Lavrov et Dussey renforcent les liens russo-togolais à Sotchi

Sotchi, 8 novembre 2024 – Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, et son homologue togolais, Robert Dussey, se rencontrent en marge de la première conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie-Afrique. Cette rencontre bilatérale a été une occasion de renforcer les liens historiques et amicaux entre les deux pays.

Les discussions ont porté sur un large éventail de sujets, notamment le renforcement du dialogue politique entre Moscou et Lomé. Les deux ministres ont également évoqué les moyens d’intensifier la coopération commerciale, économique et d’investissement mutuellement bénéfique. L’expansion des liens humanitaires a également été au cœur des échanges.

Lors de cette rencontre, les deux pays ont réitéré leur volonté de développer davantage leur coopération économique. Satisfaits des avancées réalisées, les ministres ont décidé de travailler ensemble pour surmonter les obstacles et saisir les opportunités qui se présenteront.

Sergueï Lavrov, et son homologue togolais, Robert Dussey, se rencontrent en marge de la première conférence ministérielle Les échanges se sont aussi accentués sur l’importance de l’intégration régionale et le rôle des Togolais de l’extérieur, avec une reconnaissance spéciale de leur contribution au développement de la République togolaise. Par ailleurs, la discussion a souligné l’importance de la diaspora dans le renforcement des relations bilatérales et dans la promotion des intérêts économiques et culturels des deux pays.

Cette rencontre témoigne de la volonté des deux pays de renforcer leur partenariat stratégique. Les relations russo-togolaises sont fondées sur une longue histoire de coopération et d’amitié. Cette rencontre bilatérale s’inscrit dans la continuité de cette dynamique positive.

En somme, la rencontre entre Sergueï Lavrov et Robert Dussey à Sotchi marque une nouvelle étape dans le développement des relations russo-togolaises. Les deux pays ont réaffirmé leur volonté de renforcer leur partenariat stratégique dans divers domaines. Cette collaboration bilatérale vise à apporter des avantages aux habitants des deux pays et à favoriser la stabilité et le progrès de la région.

 

Togo et Kenya : Une nouvelle dynamique de coopération s’annonce

Pretoria, le 7 novembre 2024  – Le Haut-Commissaire du Togo en Afrique du Sud, John D. Fintakpa Lamega, a rendu une visite de courtoisie à sa collègue kenyane, Jane Ndurumo, dans la capitale sud-africaine dans le but de renforcer les relations économiques et culturelles entre l’Afrique de l’Ouest et de l’Est.

En effet, cette rencontre, riche en échanges, a permis aux deux diplomates d’explorer de nouvelles avenues de coopération entre leurs pays respectifs. Les discussions ont porté principalement sur les opportunités d’investissement dans des secteurs clés des deux pays. Les deux hauts fonctionnaires ont également souligné l’importance de tirer parti des complémentarités économiques de leurs pays respectifs pour stimuler la croissance et le développement.

Des échanges culturels pour renforcer les liens entre le Togo et Kenya

Au-delà des aspects économiques, les deux diplomates ont convenu de favoriser les échanges culturels entre les deux pays. Des programmes d’échanges universitaires, artistiques et sportifs pourraient ainsi voir le jour, permettant aux Togolais et aux Kényans de mieux se connaître et de renforcer les liens entre leurs peuples. Cette étape importante renforce le partenariat existant et ouvre la voie à de nouvelles avenues de collaboration entre les deux nations.

Par ailleurs, il faut préciser que les secteurs de l’agriculture et de l’énergie renouvelable offrent des perspectives particulièrement prometteuses aux deux nations. Le Kenya, reconnu pour ses avancées dans le domaine des énergies renouvelables, pourrait apporter son expertise au Togo, tandis que ce dernier pourrait bénéficier de l’expérience du togo dans la production agricole.

Les enjeux de cette coopération

Cette rencontre entre les hauts-commissaires du Togo et du Kenya s’inscrit dans une dynamique plus large de renforcement de la coopération Sud-Sud. Elle témoigne de la volonté des pays africains de travailler ensemble pour relever les défis communs et saisir les opportunités offertes par la mondialisation.

Bref, la visite de courtoisie entre les diplomates du Togo et du Kenya à Pretoria est un signal fort qui témoigne ainsi de l’ambition des deux pays de contribuer à la construction d’une Afrique unie et prospère. En renforçant leurs liens économiques et culturels, ils ouvrent la voie à de nouvelles collaborations et à de nouvelles opportunités pour les générations futures.

Togo : Faure Gnassingbé, acteur de la stabilité en Afrique

Lomé, le 6 novembre 2024 – Le rôle pivot du Président Faure Essozimna Gnassingbé dans le renforcement de l’intégration et de la stabilité de l’espace CEDEAO et au-delà ne cesse de gagner en reconnaissance. Sa capacité à agir en tant que médiateur influent et sa vision pour une Afrique unie ont été une fois de plus mises en lumière lors de sa rencontre hier avec le ministre nigérian des Affaires étrangères, Yusuf Maitama Tuggar. Cette réunion stratégique, précurseur du prochain sommet de la CEDEAO, a souligné les défis politiques et sécuritaires majeurs de la sous-région ouest-africaine.

L'impact des efforts diplomatiques du Président Faure Gnassingbé sur l'intégration de la CEDEAO et la stabilité régionaleUne efficacité diplomatique au cœur de la stabilité africaine

Le président du Conseil des ministres de la CEDEAO a profité de cette occasion pour exprimer sa gratitude envers le chef de l’État togolais pour son action diplomatique dynamique, notamment sa médiation réussie avec l’Alliance des États du Sahel (AES) et son engagement constant pour la paix et la stabilité régionales. La reconnaissance de l’efficacité du Président Gnassingbé par des figures clés telles que M. Tuggar témoigne de l’influence considérable du Togo dans les affaires régionales.

La coopération bilatérale entre le Nigéria et le Togo, deux piliers fondateurs de la CEDEAO, a également été au cœur des échanges. Par ailleurs, leur partenariat, ancré dans une série de traités et d’accords couvrant divers domaines tels que la diplomatie, l’économie, la sécurité, les transports, l’assistance mutuelle et l’énergie, est un modèle de collaboration interétatique.

En conclusion, la rencontre entre le Président Gnassingbé et le Ministre Tuggar est non seulement un symbole de l’amitié entre le Togo et le Nigéria, mais aussi un pas de plus vers un monde dans lequel la solidarité africaine et l’intégration régionale sont les pierres angulaires d’une Afrique prospère et pacifique. Les actions et la diplomatie du Président togolais continuent de jouer un rôle déterminant dans la quête d’une stabilité durable et d’une unité renforcée au sein de la CEDEAO et sur le continent africain dans son ensemble.

 

Coumba D. Sow prend ses fonctions de Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Togo

Lomé, le 6 novembre 2024 – Mme Coumba D. Sow a officiellement pris ses fonctions de Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Togo hier en présentant ses lettres de créance au ministre des Affaires étrangères, Robert Dussey.

Dans une cérémonie empreinte de solennité, Mme Sow a exprimé sa détermination à travailler en étroite collaboration avec le gouvernement togolais pour accélérer la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD). Elle a également souligné l’importance d’une approche inclusive et durable pour relever les défis auxquels le pays fait face, notamment en matière de développement économique, de protection sociale et de lutte contre le changement climatique.

De son côté, le ministre Dussey s’est réjoui de l’arrivée de Mme Sow et a réaffirmé l’attachement du Togo aux valeurs universelles promues par les Nations Unies. Il a souligné l’importance de ce partenariat pour soutenir les efforts de développement du pays et améliorer le bien-être de la population.

Coumba D. Sow, focus sur les priorités

Les discussions entre les deux parties ont été portées sur les priorités à venir, notamment :

  • L’inclusion sociale : accroître l’accès aux services sociaux de base pour tous les Togolais, en particulier les plus vulnérables.
  • La protection de l’environnement : lutter contre le changement climatique et promouvoir des pratiques durables.
  • Le développement humain : investir dans l’éducation, la santé et la formation professionnelle.

Un partenariat renforcé au service du développement

Avec l’arrivée de Mme Sow, les Nations Unies renforcent leur engagement à soutenir le Togo dans sa trajectoire de développement. Ainsi, ils mettront en place des programmes et des projets centrés sur la création d’emplois, l’amélioration des infrastructures et le renforcement des institutions.

En conclusion, la nomination de Mme Sow est une excellente nouvelle pour le Togo. Son expertise et son engagement sont des atouts précieux pour notre pays. Cette prise de fonction marque aussi une nouvelle étape dans notre partenariat avec les Nations Unies, un partenariat qui est plus que jamais nécessaire pour faire face aux enjeux mondiaux et relever les défis spécifiques de notre pays.

 

Togo : La Chine et le Togo renforcent leur coopération pour l’action sociale

Lomé, le 5 novembre 2024 Dans le cadre des efforts continus pour améliorer les conditions de vie des populations vulnérables au Togo, une nouvelle étape vient d’être franchie dans la coopération entre le Togo et la Chine. À cet effet, la Ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, Prof. Kossiwa ZINSOU-KLASSOU a eu une réunion avec l’Ambassadeur de Chine, M. Chao Weidong, afin de discuter des initiatives visant à renforcer l’action sociale et la protection des groupes défavorisés au Togo.

Les deux parties ont convenu de travailler ensemble pour améliorer les conditions de vie des populations vulnérables, notamment les enfants et les personnes en situation de précarité. L’ambassade de Chine a promis de mettre en œuvre des projets d’envergure avant la fin de l’année, démontrant ainsi son engagement à soutenir les initiatives du gouvernement togolais dans ce domaine.

Cette collaboration s’inscrit dans une dynamique de partenariat gagnant-gagnant entre les deux pays. Le Togo et la Chine ont su développer des relations solides, fondées sur le respect mutuel et la solidarité. Ce nouveau partenariat dans le domaine de l’action sociale vient renforcer ces liens et concrétiser la volonté commune de construire un meilleur avenir pour les populations les plus vulnérables.

Le Ministre ZINSOU-KLASSOU se réjouit de cette collaboration, soulignant l’importance de l’appui de la Chine pour atteindre les objectifs du gouvernement en matière de protection sociale. L’Ambassadeur Chao Weidong a quant à lui affirmé que cette coopération est une illustration parfaite de la diplomatie humanitaire en action.

Les enjeux de cette coopération Chine-Togo

La collaboration sino-togolaise est cruciale pour le développement social du Togo. Elle vise à améliorer l’accès aux services essentiels pour les communautés défavorisées, contribuant ainsi à atténuer la pauvreté et les disparités sociales. De plus, cette coopération favorise un transfert de connaissances et de compétences entre les experts des deux nations, renforçant l’efficacité des initiatives sociales au Togo.

En somme, cette coopération entre le Togo et la Chine ouvre de nouvelles perspectives pour le développement social du pays. La complémentarité des compétences entre le Togo et la Chine est un atout majeur dans ce partenariat. Les expertises respectives des deux pays permettront de mettre en œuvre des projets innovants et adaptés aux besoins spécifiques des populations togolaises. Elle démontre que la solidarité internationale peut être un levier puissant pour améliorer les conditions de vie des populations les plus vulnérables.

Afriland First Group : Un pari gagnant sur le Togo

Lomé, le 2 novembre 2024 – Le Togo vient de remporter une nouvelle victoire économique. Le groupe bancaire panafricain Afriland First Group, dirigé par le charismatique Dr Paul Kammogne Fokam, a annoncé hier, lors de son audience avec le président de la République Faure Essozimna Gnassingbé, son intention de créer un holding régional au cœur de Lomé. Une décision qui vient confirmer l’attractivité du Togo et qui s’inscrit pleinement dans la stratégie de développement du Président Faure Gnassingbé.

En choisissant le Togo, Afriland First Group ne fait pas seulement un choix stratégique, mais un pari sur l’avenir. Le pays, sous l’impulsion de son chef d’État, a engagé ces dernières années des réformes profondes pour améliorer son climat des affaires et attirer les investissements. Les efforts du gouvernement semblent porter leurs fruits, puisque de grandes entreprises internationales choisissent désormais de s’implanter au Togo.

« La dynamique économique du Togo et la vision ambitieuse du président Gnassingbé pour transformer son pays en un pays de cocagne, où l’on a tout en abondance, nous ont séduits », a déclaré Dr Paul Kammogne Fokam, président du Conseil d’Administration d’Afriland First Group. « Nous croyons fermement en l’avenir de ce pays et souhaitons y participer en favorisant une meilleure répartition des richesses. »

Les avantages de l’implantation de Afriland First Group seront multiples pour le Togo

  • Création d’emplois : la création de ce nouveau holding va générer de nombreux emplois directs et indirects, stimulant ainsi l’économie locale.
  • Transfert de compétences : l’expertise du Groupe Afriland va permettre de renforcer les capacités des acteurs locaux et de développer de nouveaux services financiers.
  • Rayonnement international : le choix du Togo par une telle institution va aussi renforcer l’attractivité du pays sur la scène internationale et attirer d’autres investisseurs.

En choisissant le Togo pour implanter sa nouvelle holding, Afriland First Group ne fait pas seulement un choix stratégique, il place également son pari sur un pays en pleine mutation et qui ambitionne de devenir un hub financier de premier plan en Afrique de l’Ouest.

Le FMI réaffirme son soutien au développement du Togo

Lomé, le 1ᵉʳ novembre 2024 – Le Togo a reçu une nouvelle marque de confiance de la part de la communauté internationale. En effet, le Directeur du département Afrique du Fonds monétaire international (FMI), Abebe Aemro Selassie, actuellement en tournée dans la sous-région, a réaffirmé l’engagement de l’institution à accompagner le pays dans sa dynamique de développement.

Lors d’une audience avec le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, M. Selassie a évoqué les défis auxquels le Togo est confronté et les perspectives économiques du pays. Il a également  salué les réformes engagées par le gouvernement et a souligné l’importance de poursuivre sur cette lancée.

Le Togo et le FMI s'engagent à travailler ensemble pour accélérer la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer les conditions de vie de la population.Le FMI et le Togo solidifient leur collaboration pour un développement soutenu

Par ailleurs, le FMI et le Togo entretiennent depuis plusieurs années une étroite collaboration. L’accord conclu le 8 octobre dernier sur la première revue du programme de 42 mois appuyé par la Facilité élargie de crédit (FEC) en témoigne. En plus, cet accord, d’un montant de 293,60 millions de DTS (environ 390 millions de dollars), permettra au Togo de bénéficier d’un nouveau décaissement d’environ 58,7 millions de dollars, soit près de 35 435 000 000 de FCFA.

Ces fonds serviront à financer des projets de développement prioritaires pour le Togo, tels que l’amélioration des infrastructures, le renforcement du secteur financier et la promotion de la croissance inclusive.

Les enjeux de la visite

La visite de M. Selassie au Togo intervient dans un contexte marqué par les défis économiques mondiaux et régionaux. Les discussions ont porté sur les moyens de renforcer la résilience de l’économie togolaise face aux chocs externes, de promouvoir la croissance inclusive et de réduire la pauvreté.

En somme, cette rencontre entre le Président Gnassingbé et M. Selassie marque un nouveau chapitre dans la coopération entre le Togo et le FMI. Avec le soutien financier et technique de l’institution, le Togo dispose ainsi de tous les atouts pour accélérer sa croissance économique et améliorer aussi le bien-être de sa population.

CHOGM 2024 : Une nouvelle ère de collaboration

Apia (Samoa), le 25 octobre 2024 – Le coup d’envoi de la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth (CHOGM) a été donné ce vendredi, dans un climat de renouveau et d’anticipation. Pour la première fois, le Togo rejoint la table des discussions, marquant ainsi un élargissement significatif de l’organisation. Sous la présidence du Roi Charles III, ce sommet bisannuel s’annonce comme un carrefour d’idées progressistes et de stratégies de développement partagé.

Par ailleurs, la participation du Premier ministre togolais, Victoire Dogbé, souligne l’importance croissante de l’Afrique dans les affaires du Commonwealth. L’agenda de cette année se concentre sur l’exploration de nouvelles voies de collaboration multilatérale, essentielles pour relever les défis mondiaux et promouvoir la prospérité commune.

En outre, les discussions prévues s’étendront sur des sujets variés, allant de l’économie et du commerce à la durabilité environnementale, en passant par l’éducation et la santé. L’objectif est clair : renforcer les liens entre les 56 États membres et forger un avenir dans lequel le développement mutuel est au cœur des priorités.

En marge de l’événement, le souverain britannique a honoré la cheffe du gouvernement togolais par une audience, ce qui marque la reconnaissance de l’importance du Togo sur la scène internationale. Cette rencontre fait suite à des échanges fructueux avec le Conseil d’entreprise et d’investissement du Commonwealth, jetant les bases d’une coopération économique renforcée.

En somme, le CHOGM 2024 s’inscrit dans une dynamique de changement, où chaque membre apporte sa pierre à l’édifice commun. Avec l’arrivée de nouveaux pays membres et la volonté affirmée de travailler ensemble, le Commonwealth se positionne comme un acteur clé sur la scène internationale, prêt à relever les défis de notre époque.

L’UE réaffirme son engagement envers le Togo

Lomé, le 17 octobre 2024. – Le nouvel ambassadeur de l’Union Européenne( UE )au Togo, Gwilym Ceri Jones, poursuit activement sa mission de représentation. En effet, après avoir présenté ses lettres de créance au Président de la République, il a entamé une série de rencontres avec les plus hautes autorités du pays.

Ces derniers jours, l’ambassadeur Jones a eu des entretiens fructueux avec la Première ministre, Victoire Dogbé, et le président de l’Assemblée nationale, Kodjo Adedze. Ainsi, ces rencontres ont permis de renforcer les liens entre le Togo et l’UE et de discuter des perspectives de coopération.

Au cours de ces échanges, les priorités du Togo en matière de développement et la transition vers la Vème République ont été au cœur des discussions. Le représentant de l’UE a réaffirmé l’engagement de l’Union Européenne à accompagner le Togo dans ces défis.

L’UE -Togo: Un partenariat renforcé

« Notre objectif est de renforcer notre partenariat avec le Togo et d’augmenter l’impact de nos programmes », a déclaré l’ambassadeur Jones. Il a souligné l’importance d’adapter les projets aux besoins spécifiques du pays et, de ce fait, s’est montré disposé à ajuster les stratégies en fonction des besoins du pays.

L’ambassadeur a également évoqué le projet phare de l’Union Européenne, le Global Gateway. Ce programme ambitieux vise à mobiliser des investissements publics et privés pour soutenir le développement durable dans les pays partenaires. « C’est une opportunité que nous souhaitons explorer avec dynamisme », a-t-il déclaré lors de son entretien avec le Président de l’Assemblée nationale.

Un partenariat consolidé

Il est important de rappeler que le Togo et l’UE ont signé en 2022 un nouveau cadre de partenariat qui définit les axes de coopération pour les prochaines années. Ce partenariat couvre des domaines variés tels que la gouvernance, le développement économique, la sécurité et la migration. En plus, cet accord témoigne de la volonté commune de renforcer les relations bilatérales et de travailler ensemble pour relever les défis du développement.

En bref, avec l’arrivée du nouvel ambassadeur, les relations entre le Togo et l’UE entrent dans une nouvelle phase. Les échanges de ces derniers jours témoignent de la volonté commune de renforcer cette coopération et de relever conjointement les défis du développement.

 

 

Amen Tohouede Dzonke porte la voix du Togo à la Contre-COP des peuples africains

Saly, Sénégal, 10 octobre 2024 – Amen Tohouede Dzonke, directrice générale de la Société des Jeunes Créateurs au Togo, représente fièrement son pays à la Contre-COP des peuples africains, qui se tient actuellement à Saly, au Sénégal. Cette rencontre panafricaine, regroupant des délégués de plus de vingt pays, vise à mettre en lumière les défis climatiques auxquels fait face le continent et à proposer des solutions concrètes.

Placée sous le thème « Les Africains unis contre l’oppression systématique et l’injustice climatique », cette édition de la Contre-COP offre une plateforme d’échange aux acteurs de la société civile africaine. Amen Tohouede Dzonke, aux côtés de Thierry Abiabal Kparaki (représentant des femmes de la Commune du golfe 2 au Togo) et d’autres militants, participe à des tables rondes pour discuter de questions cruciales telles que l’aménagement des terres et l’injustice environnementale.

« C’est un honneur pour moi d’être la représentante du Togo lors de cette rencontre », a exprimé Amen Tohouede Dzonke. « Les résolutions de cette réunion doivent servir de catalyseur pour que les responsables politiques prennent des mesures urgentes en faveur des communautés les plus vulnérables face au changement climatique. »

Contre-COP : Un engagement pour l’environnement et l’autonomisation des femmes

Au Togo, Amen Tohouede Dzonke est déjà engagée dans des actions concrètes pour promouvoir le développement durable et l’autonomisation des femmes. En collaboration avec la Commune du Golfe 2, elle a mis en œuvre des programmes de formation au recyclage et à la fabrication de compost, permettant ainsi aux femmes de générer des revenus tout en contribuant à la protection de l’environnement.

Des voix qui s’élèvent

Les participants à la Contre-COP appellent à une plus grande justice climatique en Afrique. Ils soulignent l’importance d’écouter la voix des communautés locales et de trouver des solutions durables pour faire face aux défis environnementaux.

Rumbidzai Mphalo, coordinatrice du Collectif Africain pour la Justice Climatique, a rappelé que l’objectif de cet événement est de « se battre pour la justice afin d’apporter des solutions à la crise en Afrique ». Aly Marie Sagne, directrice exécutive de Lumière Synergie pour le Développement, a quant à elle invité les organisations à maintenir leur engagement et à défendre le droit à un environnement sain.

Jusqu’au 11 octobre, des discussions et des échanges permettront de proposer des solutions concrètes pour lutter contre la crise climatique, en particulier en matière d’adaptation des terres et de souveraineté alimentaire.

En bref, le changement climatique est un défi mondial qui touche particulièrement l’Afrique. Les pays africains, bien que peu responsables du réchauffement climatique, sont parmi les plus vulnérables à ses impacts. La Contre-COP des peuples africains est une occasion importante de renforcer la solidarité entre les pays africains et de trouver des solutions adaptées à leurs réalités.

 

Coumba Dieng Sow, nouvelle ambassadrice de l’ONU au Togo

Lomé, 9 octobre 2024  – Un nouveau chapitre s’ouvre pour les Nations Unies au Togo avec la nomination de Coumba Dieng Sow en tant que représentante résidente. Cette nomination officielle depuis hier, mais effective depuis le 5 octobre 2024, marque une nouvelle étape dans la carrière de cette figure emblématique du développement en Afrique. Cette économiste sénégalaise, reconnue pour son expertise en développement durable et son engagement en faveur des populations vulnérables, apporte une riche expérience au service de notre pays.

Coumba Dieng Sow: Un parcours riche au service de l’humanité

Avant de rejoindre le Togo, Coumba Dieng Sow a occupé des postes clés au sein de la FAO, notamment au Rwanda et à Djibouti. Elle a ainsi acquis une solide expérience dans la gestion de crises alimentaires et la coordination de programmes d’aide humanitaire dans des contextes complexes. Au Rwanda et à Djibouti, elle a dirigé des projets d’envergure visant à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la résilience des populations face aux chocs. Son expertise en matière de résilience des communautés face aux chocs, qu’ils soient climatiques ou liés à des conflits, sera un atout précieux pour le Togo.

Coumba Dieng  Sow: Un engagement fort pour l’environnement et le développement durable

Au Sénégal, son pays d’origine, Coumba Sow s’est distinguée par son militantisme en faveur de l’environnement. Elle a mené de nombreuses initiatives pour promouvoir l’agriculture durable et la sécurité alimentaire, deux enjeux cruciaux pour l’Afrique. Ses actions ont contribué à sensibiliser les populations aux enjeux environnementaux et à encourager l’adoption de pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement. Son expertise en matière de politiques publiques et son engagement pour le développement durable font d’elle une alliée de choix pour relever les défis environnementaux auxquels fait face le Togo.

Au-delà de son expertise technique, Coumba Dieng Sow est reconnue pour ses qualités de leader et sa capacité à mobiliser les acteurs autour de projets communs. Elle a notamment coordonné des programmes de résilience pour 18 pays d’Afrique de l’Ouest et du Sahel, démontrant ainsi son aptitude à travailler dans des contextes complexes et à nouer des partenariats solides.

Un parcours académique remarquable 

Son parcours académique, marqué par l’obtention d’une maîtrise en gestion des politiques publiques de Sciences Po et d’un DESS en économie agricole, lui confère une solide base théorique et méthodologique. Cette combinaison d’expérience pratique et de connaissances académiques fait d’elle une experte reconnue dans le domaine du développement.

Une nouvelle dynamique pour le développement du TOGO

La nomination de Coumba Sow marque une nouvelle étape dans la coopération entre le Togo et les Nations Unies. Son expertise et son engagement seront mis au service de la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) au Togo. On peut s’attendre à ce qu’elle joue un rôle moteur dans la mise en œuvre de projets visant à améliorer les conditions de vie des populations, à renforcer la résilience des communautés et à promouvoir un développement économique inclusif et durable.

L’arrivée de Coumba Dieng Sow au Togo témoigne de l’importance accordée par la communauté internationale au développement de notre pays. Cette nomination est une opportunité pour renforcer la coopération entre le Togo et les Nations Unies et de mobiliser davantage de ressources pour soutenir les actions en faveur du développement durable.

La CEDEAO se mobilise pour renforcer la lutte contre le VIH

Lomé, le 7 octobre 2024 –Un atelier régional de trois jours sur les politiques VIH en CEDEAO a débuté ce jour à Lomé. Réunissant une quinzaine de représentants de pays membres et de partenaires techniques, cet événement a pour objectif d’évaluer les progrès réalisés dans la lutte contre le VIH et de définir de nouvelles stratégies pour intensifier les interventions.

Un focus sur la mise en œuvre

En effet, l’objectif de cet atelier sera d’examiner la réalisation des politiques nationales de lutte contre le VIH. Les participants scruteront les avancées réalisées, les défis rencontrés et les bonnes pratiques mises en œuvre dans les différents pays de la région. Un accent particulier sera également mis sur les populations clés et les enfants, qui restent particulièrement vulnérables au VIH.

  Les pays de la CEDEAO mettent en avant les politiques de lutte contre le VIH et impliquent de nouvelles stratégies.VIH: Des enjeux politiques au cœur des débats

Les obstacles politiques qui entravent la mise en œuvre des politiques de lutte contre le VIH seront aussi au cœur des débats. Les participants cherchent à identifier les leviers d’action pour surmonter ces difficultés et renforcer l’engagement politique en faveur de la lutte contre l’épidémie.

Une feuille de route pour l’avenir

À l’issue de cet atelier, les participants définiront une feuille de route pour renforcer les politiques de lutte contre le VIH au sein de l’espace CEDEAO. Cette feuille de route visera à aligner les cadres nationaux sur les objectifs mondiaux de lutte contre le VIH, notamment les objectifs 95-95-95 (95 % des personnes vivantes avec le VIH connaissent leur statut, 95 % des personnes testées suivent un traitement antirétroviral et 95 % des personnes sous traitement ont une charge virale indétectable).

  Les pays de la CEDEAO mettent en avant les politiques de lutte contre le VIH et impliquent de nouvelles stratégies.Le soutien des partenaires

Cet atelier bénéficie du soutien de partenaires techniques tels que l’USAID et PROPEL Health Org, qui apportent leur expertise et leur financement pour renforcer les capacités des pays membres de la CEDEAO à lutter contre le VIH. Par ailleurs, les résultats de cet atelier seront déterminants pour l’avenir de la lutte contre le virus de l’immunodéficience humaine  en Afrique de l’Ouest. Les participants attendent avec impatience de voir les stratégies concrètes qui émergeront de ces discussions.

En bref, l’atelier régional sur les politiques VIH en CEDEAO mettra en lumière les progrès et les défis à relever pour stopper l’épidémie du VIH. Pour atteindre cet objectif ambitieux, il est nécessaire de renforcer les systèmes de santé, de promouvoir la prévention, de renforcer les partenariats et d’adapter les stratégies aux contextes locaux. L’avenir de la lutte contre le virus de l’immunodéficience humaine en Afrique de l’Ouest dépendra de notre habileté à relever ces défis et à mobiliser tous les acteurs.

Coopération Égypte-Togo : Un partenariat qui s’intensifie

Dans une cérémonie empreinte de formalité et de cordialité, l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l’Égypte auprès du Togo, Ahmed Mohamed Eid Moustapha Ahmed, a officiellement remis ses lettres de créance au Président de la République togolaise, Faure Essozimna Gnassingbé, ce jeudi 03 octobre 2024. Cet événement marque le début d’une mission diplomatique où le dialogue et la coopération bilatérale seront au cœur des échanges entre les deux nations.

L'ambassadeur d'Égypte au Togo inaugure une mission diplomatique axée sur le développement, la paix et la coopération économique.Les fruits d’une collaboration fructueuse

Lors de leur première rencontre, l’ambassadeur Ahmed a mis en lumière les axes principaux de sa mission, soulignant l’importance du développement, de la paix et de la stabilité, ainsi que la nécessité de s’attaquer aux problématiques régionales et internationales. Il a exprimé sa reconnaissance pour le dynamisme des relations entre l’Égypte et le Togo, affirmant sa joie de pouvoir échanger avec le Président Gnassingbé et de partager une vision commune, notamment sur le règlement pacifique des conflits et l’alignement des intérêts des deux pays.

L’ambassadeur a également salué les conseils prodigués par le Président togolais, des conseils qu’il considère comme essentiels à la réussite de sa mission diplomatique. La coopération entre Lomé et le Caire, déjà exemplaire, se voit ainsi renforcée par cette nouvelle dynamique. Les deux capitales partagent une longue histoire d’amitié et de collaboration, une relation qui s’est étoffée au fil des années, notamment dans des secteurs clés tels que l’agro-business, l’éducation et l’économie.

En effet, l’Égypte a joué un rôle de soutien dans la politique togolaise de promotion de l’agro-business, illustré par la création de la ferme agricole d’Abatchang dans la région centrale du Togo. Cette initiative s’inscrit dans un cadre plus large d’échanges de savoir-faire et de formation, avec l’attribution de bourses en techniques agricoles aux citoyens togolais.

L'ambassadeur d'Égypte au Togo inaugure une mission diplomatique axée sur le développement, la paix et la coopération économique.Égypte-Togo : De nouveaux projets pour un avenir prometteur

Sur le plan économique et commercial, l’engagement des deux pays se traduit par la signature de multiples accords de partenariat, visant à consolider les liens dans les domaines de l’énergie, de l’urbanisme, de l’habitat, de l’assainissement et de la culture. Ces accords témoignent de la volonté mutuelle de bâtir un avenir prospère et durable pour les deux nations.

Dans le domaine de l’éducation, le Togo bénéficie de l’expertise égyptienne, avec des bourses d’études universitaires offertes à ses étudiants dans les disciplines scientifiques. De plus, des programmes de renforcement des capacités en langue arabe et en théologie sont mis à disposition, ouvrant la voie à un échange culturel et académique enrichissant.

Cette rencontre entre l’ambassadeur Ahmed Mohamed Eid Moustapha Ahmed et le Président Faure Essozimna Gnassingbé n’est pas seulement symbolique, elle est le reflet d’une volonté commune de renforcer les liens diplomatiques, économiques et culturels pour le bien-être des peuples égyptien et togolais. Elle annonce une ère de collaboration fructueuse, où le partage des connaissances et le soutien mutuel seront les piliers d’une relation bilatérale florissante.

L’Afrique de l’Ouest : vers une harmonisation de la formation médicale

Lomé, le 3 octobre 2024. –Les professionnels de la santé ouest-africains se sont réunis à Lomé pour une session cruciale visant à harmoniser la formation médicale dans la région. En effet, organisée par l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS), cette 8e session ordinaire du Conseil Régional pour la Formation des Professionnels de Santé (CRFPS) se tient du 30 septembre au 4 octobre 2024.

Par conséquent, au cœur des discussions, la révision des procédures et de la durée des formations médicales s’avère être un point central. En plus, l’objectif est clair : établir des normes communes pour garantir une meilleure qualité des soins de santé dans tous les pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Ainsi, le Ministre togolais de la Santé, Pr Tchin DARRE, et le Directeur Général de l’OOAS, Dr Melchior AÏSSI, ont souligné l’importance de cette initiative dans leur discours d’ouverture, affirmant : « Il est impératif d’harmoniser nos systèmes de formation pour répondre aux défis sanitaires de notre région », a déclaré le Professeur Tchin DARRE.

Pour Dr Melchior AÏSSI, « cet atelier permettra de mettre en place des procédures uniformes garantissant une meilleure qualité des soins de santé grâce à des normes communes dans tous les pays de la CEDEAO ».

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Des avancées concrètes jour après jour

La deuxième journée a été consacrée à un travail de groupe approfondi sur l’amélioration des programmes de formation médicale et spécialisée. Les participants ont échangé sur les meilleures pratiques et ont identifié les points à améliorer pour garantir une éducation aux soins de santé cohérente et de haute qualité dans toute la région.

Le troisième jour, les discussions se sont concentrées sur la finalisation des rapports de groupe. Les participants ont travaillé sans relâche pour s’assurer que toutes les recommandations formulées soient réalistes et réalisables.

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Vers un Système de formation unifié

Ce jeudi, lors de la quatrième journée de l’atelier, les participants se consacreront à l’examen final et adopteront les recommandations. Demain, vendredi, marquant le dernier jour de la rencontre, les participants présenteront leurs travaux et prendront les décisions finales. Ces actions viseront à établir un cadre harmonisé pour l’éducation à la santé dans la région, que les pays mettront ensuite en œuvre.

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Les enjeux de cette harmonisation

En alignant les codes de déontologie et les normes de formation, les pays de la CEDEAO visent à :

  • Améliorer la qualité des soins de santé : des professionnels de santé mieux formés et plus qualifiés pourront offrir avec sécurité des soins plus efficaces et plus à la population.
  • Faciliter la mobilité de la main-d’œuvre : Des diplômes reconnus mutuellement faciliteront la circulation des professionnels de santé dans la région et permettront de répondre aux besoins en personnel dans les zones les plus démunies.
  • Renforcer la coopération régionale : Une formation harmonisée contribuera à renforcer la coopération entre les pays de la CEDEAO dans le domaine de la santé.

En bref, à l’issue de cette session, les participants devraient adopter des recommandations concrètes pour mettre en œuvre les nouvelles normes de formation. Ces recommandations seront ensuite soumises aux autorités compétentes de chaque pays pour l’adoption. Cette initiative marque une nouvelle étape dans la construction d’un espace sanitaire ouest-africain plus intégré et plus performant.

Coup dur pour le Ghana : Le Togo refuse de prêter son stade

Lomé/Accra, 2octobre 2024  –La Fédération ghanéenne de football (GFA) se retrouve dans une situation délicate à quelques jours de son match contre le Soudan dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2025. En effet, le Togo a refusé de mettre son stade Kégué à la disposition des Black Stars, privant ainsi le Ghana d’une option de réponse.

Cette décision togolaise s’explique par la volonté du pays de préserver l’état de son stade en vue de son propre match à domicile contre l’Algérie. Les sportives togolaises estiment qu’accueillir deux matchs internationaux de haut niveau dans un laps de temps très court pourrait dégrader la pelouse et les installations du Stade Kégué.

Initialement, la GFA avait identifié le Togo et la Côte d’Ivoire comme des pays susceptibles d’accueillir le match contre le Soudan, en raison de la suspension du Stade Baba Yara de Kumasi par la CAF. Le choix s’était porté sur le Togo en raison de sa proximité géographique, mais le refus des autorités togolaises oblige désormais les Ghanéens à se tourner vers la Côte d’Ivoire, leur seule option restante.

Cette situation met en évidence la difficulté pour le GHANA de trouver un stade homologué pour disputer ses matchs à domicile. Les travaux de réhabilitation des stades nationaux étant en cours, aucun d’entre eux n’est actuellement en mesure d’accueillir des rencontres internationales.

Il est désormais crucial pour la Côte d’Ivoire d’accorder son autorisation afin de permettre au Ghana de disputer ce match décisif pour la qualification à la CAN 2025. L’avenir sportif du Ghana dépend en grande partie de la solidarité de ses voisins et de la rapidité avec laquelle les autorités ghanéennes parviendront à remettre en état leurs stades.

Lomé : Le coup d’envoi de l’atelier de la société civile du PO

Lomé, 1er octobre 2024- la capitale togolaise s’est animée avec le début de l’atelier de la société civile du Partenariat de Ouagadougou. Cet événement, qui se déroulera du 1er au 3 octobre, réunit des acteurs clés de la société civile et des leaders religieux issus des neuf pays membres du Partenariat de Ouagadougou.

Par ailleurs, son objectif est de créer un espace de dialogue et d’échange sur les enjeux cruciaux de la Planification Familiale (PF) et de la Santé Reproductive dans la région. Wendwaoga Compaore, Directeur Régional Access Collaborative pour les pays francophones de Jhpiego, est parmi les participants influents qui contribueront aux différentes sessions programmées.

 L'atelier de la société civile du Partenariat de Ouagadougou a ouvert ses portes à Lomé, au Togo, pour trois jours de débats animés Dynamisme et collaboration de la société civile  à Lomé

En plus, l’atelier vise à renforcer les liens et la collaboration entre les différents acteurs, afin d’aborder ensemble les défis et les perspectives liés à la Santé Reproductive et à la Planification Familiale. Les discussions porteront sur des sujets variés, allant de l’accessibilité des services de PF à l’intégration des pratiques traditionnelles et religieuses dans les programmes de santé. Ce rassemblement est une occasion unique pour les participants de partager leurs expériences, de discuter des meilleures pratiques et d’élaborer des stratégies communes pour l’avenir.

L’importance de cet atelier ne peut être sous-estimée, car il représente un pas en avant significatif dans la lutte pour l’amélioration de la santé reproductive et le bien-être des populations dans la région. Avec la participation de figures éminentes telles que Wendwaoga Compaore, l’événement promet d’être un carrefour d’idées innovantes et de solutions pratiques qui façonneront l’avenir de la Planification Familiale en Afrique de l’Ouest.

En somme, l’atelier de Lomé témoigne de la volonté des pays membres du Partenariat de Ouagadougou de renforcer leur collaboration pour améliorer la santé reproductive et la planification familiale dans la région.

Togo : Un plaidoyer pour une coalition anti-Daech plus cohérente

Washington, 1er octobre 2024 –Le ministre des Affaires étrangères du Togo, Robert Dussey, a marqué de sa présence la réunion ministérielle de la Coalition mondiale contre Daech, tenue le 30 septembre à Washington, D.C.

Cette rencontre, qui a réuni des représentants d’une quarantaine de pays, a été l’occasion de célébrer le dixième anniversaire de la Coalition et d’évaluer l’efficacité des efforts internationaux dans la lutte contre le Daech. Le ministre Dussey a profité de cette plateforme pour rappeler l’engagement du Togo, qui a rejoint la coalition l’année précédente, en faveur d’une action transnationale et internationale plus efficace contre l’État islamique.

Le Togo appelle à une fonte de la coalition anti-Daech pour une meilleure efficacité sur le terrain

Dans son discours, M. Dussey a mis l’accent sur la nécessité d’une plus grande cohérence et transparence dans les stratégies internationales, soulignant que le Togo, confronté à des attaques terroristes sporadiques dans sa région septentrionale depuis trois ans, compte sur ces principes pour renforcer la lutte.

Il a également exprimé une préoccupation partagée par de nombreuses populations de la région, qui doutent de la sincérité de certains partenaires internationaux dans la coopération contre le terrorisme. Selon lui, cette méfiance sape la légitimité de la lutte et appelle à une réflexion sur les principes de précaution, de prudence, de transparence et de responsabilité dans les interventions en Afrique.

Enfin, le ministre a insisté sur l’importance de l’Alliance des États du Sahel, composée de pays tels que le Mali, le Niger et le Burkina Faso, comme partenaires clés dans la lutte contre l’État islamique et le terrorisme international sur le continent africain.

Il a conclu en affirmant que l’efficacité de la riposte contre le Daech en Afrique de l’Ouest et au Sahel ne peut être assurée sans l’implication de ces nations, malgré les changements géopolitiques actuels. L’appel de M. Dussey pour une coalition plus unie et transparente résonne comme un message fort à l’adresse de la communauté internationale, à un moment où la solidarité mondiale est plus nécessaire que jamais pour combattre le fléau du terrorisme.

La Chine fête son anniversaire en grande pompe au Togo

Lomé, 27 septembre 2024 – L’ambassade de Chine au Togo a célébré en grande pompe, hier jeudi, le 75ème anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine. En effet, cette célébration a été l’occasion pour l’ambassadeur de Chine, Chao Weidong, de réaffirmer l’engagement de son pays envers l’Afrique et de souligner les perspectives prometteuses de la coopération sino-togolaise.

Dans son discours, l’ambassadeur a mis en avant les réalisations de la Chine depuis sa fondation et a présenté les grandes lignes de la politique étrangère chinoise. Il a notamment souligné l’importance accordée par Pékin à la construction d’une communauté de destin pour l’humanité et à la promotion d’un ordre mondial plus juste et équitable.

Par ailleurs, il a affirmé son engagement envers les valeurs universelles partagées par tous, et sa détermination à réaliser trois projets clés liés au développement, à la sécurité et à la civilisation à l’échelle mondiale. M. Chao a exprimé la volonté de la Chine de soutenir un monde multipolaire caractérisé par l’égalité et l’ordre, et de promouvoir une globalisation économique inclusive qui tient compte des intérêts communs.

La Chine célèbre son 75ème anniversaire au Togo et renforce ses liens économiques et politiques avec le pays, marquant une nouvelle étape dans leur partenariat stratégique.Un partenariat stratégique renforcé entre la Chine et le Togo

Concernant les relations bilatérales entre la Chine et le Togo, Chao Weidong a rappelé la récente élévation de ces relations au rang de partenariat stratégique mondial. Il a souligné que cette nouvelle étape marquait le début d’une coopération plus étroite dans de nombreux domaines, tels que les infrastructures, l’agriculture et la connectivité.

Les échanges entre les deux chefs d’État lors du récent sommet sino-africain ont été évoqués, mettant en avant les nombreux accords signés et les projets de coopération en cours. L’ambassadeur a également insisté sur la volonté de la Chine de soutenir le développement économique et social du Togo.

Un avenir prometteur pour la coopération sino-togolaise

La réception s’est déroulée dans une ambiance festive, avec des discours, des projections et un toast à la santé des deux peuples. Les participants ont exprimé leur satisfaction quant à l’état des relations entre les deux pays et ont souligné les perspectives prometteuses de cette coopération.

En bref, cette célébration marque un nouveau chapitre dans l’histoire des relations entre la Chine et le Togo. Les deux pays semblent déterminés à renforcer leur partenariat et à relever ensemble les défis du XXIe siècle.

Togo: vers un développement durable avec le soutien de la MCC

NEW YORK – Lors de sa participation à la 79e Assemblée générale des Nations Unies, le président togolais Faure Essozimna Gnassingbé a réaffirmé l’importance du partenariat entre son pays et la Millennium Challenge Corporation (MCC).

Faure Gnassingbé et Alice Albright font le point sur les avancées du programme Compact MCC

Au cours d’une rencontre avec la directrice générale de l’agence, Alice Albright, les deux personnalités ont fait le point sur l’avancée du programme Compact, un investissement majeur du Congrès américain destiné également à soutenir le développement du Togo dans les secteurs de l’énergie et des technologies de l’information et de la communication (TIC).

« Le Togo est un partenaire de longue date de la MCC et nous sommes très satisfaits de l’évolution de notre collaboration », a déclaré Alice Albright. En effet, Ce partenariat, qui s’inscrit dans la continuité du programme Threshold, vise à améliorer les conditions de vie des Togolais en leur offrant un accès plus équitable à l’énergie et aux services numériques.

Dans le domaine de l’énergie, le programme Compact de la MCC se concentre sur le renforcement des infrastructures de production, de transport et de distribution d’électricité. L’objectif est double : garantir un accès universel et fiable à l’énergie pour une grande partie de la population et renforcer la résilience du réseau électrique pour réduire les coupures.

En parallèle, le volet TIC du programme vise à développer les infrastructures numériques à travers tout le pays, en particulier dans les zones rurales et éloignées. Il s’agit de promouvoir l’accès à internet, de stimuler l’innovation et de favoriser le développement de l’économie numérique.

En somme, cette rencontre entre Faure Gnassingbé et Alice Albright intervient quelques mois après la visite d’une délégation de la MCC à Lomé en juin dernier. Elle témoigne de la dynamique positive qui caractérise ce partenariat et de la détermination des deux parties à mettre en œuvre avec succès les projets prévus dans le cadre du programme Compact.

L’ONU soutient le Togo dans sa quête de paix et de développement

Lors d’une réunion bilatérale en marge de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations unies, le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a eu des entretiens approfondis avec le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, le 23 septembre 2024. En effet, cette rencontre, qui s’est tenue à New York, a été l’occasion pour les deux dirigeants de discuter des avancées significatives réalisées par le Togo dans la mise en œuvre des Objectifs de développement durable (ODD). Ils ont également examiné les défis actuels auxquels fait face l’Afrique de l’Ouest et la région du Sahel en termes de politique et de sécurité.

Paix et développement durable : Le Togo et l’ONU s’engagent à renforcer leur coopération pour un avenir meilleur

La diplomatie togolaise, connue pour son engagement en faveur de la paix et de la sécurité, a été au cœur des discussions. Le Président Gnassingbé a souligné l’importance du dialogue et de la concertation pour la consolidation de la stabilité dans ces régions stratégiques. De son côté, António Guterres a réaffirmé l’engagement des Nations Unies à soutenir le Togo dans ses initiatives pour promouvoir un développement durable et sécurisé.

Cette rencontre témoigne de l’importance que les Nations Unies accordent aux efforts des pays comme le Togo, qui jouent un rôle clé dans la promotion de la paix et dans l’atteinte des ODD. Elle souligne également la reconnaissance internationale des progrès accomplis par le Togo, notamment dans le cadre de sa politique étrangère axée sur la coopération et le développement mutuel.

L’entretien entre le Président Gnassingbé et le Secrétaire général Guterres a mis en lumière la volonté commune de renforcer les liens entre le Togo et les Nations Unies. Les discussions ont permis de tracer une feuille de route claire pour l’avenir, avec un accent particulier sur les initiatives de développement durable et les stratégies de maintien de la paix.

En conclusion, cette réunion de haut niveau entre le Togo et l’ONU ouvre des perspectives prometteuses pour la région ouest-africaine et le Sahel, en termes de développement et de sécurité. Elle confirme l’engagement des leaders mondiaux à travailler ensemble pour un avenir plus stable et prospère pour tous.

La CEDEAO se réunit à Lomé pour relever les défis de l’avenir

Lomé , le 25 septembre 2024-  Les parlementaires de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) se sont réunis à Lomé, au Togo, pour une session extraordinaire. En effet, les travaux, qui se sont ouverts le mardi 24 septembre, visent à renforcer l’intégration régionale et à relever les défis auxquels fait face la communauté.

La CEDEAO : Un agenda chargé

Pendant dix jours, les députés vont plancher sur des dossiers cruciaux pour l’avenir de la CEDEAO. Parmi les sujets abordés, on retrouve aussi  le projet de budget 2025, l’inclusion financière des femmes, et les réformes nécessaires pour atteindre la Vision 2050 de l’organisation. Parallèlement à ces travaux, un séminaire est organisé pour former les nouveaux députés.

Les parlementaires de la CEDEAO se réunissent à Lomé pour discuter du budget 2025, de l'inclusion financière des femmes Un appel à l’unité et à la réforme

Par ailleurs, la présidente du Parlement de la CEDEAO, Hadja Mémounatou Ibrahima, a souligné la nécessité d’accélérer les réformes au sein de l’organisation pour mieux répondre aux défis actuels. Elle a appelé à une consolidation des principes de démocratie et de bonne gouvernance dans tous les États membres.

De son côté, le président de l’Assemblée nationale togolaise, Kodjo Adedze, a rappelé les valeurs fondatrices de la CEDEAO et a souligné l’importance de préserver les acquis de l’intégration régionale. En plus, Il a invité les parlementaires à travailler ensemble pour construire un avenir meilleur pour les populations de la région.

Lomé, une capitale de l’intégration régionale

Le choix de Lomé pour accueillir cette session extraordinaire témoigne de l’engagement du Togo en faveur de l’intégration régionale. Le pays joue un rôle de plus en plus important au sein de la CEDEAO et s’est positionné comme un acteur clé dans la promotion de la paix, de la stabilité et du développement en Afrique de l’Ouest.

En conclusion, cette session extraordinaire du Parlement de la CEDEAO marque une nouvelle étape dans le processus d’intégration régionale. Les décideurs à Lomé prendront des décisions qui impacteront significativement l’avenir de la communauté et la vie de millions de citoyens ouest-africains.

Togo : Gnassingbé propose une vision africaine pour l’avenir

New York, 24 septembre 2024 – Le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a appelé à une refonte profonde du système multilatéral lors du Sommet de l’Avenir des Nations Unies. Dans un discours prononcé devant ses paires, le chef de l’État a souligné l’urgence de trouver des solutions collectives aux défis mondiaux, notamment climatiques, économiques et sécuritaires.

« Face à des crises systémiques et complexes, il faut des réponses globales et collectives », a déclaré Faure Gnassingbé. Selon lui, le modèle actuel de gouvernance mondiale a montré ses limites et ne permet plus de faire face aux enjeux du XXIe siècle.

Le sommet de l'Avenir a été l'occasion pour le Président togolais de réaffirmer la nécessité d'un renouvellement profond du multilatéralisme. L’Afrique, un continent d’opportunités

Le Président togolais a mis en avant le potentiel de l’Afrique pour contribuer à la construction d’un monde plus juste et durable. « L’Afrique va continuer à abriter la plus grande partie de la jeunesse mondiale », a-t-il rappelé, rappelant ainsi le rôle essentiel du continent dans le développement économique mondial.

Pour le chef de l’État, l’Afrique dispose de nombreux atouts : un marché continental unique, des ressources naturelles abondantes et un dynamisme économique croissant. Il a appelé à des partenariats public-privé plus forts pour libérer ce potentiel et créer des emplois pour les jeunes générations.

Un rôle acquis pour les États africains

Faure Gnassingbé a également plaidé pour un renforcement du rôle des États africains dans la coopération internationale. « Nous ne pouvons construire un avenir meilleur que si toutes les voix sont entendues et respectées », a-t-il affirmé.

Le Président togolais a souligné la nécessité de bâtir des États forts et résilients, capables de répondre aux besoins de leurs populations et de travailler en partenariat avec les acteurs internationaux.

Un pacte pour l’avenir

À l’issue de ce sommet, les États membres des Nations Unies ont adopté un « Pacte pour l’avenir », un ensemble de documents visant à renforcer la coopération mondiale et à s’adapter aux défis actuels. Ce pacte marque une étape importante dans la réforme du multilatéralisme et témoigne de la volonté de la communauté internationale de bâtir un avenir plus juste et durable.

En somme, le discours de Faure Gnassingbé au sommet de l’Avenir a mis en lumière plusieurs enjeux clés : la nécessité d’un nouveau modèle de gouvernance mondiale, le rôle central de l’Afrique dans la construction de l’avenir, l’ importance des partenariats public-privé et le renforcement des États africains. Les propositions du Président togolais s’inscrivent dans une dynamique globale visant à bâtir un monde plus juste, plus durable et plus inclusif.

Coup de théâtre à Lomé : le congrès panafricain reporté

Lomé, 23 septembre 2024 – Surprise dans le monde du panafricanisme : le 9e Congrès panafricain, prévu à Lomé du 29 octobre au 2 novembre, est reporté sine die. En effet, cette annonce, faite par le ministère togolais des Affaires étrangères, a jeté un froid sur les attentes de nombreux acteurs du continent.

Initialement conçu comme un moment fort pour discuter du renouveau du panafricanisme et du rôle de l’Afrique dans la gouvernance mondiale, ce congrès s’inscrit aussi dans un contexte marqué par les aspirations de l’Afrique à une plus grande influence sur la scène internationale. Le thème retenu, « Renouveau du panafricanisme et rôle de l’Afrique dans la réforme des institutions multilatérales », soulignait l’importance de cette rencontre.

Un coup d’arrêt pour le dynamisme panafricain ?

Le communiqué officiel exprime les regrets du ministère pour le report et présente ses excuses pour les désagréments occasionnés aux personnes déjà inscrites ou invitées. Toutefois, Le ministère exprime sa gratitude aux participants pour leur intérêt et leur engagement envers le congrès, un événement crucial pour l’avenir du panafricanisme et l’engagement actif de l’Afrique sur la scène internationale.

Des sources proches du dossier ont évoqué des nécessités logistiques et organisationnelles comme raisons précises du report. Le ministère a assuré la continuation des travaux préparatoires et a promis de communiquer les nouvelles dates en temps voulu. Cette communication permettra aux participants de se préparer pour un congrès qui s’annonce historique.

L’annonce a suscité des réactions diverses au sein de la communauté panafricaine, certains exprimant leur compréhension face aux défis de l’organisation d’un tel événement, tandis que d’autres manifestent leur déception et leur impatience de voir le panafricanisme prendre un nouvel élan.

En attendant, le ministère invite tous les acteurs concernés à rester attentifs aux prochaines annonces et à maintenir leur engagement envers les objectifs du congrès. En attendant, la communauté panafricaine reste dans l’attente et espère que ce rapport ne sera pas synonyme d’un recul dans la dynamique de renouveau du continent.

 

Lomé, épicentre des échanges parlementaires

Togo, 23 septembre  2024 – Lomé, la capitale dynamique du Togo, se prépare à devenir le théâtre de délibérations parlementaires cruciales qui façonneront l’avenir de la gouvernance en Afrique de l’Ouest. Du 24 septembre au 4 octobre 2024, la ville accueillera la 3e session extraordinaire délocalisée du Parlement de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ainsi que le 2e séminaire parlementaire d’orientation pour les députés de la 6e législature.

En effet, ces rencontres, qui suivent les sessions précédentes à Abuja, Banjul et Conakry, sont une preuve de l’engagement continu de la CEDEAO à promouvoir la démocratie et la bonne gouvernance à travers des échanges constructifs et une proximité accrue avec les citoyens.

Les parlementaires ouest-africains unis pour une meilleure représentation

L’Honorable Hadja Mémounatou Ibrahima, Présidente du Parlement de la CEDEAO, ainsi que plusieurs membres influents du gouvernement togolais, ouvriront  officiellement ces événements le 24 septembre. Sevon-Tépé Kodjo Adédzé, le Président de l’Assemblée nationale togolaise, donnera le discours inaugural, lançant ainsi une série de discussions sur des sujets cruciaux pour la région.

Les points à l’ordre du jour sont d’une importance stratégique, incluant l’examen et l’adoption du budget 2025 du parlement régional, la question de la pérennité financière de l’institution, l’inclusion économique des femmes, et la modernisation des procédures parlementaires. Ces discussions s’alignent avec la Vision 2050 de l’organisation, qui aspire à une Afrique de l’Ouest unie, prospère et pacifique. Les organisateurs soulignent que ces travaux constituent une étape clé dans la réalisation de cette vision ambitieuse.

Le Parlement de la CEDEAO, en tant qu’organe législatif régional, joue un rôle fondamental dans la consolidation de la gouvernance régionale, en promouvant la démocratie, la paix, la sécurité et l’intégration économique. La session à Lomé est donc perçue comme une occasion inestimable pour les parlementaires de la sous-région de renforcer la coopération et de prendre des décisions éclairées qui impacteront positivement la vie des citoyens de l’Afrique de l’Ouest.

En conclusion, ces assises parlementaires à Lomé ne sont pas seulement un événement politique de routine; elles représentent un moment charnière où les décideurs de la CEDEAO se réunissent pour établir un dialogue ouvert, réfléchir aux défis actuels et futurs, et tracer une voie vers une gouvernance plus efficace et inclusive. C’est un temps de réflexion, mais aussi d’action, pour une Afrique de l’Ouest plus forte et plus unie.

CEDEAO : L’éthique, le ciment d’une santé de qualité

Togo, le 23 septembre 2024 – Lomé, la capitale togolaise, est le théâtre d’un événement majeur pour l’avenir de la santé publique en Afrique de l’Ouest. En effet,  la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a lancé un atelier régional crucial pour l’harmonisation et la validation des codes d’éthique et des règlements d’exercice des professionnels de santé.

Un atelier régional de la CEDEAO a ouvert ses portes à Lomé pour harmoniser les codes d'éthique des professionnels de santé.CEDEAO : Vers une meilleure protection des patients grâce à un code d’éthique harmonisé

Par ailleurs, cette initiative, qui réunit des experts de toute la région, vise à établir des normes communes pour les médecins, infirmières, pharmaciens et sages-femmes, afin d’assurer une prestation de services de santé cohérente et de qualité à travers les différents États membres.

Le Dr Melchior AÏSSI, Directeur Général de l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS WAHO), accompagné du Dr. Josée APETSIANYI, représentant le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique du Togo, a officiellement ouvert l’atelier. Dans son allocution, le Dr AÏSSI a mis en exergue l’importance de cet atelier pour le renforcement des systèmes de santé régionaux, soulignant que l’adoption de codes d’éthique harmonisés est essentielle pour garantir des soins de santé optimaux au sein de la CEDEAO.

Un atelier régional de la CEDEAO a ouvert ses portes à Lomé pour harmoniser les codes d'éthique des professionnels de santé.L’objectif de cet atelier est double : non seulement il cherche à assurer la cohérence dans la prestation des services de santé, mais il vise également à améliorer la mobilité des professionnels de santé dans toute la région, facilitant ainsi l’accès aux soins pour tous les citoyens. Les débats approfondis sur les principaux éléments des codes d’éthique et de pratique ont marqué la première journée, témoignant de l’engagement de la région à offrir des services de santé de qualité supérieure.

L’événement, qui se déroulera jusqu’au 27 septembre 2024, est un pas de plus vers l’intégration régionale en matière de santé publique, un domaine qui a pris une importance accrue à la suite des défis posés par les récentes crises sanitaires mondiales. Les conclusions de cet atelier sont cruciales, car elles pourraient ouvrir la voie à de nouvelles approches en matière de santé, répondant ainsi aux besoins spécifiques des populations de l’Afrique de l’Ouest.

Togo-Turquie : Un partenariat économique florissant

Lomé, le 20 septembre 2024 – Les relations entre le Togo et la Turquie continuent de se renforcer. C’est ce qu’a réaffirmé l’ambassadrice turque, Muteber Kılıç, lors de sa rencontre avec le président de l’Assemblée nationale, Kodjo Adedze.

Les deux personnalités ont salué la dynamique positive qui anime les relations bilatérales depuis la visite officielle du président turc, Recep Tayyip Erdoğan, au Togo en 2020. Cette visite avait marqué un tournant décisif, donnant lieu à la signature de plusieurs accords bilatéraux dans des domaines aussi variés que la politique, l’économie et le commerce.

Une coopération fructueuse

Grâce à ces accords, les échanges entre les deux pays se sont intensifiés. Les hommes d’affaires togolais et turcs coopèrent de plus en plus étroitement, stimulant ainsi le commerce bilatéral. De plus, les facilités de visa accordées aux détenteurs de passeport diplomatique ont renforcé les liens entre les élites des deux pays.

Des perspectives prometteuses

L’ambassadrice turque a réitéré la volonté de son pays de renforcer encore davantage cette coopération. De nouvelles perspectives s’ouvrent ainsi pour les deux nations, notamment dans les domaines de l’investissement, de la culture et de l’éducation, de la santé et du commerce.

Par ailleurs, les deux diplomates ont aussi échangé sur l’intensification des relations parlementaires entre le Togo et la Turquie.

En résumé, les relations entre le Togo et la Turquie sont en pleine expansion, offrant de nombreuses opportunités pour les deux pays. En renforçant leurs liens, le Togo et la Turquie peuvent non seulement stimuler leur développement économique mais également contribuer à la stabilité et à la prospérité de la région. « Quelles seront les prochaines étapes de ce partenariat ? L’avenir nous le dira. »

Les États-Unis renforcent leur soutien à la société civile togolaise

Lomé, 19 septembre 2024 – Les États-Unis viennent d’injecter une nouvelle dynamique dans le développement socio-économique du Togo. Vingt-quatre organismes de la société civile ont été sélectionnés pour bénéficier de subventions américaines, totalisant plus de 2,5 millions de francs CFA.

Cette initiative, fruit de plusieurs programmes américains, vise à autonomiser les communautés, prévenir l’extrémisme violent et renforcer la démocratie. Grâce à ces financements, des projets d’envergure vont voir le jour dans les domaines de l’agriculture, de l’eau potable, de la bonne gouvernance et de l’inclusion sociale.

Les États-Unis injectent plus de 2,5 millions pour soutenir des projets de développement en faveur de la société civile togolaise.Un coup de pouce pour les communautés rurales

Le Fonds de l’Ambassadeur pour la Résilience, doté de 300 mille dollars, bénéficiera à seize coopératives rurales issues des régions des Savanes, de la Kara et Centrale. Lancé en 2023, ce fonds a pour objectif de prévenir l’enrôlement de jeunes hommes et femmes vulnérables dans des organisations extrémistes violentes, en renforçant la résilience communautaire et la cohésion sociale.

Les États-Unis injectent plus de 2,5 millions pour soutenir des projets de développement en faveur de la société civile togolaise.Une démocratie renforcée par la société civile

Par ailleurs, le Fonds Régional pour la Démocratie en Afrique, d’une valeur 500 mille dollars  va soutenir trois organisations non gouvernementales dans leurs efforts pour promouvoir la participation citoyenne et renforcer les institutions démocratiques. Ces financements vont permettre d’améliorer l’accès à l’information et de renforcer les capacités des acteurs de la société civile.

En outre, l‘ambassade américaine a annoncé un nouveau programme de subventions visant à renforcer les communautés par le biais de l’amélioration des processus agro-alimentaires et du soutien aux petites entreprises. Cette initiative vise également à augmenter la production agricole, garantir l’accès à l’eau potable et encourager la préservation de l’environnement. 

Un partenariat durable

En bref, ces initiatives témoignent de l’engagement continu des États-Unis à accompagner le Togo dans sa quête de développement durable. En soutenant la société civile, les États-Unis contribuent à renforcer la résilience des communautés, à promouvoir la bonne gouvernance et à favoriser l’émergence d’une société plus juste et équitable.

L’ASECNA : Le Togo soutient la candidature gabonaise

Lomé, le 19 septembre 2024 – Dans un élan de coopération africaine, le Président de la République Togolaise, Faure Essozimna Gnassingbé, a accueilli une délégation de haut niveau du Gabon ce jeudi.  La rencontre, qui s’est tenue au palais présidentiel, a été l’occasion pour le ministre gabonais des Transports, Dieudonné Loïc Ndinga Moudouma, de solliciter officiellement le soutien du Togo à la candidature de son pays pour la direction générale de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA). Cette démarche diplomatique souligne l’importance des relations bilatérales et la volonté commune de promouvoir une gestion sécurisée et efficace de l’espace aérien africain.

L’ASECNA au cœur des enjeux : Renforcement des liens aériens entre le Togo et le Gabon 

Le Général Brice Nguema, Président de la République Gabonaise, a exprimé par l’intermédiaire de son émissaire, l’importance du soutien togolais, qualifiant le Togo de « pays ami et frère ». La gratitude envers le Togo pour son soutien continu au Gabon a été clairement manifestée, renforçant ainsi les liens historiques et la solidarité entre les deux nations.

Le Président a reçu une délégation du Gabon pour discuter du soutien du Togo à la candidature gabonaise à la tête de l'ASECNA, Le ministre Ndinga Moudouma a également profité de cette occasion pour remercier le Président Gnassingbé pour l’accueil chaleureux et pour la qualité du partenariat stratégique qui unit le Togo et le Gabon, deux pays qui partagent non seulement des frontières géographiques mais aussi des aspirations communes pour le développement et la prospérité de l’Afrique.

L’ASECNA, créée en 1959, représente un pilier essentiel pour la sécurité de la navigation aérienne sur le continent africain. Elle est un exemple remarquable d’intégration économique et de coopération interétatique, gérant de manière coopérative les espaces aériens de ses États membres. Le Togo, membre depuis 1964, a toujours été un acteur clé dans les efforts visant à améliorer l’organisation et la sécurisation de la navigation aérienne, contribuant ainsi à la stabilité et à la sécurité régionales.

Cette réunion entre les représentants togolais et gabonais marque un pas de plus vers une collaboration accrue dans le domaine de l’aviation civile, un secteur vital pour le développement économique et l’intégration du continent. Elle témoigne de la volonté des deux pays de travailler ensemble pour relever les défis de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar, et de leur engagement envers une vision partagée d’un ciel africain plus sûr et plus accessible pour tous.

La Chine investit dans l’avenir du Togo

Pékin, Septembre 2024 – Sous le haut patronage de Son Excellence M. Faure Essozimna Gnassingbé, Président de la République Togolaise, le Ministère de la promotion de l’investissement a marqué sa présence au Forum sino-africain (FOCAC2024), un événement clé pour les relations économiques entre l’Afrique et la Chine.

Le forum, qui s’est tenu du 4 au 6 septembre, a été le théâtre de Conversations concluantes et de rencontres stratégiques, notamment lors d’une table ronde organisée avec la China Overseas Development Association (CODA), l’entité en charge de la promotion des investissements chinois à l’international.

Le Togo et la Chine renforcent leur partenariat économique en signant un protocole d'accord lors du Forum sino-africain de 2024.Des investissements chinois pour booster l’économie togolaise

La signature d’un protocole d’accord entre l’Agence de Promotion de l’Investissement en Zone Franche (API-ZF) du Togo et CODA a  couronné l’événement . Cet accord vise à faciliter la mobilisation d’investisseurs chinois vers le Togo et à établir des connexions solides avec le secteur privé togolais, dans le but de développer des projets de joint-venture industriels durables. Cette initiative s’inscrit dans une démarche de renforcement des capacités industrielles du Togo et de création d’emplois, tout en ouvrant la voie à une augmentation significative des échanges commerciaux entre les deux nations.

La participation togolaise à ce forum illustre l’engagement du pays envers une politique d’ouverture économique et de partenariat stratégique. Elle témoigne également de la volonté du Togo de s’insérer dans la dynamique globale de coopération Sud-Sud et de tirer parti des opportunités offertes par le gigantesque marché chinois. Avec cet accord, le Togo espère attirer des investissements dans des secteurs clés tels que l’agro-industrie, les infrastructures, l’énergie et les technologies de l’information et de la communication.

Le Togo et la Chine renforcent leur partenariat économique en signant un protocole d'accord lors du Forum sino-africain de 2024.Un partenariat d’avenir pour un Togo émergent

L’accord entre l’API-ZF et CODA est perçu comme un jalon important dans la consolidation des relations économiques sino-togolaises. Il reflète une vision commune de développement et de prospérité partagée, et pose les bases d’une collaboration mutuellement avantageuse pour les années à venir. Les observateurs internationaux saluent cette initiative, qui pourrait servir de modèle pour d’autres partenariats entre la Chine et les pays africains, dans le cadre de la nouvelle route de la soie économique que la Chine est en train de tisser à travers le continent.

En somme, la signature de ce protocole d’accord au FOCAC2024 n’est pas seulement un succès pour le Togo et la Chine, mais aussi un signal fort pour l’ensemble des acteurs économiques africains et internationaux, soulignant l’importance de la coopération et de l’intégration économique dans un monde de plus en plus interconnecté.

Le Commonwealth investit dans la jeunesse togolaise

Lomé , le 12 septembre 2024- La Commission des bourses du Commonwealth (CSC) a annoncé l’attribution de bourses d’études pour les niveaux Master et Doctorat aux étudiants togolais pour l’année universitaire 2025-2026. En effet, ces bourses, disponibles dans diverses universités du Royaume-Uni, représentent une opportunité exceptionnelle pour les jeunes aspirants à poursuivre une éducation de haut niveau dans des domaines clés.

La Direction des bourses et stages du Togo a ouvert la campagne de candidature, qui se tiendra jusqu’au 15 octobre, soulignant l’importance de cette initiative pour le développement des compétences avancées au sein de la nation.

 La Commission des bourses du Commonwealth offre une nouvelle perspective aux étudiants togolais en leur permettant de poursuivre des études Bourses Commonwealth : Une opportunité à saisir,

Le processus de candidature est structuré en deux phases essentielles. La première étape requiert des candidats de remplir leurs informations sur le site dédié de la CSC, tandis que la seconde les engage à sélectionner et postuler à deux ou trois universités de leur choix au Royaume-Uni, où ils souhaiteraient entreprendre leurs études. Cette démarche vise à simplifier le parcours des postulants et à assurer une adéquation entre leurs aspirations académiques et les offres disponibles.

La direction a également mis l’accent sur l’orientation des candidatures vers des secteurs prioritaires pour le Togo, notamment les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STEM). Elle encourage vivement ces secteurs, essentiels pour le développement technologique et l’innovation, afin de satisfaire les besoins grandissants du marché du travail et de contribuer au développement durable du pays.

La Commission des bourses du Commonwealth offre une nouvelle perspective aux étudiants togolais en leur permettant de poursuivre des étudesLe ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Kanka-Malik Natchaba, a affirmé l’engagement du gouvernement à promouvoir ces bourses, en mettant en place des actions de sensibilisation spécifiques. Il a souligné l’importance de ces bourses dans l’élargissement des horizons des étudiants togolais et dans la création d’une main-d’œuvre hautement qualifiée, capable de relever les défis de demain.

En conclusion, cette initiative de la CSC, en collaboration avec la Direction des bourses et stages du Togo, est un pas en avant significatif dans l’encouragement de l’excellence académique et professionnelle. Elle ouvre des portes à une nouvelle génération de leaders togolais, prêts à apporter leur contribution significative à la scène mondiale. Les étudiants intéressés doivent saisir cette chance unique pour façonner leur avenir et contribuer activement au développement de leur pays.