Les quotidiens marocains parus ce lundi se focalisent sur nombre de sujets notamment la technologie de la 5G au Maroc, la polygamie qui fait de la résistance et les énergies renouvelables.+L’Economiste+ écrit que Le déploiement de la 5G en 2023 au Maroc est une mission impossible. Or, la Note d’orientations générales (NOG) avait fixé cet objectif pour l’année prochaine. Aujourd’hui, de nombreux experts télécoms sont sceptiques par rapport au respect du calendrier.
« Le plan de la note d’orientations générales ne pourra pas atteindre les objectifs fixés. Le véritable objectif réside dans le déploiement de la fibre. Le but étant d’atteindre 20% en 2023. Soit presque 2 millions de prises FTTH ». Or, valeur aujourd’hui, l’on en est à peine à quelque 450.000 prises, quasiment le quart de l’objectif assigné pour 2023. Par ailleurs, il va falloir monter à 50% du marché fibré dès 2025. Ce qui correspond à 5 millions de prises FTTH, relève le journal.
+Aujourd’hui Le Maroc+ souligne que sept mois après le lancement de la campagne « Maroc Terre de Lumière », l’Office National Marocain du Tourisme (ONMT) a lancé une deuxième vague de communication dans pas moins de 19 pays. Une présentation, en avant-première a été faite jeudi 10 novembre à Rabat, aux professionnels, réunis sous l’ombrelle de la Confédération nationale du Tourisme (CNT) et aux présidents des Conseils Régionaux du Tourisme, principaux concernés par cette campagne, indique l’Office dans un communiqué.
La même publication, s’intéresse à la question de la polygamie, indique que les mariages polygames ont augmenté au Maroc en passant de 658 cas en 2020 à 1.046 en 2021. S’agissant des actes de divorce, ceux-ci ont augmenté de 2010 à 2021 en passant de 22.452 à 26.957.
+Les Inspirations Eco+ fait savoir que le consortium maroco-belge, composé de John Cockerill Renewables, Prayon, l’INSMA, I’UMONS, B-Sens et Masen, s’apprête à lancer une nouvelle solution de production d’électricité à partir du solaire thermique, jugé largement plus cher que le photovoltaïque.
Solheatair consiste en une solution renouvelable intégrée pour la production, le stockage et la valorisation de chaleur produite par des sources d’énergies renouvelables. Cette énergie thermique à haute température peut ensuite être utilisée dans des process industriels, comme par exemple la production de ciment et d’acier, ou convertie en électricité pour réduire les émissions de CO2. Un démonstrateur sera installé prochainement au cœur du complexe solaire Noor Ouarzazate de Masen.