Lomé : le PNUD offre 94 millions pour transformer le handicap en force artisanale !

Au lumineux matin du 8 avril, les locaux de l’association « Mon Handicap Ma Force » à Lomé ont été le théâtre d’un geste d’une portée éclatante : le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) au Togo a remis un abondant assortiment d’équipements et de matériels destinés à divers corps de métiers artisanaux, d’une valeur de 94 millions de FCFA. De fait, cette dotation, bien plus qu’un simple don, s’érige en un symbole d’inclusion et d’espérance, visant à transmuer le handicap en une force vive au service de l’autonomie et de la dignité.

Couture, agroalimentaire, numérique : le PNUD outille l’avenir des artisans handicapés

Sous les auspices du PNUD Togo, cette initiative s’est déployée avec une ambition cristalline : offrir aux artisans en situation de handicap les outils nécessaires pour façonner leur avenir. En effet, machines à coudre pour les tailleurs, équipements agroalimentaires pour les transformateurs, ordinateurs pour les infographistes et appareils photo pour les passionnés de l’image : chaque pièce remise répond à un talent spécifique, couvrant un spectre d’activités allant de la couture à la photographie. De plus, cet appui, d’une valeur considérable, ne se limite pas à la matérialité ; il s’accompagne de formations sur mesure, conçues pour aiguiser les compétences et ouvrir des horizons professionnels jusqu’alors entravés.

« Le handicap, une puissance latente » : le PNUD prône l’inclusion par l’action

« Le handicap n’est point un obstacle, mais une puissance latente », ainsi a proclamé le PNUD Togo, donnant chair à une vision où l’inclusion transcende les discours pour s’incarner dans des actes tangibles. Pour sa part, l’association « Mon Handicap Ma Force », forte de son engagement à valoriser les aptitudes de ses membres, trouve dans ce partenariat un élan précieux. Ensemble, l’objectif, d’une netteté irréprochable, est de briser les chaînes de la dépendance économique, permettant à ces artisans de s’élever en entrepreneurs autonomes, capables de subvenir à leurs besoins et d’enrichir leur communauté.

Le PNUD au Togo offre 94 millions de FCFA en équipements et formations à l'association "Mon Handicap Ma Force" à Lomé, Mosaïque de talents : quand le handicap rime avec la créativité togolaise. 

L’événement a révélé une mosaïque de savoir-faire, où chaque bénéficiaire incarne une facette de la créativité togolaise. Par exemple, dans les ateliers de couture, les aiguilles dansent désormais sur des machines modernes ; dans les cuisines, les produits agroalimentaires se métamorphosent grâce à des outils adaptés ; et dans les studios, les objectifs capturent des instants que l’infographie sublime. De cette manière, cette pluralité, soutenue par un investissement aussi généreux que réfléchi, dispense une leçon essentielle : la diversité des talents, lorsqu’elle est nourrie, devient un levier de résilience et de progrès.

Vers l’autonomie : 94 millions pour propulser l’entrepreneuriat handicapé au Togo

La cérémonie de remise, orchestrée dans une atmosphère de ferveur contenue, a vu les représentants du PNUD Togo et de l’association échanger des paroles d’espoir et de gratitude. En effet, les 94 millions de FCFA investis ne sont pas une fin en soi, mais un tremplin vers une indépendance durable. À cet effet, ces équipements, alliés à des sessions de formation, visent à doter les artisans d’une maîtrise technique et d’une agilité entrepreneuriale, leur permettant de conquérir des marchés locaux, voire au-delà. Ainsi, le PNUD Togo ne se contente pas d’équiper ; il sème les graines d’une économie inclusive où chacun peut prétendre à sa juste part de prospérité.

Le PNUD au Togo offre 94 millions de FCFA en équipements et formations à l'association "Mon Handicap Ma Force" à Lomé, « Mon handicap, ma force » en mouvement : quand l’opportunité rencontre la volonté ?

L’impact de cette dotation résonne déjà au sein de « Mon Handicap Ma Force ». Fondée pour promouvoir l’insertion des personnes en situation de handicap, l’association voit dans cette collaboration un jalon décisif. De fait, les bénéficiaires, dont les visages s’illuminaient à la vue des nouveaux outils, ont exprimé une détermination farouche à transformer ce soutien en réussites palpables. Par conséquent, cet élan, d’une simplicité émouvante, enseigne une vérité universelle : lorsque l’opportunité rencontre la volonté, les barrières s’effacent pour céder la place à l’accomplissement.

Le Togo trace une voie d’inclusion : le handicap, moteur d’une nouvelle économie ?

En conclusion, par ce geste du 8 avril 2025, le PNUD Togo ne fait pas qu’équiper une association ; il insuffle une dynamique dans laquelle le handicap se mue en moteur de création et d’autonomie. Portée par ces outils et ces savoirs nouveaux, « Mon Handicap Ma Force » s’élance vers un avenir dans lequel ses artisans pourraient redéfinir les contours de l’inclusion au Togo. Finalement, l’histoire, encore à ses prémices, reste suspendue à l’élan de ces mains habiles, prêtes à façonner un destin dont les lignes ne demandent qu’à s’écrire.

Une main tendue aux Savanes : le Togo mobilisé face à la crise du Sahel

Dans les contrées septentrionales du Togo, où les Savanes déploient leurs vastes étendues, une initiative d’une portée humanitaire majeure a pris corps sous l’égide de la Professeure Kossiwa Zinsou-Klassou, ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme. En effet, dépêchée par le président de la République, Son Excellence M. Faure Essozimna Gnassingbé, la ministre a présidé, en ce mois d’avril 2025, le lancement d’une opération d’assistance d’envergure visant à soulager les populations déplacées internes et retournées, éprouvées par les soubresauts de la crise sahélienne.

Une aide concrète pour plus de 2 400 foyers vulnérables dans les Savanes

Par ailleurs, cette démarche, d’une valeur de 100 millions de francs CFA, se traduit par la distribution de vivres et de biens non alimentaires destinés à plus de deux mille quatre cents foyers, répartis à travers les sept préfectures de la région des Savanes. Loin de se réduire à une aide matérielle, cette opération incarne un élan de fraternité, un message vibrant de compassion et d’espérance que la ministre a tenu à transmettre au nom du chef de l’État. Elle s’inscrit aussi dans une volonté affirmée de tisser un filet de sécurité autour des plus vulnérables, confrontés aux aléas d’une crise régionale aux ramifications complexes.

La ministre togolaise Kossiwa Zinsou-Klassou lance une aide de 100 millions de FCFA pour 2 400 ménages des Savanes, affirmant la solidaritéEn plus, le gouvernement togolais, par cette action, réitère son engagement indéfectible à accompagner les populations en détresse. À travers le Programme d’Urgence pour le Renforcement de la Résilience et de la Sécurité (PURS), il ambitionne de fortifier les capacités des communautés à surmonter les adversités, tout en consolidant leur ancrage dans un environnement pacifié. parallèlement, la ministre n’a pas manqué de saluer l’abnégation des forces de défense togolaises, dont le sacrifice constitue le rempart de cette entreprise solidaire. Leur dévouement, a-t-elle souligné, mérite une reconnaissance à la mesure de leur bravoure.

Vers une résilience durable face aux crises du Sahel

Cette opération, minutieusement orchestrée, ne se borne pas à répondre à l’urgence ; elle sème les germes d’une résilience durable. En conjuguant assistance immédiate et vision prospective, le Togo esquisse une réponse multidimensionnelle à la crise du Sahel, où la solidarité se mue en levier de transformation sociale. Une vidéo, diffusée à cette occasion, illustre avec éloquence cet engagement, offrant un témoignage visuel de la détermination togolaise à faire face aux défis du moment.

La ministre togolaise Kossiwa Zinsou-Klassou lance une aide de 100 millions de FCFA pour 2 400 ménages des Savanes, affirmant la solidaritéEn somme, par cette initiative dans les Savanes, le Togo, sous l’impulsion de son président et de sa ministre de l’Action sociale, fait plus que secourir ; il édifie un pont vers un avenir dans lequel la dignité et la sécurité des populations prévalent. Cette opération, par sa portée et sa symbolique, consacre la solidarité comme une boussole guidant la nation vers un horizon de paix et de cohésion.

 

Le Togo au cœur de l’inclusion mondiale : une voix forte au 3e Sommet sur le handicap à Berlin

Lomé,7 avril 2025 – Berlin s’est érigée en carrefour des aspirations mondiales pour l’inclusion lors du 3ᵉ Sommet mondial sur le handicap (GDS 2025). Dans ce creuset d’idées et d’engagements, le Togo, représenté par la ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, Prof. Kossiwa Zinsou-Klassou, a porté haut une vision d’équité et de dignité pour tous lors de l’événement tenu les 2 et 3 avril derniers. Sous la bannière d’une délégation résolue, le pays a dévoilé ses avancées et réaffirmé une ambition audacieuse : faire de l’inclusion non pas un vœu pieux, mais une réalité tangible, façonnée par des politiques concrètes et une volonté politique inébranlable.

Le Togo affirme son engagement en faveur de l’inclusion lors du Sommet mondial sur le handicap 2025 à Berlin, Une prise de parole marquante au sommet

Dans l’enceinte vibrante du sommet, où se sont croisées des voix venues des quatre coins du globe, la ministre Zinsou-Klassou a captivé l’auditoire en exposant les jalons posés par le Togo sous l’impulsion du président Faure Essozimna Gnassingbé. Subventions ciblées pour les personnes en situation de handicap, éducation inclusive désormais ancrée dans les salles de classe, insertion professionnelle soutenue par des dispositifs innovants, accès à une santé non contributive : ces mesures, loin d’être de simples promesses, dessinent les contours d’une société dans laquelle la différence n’est plus un fardeau, mais une richesse à valoriser. « Le Togo s’attèle à bâtir un édifice social où chaque individu, quelles que soient ses particularités, peut exercer ses droits et contribuer à l’essor collectif », a-t-elle déclaré avec une conviction qui a résonné dans l’assemblée.

Le Togo affirme son engagement en faveur de l’inclusion lors du Sommet mondial sur le handicap 2025 à Berlin, Un engagement mondial scellé dans la Déclaration d’Amman-Berlin

Le sommet, co-organisé par des figures internationales telles que Svenja Schulze et Bärbel Kofler, a également été le théâtre d’échanges féconds sur des enjeux cruciaux : l’accès à l’emploi, les financements innovants pour l’inclusion et la nécessité d’une responsabilité partagée à l’échelle planétaire. La Déclaration d’Amman-Berlin, adoptée à l’issue des débats, a scellé un pacte collectif pour accélérer l’inclusion mondiale, un texte auquel le Togo a adhéré avec ferveur. Ce document, plus qu’un simple manifeste, engage les nations à transformer leurs systèmes pour que nul ne soit laissé à la lisière du progrès.

Le Togo conjugue vision et action.

Loin des discours convenus, la présence togolaise à Berlin s’est distinguée par sa capacité à conjuguer vision et action. Les initiatives présentées par la ministre ont suscité l’admiration, non pas pour leur éclat, mais pour leur ancrage dans une réalité quotidienne. Des écoles dans lesquelles les enfants en situation de handicap apprennent aux côtés de leurs pairs, des ateliers dans lesquels des mains autrefois marginalisées façonnent désormais leur avenir, des centres de santé où l’accès aux soins ne dépend plus d’un portefeuille : autant de fragments d’un Togo qui, pas à pas, redessine ses contours pour embrasser tous ses citoyens.

Entre avancées et défis, un avenir à concrétiser

Pourtant, au milieu des applaudissements et des engagements solennels, une interrogation persiste, comme une brise discrète traversant l’effervescence du sommet. Si les avancées sont indéniables, la route vers une inclusion véritable est-elle exempte d’embûches ? Les promesses scellées à Berlin sauront-elles s’incarner durablement dans les vies de ceux qui, encore aujourd’hui, luttent pour être vus et entendus ? Le Togo, fort de sa détermination, a planté une graine d’espoir ; mais son éclosion, dans un monde aux équilibres fragiles, reste une œuvre à parachever.

Togo : un élan de cœur pour le Ramadan dans les Savanes

Dapaong, le 10 mars 2025 Sous un ciel encore frémissant des promesses de l’aube, l’esplanade du Gouvernorat des Savanes, à Dapaong, s’est parée d’une gravité lumineuse vendredi dernier. Là, le gouverneur Affoh Atcha-Dédji, mandaté par Son Excellence Faure Essozimna Gnassingbé, président de la République, a présidé une cérémonie empreinte de noblesse : la remise d’un don fastueux de vivres, évalué à 40 millions de francs CFA, à la communauté musulmane de la région. En présence du général Yark Damehane, ministre des Ressources halieutiques et de la Transhumance, ainsi que des préfets, maires et dignitaires religieux, dont l’imam Ousmane Douti de la grande mosquée de Dapaong, cet acte a résonné comme une ode à la solidarité, à l’orée du mois béni de Ramadan.

Remise de vivres de 40 millions de francs CFA par le président Faure Gnassingbé à la communauté musulmane des SavanesUne corne d’abondance pour les fidèles des Savanes 

Ce présent, aussi généreux que réfléchi, se compose d’un trésor de provisions : 450 sacs de riz aux grains immaculés, 90 cartons de sucre pour adoucir les jours austères, 280 sacs supplémentaires de cette douceur cristalline, 300 cartons d’huile végétale (chacun abritant quatre bidons de cinq litres), et 240 cartons de lait Peak, gage de réconfort. Ces vivres, minutieusement choisis, incarnent une main tendue, un soutien tangible pour que les fidèles puissent traverser le jeûne dans une sérénité retrouvée. Dans une région où les défis sécuritaires et économiques pèsent lourdement, ce geste se veut une brise apaisante, un rempart contre les rigueurs du quotidien.

Une tradition gravée dans le temps

Dans son allocution, le gouverneur Atcha-Dédji a ciselé ses mots avec soin, exaltant la portée de cette initiative portée par le chef de l’État. « Ce don vise à envelopper les fidèles d’une quiétude propice à l’observance du Ramadan », a-t-il déclaré, avant d’appeler les bénéficiaires à élever leurs prières pour la paix dans les Savanes et pour la longévité de Faure Gnassingbé. De son côté, l’imam Ousmane Douti, voix de la grande mosquée, a pris la parole au nom des siens, tissant un éloge vibrant de gratitude. « Cette marque de sollicitude, désormais ancrée dans nos annales, est un baume pour nos âmes », a-t-il confié, soulignant une constance qui, année après année, lie le président à sa communauté musulmane.

Une attention qui transcende les frontières spirituelles

Par ailleurs, ce rituel de générosité, qui s’inscrit dans une politique d’inclusion chère au gouvernement togolais, dépasse la simple assistance matérielle. Il reflète une volonté affirmée de tisser des liens entre les pouvoirs publics et les citoyens, particulièrement dans cette région septentrionale où l’état d’urgence sécuritaire, prorogé le 6 mars 2025, rappelle les tensions aux portes du pays. En cette période de recueillement et de partage, le don de Faure Gnassingbé s’érige en un symbole d’unité, un fil d’or reliant les cœurs au-delà des épreuves. Les responsables religieux, préfets et maires présents ont unanimement salué cette marque d’estime, y voyant une lumière dans l’ombre des défis qui persistent.

Remise de vivres de 40 millions de francs CFA par le président Faure Gnassingbé à la communauté musulmane des Savanes Une semence pour des jours plus doux dans les Savanes 

Et tandis que les sacs de riz et les bidons d’huile trouvaient leur chemin vers les foyers, une douceur indicible flottait sur Dapaong. Ce don, plus qu’une offrande, est une semence plantée dans le sol aride des Savanes, une promesse que la solidarité peut fleurir là où la nécessité règne. Sous le regard bienveillant des dignitaires et le murmure des prières naissantes, une vision s’esquisse : celle d’un Ramadan dans lequel la faim s’efface devant la fraternité, où chaque fidèle, soutenu par ce geste présidentiel, peut lever les yeux vers un ciel plus clément. Car, dans cette terre de contrastes, la vraie richesse ne se compte pas en francs, mais en ces instants où l’humanité, humble et discrète, s’élève pour tendre une main et laisser derrière elle une étoile qui, longtemps après, continuera de briller.