Déjà, ça circulait comme bruits de couloir, des observateurs se questionnent sur le rôle même des organisations onusiennes au Togo depuis le début de la crise.
Dans son tout dernier rapport « Togo : la terreur contre le peuple », publié mercredi 22 mais dernier, la Ligue togolaise des droits de l’homme (LTDH) tient pour responsables le gouvernement togolais et l’ONU, des violations des droits de l’homme au Togo au cours la période allant du 31 juillet 2018 au 27 avril 2019.
Dans son document, la LTDH accuse l’État togolais d’avoir commis des exactions sur les citoyens togolais pendant une période de 8 mois, et à l’ONU d’avoir laissé toutes ces bévues passer sous silence.