Éducation aux droits humains : Hirondelle Bénin lance un atelier pionnier à Lomé

Lomé, le 5 novembre 2024 – Dans un effort pour renforcer la connaissance et l’application des droits humains en Afrique de l’Ouest, Hirondelle Bénin a récemment organisé un atelier de formation sous-régional. Cet événement, qui s’est déroulé du 1er au 2 novembre 2024, a rassemblé des défenseurs des droits humains (DDH) venus de divers horizons pour une session intensive sur l’utilisation du guide d’éducation aux droits humains pour tous.

L’atelier a été conçu pour équiper les participants avec les outils et les connaissances nécessaires pour promouvoir et protéger les droits humains dans leurs communautés respectives. À travers une série de présentations interactives, de discussions en groupe et d’ateliers pratiques, les participants ont exploré les différentes façons d’intégrer les principes des droits humains dans leur travail quotidien.

L’initiative de Hirondelle Bénin est arrivée à un moment crucial où les défis liés aux droits de l’homme continuent de se manifester sous diverses formes dans la région. En fournissant une plateforme pour l’éducation et le dialogue, l’organisation espère non seulement sensibiliser, mais aussi inciter à l’action contre les violations des droits humains.

Un atelier de formation sur l'éducation aux droits humains a été organisé par Hirondelle Bénin à Lomé, marquant un tournant décisif

Les  participants satisfaits, ont souligné l’importance de telles formations pour renforcer leurs capacités à faire face aux situations de droits humains sur le terrain. L’atelier a également servi de lieu de réseautage, permettant aux DDH de tisser des liens précieux pour leurs futures collaborations.

En conclusion, l’atelier de formation de Hirondelle Bénin à Lomé a été un succès retentissant, marquant une étape significative dans la lutte pour les droits humains dans la sous-région. Avec l’engagement continu des participants et le soutien de la communauté internationale, l’espoir est grand que les progrès réalisés lors de cet atelier se traduiront par des actions concrètes et durables pour la défense des droits pour tous.

Togo : Le gouvernement et l’UNICEF renforcent leur partenariat pour le bien-être des enfants

Lomé, le 5 novembre 2024 Dans une dynamique de partenariat, Prof. Kossiwa ZINSOU-KLASSOU, Ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, a rencontré Dr. Isselmou OULD BOUKHARY, représentant intérimaire de l’UNICEF au Togo. Cette rencontre, qui s’est tenue à Lomé, a permis de faire le point sur les avancées réalisées en matière de protection de l’enfance et de définir les prochaines étapes de la collaboration entre le gouvernement togolais et l’UNICEF.

Au cours de leur réunion, les deux parties ont salué les résultats obtenus grâce à leur partenariat, notamment en termes d’amélioration de l’accès aux services sociaux de base pour les enfants. Elles ont également souligné l’importance de poursuivre les efforts pour relever les défis persistants, tels que la lutte contre la malnutrition, la protection des enfants contre les violences et l’accès à une éducation de qualité pour tous.

Prof. ZINSOU-KLASSOU a exprimé sa satisfaction quant aux progrès accomplis, tout en soulignant la nécessité d’une vigilance et d’un engagement constants. Dr. OULD BOUKHARY a réaffirmé le soutien de l’UNICEF aux initiatives du Togo, en reconnaissant les efforts déployés par le ministère pour instaurer un environnement protecteur pour les enfants.

Les bénéfices de la collaboration Togo et UNICEF pour les Togolais

Depuis plusieurs années, le Togo collabore avec l’UNICEF dans une alliance qui a engendré des avancées significatives pour les droits et le bien-être des enfants togolais. Cette synergie a permis de renforcer les programmes de vaccination, contribuant à une baisse notable de la mortalité infantile et marquant un tournant dans la santé publique nationale.

Parallèlement, l’UNICEF a joué un rôle déterminant dans la lutte contre la malnutrition chronique, un combat essentiel pour l’avenir des plus jeunes. Les initiatives communes ont aussi favorisé la protection de l’enfance et l’accès à une éducation de qualité, avec un accent particulier sur la scolarisation des filles, reflétant un engagement profond envers l’égalité des genres et l’émancipation féminine, piliers du développement durable au Togo.

La Ministre togolaise de l'Action sociale et le représentant de l'UNICEF font le point sur les avancées en matière de protection de l'enfance.Renforcer de la collaboration dans plusieurs domaines

Lors de cette rencontre, les deux parties ont réaffirmé leur engagement à œuvrer conjointement pour le bien-être des enfants. Au cœur de leur partenariat, le renforcement des systèmes de protection de l’enfance se présente comme une priorité, avec un accent particulier sur la capacitation des acteurs locaux et l’établissement de mécanismes de coordination plus performants.

Par ailleurs, l’accès élargi aux services sociaux essentiels est envisagé, visant à assurer une couverture complète en matière de santé, de nutrition et d’éducation, surtout pour les enfants des zones rurales et des quartiers moins privilégiés. Enfin, la promotion des droits de l’enfant reste un pilier central de cette collaboration, avec des initiatives ciblées pour sensibiliser la société à l’importance cruciale de la protection de l’enfance.

Bref, cette rencontre entre le gouvernement togolais et l’UNICEF est un signal fort de la volonté des deux parties de travailler ensemble pour un meilleur avenir pour les enfants du Togo. Grâce à ce partenariat, le Togo pourra continuer à progresser dans la réalisation des Objectifs de développement durable et garantir à tous les enfants un destin radieux.

Togo : La Chine et le Togo renforcent leur coopération pour l’action sociale

Lomé, le 5 novembre 2024 Dans le cadre des efforts continus pour améliorer les conditions de vie des populations vulnérables au Togo, une nouvelle étape vient d’être franchie dans la coopération entre le Togo et la Chine. À cet effet, la Ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, Prof. Kossiwa ZINSOU-KLASSOU a eu une réunion avec l’Ambassadeur de Chine, M. Chao Weidong, afin de discuter des initiatives visant à renforcer l’action sociale et la protection des groupes défavorisés au Togo.

Les deux parties ont convenu de travailler ensemble pour améliorer les conditions de vie des populations vulnérables, notamment les enfants et les personnes en situation de précarité. L’ambassade de Chine a promis de mettre en œuvre des projets d’envergure avant la fin de l’année, démontrant ainsi son engagement à soutenir les initiatives du gouvernement togolais dans ce domaine.

Cette collaboration s’inscrit dans une dynamique de partenariat gagnant-gagnant entre les deux pays. Le Togo et la Chine ont su développer des relations solides, fondées sur le respect mutuel et la solidarité. Ce nouveau partenariat dans le domaine de l’action sociale vient renforcer ces liens et concrétiser la volonté commune de construire un meilleur avenir pour les populations les plus vulnérables.

Le Ministre ZINSOU-KLASSOU se réjouit de cette collaboration, soulignant l’importance de l’appui de la Chine pour atteindre les objectifs du gouvernement en matière de protection sociale. L’Ambassadeur Chao Weidong a quant à lui affirmé que cette coopération est une illustration parfaite de la diplomatie humanitaire en action.

Les enjeux de cette coopération Chine-Togo

La collaboration sino-togolaise est cruciale pour le développement social du Togo. Elle vise à améliorer l’accès aux services essentiels pour les communautés défavorisées, contribuant ainsi à atténuer la pauvreté et les disparités sociales. De plus, cette coopération favorise un transfert de connaissances et de compétences entre les experts des deux nations, renforçant l’efficacité des initiatives sociales au Togo.

En somme, cette coopération entre le Togo et la Chine ouvre de nouvelles perspectives pour le développement social du pays. La complémentarité des compétences entre le Togo et la Chine est un atout majeur dans ce partenariat. Les expertises respectives des deux pays permettront de mettre en œuvre des projets innovants et adaptés aux besoins spécifiques des populations togolaises. Elle démontre que la solidarité internationale peut être un levier puissant pour améliorer les conditions de vie des populations les plus vulnérables.

Togo : Une nouvelle dynamique pour la certification des produits agricoles

Lomé, le 4 novembre 2024 Le secteur agricole togolais s’apprête à franchir une nouvelle étape. Une formation intensive destinée aux acteurs de la certification a débuté ce lundi à Lomé, sous l’égide de la Haute Autorité de la Qualité et de l’Environnement (HAUQE) et du Comité togolais d’Agrément (COTAG).

Un enjeu majeur pour la compétitivité

Pendant six jours, les participants vont approfondir leurs connaissances sur les normes internationales en vigueur et les procédures de certification. L’objectif est de renforcer la qualité des produits agricoles togolais et de faciliter leur accès aux marchés internationaux, notamment dans le contexte de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).

« La certification est devenue un véritable passeport pour accéder aux marchés exigeants », a souligné Koffivi Lakoussan, directeur général du COTAG. « La formation destinée aux professionnels de la certification contribuera à l’implémentation d’un système efficace pour la sécurité alimentaire ».

Un appui financier crucial

Par ailleurs, cette formation, qui bénéficie du soutien financier du Programme de résilience du système alimentaire en Afrique de l’Ouest (FSRP Togo), financé par la Banque mondiale, témoigne de l’importance accordée par les autorités togolaises à la modernisation du secteur agricole.

« En investissant dans la certification, nous renforçons la confiance des consommateurs et des partenaires commerciaux envers nos produits », a ajouté M. Lakoussan. « C’est aussi un gage de qualité et de sécurité alimentaire. »

Les TPME au cœur de la démarche de certification

Les petites et moyennes entreprises (TPME) du secteur agricole sont particulièrement visées par cette initiative. En effet, la certification peut leur ouvrir de nouvelles perspectives de développement et leur permettre de mieux résister à la concurrence.

Le directeur général du COTAG a également encouragé les très petites et moyennes entreprises à obtenir la certification, expliquant que, dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), respecter les normes est essentiel pour rester compétitif sur le marché.

Cette formation s’inscrit dans une dynamique plus large de modernisation du secteur agricole togolais. En renforçant la qualité et la sécurité des produits, le Togo vise à développer une agriculture plus compétitive et durable, répondant ainsi aux enjeux de la sécurité alimentaire et du développement économique.

 

Lomé accueille un atelier régional sur la sécurité nucléaire

Lomé, le 4 novembre 2024 – La capitale togolaise est le théâtre d’une rencontre d’envergure internationale. Depuis ce lundi, une trentaine d’experts en sécurité nucléaire venus de différents pays se sont réunis à Lomé pour un atelier organisé par le Gouvernement togolais et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

Renforcer la sécurité nucléaire en Afrique

Cet atelier, qui se tient jusqu’au 8 novembre, a pour objectif de renforcer les capacités des États membres à gérer efficacement les situations d’urgence liées à la sécurité nucléaire dans les installations dédiées. Les participants échangeront leurs expériences, partageront les bonnes pratiques et harmoniseront leurs procédures d’intervention.

« La sécurité nucléaire est une priorité absolue pour le Togo », a déclaré Kokou Wotobe, secrétaire général du ministère de la Santé et de l’hygiène publique, lors de l’ouverture des travaux. Les autorités togolaises sont conscientes que la responsabilité de la sécurité atomique incombe entièrement à l’État, qui doit assurer la sécurité des matières nucléaires et autres matières radioactives, ainsi que des installations et activités associées relevant de sa juridiction.

«Je suis convaincu que si nous faisons un effort permanent pour allier la sécurité nucléaire à la sûreté, nous pourrons continuer à bénéficier des nombreuses applications pacifiques de l’énergie atomique dans les domaines médical, agricole, industriel et énergétique, tout en protégeant notre société et notre environnement. », a d’ailleurs insisté Kokou Wotobe.

Le Togo, un acteur engagé

Le choix du TOGO pour accueillir cet événement n’est pas anodin. Le pays s’est doté en 2020 d’une loi sur l’utilisation pacifique du nucléaire, témoignant ainsi de sa volonté de développer ce secteur tout en garantissant la sécurité. L’Autorité nationale de sûreté et de sécurité nucléaires (ANSSN) a également été créée pour superviser toutes les activités liées au nucléaire sur le territoire. Il s’agira aussi de réitérer l’engagement du pays sur la question du nucléaire et de rappeler les différentes initiatives prises depuis l’adhésion à l’AIEA en 2012.

Les enjeux de la sécurité nucléaire

La sécurité nucléaire est un enjeu mondial. Les accidents nucléaires peuvent avoir des conséquences dévastatrices sur la santé humaine et l’environnement. C’est pourquoi il est essentiel de mettre en place des systèmes de sécurité robustes et de former un personnel prêt à intervenir en cas d’incident.

En conclusion, cet atelier de Lomé est une étape importante dans ce processus. Il permettra aux participants de mieux comprendre les risques liés à la sécurité nucléaire et d’acquérir les compétences nécessaires pour y faire face.

 

France : TikTok dans le viseur de la justice pour incitation au suicide

Paris, 4 novembre 2024 –  Une affaire secouant le monde numérique prend une nouvelle dimension en France. Sept familles ont décidé de porter plainte contre TikTok, le géant des réseaux sociaux, accusant la plateforme d’avoir exposé leurs enfants adolescents à des contenus dangereux qui auraient conduit deux d’entre eux au suicide.

Selon l’avocate des familles, Laure Boutron-Marmion, l’algorithme de TikTok aurait orienté les adolescents vers des vidéos promouvant des comportements autodestructeurs tels que le suicide, l’automutilation et les troubles alimentaires. Cette exposition répétée à des contenus aussi sombres aurait eu des conséquences dramatiques sur la santé mentale des jeunes utilisateurs.

Une première en Europe

Cette plainte, déposée devant le Tribunal judiciaire de Créteil, marque un tournant dans la manière dont les plateformes sociales sont tenues responsables des contenus qu’elles hébergent. Il s’agit de la première procédure de ce type à être intentée en Europe, et elle pourrait faire jurisprudence.

Les familles espèrent que cette action en justice permettra de reconnaître la responsabilité juridique de TikTok dans ce drame. Elles estiment que l’entreprise, en tant que fournisseur de services, a une obligation de protéger ses utilisateurs, notamment les mineurs.

L’avocate Laure Boutron-Marmion a déclaré que « les parents souhaitent la reconnaissance de la responsabilité juridique de TikTok devant les tribunaux ». Elle a ajouté que « TikTok est une entreprise commerciale qui propose un produit à des consommateurs, qui sont souvent mineurs. » « Ils doivent donc répondre des manquements du produit. »

TikTok dans le viseur

Cette affaire vient s’ajouter à la longue liste de polémiques qui entourent TikTok. La plateforme, à l’instar d’autres réseaux sociaux, fait face à des accusations récurrentes pour ne pas protéger adéquatement ses utilisateurs, surtout les plus jeunes.

Aux États-Unis, TikTok, ainsi que d’autres géants du numérique comme Meta (META), propriétaire de Facebook et Instagram, font l’objet de centaines de procès. Les utilisateurs les accusent de créer une dépendance chez les adolescents et de compromettre leur bien-être mental.

Réaction de TikTok 

TikTok n’a pas encore réagi officiellement à ces nouvelles accusations. L’entreprise a toutefois affirmé à plusieurs reprises s’engager à protéger la santé mentale de ses utilisateurs, notamment les adolescents. Le PDG de TikTok, Shou Zi Chew, a déclaré devant le Congrès américain que l’entreprise avait mis en place de nombreuses mesures pour sécuriser l’application.

En somme, cette affaire soulève de nombreuses questions sur la responsabilité des plateformes sociales dans la vie de leurs utilisateurs, et plus particulièrement des jeunes. Comment concilier la liberté d’expression avec la protection des plus vulnérables ? Quel rôle les parents doivent-ils jouer dans la surveillance de l’activité en ligne de leurs enfants ? Ces questions vont sans doute continuer à alimenter le débat .

Togo : Lomé se prépare à un renouveau urbain

Lomé, le 4 novembre 2024 – La capitale togolaise est sur le point de connaître une transformation majeure. Lors d’une rencontre de haut niveau ce dimanche 3 novembre, AWATE Hodabalo, Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et de la Chefferie Coutumière, et Jean-Pierre Fabre, Maire du Golfe 4, ont jeté les bases d’un nouveau projet visant à revitaliser les espaces publics de Lomé, en particulier son littoral.

Cette rencontre marque un tournant dans la gestion urbaine de la ville. Les discussions ont porté sur des solutions concrètes pour améliorer la qualité de vie des habitants et redonner à Lomé tout son éclat. Au cœur de ces discussions, la question de la rénovation du littoral, véritable poumon vert de la ville, s’est imposée comme une priorité.

Le littoral de Lomé va faire peau neuve : partenariat entre le gouvernement et la mairie pour un espace public revitalisé.Le stationnement anarchique, qui défigure le paysage et pose des problèmes de sécurité, a également été au centre des échanges. Les autorités envisagent la création d’un espace dédié  aux véhicules pour remédier à cette situation, afin de rétablir l’ordre tout en préservant l’accessibilité et la fonctionnalité de ces lieux prisés par les résidents et les touristes.

Ce partenariat entre le Ministère et la mairie témoigne d’une volonté commune de faire de Lomé une ville moderne et attractive, où il fait bon vivre. En priorisant la revitalisation des espaces publics, les autorités visent à améliorer le cadre de vie des habitants, à développer le tourisme et à renforcer l’attractivité économique de la capitale.

La revitalisation du littoral de Lomé est un projet prometteur qui pourrait transformer le visage de la capitale togolaise. Toutefois, sa réussite dépendra de la capacité des autorités à impliquer les habitants dans le processus de décision et à garantir une gestion durable de ces nouveaux espaces.

CHAN 2024 : Les Éperviers locaux se qualifient pour le 2ᵉ tour des éliminatoires

Abidjan, le 2 novembre 2024 – Dans un match hautement stratégique, les Éperviers locaux du Togo ont arraché un précieux match nul (1-1) face aux Guépards du Bénin, ce samedi 17 heures au Stade Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan. Ce résultat permet aux Togolais de se qualifier pour le second tour des éliminatoires du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2024.

Les Togolais ont ouvert le score dès la 4ᵉ minute grâce à un but de Kloukpo. Mais les Béninois n’ont pas abdiqué et ont égalisé à la dernière minute de la rencontre grâce à une réalisation de Ramzi Adam.

Une qualification synonyme de soulagement

En effet, cette qualification est un véritable soulagement pour le staff technique et les joueurs togolais qui ont livré une bataille acharnée sur le terrain. La ministre des Sports et des Loisirs du Togo, Dr. Lidi BESSI KAMA, n’a pas caché sa joie : « Avec ce match nul, le Togo se qualifie pour le second tour des éliminatoires CHAN2024. Bravo à nos Éperviers locaux et à l’ensemble de l’encadrement. Reprenez des forces et cap sur les prochains défis. L’objectif, c’est la qualification au CHAN2024. »

Un match âprement disputé

Ce derby ouest-africain a tenu toutes ses promesses. Les deux équipes se sont livrées un combat sans merci, offrant aux spectateurs un spectacle de grande qualité. Les Éperviers locaux ont su faire preuve de solidité défensive et d’efficacité offensive pour arracher ce précieux point.

Prochains défis

Avec cette qualification, les Éperviers locaux ont un pied en Algérie pour la phase finale du CHAN 2024. Mais le chemin reste encore long et semé d’embûches. Les prochains matchs seront encore plus déterminants pour atteindre l’objectif final.

 

Inondations dévastatrices en Espagne : un bilan humain lourd

Madrid, le 2 novembre 2024 L’Espagne est en deuil. Des pluies torrentielles, qui se sont abattues dans la nuit du mardi 29 au mercredi 30 octobre, ont provoqué des inondations d’une ampleur exceptionnelle, causant la mort d’au moins 158 personnes. En effet, les régions de Valence, Castille-La Manche et Andalousie sont les plus touchées par cette catastrophe naturelle.

Les eaux, montées en quelques heures, ont emporté tout sur leur passage : ponts, véhicules, maisons, emportant avec elles de nombreuses vies. Les images des rues transformées en rivières et des villages entièrement submergés ont fait le tour du monde, témoignant ainsi de la violence des intempéries.

Un bilan humain lourd pour l’Espagne 

Le ministre de la Politique territoriale, Ángel Víctor Torres, a confirmé un bilan provisoire de 158 décès. « Des dizaines et des dizaines de disparus » sont également à déplorer, a-t-il ajouté, laissant craindre une nouvelle hausse du nombre de victimes.

Les autorités espagnoles ont déclenché un plan d’urgence et mobilisé l’armée pour porter secours aux populations sinistrées et évacuer les personnes bloquées. Les opérations de recherche et de sauvetage se poursuivent, mais les conditions météorologiques difficiles compliquent la tâche des secours.

Un phénomène météorologique exceptionnel

Les météorologistes, en huit courtes heures, ont déversé sur la région de Valence l’équivalent d’une année de précipitations. Ce phénomène météorologique extrême a saturé les sols et provoqué des crues éclair, dévastant tout sur leur passage.

Une région en état d’alerte

Face à cette catastrophe, les autorités espagnoles ont placé la région de Valence en alerte rouge. De nombreux habitants ont été évacués de leurs foyers et les infrastructures ont été gravement endommagées. Les dégâts matériels sont considérables et les autorités estiment que la reconstruction prendra du temps.

En somme, les images de ces inondations dévastatrices resteront gravées dans nos mémoires. Au-delà du deuil, cette tragédie nous rappelle l’urgence d’agir pour mieux protéger nos sociétés face aux conséquences du changement climatique, tout en renforçant notre solidarité avec les populations sinistrées.

 

Afriland First Group : Un pari gagnant sur le Togo

Lomé, le 2 novembre 2024 – Le Togo vient de remporter une nouvelle victoire économique. Le groupe bancaire panafricain Afriland First Group, dirigé par le charismatique Dr Paul Kammogne Fokam, a annoncé hier, lors de son audience avec le président de la République Faure Essozimna Gnassingbé, son intention de créer un holding régional au cœur de Lomé. Une décision qui vient confirmer l’attractivité du Togo et qui s’inscrit pleinement dans la stratégie de développement du Président Faure Gnassingbé.

En choisissant le Togo, Afriland First Group ne fait pas seulement un choix stratégique, mais un pari sur l’avenir. Le pays, sous l’impulsion de son chef d’État, a engagé ces dernières années des réformes profondes pour améliorer son climat des affaires et attirer les investissements. Les efforts du gouvernement semblent porter leurs fruits, puisque de grandes entreprises internationales choisissent désormais de s’implanter au Togo.

« La dynamique économique du Togo et la vision ambitieuse du président Gnassingbé pour transformer son pays en un pays de cocagne, où l’on a tout en abondance, nous ont séduits », a déclaré Dr Paul Kammogne Fokam, président du Conseil d’Administration d’Afriland First Group. « Nous croyons fermement en l’avenir de ce pays et souhaitons y participer en favorisant une meilleure répartition des richesses. »

Les avantages de l’implantation de Afriland First Group seront multiples pour le Togo

  • Création d’emplois : la création de ce nouveau holding va générer de nombreux emplois directs et indirects, stimulant ainsi l’économie locale.
  • Transfert de compétences : l’expertise du Groupe Afriland va permettre de renforcer les capacités des acteurs locaux et de développer de nouveaux services financiers.
  • Rayonnement international : le choix du Togo par une telle institution va aussi renforcer l’attractivité du pays sur la scène internationale et attirer d’autres investisseurs.

En choisissant le Togo pour implanter sa nouvelle holding, Afriland First Group ne fait pas seulement un choix stratégique, il place également son pari sur un pays en pleine mutation et qui ambitionne de devenir un hub financier de premier plan en Afrique de l’Ouest.