Lomé, le cœur battant de la protection sociale en Afrique

Lomé, le 12 décembre 2024 – La capitale togolaise a accueilli ce jeudi un parterre de ministres africains pour la 37ᵉ session ordinaire du Conseil des ministres de la CIPRES. En prélude à cet événement, un forum sur la protection sociale a été organisé ce matin, sous le thème « Développement des systèmes complets de protection sociale en Afrique ». Ce forum a été l’occasion de faire le point sur les avancées et les défis de la protection sociale sur le continent.

Sous la haute présidence de Mme Victoire Tomegah Dogbé, Premier ministre du Togo, ce forum a réuni les ministres des 18 pays membres de la CIPRES. Mme Dogbé a exprimé sa satisfaction quant à cette rencontre de haut niveau, soulignant l’importance de renforcer la justice sociale.

Elle a insisté sur la nécessité de ne laisser personne de côté et de renforcer les mécanismes et les assurances sociales pour répondre aux attentes des populations. Elle a exhorté les pays sans politique de protection sociale à combler ce vide rapidement.

Par ailleurs, les participants ont souligné l’urgence d’agir pour renforcer les systèmes de protection sociale en Afrique. En effet, avec une couverture sociale ne dépassant pas 19 % de la population, le continent fait face à un défi de taille.

Un forum en trois panels pour explorer les enjeux

Le forum a été subdivisé en trois panels :

  1. Développement des systèmes complets et efficaces de protection sociale en Afrique : ce panel a abordé le partage des meilleures pratiques pour la conception et la mise en œuvre de ces systèmes.
  2. Cadre institutionnel et mode de gouvernance des politiques : ce panel s’est concentré sur la création d’un cadre institutionnel et d’une gouvernance solide pour une protection sociale efficace.
  3. Financement pérenne des systèmes de protection sociale : ce panel a mis en évidence le manque crucial de financement pour les systèmes de protection sociale en Afrique.

Une protection sociale pour tous : un enjeu majeur

Les travaux ont mis en évidence la nécessité de mettre en place des systèmes de protection sociale complets et efficaces, capables de couvrir les besoins de toute la population, y compris les plus vulnérables. Les participants ont partagé leurs bonnes pratiques et expériences en matière de conception et de mise en œuvre de tels systèmes.

Concernant les défis liés au financement de la protection sociale, les participants ont souligné la nécessité de diversifier les sources de financement et de mobiliser davantage de ressources auprès des partenaires au développement. Car l’insuffisance des ressources financières est un frein majeur à l’extension de la couverture sociale en Afrique.

Un appel à l’action

À l’issue de ce forum, les participants ont réaffirmé leur engagement à œuvrer pour le développement de systèmes de protection sociale durables et inclusifs en Afrique. Ils ont également appelé les gouvernements, les partenaires sociaux et les partenaires au développement à renforcer leur collaboration pour relever ce défi.

Le Togo séduit les investisseurs britanniques à Londres

Lomé, 10 décembre 2024 – La Première ministre, Victoire Tomégah-Dogbé, a effectué une mission économique fructueuse à Londres, où elle a participé à une table ronde de haut niveau organisée par le Conseil des entreprises et de l’investissement du Commonwealth (CWEIC) le 5 décembre dernier. En effet, l’objectif est de promouvoir les atouts économiques du Togo et d’attirer des investissements étrangers.

Un message clair : le Togo est ouvert aux affaires.

Dans son discours, le Premier ministre a présenté les grandes lignes de la feuille de route gouvernementale Togo 2025 et a mis en avant les secteurs prioritaires pour les investissements : infrastructures, eau, énergie et éducation. Elle a également insisté sur les avantages concurrentiels du Togo, tels que sa position géographique stratégique, son port en eau profonde, son aéroport international et sa zone industrielle d’Adétikopé.

« Le Togo est une porte d’entrée naturelle pour l’Afrique de l’Ouest. » « Investir au Togo, c’est avoir accès à un marché de 400 millions d’habitants », a-t-elle souligné.

Des partenariats gagnant-gagnant

Les autorités togolaises souhaitent développer des partenariats public-privé avec les investisseurs britanniques ainsi que des coentreprises entre les secteurs privés des deux pays. Le gouvernement se dit prêt à accompagner les investisseurs étrangers tout au long de leurs projets.

Un engouement certain

Par ailleurs, les échanges entre les représentants du gouvernement togolais et les investisseurs britanniques ont été très fructueux. Les entreprises britanniques ont aussi montré un grand intérêt pour les opportunités d’investissement au Togo, notamment dans les secteurs de l’énergie, des infrastructures et de l’agriculture.

« Nous avons eu des échanges interactifs fantastiques, et nous espérons de très belles perspectives de partenariat entre le Togo et les investisseurs du Commonwealth », a déclaré Pride Azefor, directeur du commerce et des investissements du CWEIC.

En somme, si cette mission économique est un succès, il reste encore beaucoup à faire pour transformer ces promesses en réalisations concrètes. Le gouvernement togolais devra poursuivre ses efforts pour améliorer le climat des affaires, renforcer les infrastructures et les anciennes compétences locales.

 

Togo : Faure Gnassingbé reçoit l’émissaire du Roi d’Eswatini

Lomé, le 3 décembre 2024 Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, a reçu en audience ce jour Buthelezi Phila Wiseman, Ministre de la Fonction publique du royaume d’Eswatini, porteur d’un message spécial de Sa Majesté le Roi Mswati III.

Par ailleurs, cette rencontre a été l’occasion de renforcer les liens d’amitié et de coopération entre le Togo et l’Eswatini. Les deux pays ont réaffirmé leur volonté commune de travailler ensemble pour le développement de l’Afrique.

Un partenariat stratégique pour l’Afrique

Au cours de cet entretien, les discussions ont porté sur plusieurs sujets d’intérêt commun, notamment :

  • Le renforcement de la coopération bilatérale : les deux pays ont convenu d’intensifier leurs échanges dans divers domaines tels que l’agriculture, l’environnement, l’économie maritime et le développement économique et social.
  • La mise en œuvre de l’Agenda 2063 de l’Union africaine : le Togo et l’Eswatini ont réaffirmé leur engagement en faveur de l’intégration africaine et ont convenu de travailler ensemble pour la réalisation des objectifs de l’Agenda 2063.
  • La consolidation de la paix et de la stabilité en Afrique : le président Faure Gnassingbé a été félicité pour son rôle stratégique dans la consolidation de la paix et de la stabilité sur le continent africain.

Le soutien du Togo à la candidature de l’Eswatini

L’émissaire eswatini a également sollicité le soutien du Togo à la candidature du Royaume d’Eswatini au poste de commissaire de l’Union africaine, chargé de l’agriculture, du développement rural, de l’économie bleue et de l’environnement durable. Le Président Faure Gnassingbé a assuré l’Eswatini de son soutien pour cette candidature.

En somme, cette visite témoigne de la dynamique des relations entre le Togo et l’Eswatini et ouvre de nouvelles perspectives de coopération entre les deux pays.

 

Le Togo et le Kazakhstan renforcent leurs liens diplomatiques

Lomé, le 2 décembre 2024 – Une nouvelle page s’est tournée dans les relations entre le Togo et le Kazakhstan avec la présentation des lettres de créance de la première ambassadrice kazakhe à Lomé, Madame Saulekul Sailaukyzy. Accueillie ce lundi par le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, cette cérémonie marque une étape importante dans le renforcement de la coopération bilatérale.

Par ailleurs, lors de cette rencontre, l’ambassadrice a transmis les salutations cordiales du Président kazakh, Kassym-Jomart Tokayev, et s’est félicitée pour l’excellent état des relations entre les deux pays. Elle a souligné l’importance de la visite du Président Gnassingbé au Kazakhstan en 2023, qui a donné un nouvel élan à cette coopération.

« Cette visite a été très fructueuse et a permis de définir les axes prioritaires de notre partenariat », a déclaré Madame Saulekul Sailaukyzy. Les deux pays ont convenu de renforcer leur coopération dans divers domaines tels que l’environnement, l’investissement, la digitalisation, la logistique, l’éducation et la culture.

Nouvelle ambassadrice du Kazakhstan Une diplomate expérimentée au service de la coopération

Avec l’arrivée de cette nouvelle ambassadrice, les perspectives de coopération entre le Togo et le Kazakhstan s’annoncent prometteuses. Le Togo, en quête de diversification de ses partenaires économiques, voit ainsi dans le Kazakhstan un pays disposant d’un potentiel important, notamment dans les secteurs de l’énergie et des technologies.

Pour sa part, le Kazakhstan, en tant que membre de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), souhaite renforcer ses relations avec les pays africains, dont le Togo. Ce partenariat pourrait particulièrement favoriser les échanges commerciaux, les investissements et les transferts de technologies.

Dotée d’une riche expérience diplomatique, Madame Saulekul Sailaukyzy est un atout pour renforcer les liens entre les deux pays. Avant sa nomination au Togo, elle a également occupé le poste de ministre-conseillère à la représentation diplomatique du Kazakhstan au Vietnam.

En somme, l’accréditation de la première ambassadrice du Kazakhstan au Togo marque une nouvelle étape dans l’ouverture du pays sur le monde et témoigne de l’attractivité croissante du Togo pour les investisseurs étrangers.

Lomé : La Gouverneure du DAGL et l’UE s’engagent pour une capitale plus moderne

Lomé, le 2 décembre 2024 La gouverneure du District Autonome du Grand Lomé, Madame Zouréhatou Kassah-Traoré, a effectué une visite de travail à la Délégation de l’Union Européenne au Togo. L’objectif de cette rencontre était de renforcer la collaboration entre les deux institutions et de définir de nouvelles perspectives de développement pour la capitale togolaise.

Au cours de cet entretien, la gouverneure a présenté ses priorités pour les prochains mois, notamment la volonté de redonner à Lomé son lustre d’antan et de faire de la ville un pôle d’attraction en Afrique de l’Ouest. « Nous voulons faire de Lomé la capitale des grands événements », a-t-elle déclaré.

La Gouverneure du Grand Lomé et l'UE s'associent pour moderniser la capitale togolaise et améliorer la gestion des déchets. La Gouverneure du DAGL et l’UE : un partenariat pour un développement durable

L’Union Européenne, représentée par son ambassadeur Gwilym Jones, s’est montrée très intéressée par les projets du gouverneur. Les deux parties ont ainsi convenu de renforcer leur partenariat pour améliorer la qualité de vie des habitants de Lomé.

Pour illustrer les avancées réalisées dans ce domaine, la gouverneure et l’ambassadeur se sont rendus au Centre d’Enfouissement Technique (CET) d’Aképé. En effet, ce site, qui traite environ 300 000 tonnes de déchets par an, a été construit grâce au soutien financier de l’Agence Française de Développement (AFD), de la Banque ouest-africaine de Développement (BOAD) et de l’Union Européenne.

La Gouverneure du Grand Lomé et l'UE s'associent pour moderniser la capitale togolaise et améliorer la gestion des déchets.Le CET d’Aképé, un atout majeur pour Lomé

Le CET d’Aképé joue un rôle essentiel dans la gestion des déchets de la capitale. Il contribue à améliorer l’environnement et à préserver la santé publique. L’ambassadeur Jones a salué l’importance de cette infrastructure, qui répond aux défis liés à l’urbanisation rapide de Lomé.

En somme, cette visite conjointe du Gouverneur et de l’Ambassadeur de l’UE marque le début d’une nouvelle phase de coopération. Les deux parties ont la ferme volonté de collaborer afin de transformer Lomé en une ville moderne, propre et attrayante. Par ailleurs, les projets futurs pourraient porter sur des domaines tels que la gestion des déchets, l’aménagement urbain, la mobilité durable et la promotion des énergies renouvelables.

 

Liberia : le Hall principal de l’université technologique de Nimba rebaptisé en hommage à Eyadema

Lomé, 29 novembre 2024 – Dans une cérémonie empreinte de solennité et de reconnaissance, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche du Togo, Kanka-Malik Natchaba, a rendu hommage à deux figures emblématiques de la paix et de l’éducation en Afrique.

Invité par le Sénateur Prince Yornie Johnson, fondateur de l’université technologique de l’État de Nimba au Liberia, le ministre a assisté à la cérémonie de dévoilement du nom du hall principal de l’institution, désormais baptisé en l’honneur du feu Président Gnassingbé Eyadema, considéré comme le père de la nation togolaise. En effet, cet hommage posthume souligne l’engagement indéfectible du défunt Président pour la promotion de la paix et l’éducation des jeunes générations.

Le hall principal de l'Université Technologique de Nimba est rebaptisé en hommage au Président Eyadema, célébrant son engagement pour la paix et l'éducation en Afrique.Le Président Eyadema : un bâtisseur de consensus

Par ailleurs, le conseil de l’université a unanimement salué les qualités d’homme d’État et de bâtisseur de consensus du Président Eyadema, dont l’action a rayonné bien au-delà des frontières togolaises pour embrasser toute l’Afrique. En réponse, le Ministre Natchaba a exprimé la profonde gratitude du gouvernement et du peuple togolais pour cet honneur, reflétant les liens étroits et le respect mutuel entre les deux nations.

Le hall principal de l'Université Technologique de Nimba est rebaptisé en hommage au Président Eyadema, célébrant son engagement pour la paix et l'éducation en Afrique.Hommage au Sénateur Johnson et à la fondation PYJ

En outre, la cérémonie a également été l’occasion pour le ministre de rendre un vibrant hommage au Sénateur Johnson, dont la fondation PYJ pour l’éducation, à travers ses nombreuses écoles et son université, continue de jouer un rôle clé dans le développement éducatif de la région. La collaboration entre le Sénateur Johnson et le Ministre Natchaba a mis en lumière l’importance de la solidarité africaine dans la quête commune de progrès et d’harmonie sociale.

Le hall principal de l'Université Technologique de Nimba est rebaptisé en hommage au Président Eyadema, célébrant son engagement pour la paix et l'éducation en Afrique.Reconnaissance au Président Faure Essossinna Gnassingibe

Enfin, le Ministre Natchaba, aux côtés du Sénateur Johnson, a rendu hommage au Président actuel du Togo, SEM Faure Essozimna GNASSINGBE, pour son autorisation et son soutien à la tenue de cette cérémonie significative. Leur geste conjoint réaffirme l’engagement du Togo à perpétuer l’esprit de paix et de cohésion sociale prôné par feu le Président Eyadema et à continuer de tisser des liens d’amitié et de coopération à travers le continent africain.

En somme, ce moment historique marque une étape supplémentaire dans le renforcement des relations inter-africaines et dans la célébration des valeurs communes qui unissent les peuples de cette Terre.

 

Le Togo et l’ONU s’engagent pour l’autonomisation des femmes

Lomé, le 29 novembre 2024 Une nouvelle dynamique s’est ouverte pour le Togo en matière de développement social. Hier, la Ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, Prof. Kossiwa ZINSOU-KLASSOU a reçu Mme Coumba Sow, Coordinatrice des systèmes des Nations Unies au Togo.

Cette rencontre, qui fait suite aux récentes discussions entre Mme Sow, le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, et la Première Ministre, Victoire Dogbe, marque un tournant décisif dans la collaboration entre le Togo et l’ONU.

Togo : Un partenariat renforcé avec les Nations Unies pour l'autonomisation des femmes et le bien-être social Autonomisation des femmes : un engagement conjoint pour un développement inclusif

Les échanges ont mis en lumière la volonté commune des deux personnalités de travailler ensemble pour construire un Togo plus juste et plus équitable. Les discussions ont porté sur des thématiques clés telles que l’égalité des genres, la protection sociale et l’inclusion sociale. Les deux partis ont réaffirmé leur engagement à promouvoir les droits des femmes et à lutter contre toutes les formes de discrimination.

Le renforcement des mécanismes de protection sociale a été aussi au cœur des débats, afin de garantir un accès équitable aux services sociaux essentiels pour tous. Les efforts conjoints viseront également à réduire les inégalités et à promouvoir l’inclusion des groupes les plus vulnérables.

Des actions concrètes pour un impact durable

Les deux parties ont défini une feuille de route identifiant les domaines prioritaires d’intervention et les modalités de mise en œuvre des projets communs. Ce partenariat stratégique permettra de mettre en œuvre des projets concrets dans les domaines de l’autonomisation économique des femmes, de la lutte contre les violences basées sur le genre et de la protection de l’enfance.

Le développement de programmes de formation professionnelle, l’accès au financement et la promotion de l’entrepreneuriat féminin seront des priorités pour l’autonomisation des femmes. En ce qui concerne la lutte contre les violences basées sur le genre, le renforcement des systèmes de protection des victimes et la sensibilisation de l’opinion publique seront essentiels. Enfin, des actions seront menées pour améliorer la prise en charge des enfants vulnérables et promouvoir leurs droits.

Togo : Un partenariat renforcé avec les Nations Unies pour l'autonomisation des femmes et le bien-être socialUn partenariat au service du bien-être de tous

Le Ministre ZINSOU-KLASSOU a souligné l’importance de ce partenariat pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD). « Cette collaboration avec les Nations Unies est un levier essentiel pour accélérer la transformation sociale de notre pays », a-t-elle déclaré.

Mme Coumba Sow a pour sa part réaffirmé l’engagement des Nations Unies à accompagner le Togo dans ses efforts de développement. « Nous sommes convaincus que ce partenariat contribuera à améliorer la qualité de vie des populations togolaises », a-t-elle souligné.

En conclusion, cette rencontre marque une nouvelle étape dans la coopération entre le Togo et les Nations Unies. Les actions entreprises dans le cadre de ce partenariat permettront de renforcer la résilience des populations, de réduire les inégalités.

Autonomisation des femmes : Le Togo et l’Allemagne unissent leurs forces

Lomé, le 29 novembre 2024 – Dans une dynamique de coopération renforcée, le Togo et l’Allemagne ont réaffirmé leur engagement commun en faveur du développement durable, avec un accent particulier sur l’autonomisation des femmes. En effet, hier, le Professeur Kossiwa ZINSOU-KLASSOU, Ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, a reçu en audience Mme Camilla Gendolla, Première conseillère et cheffe de la Coopération à l’Ambassade d’Allemagne au Togo.

Par ailleurs, cette rencontre a été l’occasion de passer en revue les projets en cours et de définir de nouvelles perspectives de collaboration. Les deux parties ont souligné l’importance de leurs partenariats historiques et ont convenu de renforcer leurs actions conjointes en faveur d’un développement inclusif et équitable.

Une coopération salutaire au service des femmes

Les discussions ont porté sur des thématiques clés telles que l’éducation des filles, la formation professionnelle, l’accès des femmes aux ressources économiques et leur participation à la vie publique. Les deux délégations ont aussi convenu de l’importance de mettre en œuvre des programmes spécifiques visant à renforcer l’autonomisation économique des femmes et à lutter contre les inégalités.

Mme Camilla Gendolla a réaffirmé l’engagement de l’Allemagne à soutenir les efforts du gouvernement togolais en faveur de l’égalité des genres. « Notre coopération avec le Togo est axée sur des projets clés qui ont un impact direct sur la vie des femmes et des filles », a-t-elle déclaré.

 Le Togo et l'Allemagne renforcent leur coopération pour promouvoir l'autonomisation des femmes et accélérer le développement durable.De son côté, le Professeur Kossiwa ZINSOU-KLASSOU a manifesté sa reconnaissance pour le soutien inconditionnel de l’Allemagne. Selon elle, ce partenariat revêt une importance capitale pour atteindre les objectifs de développement durable établis par notre gouvernement.

Des perspectives prometteuses

Cette rencontre a permis de jeter les bases d’une coopération future encore plus étroite entre le Togo et l’Allemagne. Les deux parties ont convenu de renforcer leur dialogue politique et de multiplier les initiatives conjointes dans les domaines de l’éducation, de la santé, de l’économie et de l’autonomisation des femmes.

 Le Togo et l'Allemagne renforcent leur coopération pour promouvoir l'autonomisation des femmes et accélérer le développement durable.Les échanges ont également abordé la nécessité de mobiliser davantage de ressources pour mettre en œuvre les projets identifiés. Les deux délégations ont convenu de travailler en étroite collaboration avec les partenaires techniques et financiers pour assurer le succès de ces initiatives.

En conclusion, cette rencontre de haut niveau témoigne de la volonté commune du Togo et de l’Allemagne de bâtir un eldorado pour leurs populations respectives. La coopération entre les deux pays constitue un modèle de partenariat pour le développement en Afrique.

Le Cap ouvre ses portes aux startups togolaises

Cape Town, 26 novembre 2024 – Un vent d’innovation souffle sur le Cap. Dix startups togolaises, porteuses de projets prometteurs, ont entamé hier un parcours d’immersion de 10 jours dans cette ville dynamique, reconnue comme l’un des hubs technologiques les plus importants d’Afrique. En effet, ce programme, baptisé « Soft Landing Program », vise à offrir à ces jeunes pousses l’opportunité de se développer à l’international et de renforcer leurs réseaux.

Depuis leur arrivée, les entrepreneurs togolais sont plongés dans le bain de l’écosystème sud-africain. Pour entamer leur immersion, les startups togolaises ont fait une visite du Methys French South African Tech Labs, un lieu emblématique qui connecte startups et entreprises à travers des programmes d’incubation et le WESGRO, l’agence officielle de promotion du tourisme, du commerce et des investissements pour Cape Town et la province du Cap-Occidental.

Par ailleurs, lors de cette visite, ces jeunes pousses ont échangé avec des représentants de l’Union Européenne et d’autres startups internationales. Ces échanges ont été riches en enseignements et ont permis aux Togolais de découvrir de nouvelles perspectives.

Dix startups togolaises sont en visite  au Cap afin de se plonger dans l'écosystème technologique sud-africain Au-delà des échanges, ce programme offre également aux startups togolaises la possibilité de découvrir les opportunités d’investissement et de développement qu’offre l’Afrique du Sud. Le WESGRO, l’agence officielle de promotion du tourisme, du commerce et des investissements pour Cape Town, a présenté les nombreux avantages à s’implanter dans cette région.

Les dix prochains jours s’annoncent riches en rencontres, en ateliers et en visites. Les startups togolaises participeront notamment au Grand Sommet Africarena, un événement majeur qui rassemble les acteurs clés de l’innovation en Afrique.

Ce programme d’immersion est une initiative majeure pour soutenir le développement de l’écosystème numérique togolais. En permettant aux startups de se connecter avec des acteurs internationaux, il contribue à renforcer leur visibilité et à accélérer leur croissance.

 

Échange entre La France Insoumise et CDPA sur les réformes au Togo

Lomé, le 21 novembre 2024 –Dans une atmosphère chargée d’histoire et de politique, la vice-présidente de La France Insoumise, Nadège Abomangoli, a reçu en audience le 14 novembre 2024 à l’Assemblée nationale française Mme Adjamagbo-Johnson, secrétaire générale de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA) et députée de l’opposition à l’Assemblée nationale du Togo.

En effet, la rencontre entre les deux diplomates a marqué un moment significatif de dialogue interparlementaire. Les discussions ont porté sur une variété de sujets, allant des aspirations démocratiques au phénomène de lawfare, soulignant les défis et les espoirs qui façonnent le paysage politique actuel.

Réformes démocratiques et souveraineté nationale au Togo

Le Togo, un pays sous le règne de la famille Gnassingbé depuis plus de 55 ans, a récemment connu un bouleversement constitutionnel qui a consolidé le pouvoir en place, suscitant des inquiétudes parmi les acteurs de la société civile.

Ces derniers, engagés dans le mouvement « Touche pas à ma Constitution », ont exprimé leur désir ardent de réformes démocratiques et aussi de respect de la souveraineté nationale. La France Insoumise, fidèle à ses principes, a réaffirmé son soutien aux initiatives qui promeuvent l’autodétermination des peuples et la justice sociale à travers le monde.

Solidarité entre La France insoumise et la CDPA pour la défense des droits fondamentaux 

Cette réunion a également mis en lumière la solidarité transnationale dans la lutte pour la démocratie et la transparence gouvernementale. Les discussions entre les deux représentantes ont souligné l’importance de la France dans les questions démocratiques internationales. Cette rencontre a également souligné la complexité des relations internationales et les défis auxquels sont confrontés les acteurs clés.

La Vice-Présidente Abomangoli a mis en exergue la nécessité d’être vigilante et de s’engager sans relâche pour appuyer les mouvements démocratiques et sauvegarder les droits essentiels des citoyens. Elle a insisté sur le fait que cette responsabilité ne se limite pas au Togo, mais s’étend à toutes les régions où ces libertés sont en péril. Son discours rappelle que la défense de la démocratie et des droits de l’homme est un combat global et continu.

Une nouvelle génération de jeunes leaders pour la paix en Afrique de l’Ouest

Lomé, le 21 novembre 2024 L’avenir de la paix en Afrique de l’Ouest s’écrit aujourd’hui avec la jeunesse. C’est ce qu’ont manifesté les 45 jeunes leaders venus du Bénin, de la Côte d’Ivoire, du Ghana, de la Guinée et du Togo, qui ont participé à la Conférence internationale des jeunes boursiers du programme PEACE-WAY, organisée par PartnersGlobal à Accra du 18 au 20 novembre 2024.

Ce rassemblement a été l’occasion pour ces jeunes, hommes et femmes, de partager leurs expériences, d’échanger leurs connaissances et de renforcer leurs compétences en matière de prévention des conflits et de consolidation de la paix. Forts de cette formation, ils sont désormais mieux outillés pour mener des actions concrètes dans leurs communautés respectives.

Grâce au programme PEACE-WAY, de jeunes leaders africains s'engagent à promouvoir la cohésion sociale et à bâtir un avenir meilleur .Grâce au soutien du département d’État américain et de WANEP-Togo, Partners Global a permis à ces jeunes de développer un réseau solide et de renforcer leur engagement en faveur de la paix et de la cohésion sociale. La délégation togolaise, composée de six jeunes boursiers et de leur responsable de programme, a particulièrement apprécié cette opportunité de se connecter avec d’autres jeunes leaders de la région.

Pour Mme Ahouefa Essi ASSINOU DOVO, responsable des programmes de WANEP-Togo, cette conférence a été un véritable succès : « Cette rencontre a renforcé davantage la détermination des jeunes et les a pourvus d’outils qui leur permettront de conduire dans les prochains jours des initiatives de cohésion sociale dans leurs communautés. »

En investissant dans la jeunesse, Partners Global et ses partenaires contribuent à bâtir un avenir plus pacifique et plus stable pour l’Afrique de l’Ouest. Le programme PEACE-WAY a pour objectif de former des jeunes leaders qui jouent un rôle essentiel dans la prévention des conflits et la promotion du dialogue interculturel.

 

Togo-Inde : Un partenariat en pleine expansion

Lomé, le 20 novembre 2024 Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, a reçu en audience, hier, l’ambassadeur de l’Inde au Togo, M. Ram Sanjiv Tandon, en fin de mission. Les deux personnalités ont passé en revue l’état de la coopération bilatérale entre les deux pays et ont exprimé leur satisfaction quant aux progrès réalisés.

Après plus de trois ans de service au Togo, l’ambassadeur de l’Inde a exprimé sa gratitude envers le Chef de l’État pour l’hospitalité exceptionnelle offerte à son équipe et à lui-même, ainsi que pour l’appui inébranlable aux liens diplomatiques unissant les deux nations. « Je suis très heureux d’avoir pu contribuer au renforcement de la coopération entre l’Inde et le Togo », a-t-il déclaré.

Pour sa part, le Président Gnassingbé a salué le travail accompli par M. Tandon et a souligné l’importance du partenariat entre le Togo et l’Inde. Il a rappelé les nombreux domaines de coopération entre les deux pays, notamment dans les secteurs de l’industrie, des PME, de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la formation professionnelle.

Soutien inestimable : L’Inde et son programme ITEC au service du développement du Togo

Les échanges entre le Togo et l’Inde se sont intensifiés ces dernières années, grâce à une volonté commune de renforcer les liens d’amitié et de coopération. L’Inde, à travers son programme de coopération économique et technique (ITEC), apporte un soutien précieux au Togo dans la réalisation de ses objectifs de développement.

Les deux pays collaborent également étroitement dans le domaine des énergies renouvelables et de la lutte contre le changement climatique. En tant que membres de l’Alliance solaire internationale, le Togo et l’Inde s’engagent à promouvoir l’utilisation des énergies propres et à faire face aux défis liés au réchauffement climatique.

En somme, le départ de l’ambassadeur indien marque une étape importante dans l’histoire de la coopération entre le Togo et l’Inde. Toutefois, les fondations solides établies ces dernières années assurent la pérennité de ce partenariat. Les deux pays sont déterminés à perdurer leurs efforts conjoints pour relever les défis du développement et renforcer les liens d’amitié qui les unissent.

Togo : L’ambassadeur Sanjiv Tandon de l’Inde dit au revoir

Lomé, le 19 novembre 2024 – Dans une atmosphère empreinte de respect mutuel et de reconnaissance pour les avancées réalisées, l’Ambassadeur de l’Inde à Lomé, M. Sanjiv Tandon, a effectué hier une visite d’adieu au Ministre des Affaires étrangères du Togo, le Professeur Robert Dussey.

Cette rencontre symbolique marque la fin d’un mandat de trois ans durant lequel les deux nations ont tissé des liens économiques de plus en plus forts. Le tête-à-tête a porté sur les réalisations significatives dans divers domaines de coopération, notamment le commerce, l’investissement et le développement technologique, ainsi que sur les perspectives d’approfondissement de ces relations.

Le partenariat Inde-Togo, qui a connu une croissance exponentielle, est un témoignage de la diplomatie active et de la volonté des deux pays de travailler ensemble pour un avenir prospère. Les efforts conjoints ont abouti à des initiatives de développement durable et à une augmentation notable des échanges commerciaux, reflétant une synergie économique et culturelle.

En somme, la visite d’adieu de l’Ambassadeur Tandon marque la fin d’un chapitre important dans les relations entre l’Inde et le Togo. Les échanges fructueux entre les deux personnalités témoignent de la solidité et de la profondeur des liens tissés au cours de ces dernières années. Les progrès réalisés dans les domaines économiques, commerciaux et culturels ouvrent des perspectives prometteuses pour l’avenir.

Alors que M. Tandon s’apprête à quitter le Togo, il laissera derrière lui un héritage de collaboration et d’amitié, jetant les bases d’une ère nouvelle et prometteuse pour les relations Inde-Togo. En plus, son travail continuera d’inspirer les prochaines générations de diplomates et de renforcer davantage la coopération entre les deux nations.

Lomé et Bissau unis dans la célébration : le Togo aux côtés de la Guinée-Bissau pour son 51e anniversaire

Bissau, le 19 novembre 2024 – La Guinée-Bissau a vibré au rythme des célébrations de son 51ᵉ anniversaire d’indépendance, un événement d’autant plus solennel qu’il coïncidait avec le jubilé de diamant de ses forces armées. Une double fête nationale qui a réuni les Bissau-Guinéens autour de valeurs communes : liberté, résilience et fierté nationale.

Le Président togolais félicite la Guinée-Bissau pour ses 51 ans d'indépendance, une occasion de célébrer l'amitié entre les deux nations.Le Togo, un ami fidèle

Le Togo, représenté par le président de l’Assemblée nationale, Sevon-Tépé Kodjo ADEDZE, a tenu à marquer de sa présence cette journée historique. Transmettant les chaleureuses félicitations du Président Faure Essozimna Gnassingbé, M. ADEDZE a souligné la profondeur des liens d’amitié et de coopération entre les deux pays. Cette présence togolaise a ainsi renforcé les liens fraternels entre les deux nations et témoigne de la solidarité africaine.

Le Président togolais félicite la Guinée-Bissau pour ses 51 ans d'indépendance, une occasion de célébrer l'amitié entre les deux nations.Une journée riche en émotions

Les festivités ont été marquées par la présence de nombreuses autorités telles que les présidents du Sénégal et de la République du Congo dans une ambiance festive et patriotique. Par ailleurs, des défilés militaires impressionnants, des discours inspirants et des performances culturelles colorées ont rythmé la journée. Les rues de Bissau se sont parées de leurs plus beaux atours, les citoyens arborant fièrement les couleurs nationales. Les enfants, symboles de l’avenir, ont agité des drapeaux, incarnant l’espoir d’un avenir radieux.

Guinée-Bissau : un regard vers l’avenir

Au-delà des célébrations, cette journée a été l’occasion de réfléchir sur le parcours de la Guinée-Bissau et de se projeter vers l’avenir. Les anciens combattants, témoins de l’histoire, ont partagé leurs récits, rappelant les sacrifices consentis pour la liberté. Les échanges ont porté sur les défis à relever pour consolider les acquis et bâtir un monde meilleur, notamment en matière d’éducation, de santé et de développement économique.

Un symbole d’unité africaine

La célébration du 51ᵉ anniversaire de l’indépendance de la Guinée-Bissau est bien plus qu’un simple événement national. C’est un symbole de la solidarité africaine et de la détermination des peuples à construire un avenir commun. La présence de nombreuses délégations étrangères, dont celle du Togo, a renforcé également cette dynamique et témoigne de l’importance de la coopération régionale.

En conclusion, cette journée restera gravée dans les mémoires comme un moment fort de l’histoire de la Guinée-Bissau. Elle a permis de célébrer les acquis, de renforcer l’unité nationale et de se projeter vers l’avenir avec optimisme. Le Togo, fidèle à ses valeurs de solidarité et de fraternité, a été un partenaire privilégié dans cette célébration.

Lavrov et Dussey renforcent les liens russo-togolais à Sotchi

Sotchi, 8 novembre 2024 – Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, et son homologue togolais, Robert Dussey, se rencontrent en marge de la première conférence ministérielle du Forum de partenariat Russie-Afrique. Cette rencontre bilatérale a été une occasion de renforcer les liens historiques et amicaux entre les deux pays.

Les discussions ont porté sur un large éventail de sujets, notamment le renforcement du dialogue politique entre Moscou et Lomé. Les deux ministres ont également évoqué les moyens d’intensifier la coopération commerciale, économique et d’investissement mutuellement bénéfique. L’expansion des liens humanitaires a également été au cœur des échanges.

Lors de cette rencontre, les deux pays ont réitéré leur volonté de développer davantage leur coopération économique. Satisfaits des avancées réalisées, les ministres ont décidé de travailler ensemble pour surmonter les obstacles et saisir les opportunités qui se présenteront.

Sergueï Lavrov, et son homologue togolais, Robert Dussey, se rencontrent en marge de la première conférence ministérielle Les échanges se sont aussi accentués sur l’importance de l’intégration régionale et le rôle des Togolais de l’extérieur, avec une reconnaissance spéciale de leur contribution au développement de la République togolaise. Par ailleurs, la discussion a souligné l’importance de la diaspora dans le renforcement des relations bilatérales et dans la promotion des intérêts économiques et culturels des deux pays.

Cette rencontre témoigne de la volonté des deux pays de renforcer leur partenariat stratégique. Les relations russo-togolaises sont fondées sur une longue histoire de coopération et d’amitié. Cette rencontre bilatérale s’inscrit dans la continuité de cette dynamique positive.

En somme, la rencontre entre Sergueï Lavrov et Robert Dussey à Sotchi marque une nouvelle étape dans le développement des relations russo-togolaises. Les deux pays ont réaffirmé leur volonté de renforcer leur partenariat stratégique dans divers domaines. Cette collaboration bilatérale vise à apporter des avantages aux habitants des deux pays et à favoriser la stabilité et le progrès de la région.

 

Togo et Kenya : Une nouvelle dynamique de coopération s’annonce

Pretoria, le 7 novembre 2024  – Le Haut-Commissaire du Togo en Afrique du Sud, John D. Fintakpa Lamega, a rendu une visite de courtoisie à sa collègue kenyane, Jane Ndurumo, dans la capitale sud-africaine dans le but de renforcer les relations économiques et culturelles entre l’Afrique de l’Ouest et de l’Est.

En effet, cette rencontre, riche en échanges, a permis aux deux diplomates d’explorer de nouvelles avenues de coopération entre leurs pays respectifs. Les discussions ont porté principalement sur les opportunités d’investissement dans des secteurs clés des deux pays. Les deux hauts fonctionnaires ont également souligné l’importance de tirer parti des complémentarités économiques de leurs pays respectifs pour stimuler la croissance et le développement.

Des échanges culturels pour renforcer les liens entre le Togo et Kenya

Au-delà des aspects économiques, les deux diplomates ont convenu de favoriser les échanges culturels entre les deux pays. Des programmes d’échanges universitaires, artistiques et sportifs pourraient ainsi voir le jour, permettant aux Togolais et aux Kényans de mieux se connaître et de renforcer les liens entre leurs peuples. Cette étape importante renforce le partenariat existant et ouvre la voie à de nouvelles avenues de collaboration entre les deux nations.

Par ailleurs, il faut préciser que les secteurs de l’agriculture et de l’énergie renouvelable offrent des perspectives particulièrement prometteuses aux deux nations. Le Kenya, reconnu pour ses avancées dans le domaine des énergies renouvelables, pourrait apporter son expertise au Togo, tandis que ce dernier pourrait bénéficier de l’expérience du togo dans la production agricole.

Les enjeux de cette coopération

Cette rencontre entre les hauts-commissaires du Togo et du Kenya s’inscrit dans une dynamique plus large de renforcement de la coopération Sud-Sud. Elle témoigne de la volonté des pays africains de travailler ensemble pour relever les défis communs et saisir les opportunités offertes par la mondialisation.

Bref, la visite de courtoisie entre les diplomates du Togo et du Kenya à Pretoria est un signal fort qui témoigne ainsi de l’ambition des deux pays de contribuer à la construction d’une Afrique unie et prospère. En renforçant leurs liens économiques et culturels, ils ouvrent la voie à de nouvelles collaborations et à de nouvelles opportunités pour les générations futures.

Togo : Faure Gnassingbé, acteur de la stabilité en Afrique

Lomé, le 6 novembre 2024 – Le rôle pivot du Président Faure Essozimna Gnassingbé dans le renforcement de l’intégration et de la stabilité de l’espace CEDEAO et au-delà ne cesse de gagner en reconnaissance. Sa capacité à agir en tant que médiateur influent et sa vision pour une Afrique unie ont été une fois de plus mises en lumière lors de sa rencontre hier avec le ministre nigérian des Affaires étrangères, Yusuf Maitama Tuggar. Cette réunion stratégique, précurseur du prochain sommet de la CEDEAO, a souligné les défis politiques et sécuritaires majeurs de la sous-région ouest-africaine.

L'impact des efforts diplomatiques du Président Faure Gnassingbé sur l'intégration de la CEDEAO et la stabilité régionaleUne efficacité diplomatique au cœur de la stabilité africaine

Le président du Conseil des ministres de la CEDEAO a profité de cette occasion pour exprimer sa gratitude envers le chef de l’État togolais pour son action diplomatique dynamique, notamment sa médiation réussie avec l’Alliance des États du Sahel (AES) et son engagement constant pour la paix et la stabilité régionales. La reconnaissance de l’efficacité du Président Gnassingbé par des figures clés telles que M. Tuggar témoigne de l’influence considérable du Togo dans les affaires régionales.

La coopération bilatérale entre le Nigéria et le Togo, deux piliers fondateurs de la CEDEAO, a également été au cœur des échanges. Par ailleurs, leur partenariat, ancré dans une série de traités et d’accords couvrant divers domaines tels que la diplomatie, l’économie, la sécurité, les transports, l’assistance mutuelle et l’énergie, est un modèle de collaboration interétatique.

En conclusion, la rencontre entre le Président Gnassingbé et le Ministre Tuggar est non seulement un symbole de l’amitié entre le Togo et le Nigéria, mais aussi un pas de plus vers un monde dans lequel la solidarité africaine et l’intégration régionale sont les pierres angulaires d’une Afrique prospère et pacifique. Les actions et la diplomatie du Président togolais continuent de jouer un rôle déterminant dans la quête d’une stabilité durable et d’une unité renforcée au sein de la CEDEAO et sur le continent africain dans son ensemble.

 

Coumba D. Sow prend ses fonctions de Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Togo

Lomé, le 6 novembre 2024 – Mme Coumba D. Sow a officiellement pris ses fonctions de Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Togo hier en présentant ses lettres de créance au ministre des Affaires étrangères, Robert Dussey.

Dans une cérémonie empreinte de solennité, Mme Sow a exprimé sa détermination à travailler en étroite collaboration avec le gouvernement togolais pour accélérer la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD). Elle a également souligné l’importance d’une approche inclusive et durable pour relever les défis auxquels le pays fait face, notamment en matière de développement économique, de protection sociale et de lutte contre le changement climatique.

De son côté, le ministre Dussey s’est réjoui de l’arrivée de Mme Sow et a réaffirmé l’attachement du Togo aux valeurs universelles promues par les Nations Unies. Il a souligné l’importance de ce partenariat pour soutenir les efforts de développement du pays et améliorer le bien-être de la population.

Coumba D. Sow, focus sur les priorités

Les discussions entre les deux parties ont été portées sur les priorités à venir, notamment :

  • L’inclusion sociale : accroître l’accès aux services sociaux de base pour tous les Togolais, en particulier les plus vulnérables.
  • La protection de l’environnement : lutter contre le changement climatique et promouvoir des pratiques durables.
  • Le développement humain : investir dans l’éducation, la santé et la formation professionnelle.

Un partenariat renforcé au service du développement

Avec l’arrivée de Mme Sow, les Nations Unies renforcent leur engagement à soutenir le Togo dans sa trajectoire de développement. Ainsi, ils mettront en place des programmes et des projets centrés sur la création d’emplois, l’amélioration des infrastructures et le renforcement des institutions.

En conclusion, la nomination de Mme Sow est une excellente nouvelle pour le Togo. Son expertise et son engagement sont des atouts précieux pour notre pays. Cette prise de fonction marque aussi une nouvelle étape dans notre partenariat avec les Nations Unies, un partenariat qui est plus que jamais nécessaire pour faire face aux enjeux mondiaux et relever les défis spécifiques de notre pays.

 

Togo : La Chine et le Togo renforcent leur coopération pour l’action sociale

Lomé, le 5 novembre 2024 Dans le cadre des efforts continus pour améliorer les conditions de vie des populations vulnérables au Togo, une nouvelle étape vient d’être franchie dans la coopération entre le Togo et la Chine. À cet effet, la Ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, Prof. Kossiwa ZINSOU-KLASSOU a eu une réunion avec l’Ambassadeur de Chine, M. Chao Weidong, afin de discuter des initiatives visant à renforcer l’action sociale et la protection des groupes défavorisés au Togo.

Les deux parties ont convenu de travailler ensemble pour améliorer les conditions de vie des populations vulnérables, notamment les enfants et les personnes en situation de précarité. L’ambassade de Chine a promis de mettre en œuvre des projets d’envergure avant la fin de l’année, démontrant ainsi son engagement à soutenir les initiatives du gouvernement togolais dans ce domaine.

Cette collaboration s’inscrit dans une dynamique de partenariat gagnant-gagnant entre les deux pays. Le Togo et la Chine ont su développer des relations solides, fondées sur le respect mutuel et la solidarité. Ce nouveau partenariat dans le domaine de l’action sociale vient renforcer ces liens et concrétiser la volonté commune de construire un meilleur avenir pour les populations les plus vulnérables.

Le Ministre ZINSOU-KLASSOU se réjouit de cette collaboration, soulignant l’importance de l’appui de la Chine pour atteindre les objectifs du gouvernement en matière de protection sociale. L’Ambassadeur Chao Weidong a quant à lui affirmé que cette coopération est une illustration parfaite de la diplomatie humanitaire en action.

Les enjeux de cette coopération Chine-Togo

La collaboration sino-togolaise est cruciale pour le développement social du Togo. Elle vise à améliorer l’accès aux services essentiels pour les communautés défavorisées, contribuant ainsi à atténuer la pauvreté et les disparités sociales. De plus, cette coopération favorise un transfert de connaissances et de compétences entre les experts des deux nations, renforçant l’efficacité des initiatives sociales au Togo.

En somme, cette coopération entre le Togo et la Chine ouvre de nouvelles perspectives pour le développement social du pays. La complémentarité des compétences entre le Togo et la Chine est un atout majeur dans ce partenariat. Les expertises respectives des deux pays permettront de mettre en œuvre des projets innovants et adaptés aux besoins spécifiques des populations togolaises. Elle démontre que la solidarité internationale peut être un levier puissant pour améliorer les conditions de vie des populations les plus vulnérables.

Afriland First Group : Un pari gagnant sur le Togo

Lomé, le 2 novembre 2024 – Le Togo vient de remporter une nouvelle victoire économique. Le groupe bancaire panafricain Afriland First Group, dirigé par le charismatique Dr Paul Kammogne Fokam, a annoncé hier, lors de son audience avec le président de la République Faure Essozimna Gnassingbé, son intention de créer un holding régional au cœur de Lomé. Une décision qui vient confirmer l’attractivité du Togo et qui s’inscrit pleinement dans la stratégie de développement du Président Faure Gnassingbé.

En choisissant le Togo, Afriland First Group ne fait pas seulement un choix stratégique, mais un pari sur l’avenir. Le pays, sous l’impulsion de son chef d’État, a engagé ces dernières années des réformes profondes pour améliorer son climat des affaires et attirer les investissements. Les efforts du gouvernement semblent porter leurs fruits, puisque de grandes entreprises internationales choisissent désormais de s’implanter au Togo.

« La dynamique économique du Togo et la vision ambitieuse du président Gnassingbé pour transformer son pays en un pays de cocagne, où l’on a tout en abondance, nous ont séduits », a déclaré Dr Paul Kammogne Fokam, président du Conseil d’Administration d’Afriland First Group. « Nous croyons fermement en l’avenir de ce pays et souhaitons y participer en favorisant une meilleure répartition des richesses. »

Les avantages de l’implantation de Afriland First Group seront multiples pour le Togo

  • Création d’emplois : la création de ce nouveau holding va générer de nombreux emplois directs et indirects, stimulant ainsi l’économie locale.
  • Transfert de compétences : l’expertise du Groupe Afriland va permettre de renforcer les capacités des acteurs locaux et de développer de nouveaux services financiers.
  • Rayonnement international : le choix du Togo par une telle institution va aussi renforcer l’attractivité du pays sur la scène internationale et attirer d’autres investisseurs.

En choisissant le Togo pour implanter sa nouvelle holding, Afriland First Group ne fait pas seulement un choix stratégique, il place également son pari sur un pays en pleine mutation et qui ambitionne de devenir un hub financier de premier plan en Afrique de l’Ouest.

Le FMI réaffirme son soutien au développement du Togo

Lomé, le 1ᵉʳ novembre 2024 – Le Togo a reçu une nouvelle marque de confiance de la part de la communauté internationale. En effet, le Directeur du département Afrique du Fonds monétaire international (FMI), Abebe Aemro Selassie, actuellement en tournée dans la sous-région, a réaffirmé l’engagement de l’institution à accompagner le pays dans sa dynamique de développement.

Lors d’une audience avec le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, M. Selassie a évoqué les défis auxquels le Togo est confronté et les perspectives économiques du pays. Il a également  salué les réformes engagées par le gouvernement et a souligné l’importance de poursuivre sur cette lancée.

Le Togo et le FMI s'engagent à travailler ensemble pour accélérer la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer les conditions de vie de la population.Le FMI et le Togo solidifient leur collaboration pour un développement soutenu

Par ailleurs, le FMI et le Togo entretiennent depuis plusieurs années une étroite collaboration. L’accord conclu le 8 octobre dernier sur la première revue du programme de 42 mois appuyé par la Facilité élargie de crédit (FEC) en témoigne. En plus, cet accord, d’un montant de 293,60 millions de DTS (environ 390 millions de dollars), permettra au Togo de bénéficier d’un nouveau décaissement d’environ 58,7 millions de dollars, soit près de 35 435 000 000 de FCFA.

Ces fonds serviront à financer des projets de développement prioritaires pour le Togo, tels que l’amélioration des infrastructures, le renforcement du secteur financier et la promotion de la croissance inclusive.

Les enjeux de la visite

La visite de M. Selassie au Togo intervient dans un contexte marqué par les défis économiques mondiaux et régionaux. Les discussions ont porté sur les moyens de renforcer la résilience de l’économie togolaise face aux chocs externes, de promouvoir la croissance inclusive et de réduire la pauvreté.

En somme, cette rencontre entre le Président Gnassingbé et M. Selassie marque un nouveau chapitre dans la coopération entre le Togo et le FMI. Avec le soutien financier et technique de l’institution, le Togo dispose ainsi de tous les atouts pour accélérer sa croissance économique et améliorer aussi le bien-être de sa population.

CHOGM 2024 : Une nouvelle ère de collaboration

Apia (Samoa), le 25 octobre 2024 – Le coup d’envoi de la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth (CHOGM) a été donné ce vendredi, dans un climat de renouveau et d’anticipation. Pour la première fois, le Togo rejoint la table des discussions, marquant ainsi un élargissement significatif de l’organisation. Sous la présidence du Roi Charles III, ce sommet bisannuel s’annonce comme un carrefour d’idées progressistes et de stratégies de développement partagé.

Par ailleurs, la participation du Premier ministre togolais, Victoire Dogbé, souligne l’importance croissante de l’Afrique dans les affaires du Commonwealth. L’agenda de cette année se concentre sur l’exploration de nouvelles voies de collaboration multilatérale, essentielles pour relever les défis mondiaux et promouvoir la prospérité commune.

En outre, les discussions prévues s’étendront sur des sujets variés, allant de l’économie et du commerce à la durabilité environnementale, en passant par l’éducation et la santé. L’objectif est clair : renforcer les liens entre les 56 États membres et forger un avenir dans lequel le développement mutuel est au cœur des priorités.

En marge de l’événement, le souverain britannique a honoré la cheffe du gouvernement togolais par une audience, ce qui marque la reconnaissance de l’importance du Togo sur la scène internationale. Cette rencontre fait suite à des échanges fructueux avec le Conseil d’entreprise et d’investissement du Commonwealth, jetant les bases d’une coopération économique renforcée.

En somme, le CHOGM 2024 s’inscrit dans une dynamique de changement, où chaque membre apporte sa pierre à l’édifice commun. Avec l’arrivée de nouveaux pays membres et la volonté affirmée de travailler ensemble, le Commonwealth se positionne comme un acteur clé sur la scène internationale, prêt à relever les défis de notre époque.

L’UE réaffirme son engagement envers le Togo

Lomé, le 17 octobre 2024. – Le nouvel ambassadeur de l’Union Européenne( UE )au Togo, Gwilym Ceri Jones, poursuit activement sa mission de représentation. En effet, après avoir présenté ses lettres de créance au Président de la République, il a entamé une série de rencontres avec les plus hautes autorités du pays.

Ces derniers jours, l’ambassadeur Jones a eu des entretiens fructueux avec la Première ministre, Victoire Dogbé, et le président de l’Assemblée nationale, Kodjo Adedze. Ainsi, ces rencontres ont permis de renforcer les liens entre le Togo et l’UE et de discuter des perspectives de coopération.

Au cours de ces échanges, les priorités du Togo en matière de développement et la transition vers la Vème République ont été au cœur des discussions. Le représentant de l’UE a réaffirmé l’engagement de l’Union Européenne à accompagner le Togo dans ces défis.

L’UE -Togo: Un partenariat renforcé

« Notre objectif est de renforcer notre partenariat avec le Togo et d’augmenter l’impact de nos programmes », a déclaré l’ambassadeur Jones. Il a souligné l’importance d’adapter les projets aux besoins spécifiques du pays et, de ce fait, s’est montré disposé à ajuster les stratégies en fonction des besoins du pays.

L’ambassadeur a également évoqué le projet phare de l’Union Européenne, le Global Gateway. Ce programme ambitieux vise à mobiliser des investissements publics et privés pour soutenir le développement durable dans les pays partenaires. « C’est une opportunité que nous souhaitons explorer avec dynamisme », a-t-il déclaré lors de son entretien avec le Président de l’Assemblée nationale.

Un partenariat consolidé

Il est important de rappeler que le Togo et l’UE ont signé en 2022 un nouveau cadre de partenariat qui définit les axes de coopération pour les prochaines années. Ce partenariat couvre des domaines variés tels que la gouvernance, le développement économique, la sécurité et la migration. En plus, cet accord témoigne de la volonté commune de renforcer les relations bilatérales et de travailler ensemble pour relever les défis du développement.

En bref, avec l’arrivée du nouvel ambassadeur, les relations entre le Togo et l’UE entrent dans une nouvelle phase. Les échanges de ces derniers jours témoignent de la volonté commune de renforcer cette coopération et de relever conjointement les défis du développement.

 

 

Amen Tohouede Dzonke porte la voix du Togo à la Contre-COP des peuples africains

Saly, Sénégal, 10 octobre 2024 – Amen Tohouede Dzonke, directrice générale de la Société des Jeunes Créateurs au Togo, représente fièrement son pays à la Contre-COP des peuples africains, qui se tient actuellement à Saly, au Sénégal. Cette rencontre panafricaine, regroupant des délégués de plus de vingt pays, vise à mettre en lumière les défis climatiques auxquels fait face le continent et à proposer des solutions concrètes.

Placée sous le thème « Les Africains unis contre l’oppression systématique et l’injustice climatique », cette édition de la Contre-COP offre une plateforme d’échange aux acteurs de la société civile africaine. Amen Tohouede Dzonke, aux côtés de Thierry Abiabal Kparaki (représentant des femmes de la Commune du golfe 2 au Togo) et d’autres militants, participe à des tables rondes pour discuter de questions cruciales telles que l’aménagement des terres et l’injustice environnementale.

« C’est un honneur pour moi d’être la représentante du Togo lors de cette rencontre », a exprimé Amen Tohouede Dzonke. « Les résolutions de cette réunion doivent servir de catalyseur pour que les responsables politiques prennent des mesures urgentes en faveur des communautés les plus vulnérables face au changement climatique. »

Contre-COP : Un engagement pour l’environnement et l’autonomisation des femmes

Au Togo, Amen Tohouede Dzonke est déjà engagée dans des actions concrètes pour promouvoir le développement durable et l’autonomisation des femmes. En collaboration avec la Commune du Golfe 2, elle a mis en œuvre des programmes de formation au recyclage et à la fabrication de compost, permettant ainsi aux femmes de générer des revenus tout en contribuant à la protection de l’environnement.

Des voix qui s’élèvent

Les participants à la Contre-COP appellent à une plus grande justice climatique en Afrique. Ils soulignent l’importance d’écouter la voix des communautés locales et de trouver des solutions durables pour faire face aux défis environnementaux.

Rumbidzai Mphalo, coordinatrice du Collectif Africain pour la Justice Climatique, a rappelé que l’objectif de cet événement est de « se battre pour la justice afin d’apporter des solutions à la crise en Afrique ». Aly Marie Sagne, directrice exécutive de Lumière Synergie pour le Développement, a quant à elle invité les organisations à maintenir leur engagement et à défendre le droit à un environnement sain.

Jusqu’au 11 octobre, des discussions et des échanges permettront de proposer des solutions concrètes pour lutter contre la crise climatique, en particulier en matière d’adaptation des terres et de souveraineté alimentaire.

En bref, le changement climatique est un défi mondial qui touche particulièrement l’Afrique. Les pays africains, bien que peu responsables du réchauffement climatique, sont parmi les plus vulnérables à ses impacts. La Contre-COP des peuples africains est une occasion importante de renforcer la solidarité entre les pays africains et de trouver des solutions adaptées à leurs réalités.

 

Coumba Dieng Sow, nouvelle ambassadrice de l’ONU au Togo

Lomé, 9 octobre 2024  – Un nouveau chapitre s’ouvre pour les Nations Unies au Togo avec la nomination de Coumba Dieng Sow en tant que représentante résidente. Cette nomination officielle depuis hier, mais effective depuis le 5 octobre 2024, marque une nouvelle étape dans la carrière de cette figure emblématique du développement en Afrique. Cette économiste sénégalaise, reconnue pour son expertise en développement durable et son engagement en faveur des populations vulnérables, apporte une riche expérience au service de notre pays.

Coumba Dieng Sow: Un parcours riche au service de l’humanité

Avant de rejoindre le Togo, Coumba Dieng Sow a occupé des postes clés au sein de la FAO, notamment au Rwanda et à Djibouti. Elle a ainsi acquis une solide expérience dans la gestion de crises alimentaires et la coordination de programmes d’aide humanitaire dans des contextes complexes. Au Rwanda et à Djibouti, elle a dirigé des projets d’envergure visant à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la résilience des populations face aux chocs. Son expertise en matière de résilience des communautés face aux chocs, qu’ils soient climatiques ou liés à des conflits, sera un atout précieux pour le Togo.

Coumba Dieng  Sow: Un engagement fort pour l’environnement et le développement durable

Au Sénégal, son pays d’origine, Coumba Sow s’est distinguée par son militantisme en faveur de l’environnement. Elle a mené de nombreuses initiatives pour promouvoir l’agriculture durable et la sécurité alimentaire, deux enjeux cruciaux pour l’Afrique. Ses actions ont contribué à sensibiliser les populations aux enjeux environnementaux et à encourager l’adoption de pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement. Son expertise en matière de politiques publiques et son engagement pour le développement durable font d’elle une alliée de choix pour relever les défis environnementaux auxquels fait face le Togo.

Au-delà de son expertise technique, Coumba Dieng Sow est reconnue pour ses qualités de leader et sa capacité à mobiliser les acteurs autour de projets communs. Elle a notamment coordonné des programmes de résilience pour 18 pays d’Afrique de l’Ouest et du Sahel, démontrant ainsi son aptitude à travailler dans des contextes complexes et à nouer des partenariats solides.

Un parcours académique remarquable 

Son parcours académique, marqué par l’obtention d’une maîtrise en gestion des politiques publiques de Sciences Po et d’un DESS en économie agricole, lui confère une solide base théorique et méthodologique. Cette combinaison d’expérience pratique et de connaissances académiques fait d’elle une experte reconnue dans le domaine du développement.

Une nouvelle dynamique pour le développement du TOGO

La nomination de Coumba Sow marque une nouvelle étape dans la coopération entre le Togo et les Nations Unies. Son expertise et son engagement seront mis au service de la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) au Togo. On peut s’attendre à ce qu’elle joue un rôle moteur dans la mise en œuvre de projets visant à améliorer les conditions de vie des populations, à renforcer la résilience des communautés et à promouvoir un développement économique inclusif et durable.

L’arrivée de Coumba Dieng Sow au Togo témoigne de l’importance accordée par la communauté internationale au développement de notre pays. Cette nomination est une opportunité pour renforcer la coopération entre le Togo et les Nations Unies et de mobiliser davantage de ressources pour soutenir les actions en faveur du développement durable.

La CEDEAO se mobilise pour renforcer la lutte contre le VIH

Lomé, le 7 octobre 2024 –Un atelier régional de trois jours sur les politiques VIH en CEDEAO a débuté ce jour à Lomé. Réunissant une quinzaine de représentants de pays membres et de partenaires techniques, cet événement a pour objectif d’évaluer les progrès réalisés dans la lutte contre le VIH et de définir de nouvelles stratégies pour intensifier les interventions.

Un focus sur la mise en œuvre

En effet, l’objectif de cet atelier sera d’examiner la réalisation des politiques nationales de lutte contre le VIH. Les participants scruteront les avancées réalisées, les défis rencontrés et les bonnes pratiques mises en œuvre dans les différents pays de la région. Un accent particulier sera également mis sur les populations clés et les enfants, qui restent particulièrement vulnérables au VIH.

  Les pays de la CEDEAO mettent en avant les politiques de lutte contre le VIH et impliquent de nouvelles stratégies.VIH: Des enjeux politiques au cœur des débats

Les obstacles politiques qui entravent la mise en œuvre des politiques de lutte contre le VIH seront aussi au cœur des débats. Les participants cherchent à identifier les leviers d’action pour surmonter ces difficultés et renforcer l’engagement politique en faveur de la lutte contre l’épidémie.

Une feuille de route pour l’avenir

À l’issue de cet atelier, les participants définiront une feuille de route pour renforcer les politiques de lutte contre le VIH au sein de l’espace CEDEAO. Cette feuille de route visera à aligner les cadres nationaux sur les objectifs mondiaux de lutte contre le VIH, notamment les objectifs 95-95-95 (95 % des personnes vivantes avec le VIH connaissent leur statut, 95 % des personnes testées suivent un traitement antirétroviral et 95 % des personnes sous traitement ont une charge virale indétectable).

  Les pays de la CEDEAO mettent en avant les politiques de lutte contre le VIH et impliquent de nouvelles stratégies.Le soutien des partenaires

Cet atelier bénéficie du soutien de partenaires techniques tels que l’USAID et PROPEL Health Org, qui apportent leur expertise et leur financement pour renforcer les capacités des pays membres de la CEDEAO à lutter contre le VIH. Par ailleurs, les résultats de cet atelier seront déterminants pour l’avenir de la lutte contre le virus de l’immunodéficience humaine  en Afrique de l’Ouest. Les participants attendent avec impatience de voir les stratégies concrètes qui émergeront de ces discussions.

En bref, l’atelier régional sur les politiques VIH en CEDEAO mettra en lumière les progrès et les défis à relever pour stopper l’épidémie du VIH. Pour atteindre cet objectif ambitieux, il est nécessaire de renforcer les systèmes de santé, de promouvoir la prévention, de renforcer les partenariats et d’adapter les stratégies aux contextes locaux. L’avenir de la lutte contre le virus de l’immunodéficience humaine en Afrique de l’Ouest dépendra de notre habileté à relever ces défis et à mobiliser tous les acteurs.

Coopération Égypte-Togo : Un partenariat qui s’intensifie

Dans une cérémonie empreinte de formalité et de cordialité, l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l’Égypte auprès du Togo, Ahmed Mohamed Eid Moustapha Ahmed, a officiellement remis ses lettres de créance au Président de la République togolaise, Faure Essozimna Gnassingbé, ce jeudi 03 octobre 2024. Cet événement marque le début d’une mission diplomatique où le dialogue et la coopération bilatérale seront au cœur des échanges entre les deux nations.

L'ambassadeur d'Égypte au Togo inaugure une mission diplomatique axée sur le développement, la paix et la coopération économique.Les fruits d’une collaboration fructueuse

Lors de leur première rencontre, l’ambassadeur Ahmed a mis en lumière les axes principaux de sa mission, soulignant l’importance du développement, de la paix et de la stabilité, ainsi que la nécessité de s’attaquer aux problématiques régionales et internationales. Il a exprimé sa reconnaissance pour le dynamisme des relations entre l’Égypte et le Togo, affirmant sa joie de pouvoir échanger avec le Président Gnassingbé et de partager une vision commune, notamment sur le règlement pacifique des conflits et l’alignement des intérêts des deux pays.

L’ambassadeur a également salué les conseils prodigués par le Président togolais, des conseils qu’il considère comme essentiels à la réussite de sa mission diplomatique. La coopération entre Lomé et le Caire, déjà exemplaire, se voit ainsi renforcée par cette nouvelle dynamique. Les deux capitales partagent une longue histoire d’amitié et de collaboration, une relation qui s’est étoffée au fil des années, notamment dans des secteurs clés tels que l’agro-business, l’éducation et l’économie.

En effet, l’Égypte a joué un rôle de soutien dans la politique togolaise de promotion de l’agro-business, illustré par la création de la ferme agricole d’Abatchang dans la région centrale du Togo. Cette initiative s’inscrit dans un cadre plus large d’échanges de savoir-faire et de formation, avec l’attribution de bourses en techniques agricoles aux citoyens togolais.

L'ambassadeur d'Égypte au Togo inaugure une mission diplomatique axée sur le développement, la paix et la coopération économique.Égypte-Togo : De nouveaux projets pour un avenir prometteur

Sur le plan économique et commercial, l’engagement des deux pays se traduit par la signature de multiples accords de partenariat, visant à consolider les liens dans les domaines de l’énergie, de l’urbanisme, de l’habitat, de l’assainissement et de la culture. Ces accords témoignent de la volonté mutuelle de bâtir un avenir prospère et durable pour les deux nations.

Dans le domaine de l’éducation, le Togo bénéficie de l’expertise égyptienne, avec des bourses d’études universitaires offertes à ses étudiants dans les disciplines scientifiques. De plus, des programmes de renforcement des capacités en langue arabe et en théologie sont mis à disposition, ouvrant la voie à un échange culturel et académique enrichissant.

Cette rencontre entre l’ambassadeur Ahmed Mohamed Eid Moustapha Ahmed et le Président Faure Essozimna Gnassingbé n’est pas seulement symbolique, elle est le reflet d’une volonté commune de renforcer les liens diplomatiques, économiques et culturels pour le bien-être des peuples égyptien et togolais. Elle annonce une ère de collaboration fructueuse, où le partage des connaissances et le soutien mutuel seront les piliers d’une relation bilatérale florissante.

L’Afrique de l’Ouest : vers une harmonisation de la formation médicale

Lomé, le 3 octobre 2024. –Les professionnels de la santé ouest-africains se sont réunis à Lomé pour une session cruciale visant à harmoniser la formation médicale dans la région. En effet, organisée par l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS), cette 8e session ordinaire du Conseil Régional pour la Formation des Professionnels de Santé (CRFPS) se tient du 30 septembre au 4 octobre 2024.

Par conséquent, au cœur des discussions, la révision des procédures et de la durée des formations médicales s’avère être un point central. En plus, l’objectif est clair : établir des normes communes pour garantir une meilleure qualité des soins de santé dans tous les pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Ainsi, le Ministre togolais de la Santé, Pr Tchin DARRE, et le Directeur Général de l’OOAS, Dr Melchior AÏSSI, ont souligné l’importance de cette initiative dans leur discours d’ouverture, affirmant : « Il est impératif d’harmoniser nos systèmes de formation pour répondre aux défis sanitaires de notre région », a déclaré le Professeur Tchin DARRE.

Pour Dr Melchior AÏSSI, « cet atelier permettra de mettre en place des procédures uniformes garantissant une meilleure qualité des soins de santé grâce à des normes communes dans tous les pays de la CEDEAO ».

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Des avancées concrètes jour après jour

La deuxième journée a été consacrée à un travail de groupe approfondi sur l’amélioration des programmes de formation médicale et spécialisée. Les participants ont échangé sur les meilleures pratiques et ont identifié les points à améliorer pour garantir une éducation aux soins de santé cohérente et de haute qualité dans toute la région.

Le troisième jour, les discussions se sont concentrées sur la finalisation des rapports de groupe. Les participants ont travaillé sans relâche pour s’assurer que toutes les recommandations formulées soient réalistes et réalisables.

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Vers un Système de formation unifié

Ce jeudi, lors de la quatrième journée de l’atelier, les participants se consacreront à l’examen final et adopteront les recommandations. Demain, vendredi, marquant le dernier jour de la rencontre, les participants présenteront leurs travaux et prendront les décisions finales. Ces actions viseront à établir un cadre harmonisé pour l’éducation à la santé dans la région, que les pays mettront ensuite en œuvre.

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Les enjeux de cette harmonisation

En alignant les codes de déontologie et les normes de formation, les pays de la CEDEAO visent à :

  • Améliorer la qualité des soins de santé : des professionnels de santé mieux formés et plus qualifiés pourront offrir avec sécurité des soins plus efficaces et plus à la population.
  • Faciliter la mobilité de la main-d’œuvre : Des diplômes reconnus mutuellement faciliteront la circulation des professionnels de santé dans la région et permettront de répondre aux besoins en personnel dans les zones les plus démunies.
  • Renforcer la coopération régionale : Une formation harmonisée contribuera à renforcer la coopération entre les pays de la CEDEAO dans le domaine de la santé.

En bref, à l’issue de cette session, les participants devraient adopter des recommandations concrètes pour mettre en œuvre les nouvelles normes de formation. Ces recommandations seront ensuite soumises aux autorités compétentes de chaque pays pour l’adoption. Cette initiative marque une nouvelle étape dans la construction d’un espace sanitaire ouest-africain plus intégré et plus performant.

Coup dur pour le Ghana : Le Togo refuse de prêter son stade

Lomé/Accra, 2octobre 2024  –La Fédération ghanéenne de football (GFA) se retrouve dans une situation délicate à quelques jours de son match contre le Soudan dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2025. En effet, le Togo a refusé de mettre son stade Kégué à la disposition des Black Stars, privant ainsi le Ghana d’une option de réponse.

Cette décision togolaise s’explique par la volonté du pays de préserver l’état de son stade en vue de son propre match à domicile contre l’Algérie. Les sportives togolaises estiment qu’accueillir deux matchs internationaux de haut niveau dans un laps de temps très court pourrait dégrader la pelouse et les installations du Stade Kégué.

Initialement, la GFA avait identifié le Togo et la Côte d’Ivoire comme des pays susceptibles d’accueillir le match contre le Soudan, en raison de la suspension du Stade Baba Yara de Kumasi par la CAF. Le choix s’était porté sur le Togo en raison de sa proximité géographique, mais le refus des autorités togolaises oblige désormais les Ghanéens à se tourner vers la Côte d’Ivoire, leur seule option restante.

Cette situation met en évidence la difficulté pour le GHANA de trouver un stade homologué pour disputer ses matchs à domicile. Les travaux de réhabilitation des stades nationaux étant en cours, aucun d’entre eux n’est actuellement en mesure d’accueillir des rencontres internationales.

Il est désormais crucial pour la Côte d’Ivoire d’accorder son autorisation afin de permettre au Ghana de disputer ce match décisif pour la qualification à la CAN 2025. L’avenir sportif du Ghana dépend en grande partie de la solidarité de ses voisins et de la rapidité avec laquelle les autorités ghanéennes parviendront à remettre en état leurs stades.

Lomé : Le coup d’envoi de l’atelier de la société civile du PO

Lomé, 1er octobre 2024- la capitale togolaise s’est animée avec le début de l’atelier de la société civile du Partenariat de Ouagadougou. Cet événement, qui se déroulera du 1er au 3 octobre, réunit des acteurs clés de la société civile et des leaders religieux issus des neuf pays membres du Partenariat de Ouagadougou.

Par ailleurs, son objectif est de créer un espace de dialogue et d’échange sur les enjeux cruciaux de la Planification Familiale (PF) et de la Santé Reproductive dans la région. Wendwaoga Compaore, Directeur Régional Access Collaborative pour les pays francophones de Jhpiego, est parmi les participants influents qui contribueront aux différentes sessions programmées.

 L'atelier de la société civile du Partenariat de Ouagadougou a ouvert ses portes à Lomé, au Togo, pour trois jours de débats animés Dynamisme et collaboration de la société civile  à Lomé

En plus, l’atelier vise à renforcer les liens et la collaboration entre les différents acteurs, afin d’aborder ensemble les défis et les perspectives liés à la Santé Reproductive et à la Planification Familiale. Les discussions porteront sur des sujets variés, allant de l’accessibilité des services de PF à l’intégration des pratiques traditionnelles et religieuses dans les programmes de santé. Ce rassemblement est une occasion unique pour les participants de partager leurs expériences, de discuter des meilleures pratiques et d’élaborer des stratégies communes pour l’avenir.

L’importance de cet atelier ne peut être sous-estimée, car il représente un pas en avant significatif dans la lutte pour l’amélioration de la santé reproductive et le bien-être des populations dans la région. Avec la participation de figures éminentes telles que Wendwaoga Compaore, l’événement promet d’être un carrefour d’idées innovantes et de solutions pratiques qui façonneront l’avenir de la Planification Familiale en Afrique de l’Ouest.

En somme, l’atelier de Lomé témoigne de la volonté des pays membres du Partenariat de Ouagadougou de renforcer leur collaboration pour améliorer la santé reproductive et la planification familiale dans la région.