Lomé, le 23 août 2024 – Le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale a accueilli le jeudi un nouveau membre. En effet, le Secrétaire général adjoint du Gouvernement, Makre SKPANE, a présidé la cérémonie d’installation officielle du Professeur Kossivi HOUNAKEY en tant que Ministre délégué auprès de la Ministre Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, qui a été reconduite à son poste. Cette cérémonie marque un tournant pour le département ministériel.
Un renforcement de poids avec le Professeur HOUNAKEY
La nomination du Professeur HOUNAKEY est perçue comme un renforcement de l’équipe ministérielle. Son expertise, alliée à la longue expérience de Madame MIVEDOR-SAMBIANI, devrait donner un nouvel élan aux politiques commerciales du pays. Le Secrétaire général adjoint du Gouvernement à d’ailleurs salue cette décision, soulignant la volonté du Chef de l’État de doter le ministère des moyens nécessaires pour atteindre ses objectifs.
Une collaboration prometteuse
Lors de son discours, Madame MIVEDOR-SAMBIANI a exprimé sa gratitude au Chef de l’État pour la confiance renouvelée et a assuré au nouveau ministre délégué de son plein soutien. De son côté, le Professeur HOUNAKEY a remercié également le Président de la république pour sa nomination et a souligné son engagement à travailler en étroite collaboration avec l’ensemble des acteurs du ministère.
Les enjeux à venir
Par ailleurs, cette nouvelle configuration du ministère laisse présager de nouvelles orientations. Les défis sont nombreux : favoriser le développement des entreprises locales, favoriser les exportations, protéger les consommateurs. Le Professeur HOUNAKEY et Madame MIVEDOR-SAMBIANI auront à cœur de mettre en œuvre les politiques commerciales définies par le gouvernement et de contribuer à la croissance économique du pays.
En bref, l’arrivée du Professeur HOUNAKEY au sein du gouvernement témoigne de la volonté politique de renforcer le secteur du commerce. Mais comment ces nouvelles orientations s’inscrivent-elles dans la stratégie globale de développement économique du pays ? Et quels en seront les impacts sur la vie quotidienne des Togolais ?