatrième port à conteneurs le plus actif d’Afrique. Le 21 juillet 2025, le Chargé d’Affaires Michaels a foulé son sol pour ouvrir la voie à des perspectives commerciales majeures pour les entreprises américaines, avec une ambition claire : booster la prospérité des États-Unis grâce à ce hub stratégique.

 

Le Port de Lomé : Quand l’infrastructure redéfinit le commerce africain

 

Le Port de Lomé, c’est bien plus qu’un simple quai. En effet, avec ses installations modernes et ses zones en eau profonde, il peut accueillir des navires imposants, prêts à transporter des marchandises vers le monde entier. Ses outils dernier cri et son organisation efficace en font une plaque tournante essentielle du commerce africain. Par ailleurs, situé sur les rives du golfe de Guinée, il ouvre une porte rapide et directe vers les nations enclavées d’Afrique de l’Ouest, un atout précieux pour toute entreprise rêvant d’élargir ses horizons.

 

L’Afrique, un marché colossal à portée de main pour les entreprises US

 

Ce port, c’est une véritable invitation à plonger dans un marché africain en pleine effervescence, avec plus de 1,4 milliard de consommateurs à portée de main. Les entreprises américaines y trouvent aussi un allié de taille : des réseaux logistiques bien rodés qui allègent les coûts et fluidifient les échanges. Mieux encore, le Port de Lomé mise sur une gestion durable, un argument de poids pour des sociétés sensibles aux enjeux environnementaux et sociaux.

Appel aux entrepreneurs : Lomé tend la main aux ambitions américaines

 

Le message est clair : le Port de Lomé appelle les entrepreneurs américains à saisir cette chance unique. En prenant contact avec ses équipes, les sociétés peuvent découvrir un éventail de services taillés pour accélérer leur développement en Afrique. Cette visite de Michaels n’est pas un simple déplacement ; au contraire, elle marque le début d’une nouvelle ère de collaboration économique entre le Togo et les États-Unis.

 

Lomé, bien plus qu’un port : Une passerelle vers le futur africain

 

En somme , le Port de Lomé ne se contente pas de relier des continents. Il incarne une Afrique dynamique, prête à accueillir les projets audacieux et les investissements visionnaires. D’ailleurs, pour les entreprises américaines, c’est une opportunité en or, un pont solide vers un avenir prospère et des marchés florissants sur le sol africain. Le signal est donné : l’heure est à l’action. Le Port de Lomé est prêt à devenir le catalyseur de nouvelles réussites transatlantiques.

Togo : UNIR rafle tout sur son passage aux municipales

Un raz-de-marée électoral pour l’UNIR : une domination municipale affirmée au Togo

Lomé, 21 juillet 2025 Le parti au pouvoir, Union pour la République (UNIR), vient d’inscrire une nouvelle victoire retentissante dans son palmarès politique déjà bien garni. À l’issue des élections municipales du 17 juillet, les résultats provisoires diffusés ce lundi par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) révèlent une performance tout simplement impressionnante : UNIR rafle plus des trois quarts des sièges dans les conseils municipaux, consolidant ainsi son hégémonie politique dans les 117 communes du pays.

Avec 1 150 postes remportés sur 1 527 disponibles, soit 75,31 % des sièges, la formation présidentielle démontre une fois de plus sa puissance de mobilisation et son maillage territorial inégalé, en particulier dans les zones rurales où ses relais locaux ont été particulièrement efficaces.

 

Le défi persistant de la parité : les femmes encore en marge de la victoire UNIR

 

Si cette victoire écrasante salue la solidité organisationnelle du parti, elle met néanmoins en lumière un écart persistant et préoccupant. En effet, seulement 16,4 % des élus UNIR sont des femmes, soit 189 sur 1 150. Ce chiffre, bien que révélateur d’un progrès timide par rapport aux précédents scrutins, confirme que la parité reste un défi politique majeur et une promesse non tenue dans le paysage togolais.

 

L’opposition en miettes : un paysage politique monolithique se dessine

 

Face à cette domination écrasante, les principaux partis de l’opposition ont eu toutes les peines du monde à émerger. Ainsi, l’Alliance nationale pour le changement (ANC) n’a obtenu que 51 sièges, tandis que l’Union des forces du changement (UFC) en recueillait 38 et l’Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI) 34. En revanche, les indépendants et petites formations politiques ont tiré leur épingle du jeu, comme le groupe TOVIA (24 sièges) et le Mouvement patriotique pour la démocratie et le développement (17 sièges), démontrant une résilience inattendue malgré l’hégémonie ambiante.

Ce scrutin vient prolonger la dynamique irrésistible du parti présidentiel, déjà triomphant aux législatives de 2024 avec 108 sièges sur 113 à l’Assemblée nationale.

Conformément au code électoral togolais, les formations politiques ont cinq jours pour contester ces résultats. Toutefois, l’ampleur du score obtenu par UNIR rend toute réclamation juridiquement délicate et politiquement risquée.

 

UNIR : vers une mainmise totale sur les institutions ? Le Togo à la croisée des chemins

 

Cette succession de victoires renforce de manière spectaculaire la position d’UNIR comme acteur incontournable et dominant du paysage politique togolais, désormais maître des urnes à tous les niveaux de gouvernance. Dès lors, une question cruciale se pose : cette suprématie écrasante sera-t-elle accompagnée de réformes inclusives, notamment en matière de participation des femmes et de pluralisme politique, ou le Togo s’achemine-t-il vers une concentration du pouvoir sans précédent ? L’avenir de la démocratie togolaise se jouera sur cette capacité à équilibrer hégémonie et inclusion.

DGDN Mobile : l’identité nationale s’invite aux arènes Evala

Kara : “DGDN Mobile – Evala 2025” facilite l’accès aux cartes d’identité en plein cœur des luttes traditionnelles

Kara, 21 juillet 2025 En pleine effervescence des festivités des luttes traditionnelles Evala, la région de Kara vibre au rythme d’une initiative novatrice : l’opération “DGDN Mobile – Evala 2025”. Orchestrée par la Direction Générale de la Documentation Nationale (DGDN), cette campagne de collecte de données biométriques, lancée pour délivrer des cartes d’identité, rapproche les services publics des citoyens. C’est une démarche audacieuse qui allie tradition et modernité pour faciliter l’accès à un document essentiel.

 

Un service public sans frontières : La DGDN débarque au cœur des arènes

 

L’opération “DGDN Mobile – Evala 2025” s’inscrit parfaitement dans le cadre des célébrations des Evala, ces joutes ancestrales kabyè qui réunissent des milliers de personnes dans la région de Kara. En effet, en déployant des unités mobiles de collecte de données biométriques directement dans les arènes des finales de lutte, les autorités permettent aux habitants, et particulièrement aux jeunes, d’obtenir ou de renouveler leur carte nationale d’identité sans avoir à se déplacer loin de chez eux.

Des espaces spécialement aménagés dans chaque canton accueillent les citoyens souhaitant participer à cette opération d’envergure. « Les cartes seront disponibles en moins de 48 heures et pourront être récupérées au domicile des chefs de canton », a assuré Adjitowou Komlan, gouverneur de la région de Kara, dans une déclaration officielle. Par ailleurs, cette rapidité et cette proximité témoignent de l’engagement de l’État à simplifier radicalement les démarches administratives.

 

La carte d’identité : un passeport pour l’avenir, directement aux Evala

 

La carte nationale d’identité n’est pas qu’un simple document ; elle est la clé d’accès à de nombreux services essentiels. Preuve d’identité, elle est indispensable pour effectuer des transactions financières, voyager à l’étranger, ou encore accéder à des prestations administratives et sociales. Ainsi, en facilitant son obtention, l’opération “DGDN Mobile” répond à un besoin crucial, notamment pour les jeunes qui s’apprêtent à entrer dans la vie active ou à poursuivre leurs études.

« C’est une chance incroyable de pouvoir faire ma carte d’identité ici, pendant les Evala. Avant, il fallait aller loin et attendre longtemps », confie Ama, une jeune habitante de la région, venue profiter de l’opération dans son canton, visiblement soulagée.

 

DGDN Mobile : Quand traditions anciennes et modernité administrative se rencontrent

 

En intégrant cette campagne aux festivités des Evala, la DGDN fait d’une pierre deux coups : elle valorise une tradition culturelle majeure tout en modernisant l’accès aux services publics. Les arènes de lutte, habituellement lieux de prouesses physiques et de communion communautaire, se transforment ainsi en hubs administratifs éphémères, où les citoyens peuvent accomplir leurs démarches dans une ambiance festive et conviviale.

Cette initiative illustre une volonté claire de l’État togolais de rendre ses services plus accessibles, tout en s’appuyant sur des événements culturels fédérateurs. En somme, en rapprochant l’administration des citoyens, “DGDN Mobile – Evala 2025” pose les bases d’une gouvernance plus inclusive et pratique.

 

Une opération « Mobile » qui pourrait transformer le service public togolais ?

 

Alors que les luttes Evala continuent d’enflammer la région de Kara, l’opération “DGDN Mobile” marque les esprits par son ingéniosité. En combinant tradition, accessibilité et efficacité, elle offre une réponse concrète aux besoins des populations locales. Le gouverneur Adjitowou Komlan a d’ailleurs laissé entendre que ce modèle pourrait s’étendre à d’autres régions et événements culturels à l’avenir, esquissant une nouvelle ère pour l’administration publique.

En attendant, les habitants de Kara saisissent cette opportunité unique de se doter d’un document indispensable, tout en célébrant leur riche patrimoine culturel. C’est une belle démonstration que modernité et traditions peuvent aussi avancer main dans la main pour bâtir un Togo plus connecté et inclusif. Cette synergie inattendue est-elle le prélude à une administration togolaise réinventée, plus proche de ses citoyens et de leurs réalités culturelles ? L’avenir nous le dira, mais les prémices sont prometteuses.

 

Kara vibre au rythme des Evala : entre bravoure et héritage

Evala 2025 : la lutte kabyè enflamme la région de Kara dans une célébration vibrante

Kara, 21 juillet 2025 Depuis le samedi 19 juillet, une ferveur contagieuse s’est emparée de la préfecture de Kozah, dans la région de Kara. À seulement 52 km de la localité semi-urbaine de Kabou, dans la préfecture de Bassar, les luttes traditionnelles kabyè, connues sous le nom d’Evala, battent leur plein. Ce rituel ancestral, véritable pilier de l’identité culturelle du peuple kabye, réunit des milliers de spectateurs dans une ambiance festive où courage, tradition et cohésion communautaire sont à l’honneur.

Au cœur des Evala : Plus qu’un combat, une âme kabyè

 

Dans la région de Kara – qui englobe Assoli, Binah, Bassar, Dankpen, Doufelgou, Keran et Kozah – les Evala transcendent le cadre d’un simple affrontement sportif. En effet, ces joutes, pratiquées depuis des générations, incarnent bien plus qu’un affrontement physique : elles sont un symbole de bravoure, un outil de résolution des conflits et un vecteur de renforcement des liens sociaux. Les lutteurs, admirés pour leur puissance, leur agilité et leur maîtrise technique, se préparent durant des années pour exceller dans cet art ancestral.

Par ailleurs, chaque combat est une véritable célébration de la culture kabyè. Les compétitions s’ouvrent par des rituels sacrés, où l’on invoque la protection des ancêtres et des divinités. Les participants, soumis à un régime alimentaire strict et à un entraînement rigoureux, se transforment en véritables ambassadeurs de leur communauté. « Les Evala, c’est notre fierté, une façon de montrer qui nous sommes et d’honorer nos racines », confie un habitant de Kozah.

À Kozah, les luttes Evala embrasent la région de Kara, mobilisant des milliers de spectateurs autour d’un rituel kabyè ancestral où s’exaltent courage, identité et cohésion communautaire. À Kozah, les luttes Evala embrasent la région de Kara, mobilisant des milliers de spectateurs autour d’un rituel kabyè ancestral où s’exaltent courage, identité et cohésion communautaire.

 

Rythmes de tambours et chants envoûtants : L’électricité des arènes

 

L’atmosphère des Evala est littéralement électrique. Les combats, disputés dans une arène vibrante d’énergie, s’accompagnent de chants traditionnels, de danses envoûtantes et de rythmes entraînants, des tambours. Spectateurs de tous âges, familles, jeunes et anciens se réunissent pour encourager les lutteurs, transformant ainsi chaque rencontre en un moment de communion collective. « C’est plus qu’un sport, c’est une fête qui unit tout le monde », explique une spectatrice venue de Kabou.

En outre, les Evala transcendent les générations, mêlant respect des traditions et dynamisme communautaire. Formés dès l’enfance, les jeunes lutteurs portent haut les valeurs de courage et de persévérance, pendant que leurs aînés s’engagent activement à transmettre un héritage culturel inestimable.

À Kozah, les luttes Evala embrasent la région de Kara, mobilisant des milliers de spectateurs autour d’un rituel kabyè ancestral où s’exaltent courage, identité et cohésion communautaire.

Evala : Un trésor vivant à sauvegarder pour les futures générations

 

Au-delà de leur dimension festive, les Evala jouent également un rôle crucial dans la préservation de l’identité kabye. Cette tradition, profondément enracinée, reflète les valeurs de solidarité, de respect et de force qui définissent ce peuple. De plus, en attirant des visiteurs des préfectures voisines et au-delà, les luttes contribuent également à dynamiser la région de Kara, mettant en lumière sa richesse culturelle unique.

Alors que les compétitions se poursuivent, la région de Kara vibre au rythme des Evala, rappelant à tous l’importance capitale de sauvegarder ces pratiques ancestrales. Dans un monde en constante évolution, les luttes kabyè demeurent un phare de tradition et de cohésion, unissant les générations autour d’un patrimoine vivant et vibrant.

À Kozah, les luttes Evala embrasent la région de Kara, mobilisant des milliers de spectateurs autour d’un rituel kabyè ancestral où s’exaltent courage, identité et cohésion communautaire.

Une chose est certaine : à Kozah, l’esprit des Evala continuera d’illuminer les cœurs et de renforcer les liens communautaires, prouvant ainsi que l’héritage culturel est le plus puissant des boucliers contre l’oubli.

 

.

Togo – Baccalauréat : Fini la légalisation des diplômes

Togo : une réforme majeure simplifie l’accès aux documents du Baccalauréat 2025

Lomé, 21 juillet 2025 C’est une véritable bouffée d’oxygène pour les jeunes Togolais ! Dans un effort notable pour alléger les démarches administratives, l’Office du Baccalauréat du Togo a introduit une réforme significative pour les diplômés de la session 2025. Désormais, les relevés de notes et attestations officielles n’auront plus besoin d’être légalisés. Cette mesure est unanimement saluée comme un pas majeur vers plus de simplicité et d’efficacité pour les étudiants du pays.

Baccalauréat : Un coup de balai bienvenu sur la bureaucratie

 

Fini les longues files d’attente et les formalités complexes pour faire authentifier ses documents ! À compter de cette année, les originaux des diplômes et relevés de notes du Baccalauréat 2025 seront totalement exemptés de l’obligation de légalisation. Cette décision audacieuse, annoncée par l’Office du Baccalauréat, vise à lever les freins bureaucratiques qui compliquent fréquemment l’accès à l’enseignement supérieur ou au marché du travail pour les jeunes diplômés.

« Cette réforme est une réponse directe aux attentes des étudiants. » « Elle leur permet de gagner un temps précieux tout en garantissant l’authenticité des documents », a expliqué un responsable de l’Office. En effet, cette mesure devrait simplifier considérablement les démarches pour les candidats souhaitant poursuivre leurs études ou postuler pour un emploi, en éliminant une étape souvent jugée redondante et coûteuse.

 

Baccalauréat : Perte de diplôme ? La procédure de duplicata devient un jeu d’enfant !

 

Parallèlement à cette simplification majeure, l’Office du Baccalauréat a également mis en place une procédure simplifiée pour obtenir des duplicatas en cas de perte ou de détérioration d’un diplôme ou d’un relevé de notes. Les candidats devront simplement fournir :

  • Une copie de leur acte de naissance ;
  • Une copie du relevé de notes ou du certificat original ;
  • Un reçu de paiement de 1 000 francs CFA par document, à régler directement à la caisse de l’Office.

Cette démarche, conçue pour être rapide et accessible, reflète aussi l’engagement de l’Office à moderniser ses services tout en maintenant la fiabilité et la sécurité des dossiers scolaires.

 

« Un vrai soulagement : les bacheliers accueillent la nouvelle avec joie. »

 

Cette réforme est une véritable aubaine non seulement pour les nouveaux bacheliers, mais aussi pour les anciens candidats ayant besoin de remplacer leurs documents. En supprimant l’obligation de légalisation, l’Office du Baccalauréat répond aussi à une demande de longue date des étudiants et de leurs familles, souvent confrontés à des démarches administratives chronophages et frustrantes.

« C’est un vrai soulagement », témoigne Kossi, un bachelier qui prépare son inscription à l’université. « Avant, il fallait courir partout pour faire légaliser les documents. » «Maintenant, on peut se concentrer sur la suite de notre parcours. »

 

Transparence et efficacité : un engagement renforcé de l’office

 

L’Office du Baccalauréat a tenu à rassurer les diplômés sur la fiabilité des nouveaux processus. Les documents délivrés conserveront leur caractère officiel et sécurisé, tout en étant plus accessibles que jamais. Pour toute question ou clarification, l’Office invite les candidats à se rapprocher de ses services, qui restent disponibles pour accompagner les étudiants dans cette transition cruciale.

Cette réforme, entrée en vigueur pour la session 2025, marque une étape importante dans la modernisation de la gestion des diplômes au Togo. En facilitant ainsi l’accès aux documents officiels, l’Office du Baccalauréat envoie un signal fort : celui de simplifier la vie des jeunes tout en consolidant la confiance dans le système éducatif.

Cependant , cette avancée prometteuse soulève une question essentielle : cette initiative inspirera-t-elle d’autres réformes administratives dans le pays pour désengorger la bureaucratie togolaise ? Seul l’avenir le confirmera, mais nous pouvons désormais espérer.

Élections municipales au Togo : Un bilan encourageant selon l’ACDID

Élections municipales au Togo : L’ACDID salue un scrutin apaisé et transparent

Kara, 21 juillet 2025 – Le dimanche 20 juillet 2025, l’Action de Communication pour un Développement Intégral et Durable (ACDID) a dévoilé, depuis le palais des congrès de Kara, les conclusions de sa Mission d’Observation Électorale Nationale (MOEN) sur les élections municipales du 17 juillet 2025. En effet, ce scrutin, qui a mobilisé des milliers de Togolais, a permis l’élection de 1 527 conseillers municipaux à travers les 117 communes du pays dans un climat marqué par le calme et la sérénité. Arborant un ton résolument optimiste, l’ACDID dresse un bilan positif de ce processus électoral, tout en émettant des recommandations capitales pour l’avenir de la démocratie togolaise.

L’ACDID dresse un bilan positif des municipales du 17 juillet, soulignant le calme du scrutin, la transparence du processus et des recommandations pour consolider la démocratie togolaise.

Le scrutin à la loupe : Transparence et paix saluées

 

Dès l’aube du 17 juillet, et ce, jusqu’à la clôture des bureaux pour le dépouillement, les observateurs de l’ACDID, déployés stratégiquement dans les régions du Grand Lomé, Maritime, Plateaux, Centrale, Kara et Savanes, ont scruté chaque étape du processus électoral. Leur mission principale était d’évaluer la régularité et la transparence des opérations afin de consolider la confiance des citoyens dans les institutions démocratiques.

Ainsi, selon l’organisation, le scrutin s’est déroulé dans un cadre pacifique, en stricte conformité avec les lois en vigueur, augurant des résultats d’une crédibilité incontestable.

« En se rendant massivement et sereinement aux urnes, les Togolais ont réaffirmé leur attachement à la démocratie », a souligné un représentant de l’ACDID. « Les résultats reflètent un processus électoral transparent, et l’organisation adresse ses félicitations à tous les acteurs ayant contribué à cette réussite collective. »

L’ACDID dresse un bilan positif des municipales du 17 juillet, soulignant le calme du scrutin, la transparence du processus et des recommandations pour consolider la démocratie togolaise.

Après les urnes : L’ACDID appelle à la vigilance et à la responsabilité collective

 

Si l’ACDID salue chaleureusement le bon déroulement des élections, l’organisation insiste néanmoins sur la nécessité impérieuse de préserver cet élan démocratique. C’est pourquoi elle exhorte tous les acteurs – qu’il s’agisse des partis politiques, des candidats, des médias ou des organisations de la société civile – à respecter scrupuleusement la vérité des urnes et à privilégier les voies légales pour toute contestation, conformément au code électoral togolais. De surcroît, l’ACDID lance une mise en garde ferme contre toute tentative d’auto-proclamation de victoire, une pratique qui risquerait de semer le trouble dans un contexte électoral pourtant apaisé.

Par ailleurs, pour garantir des scrutins encore plus inclusifs et transparents à l’avenir, l’ACDID formule plusieurs recommandations concrètes. Parmi celles-ci, on retrouve :

  • Une meilleure formation des membres des bureaux de vote sur les procédures électorales.
  • Une distribution plus rapide du matériel électoral.
  • Une clarification des règles encadrant le vote par dérogation.

En outre, l’organisation suggère de renforcer la sécurité autour des campagnes électorales, notamment en interdisant les surcharges lors des caravanes politiques, afin d’éviter tout incident regrettable.

Le pari de la citoyenneté : Amplifier la mobilisation pour les prochaines échéances

 

Dans cette dynamique, l’ACDID met un point d’honneur à encourager une mobilisation accrue des citoyens pour les prochaines échéances électorales. Elle appelle ainsi les partis politiques, les médias et les organisations de la société civile à intensifier leurs efforts de sensibilisation sur l’importance du vote. « Une démocratie forte repose sur une participation massive et éclairée », souligne l’organisation, qui plaide avec ferveur pour une implication accrue des organisations de la société civile dans les processus électoraux.

Enfin, l’ACDID invite le gouvernement togolais à poursuivre et à renforcer sa collaboration avec ces acteurs. Selon l’organisation, ce partenariat est essentiel pour consolider la légitimité des institutions et maintenir la confiance des citoyens dans le système démocratique.

L’ACDID : Un pas de plus vers une démocratie togolaise plus robuste

 

En somme, la Mission d’Observation Électorale Nationale de l’ACDID se félicite du bon déroulement des élections municipales du 17 juillet 2025. Dans un contexte où la paix et la transparence sont des piliers essentiels, ce scrutin marque une étape significative dans la consolidation de la démocratie togolaise. « Ensemble, continuons à bâtir un Togo où chaque voix compte et où la confiance entre les citoyens et leurs institutions ne cesse de se renforcer », a conclu l’ACDID, laissant entrevoir une vision optimiste pour l’avenir politique du pays.

Ce rendez-vous électoral, scruté de près par les observateurs, restera sans aucun doute dans les annales comme un exemple de maturité démocratique, tout en ouvrant la voie à des améliorations pour les scrutins futurs. Il reste à voir comment ces recommandations seront mises en œuvre pour faire du Togo un modèle de démocratie participative.

La Foire Internationale de Lomé s’ouvre à l’avenir avec la Chine

Lomé : Le Togo attire les géants chinois pour sa 20ᵉ foire internationale 

 

Lomé, 18 juillet 2025Lomé se prépare à accueillir la 20ᵉ Foire Internationale, un rendez-vous commercial majeur en Afrique de l’Ouest, prévu du 28 novembre au 14 décembre 2025. Dans cette dynamique, une rencontre stratégique s’est tenue le mercredi 16 juillet 2025 entre Alexandre de Souza, directeur général du Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF TOGO 2000), et une délégation d’entreprises chinoises. Cela marque une étape décisive dans l’internationalisation de ce rendez-vous économique incontournable.

Partenariat stratégique : La Chine vise le marché ouest-africain via Lomé 

 

Au cœur des discussions, l’engagement actif des entreprises chinoises à la prochaine Foire Internationale de Lomé a dominé les échanges. En effet, ce grand marché régional, reconnu comme l’un des plus dynamiques d’Afrique de l’Ouest, se veut une vitrine pour les acteurs économiques du monde entier. Les représentants chinois ont exprimé leur volonté de renforcer leur présence au Togo, non seulement en exposant leurs produits, mais aussi en tissant des partenariats durables avec des opérateurs locaux. Ils souhaitent ainsi distribuer leurs marchandises à l’échelle nationale et continentale.

Cette ambition s’inscrit dans une vision plus large de coopération économique. En 2024, le CETEF TOGO 2000 avait scellé un accord avec la Hebei Enterprise Culture Association, ouvrant la voie à une représentation officielle de la Foire en Chine. Par ailleurs, ce partenariat, qui a renforcé les liens commerciaux et culturels entre les deux nations, trouve aujourd’hui un écho concret avec la mobilisation de ces entreprises chinoises, prêtes à investir dans le marché togolais.

Un événement catalyseur : Laᵉ Foire Internationale, moteur du développement togolais 

 

La rencontre entre Alexandre de Souza et la délégation chinoise illustre l’élan du Togo pour consolider sa position de carrefour économique régional. En attirant des acteurs internationaux de poids, la Foire Internationale de Lomé ambitionne de devenir un catalyseur pour les échanges commerciaux et les investissements productifs. Les entreprises chinoises, par leur participation, souhaitent non seulement promouvoir leurs produits, mais aussi s’implanter durablement au Togo, en synergie avec les acteurs économiques locaux.

Lomé se prépare à accueillir la 20ᵉ Foire Internationale, un rendez-vous commercial majeur en Afrique de l’Ouest, prévu du 28 novembre au 14 décembre 2025. Lomé se prépare à accueillir la 20ᵉ Foire Internationale, un rendez-vous commercial majeur en Afrique de l’Ouest, prévu du 28 novembre au 14 décembre 2025.

Perspectives prometteuses : Un avenir de croissance et de collaboration 

 

En somme, cette réunion marque un jalon dans les relations sino-togolaises, fondées sur une volonté commune de prospérité et de collaboration à long terme. En ouvrant ses portes aux investisseurs étrangers, le Togo renforce son attractivité et pave la voie à une croissance économique inclusive. D’ailleurs, du 28 novembre au 14 décembre 2025, la 20ᵉ Foire Internationale de Lomé promet d’être un creuset d’opportunités, où les ambitions nationales et internationales convergeront pour façonner un avenir dynamique.

Quels secteurs d’activité, au-delà du commerce, pourraient bénéficier le plus de cette collaboration renforcée entre le Togo et la Chine ?

L’Aéroport de Lomé s’envole vers un avenir de hub régional

Lomé décolle : L’aéroport de Lomé révolutionne son tarmac avec de nouveaux parkings géants 

 

Lomé, 17 juillet 2025 Dans un élan porteur d’ambition, l’Aéroport International Gnassingbé Eyadéma (AIGE) de Lomé a marqué un tournant majeur ce mercredi 16 juillet 2025. Il a inauguré deux nouveaux parkings dédiés aux avions gros porteurs (code E). Cet événement, qui a réuni des figures clés du secteur aéronautique, dont l’ambassadrice de Chine au Togo, Wang Min, consacre le rôle stratégique de la capitale togolaise comme carrefour aérien de l’Afrique de l’Ouest.

L’aéroport de Lomé inaugure deux nouveaux parkings pour gros porteurs, affirmant son ambition de devenir un carrefour stratégique du transport aérien et du développement économique régional.

Prouesse technologique : Lomé S’équipe pour accueillir les géants du ciel 

 

Construits par l’entreprise chinoise Witek sur une superficie impressionnante de 35 481 m² pour un investissement d’environ 6,5 millions de dollars, ces nouveaux espaces de stationnement permettent désormais à l’aéroport de Lomé d’accueillir simultanément un plus grand nombre d’appareils. Cela inclut des aéronefs de grande envergure utilisés pour des vols officiels de haut niveau. Cette extension, une véritable prouesse technique, fluidifie les opérations sur le tarmac et renforce l’efficacité de la plateforme aéroportuaire.

Le Colonel Idrissou Abdou Ahabou, directeur général de l’Agence Nationale de l’Aviation Civile (ANAC), a souligné les multiples bénéfices de ce projet : « Ces infrastructures augmentent notre capacité d’accueil, dopent les revenus liés aux frais de stationnement, renforcent la sécurité et la sûreté des opérations, tout en optimisant la gestion des flux aériens. » Ces avancées, a-t-il ajouté, contribuent directement au dynamisme économique du Togo.

 

Vision stratégique : L’aéroport de Lomé, futur hub aérien de l’Afrique de l’Ouest 

 

De plus, le projet s’inscrit dans le cadre du projet 18 de la feuille de route gouvernementale Togo 2025. Ce développement s’aligne sur l’objectif de faire de Lomé un hub aérien régional incontournable. Selon Michel Komlan Tindano, secrétaire général du ministère des Transports, cette initiative répond également à une hausse significative du trafic aérien observée ces dernières années. « Ces parkings ne sont pas seulement une réponse technique, mais un levier pour renforcer la connectivité régionale et accroître l’attractivité logistique de Lomé », a-t-il déclaré.

Connexion continentale : le Togo s’affirme sur la scène aéronautique africaine 

 

Par conséquent, en dotant l’AIGE de ces nouvelles capacités, le Togo ambitionne de capter une part croissante du transit aérien en Afrique de l’Ouest. Il consolide également son rôle de plaque tournante pour les échanges commerciaux et les déplacements officiels. Cette infrastructure moderne, fruit d’une collaboration internationale, positionne Lomé comme un acteur clé dans le paysage aéronautique africain, prêt à répondre aux défis d’un secteur en pleine expansion.

En somme, Lomé célèbre un pas de géant vers son avenir de hub régional. Avec ces nouveaux parkings, l’Aéroport International Gnassingbé Eyadéma s’affirme aussi comme un moteur de développement économique et un symbole de l’ambition togolaise sur la scène continentale.

Comment cette expansion de l’AIGE pourrait-elle impacter le tourisme et le commerce au Togo et dans la sous-région ?

Lomé en ébullition : Le Togo vote ses destins locaux

Le Togo aux urnes : un scrutin pour façonner l’avenir des communes

Lomé, 17 juillet 2025 Dans une effervescence démocratique palpable, le Togo vit aujourd’hui, jeudi 17 juillet 2025, un moment charnière avec l’élection de ses nouveaux conseillers municipaux. En effet, pour la deuxième fois depuis 2019, ce scrutin crucial, ancré dans la dynamique de décentralisation, mobilise des millions de citoyens. Par ailleurs, ils sont appelés à choisir les visages qui porteront le développement de leurs 117 communes. Dans un climat de sérénité, cette journée marque un pas de plus vers une gouvernance locale forte et inclusive, essentielle pour répondre aux aspirations des Togolais.

 

Vitalité démocratique : le pays entier aux urnes pour ses communes

 

Avec 4,6 millions d’électeurs inscrits sur les listes électorales, le Togo démontre une vitalité démocratique impressionnante. Pour garantir un accès fluide au vote, 12 541 bureaux de vote, répartis dans 4 609 centres à travers le pays, ont ouvert leurs portes dès ce matin. La campagne électorale, orchestrée avec rigueur par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), s’est déroulée dans un esprit apaisé. Partis politiques, coalitions et candidats indépendants ont sillonné le pays, partageant leurs visions, oscillant entre renouveau et consolidation des acquis, pour convaincre les citoyens de leurs projets pour les communes.

 

Votre voix compte : pourquoi le scrutin municipal est crucial

 

Par conséquent, participer à ce scrutin n’est pas un simple geste civique : c’est un acte déterminant pour l’avenir des communautés locales. Élire des conseillers municipaux, c’est confier à des représentants la responsabilité de gérer les priorités quotidiennes des citoyens – l’accès aux soins de santé, l’éducation, les infrastructures, la gestion des ressources naturelles, et bien plus encore. La décentralisation, amorcée il y a quelques années, donne aux communes un rôle central dans la mise en œuvre de politiques adaptées aux réalités locales. En votant, les Togolais deviennent les architectes de leur propre développement, influençant directement les décisions qui façonneront leur cadre de vie.

Ce scrutin est également une opportunité majeure de renforcer la démocratie participative. En choisissant des élus proches de leurs préoccupations, les citoyens consolident un modèle de gouvernance où la voix de chacun compte. Dans un pays en pleine transformation, où la 5ᵉ République met l’accent sur l’inclusion, voter permet de garantir que les communes deviennent des moteurs de progrès, capables de répondre aux défis sociaux, économiques et environnementaux.

 

Vers un Togo nouveau : l’unité et la prospérité en ligne de mire

 

Alors que les bureaux de vote accueillent un flux continu d’électeurs, le Togo affiche sa maturité démocratique. Les résultats, attendus dans les prochains jours, dévoileront les nouveaux visages qui guideront les 117 communes vers un avenir prometteur. En somme, ce 17 juillet 2025, chaque bulletin déposé est un pas vers une nation plus forte, où la décentralisation donne aux citoyens les clés pour bâtir des communautés dynamiques et résilientes.

Quels sont, selon vous, les principaux défis que les nouveaux conseillers municipaux devront relever pour garantir un développement inclusif et durable au Togo ?