Neymar Jr s’offre un nid douillet à Dubaï : un penthouse Bugatti pour 54,5 millions de dollars

Dubaï, le 19 novembre 2024 Le monde du football et de l’immobilier de luxe se sont une nouvelle fois croisés ce lundi. En effet, Neymar Jr, la star brésilienne du ballon rond, a fait l’acquisition d’un penthouse d’exception à Dubaï, pour la modique somme de 54,5 millions de dollars.

Ce n’est pas n’importe quel appartement que le joueur a choisi. Situé dans le complexe résidentiel Bugatti Residences by Binghatti, à Business Bay, ce bien immobilier est une véritable prouesse architecturale. Premier projet résidentiel au monde à porter la célèbre marque automobile, ce bâtiment promet à ses résidents une expérience unique, mêlant luxe et performance.

Le penthouse de Neymar Jr ne déroge pas à la règle. Avec sa piscine privée, son ascenseur pour voitures et ses vues panoramiques sur la ville, il offre ainsi un cadre de vie des plus exclusifs. Un choix qui s’inscrit aussi dans une tendance de fond : les propriétés de marque, garantes d’un certain prestige et d’une qualité de vie inégalée, séduisent de plus en plus les investisseurs fortunés.

Dubaï, avec sa politique immobilière attractive et son dynamisme économique, est devenue une destination de choix pour ce type d’acquisitions. La ville émiratie, qui ne cesse de se réinventer, attire les célébrités et les hommes d’affaires du monde entier, à la recherche d’un cadre de vie luxueux et sécurisé.

Un investissement sûr ?

Si l’achat de Neymar Jr fait beaucoup parler de lui, il s’inscrit également dans une stratégie d’investissement. L’immobilier de luxe, et plus particulièrement les propriétés de marque, est souvent considéré comme un placement sûr, capable de conserver sa valeur dans le temps, voire de prendre de la plus-value.

Qui est Neymar Jr ?

Neymar Jr, né le 5 février 1992 à Mogi das Cruzes au Brésil, est une figure emblématique du football mondial. Révélé au grand public avec le Santos FC, il a rapidement attiré l’attention des plus grands clubs européens. En 2013, il rejoint le FC Barcelone, où il forme un trio d’attaque légendaire avec Lionel Messi et Luis Suarez.

Après plusieurs saisons couronnées de succès, notamment par une victoire en Ligue des Champions, il rejoint le Paris Saint-Germain en 2017 pour un transfert record. Doté d’une technique exceptionnelle et d’une vision du jeu individuelle hors du commun, Neymar Jr est considéré comme l’un des meilleurs joueurs de sa génération.

Son style de jeu flamboyant et sa personnalité charismatique en font également une icône populaire auprès des jeunes. En 2023, il a fait le choix de rejoindre le championnat saoudien en s’engageant avec Al-Hilal, marquant un nouveau chapitre dans sa carrière.

Amoureux du luxe, Neymar l’a prouvé par son choix d’appartement. En acquérant ce penthouse, le footballeur brésilien ne fait pas seulement l’acquisition d’un bien immobilier, mais aussi d’un symbole fort, celui d’un mode de vie à part.

Togo : Un pas de géant vers une adoption internationale plus sûre

Lomé, 18 novembre 2024 – L’espoir d’une vie meilleure pour les enfants placés en adoption internationale s’est renforcé hier à Lomé. Le ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, le professeur Kossiwa ZINSOU-KLASSOU, a clôturé un atelier de travail dédié à cette thématique importante.

Réunissant experts, décideurs et acteurs de la société civile, cet atelier a permis de faire le point sur les avancées en matière d’adoption internationale et de définir de nouvelles orientations. Par ailleurs, les discussions ont porté sur l’importance de garantir le respect des droits de l’enfant, de prévenir les trafics et les abus et de favoriser une collaboration étroite entre les pays d’origine et d’accueil.

Sous l'impulsion du ministre Kossiwa ZINSOU-KLASSOU, le Togo renforce ses engagements en faveur d'une adoption internationale Une volonté collective de protéger les enfants

La ministre ZINSOU-KLASSOU a souligné la nécessité d’une adoption internationale plus éthique et sécurisée, soulignant que l’intérêt supérieur de l’enfant doit toujours primer. Les participants ont exprimé leur détermination à travailler pour un cadre juridique et pratique plus solide, afin de prévenir les dérives et de garantir le bien-être des enfants adoptés.

Des avancées prometteuses

Les échanges fructueux qui ont marqué cet atelier ont permis de dégager des pistes de réflexion et d’action concrètes. Les participants ont aussi convenu de renforcer la coopération internationale, de mettre en place des mécanismes de suivi et d’évaluation plus rigoureux et de sensibiliser l’opinion publique à l’importance de l’adoption internationale.

Un avenir plus prometteur pour les enfants

En somme, les décisions prises à l’issue de cet atelier marquent un tournant décisif dans la protection de l’enfance et l’adoption internationale. Elles ouvrent la voie à un avenir dans lequel chaque enfant, quelle que soit son origine, aura la possibilité de grandir dans un environnement aimant et sécurisant.

 

Le Togo accélère la construction d’infrastructures sanitaires

Lomé, 18 novembre 2024 – Le gouvernement togolais poursuit résolument sa politique d’amélioration de l’accès aux soins de santé. Le ministre de l’accès aux soins et de la couverture sanitaire, Jean-Marie Tessi, a effectué dimanche une tournée d’inspection dans les régions des Plateaux, de la Kara et de la Centrale pour évaluer l’avancement des travaux de construction de 70 nouvelles infrastructures sanitaires.

Lancé en mars dernier dans le cadre du projet SSEQCU (Services de santé essentiels de qualité pour une couverture sanitaire universelle), ce vaste chantier vise à doter les zones les plus reculées du pays de nouvelles formations sanitaires, afin de rapprocher les soins des populations et de renforcer la couverture sanitaire.

Construction de 70 nouvelles infrastructures sanitaires : Un engagement fort pour la santé des Togolais

À l’issue de cette tournée, le Ministre Tessi s’est félicité du niveau d’avancement des travaux, tout en insistant sur la nécessité d’accélérer le rythme pour tenir les délais. « Le gouvernement a pris un engagement envers les communautés. » « Nous devons tout mettre en œuvre pour que ces nouvelles infrastructures soient opérationnelles dans les meilleurs délais », a-t-il déclaré.

Un projet global pour une couverture sanitaire universelle

Il est important de rappeler que le projet SSEQCU ne se limite pas à la construction d’infrastructures. Il comprend également une composante importante d’équipement des centres de santé. En août dernier, le gouvernement avait déjà reçu un important lot de matériel médical destiné à équiper les nouvelles formations sanitaires.

Les bénéfices pour les populations

Ces nouvelles infrastructures sanitaires vont permettre d’améliorer considérablement l’accès aux soins pour les populations des zones rurales, en particulier les plus vulnérables. Elles contribueront à réduire la mortalité maternelle et infantile, à lutter contre les maladies endémiques et à renforcer le système de santé dans son ensemble.

En somme, Le gouvernement togolais fait de la santé une priorité. En investissant massivement dans la construction d’infrastructures sanitaires et en renforçant l’équipement des centres de santé, il démontre aussi sa volonté de garantir à tous les Togolais un accès équitable aux soins de qualité. Ce projet ambitieux s’inscrit dans une dynamique plus large de développement du secteur de la santé et contribue à améliorer le bien-être des populations.

 

Togo: Natchaba fait le point sur les travaux de l’université de Kara

Lomé, le 18 novembre 2024 Le secteur de l’enseignement supérieur au Togo franchit une nouvelle étape. Une délégation ministérielle, conduite par Kanka Malik Natchaba, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, s’est rendue sur le chantier de la future université de Kara. En effet, cette visite, effectuée à mi-parcours des travaux, témoigne de l’engagement du gouvernement à doter le pays d’un établissement d’enseignement supérieur à la pointe de la modernité.

Le Togo franchit une nouvelle étape dans le développement de l'enseignement supérieur avec la construction de l'université de Kara. Les travaux de l’université de Kara avancent à grands pas.

Le projet, d’une envergure considérable, comprendra des facultés de sciences de la santé, un institut des métiers de l’agriculture, un institut polytechnique, ainsi que la présidence de l’université. Ces infrastructures, conçues pour répondre aux besoins d’une jeunesse en quête de qualifications, devraient permettre au Togo de renforcer son capital humain et de mieux se positionner dans la compétition économique mondiale.

« Cette université est plus qu’un simple bâtiment, c’est un symbole d’espoir pour la jeunesse togolaise », a déclaré le ministre Natchaba lors de la visite. Il a également souligné l’importance de respecter les délais et les normes de qualité pour faire de cette université un modèle d’excellence.

Le Ministre Natchaba a également exprimé sa gratitude envers l’entreprise et les travailleurs pour leur dévouement à la réalisation de cette vision. Le projet reflète l’engagement du gouvernement à offrir un enseignement supérieur de qualité à la jeunesse Togolaise.

Les autorités ont profité de cette occasion pour sensibiliser les acteurs locaux sur l’importance de ce projet et les inciter à s’impliquer activement dans son suivi. En outre, les étudiants, les enseignants et les populations environnantes attendent avec impatience l’ouverture de cet établissement qui devrait dynamiser la région de Kara et renforcer l’attractivité du Togo en matière d’enseignement supérieur.

En somme, cette visite marque un tournant décisif dans la réalisation d’un projet ambitieux qui s’inscrit pleinement dans la vision du gouvernement de faire du Togo un pays émergent à l’horizon 2030. L’université de Kara devrait contribuer à former les compétences dont le pays a besoin pour relever les défis du XXIe siècle et saisir les opportunités offertes par la mondialisation.

Lomé célèbre l’émergence de ses champions économiques

Lomé, 18 novembre 2024 La capitale togolaise a vibré hier au rythme de l’innovation et de l’entrepreneuriat. Victoire Dogbé, la Cheffe du gouvernement en visite dans la ville, a salué l’élan entrepreneurial qui anime la jeunesse togolaise.

Parmi les pépites qui ont retenu son attention, l’entreprise Imep dirigée par Namo Johnson s’est distinguée. Spécialisée dans la production d’emballages en carton, cette société basée à Aného est un acteur clé de l’économie locale, employant 128 personnes et rayonnant à l’échelle sous-régionale.

Autre fleuron de l’industrie togolaise : la Société de Production des Équipements Médicaux (SOPROEM). Sous la houlette de Yolande Soukou, cette entreprise fournit des équipements médicaux essentiels à l’Afrique de l’Ouest. Avec ses 80 employés, SOPROEM contribue activement à améliorer la santé des populations de la région.

Le Togo célèbre l'émergence de champions économiques tels qu'Imep et SOPROEM, soutenus par un gouvernement engagé dans la promotionDes modèles d’excellence

Ces entreprises ne sont pas de simples réussites économiques. Elles incarnent les valeurs de discipline, d’innovation et d’excellence qui font la fierté du Togo. Leur succès témoigne de l’importance d’un environnement favorable à l’entrepreneuriat et d’une vision à long terme.

« Le mois du consommons local » : un tremplin pour l’entrepreneuriat

« Le mois du consommons local », célébré actuellement au Togo, est l’occasion de mettre en lumière ces champions nationaux. En privilégiant les produits locaux, les consommateurs soutiennent l’économie nationale et encouragent la création d’emplois.

Le Gouvernement togolais, conscient de l’importance de ces acteurs économiques, multiplie les initiatives pour les soutenir. Des politiques ciblées et un accompagnement personnalisé permettent aux entrepreneurs togolais de s’épanouir et de contribuer au développement du pays.

Le Togo, terre d’opportunités

Les histoires de succès de l’IMEP et de SOPROEM sont celles d’une nation en mouvement. Le Togo, grâce à l’audace et à l’ingéniosité de ses entrepreneurs, se positionne comme un exemple à suivre sur le continent africain.

 

Lomé en fête : Un franc succès pour la 2ème édition du Festival des Loisirs

Lomé, 16 novembre 2024 La ville de Lomé a vibré au rythme de la deuxième édition du Festival des Loisirs, un événement qui a tenu toutes ses promesses.

La 2ème édition du Festival des Loisirs de Lomé a été un succès retentissant, rassemblant des milliers de personnes Sous l’impulsion du Dr. Lidi BESSI KAMA, Ministre des Sports et des Loisirs du Togo, le lancement officiel a eu lieu le 15 novembre dernier au stade de Kégué à Lomé, en présence de personnalités marquantes telles que la Ministre chargée de la Jeunesse et de l’Action Sociale, ainsi que la Secrétaire générale de la Confejes et Mme le Gouverneur du Grand Lomé (DALG).

Ce rendez-vous incontournable a rassemblé un grand nombre de communautés et de fédérations de loisirs qui ont présenté des prestations de haut niveau, témoignant ainsi de la richesse et de la diversité culturelle de la région.

Dans un discours empreint de gratitude, Dr. Lidi BESSI KAMA a tenu à remercier le Président Faure Essozimna Gnassingbé pour son soutien indéfectible et les moyens mis à disposition pour la réussite de cet événement.

« La vie n’est pas que travail », a-t-elle souligné, « les loisirs participent à notre équilibre et nous permettent d’être plus performants dans tous les domaines ».

Placée sous le thème « Les loisirs : vecteurs de cohésion sociale et de développement communautaire », Dix pays francophones d’Afrique de l’Ouest (le Bénin, le Burkina Faso, le Cap-Vert, la Côte d’Ivoire, la Guinée Conakry, la Guinée-Bissau, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Sénégal) ont pris part à cette manifestation , favorisant ainsi les échanges et la coopération régionale.

Ce festival a été l’occasion pour tous les participants de se détendre, de partager des moments conviviaux et de renforcer les liens sociaux. Il a également permis de mettre en valeur les talents locaux et de promouvoir les activités de loisirs pour tous.

Le spectre des défaites à domicile hante les Black Stars

Accra, le 16 novembre 2024 –Depuis des décennies, un nuage sombre plane au-dessus des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations pour le Ghana. Une malédiction, diront certains, une simple statistique pour d’autres. Mais le fait demeure : à chaque échec à se qualifier pour la CAN, on retrouve inlassablement la trace d’une défaite à domicile.

Un refrain tragique Depuis 1961

Comme un refrain tragique, cette mélodie se répète depuis 1961. Les Black Stars, autrefois considérés comme des joueurs d’expérience, semblent incapables de rebondir après chaque défaite à domicile, comme s’ils avaient déjà abandonné. En plus, à chaque nouvelle élimination, les supporters ghanéens, habitués aux succès passés, sont replongés dans une profonde mélancolie.

Les Défaites à domicile : une Cicatrice permanente

Les chiffres sont cruels : quatre défaites à domicile pour quatre échecs à se qualifier pour la CAN. Chaque match perdu à domicile est une nouvelle blessure, une nouvelle cicatrice sur le cœur des amoureux du football ghanéen. Ces défaites face :

  • 1971 : Les Black Stars s’inclinent à domicile face au Togo (0-1), mettant fin à leurs espoirs de qualification pour la CAN 1972 au Cameroun.
  • 1973 : une défaite cuisante contre la Côte d’Ivoire (0-3) scelle le sort des Ghanéens pour la CAN 1974 en Égypte.
  • 1987 : une défaite surprise face à la Sierra Leone (1-2) empêche le Ghana de se qualifier pour la CAN 1988 au Maroc.
  • 2024 : plus récemment, la défaite face à l’Angola (0-1) lors des éliminatoires de la CAN 2025 est autant de chapitres sombres de l’histoire des Black Stars.

L’interminable question : pourquoi cet éternel échec ?

Pourquoi ce destin cruel s’acharne-t-il sur le GHANA ? Pourquoi à chaque fois que les Black Stars perdent à domicile, ils ne parviennent plus à se qualifier ?

De nombreuses raisons pourraient justifier ce phénomène : la pression du public, le poids de l’histoire, les enjeux économiques, autant de facteurs qui pourraient expliquer ces échecs répétés.

L’espoir de rompre la malédiction

En somme, si cette analyse est intrigante, l’espoir de voir un jour les Black Stars briser cette malédiction demeure au sein des supporters ghanéens. Ils continuent de croire en leurs joueurs et de les encourager avec ferveur. Car le football, c’est aussi une histoire de passion, d’émotions et de rêves. Et tant que ces rêves existent, il y aura toujours une lueur d’espoir au bout du tunnel. Néanmoins, elle souligne la complexité des enjeux liés au football ghanéen et la nécessité de trouver des solutions pour inverser cette tendance.

Togo : Pose de la Première Pierre du Centre de Traitement du Cancer

Lomé, le 15 novembre 2024 En présence de Madame le Premier Ministre Dogbe Victoire et de Sevon-Tépé Kodjo ADEDZE, Président de l’Assemblée nationale de la République Togolaise, la cérémonie de pose de la première pierre du centre public moderne de traitement du cancer a eu lieu aujourd’hui dans la commune d’Agoè-Nyivé 1. En effet, ce projet ambitieux reflète la vision et l’engagement de SEM Faure Essozimna Gnassingbe, Président de la République, pour garantir des soins de santé de qualité aux Togolais, conformément aux standards internationaux.

Ce centre moderne, une fois achevé, jouera un rôle crucial dans la prise en charge des patients atteints de cancer au Togo. Il sera équipé des dernières technologies en matière de radiothérapie et de médecine nucléaire, permettant ainsi de fournir des traitements efficaces et de haute qualité. L’impact de ce centre sur les patients atteints de cancer sera significatif, offrant des soins accessibles et spécialisés qui amélioreront considérablement leur qualité de vie et leurs chances de survie.

 cérémonie de pose de la première pierre du centre public moderne de traitement du cancer au Togo, un projet clé pour améliorer les soins Centre de traitement : Impact pour les patients atteints de cancer

La création de ce centre de traitement du cancer à Lomé représente une avancée majeure pour les patients togolais. Actuellement, de nombreux patients doivent se rendre à l’étranger pour recevoir des traitements adéquats, ce qui engendre des coûts élevés et des délais de traitement prolongés. Avec ce nouveau centre, les patients pourront bénéficier de soins de qualité à proximité, réduisant ainsi le stress et les dépenses associées aux voyages médicaux. De plus, la disponibilité de technologies avancées comme la radiothérapie et la médecine nucléaire permettra de traiter les cancers de manière plus ciblée et efficace, augmentant ainsi les taux de survie.

Le cancer et ses conséquences

Par ailleurs, le cancer est une maladie caractérisée par la croissance incontrôlée de cellules anormales dans le corps. Ces cellules peuvent former des tumeurs et se propager à d’autres parties du corps, un processus appelé métastase. Les réactions du cancer sont graves et variées, allant de la douleur et de la fatigue à des complications potentiellement mortelles. Le traitement du cancer peut inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et d’autres thérapies ciblées, chacune ayant ses propres effets secondaires et défis. La détection précoce et le traitement approprié sont essentiels pour améliorer les chances de survie et la qualité de vie des patients.

En somme, ce centre de traitement du cancer à Lomé est une étape importante vers un avenir dans lequel le cancer ne sera plus une fatalité pour les Togolais, mais une maladie traitable avec des soins de qualité à portée de main.

Togo : Le ministre Natchaba a eu un échange avec l’ONIT

Lomé, le 14 novembre 2024 – Dans un effort continu pour améliorer la qualité de l’enseignement supérieur au Togo, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Kanka Malik Natchaba, a tenu une réunion cruciale avec l’Ordre national des ingénieurs du Togo (ONIT) hier. En effet, cette réunion, organisée dans un esprit de coopération, avait pour but principal de débattre des moyens de renforcer la qualité de la formation des ingénieurs dans le pays.

Renforcement de l’enseignement supérieur au Togo : Le ministre Natchaba rencontre  l’ONIT

Par ailleurs, la question de l’engagement des ingénieurs dans le développement national et de leur rôle crucial aux côtés des autorités était au centre des débats. Le ministre Natchaba a souligné l’importance de l’expertise technique des ingénieurs dans la mise en œuvre des projets d’infrastructure et dans la contribution à une économie basée sur la connaissance.

Un autre point saillant de la réunion a été l’implication active de l’ONIT dans le processus de revue des curricula en cours. Le ministre a insisté sur la nécessité d’aligner les programmes d’études sur les normes internationales et sur les besoins spécifiques du marché de l’emploi togolais. L’ONIT a exprimé son engagement à travailler de concert avec le ministère pour actualiser et améliorer les curricula, assurant ainsi que les futurs ingénieurs togolais soient bien équipés pour relever les défis de demain.

Cette initiative s’inscrit dans le projet gouvernemental de modernisation de l’enseignement supérieur afin de mieux répondre aux enjeux contemporains. Le Ministre Natchaba a réaffirmé l’engagement du gouvernement à investir dans l’éducation et à soutenir les professionnels de l’ingénierie, qui sont des acteurs clés dans la réalisation des ambitions de développement du pays.

En somme, la rencontre entre le ministre Natchaba et l’ONIT marque un pas significatif vers une collaboration plus étroite entre le gouvernement et les professionnels du secteur, avec l’espoir que cette synergie se traduira par des avancées tangibles dans la qualité de l’enseignement supérieur au Togo.

Le Togo s’engage pour un pastoralisme durable au Sahel

Lomé, 14 novembre 2024 – Le Togo a réaffirmé son engagement en faveur d’une gestion durable des ressources pastorales et d’une cohabitation pacifique entre les communautés pastorales et agricoles. En effet, le ministre d’État chargé des ressources halieutiques, animales et de la réglementation de la transhumance, Yark Damhame, a représenté le pays au 2ᵉ forum de haut niveau sur le pastoralisme au Sahel et en Afrique de l’Ouest, qui s’est tenu à Nouakchott, en Mauritanie.

Organisé par le Comité Permanent Inter-États de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) avec le soutien de la Banque mondiale, cet événement a permis de faire le bilan d’une décennie d’actions en faveur des communautés pastorales et agropastorales, et de définir aussi de nouvelles orientations pour les années prochaines.

Le Togo s'engage activement dans la promotion d'un pastoralisme durable au Sahel, en participant à des forums internationauxUn enjeu majeur pour le Togo

Le Forum de Nouakchott a également révélé les difficultés auxquelles font face les pays du Sahel en ce qui concerne le pastoralisme : changement climatique, dégradation des terres, conflits d’usage des ressources, insécurité alimentaire… Face à ces enjeux, les États membres du CILSS ont souligné la nécessité de renforcer la coopération régionale et de mettre en œuvre des politiques publiques adaptées.

Par ailleurs, le Togo, membre du CILSS depuis 1995, est fortement impliqué dans les questions liées au pastoralisme et à la transhumance. Ces enjeux sont d’autant plus importants que le pays abrite une diversité de communautés pastorales et agricoles qui cohabitent sur un territoire relativement restreint.

Les actions du Togo

Le Togo, à l’instar d’autres pays de la région, a mis en place plusieurs initiatives pour soutenir le développement du pastoralisme :

  • Amélioration des infrastructures pastorales 
  • Promotion de bonnes pratiques pastorales 
  • Appui à la commercialisation des produits d’élevage
  • Résolution des conflits entre agriculteurs et éleveurs 

Les défis du pastoralisme au Sahel

Le Forum de Nouakchott a été l’occasion pour les États membres du CILSS de réaffirmer la volonté de poursuivre leurs efforts en faveur du pastoralisme. Les participants ont notamment souligné l’importance de :

  • Renforcer la résilience des communautés pastorales face aux chocs climatiques.
  • Promouvoir l’inclusion financière des éleveurs.
  • Soutenir la jeunesse pastorale.
  • Accroître les investissements dans la recherche et le développement.

En somme, le Togo, en participant activement aux débats sur le pastoralisme au Sahel, démontre son engagement à trouver des solutions durables pour les communautés pastorales. Les avancées réalisées sont encourageantes, mais les défis restent nombreux. Il est urgent de renforcer la coopération régionale, de promouvoir des pratiques pastorales durables et d’investir dans la recherche pour mieux comprendre les dynamiques complexes des systèmes pastoraux.