Togo : Le ministre Natchaba a eu un échange avec l’ONIT

Lomé, le 14 novembre 2024 – Dans un effort continu pour améliorer la qualité de l’enseignement supérieur au Togo, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Kanka Malik Natchaba, a tenu une réunion cruciale avec l’Ordre national des ingénieurs du Togo (ONIT) hier. En effet, cette réunion, organisée dans un esprit de coopération, avait pour but principal de débattre des moyens de renforcer la qualité de la formation des ingénieurs dans le pays.

Renforcement de l’enseignement supérieur au Togo : Le ministre Natchaba rencontre  l’ONIT

Par ailleurs, la question de l’engagement des ingénieurs dans le développement national et de leur rôle crucial aux côtés des autorités était au centre des débats. Le ministre Natchaba a souligné l’importance de l’expertise technique des ingénieurs dans la mise en œuvre des projets d’infrastructure et dans la contribution à une économie basée sur la connaissance.

Un autre point saillant de la réunion a été l’implication active de l’ONIT dans le processus de revue des curricula en cours. Le ministre a insisté sur la nécessité d’aligner les programmes d’études sur les normes internationales et sur les besoins spécifiques du marché de l’emploi togolais. L’ONIT a exprimé son engagement à travailler de concert avec le ministère pour actualiser et améliorer les curricula, assurant ainsi que les futurs ingénieurs togolais soient bien équipés pour relever les défis de demain.

Cette initiative s’inscrit dans le projet gouvernemental de modernisation de l’enseignement supérieur afin de mieux répondre aux enjeux contemporains. Le Ministre Natchaba a réaffirmé l’engagement du gouvernement à investir dans l’éducation et à soutenir les professionnels de l’ingénierie, qui sont des acteurs clés dans la réalisation des ambitions de développement du pays.

En somme, la rencontre entre le ministre Natchaba et l’ONIT marque un pas significatif vers une collaboration plus étroite entre le gouvernement et les professionnels du secteur, avec l’espoir que cette synergie se traduira par des avancées tangibles dans la qualité de l’enseignement supérieur au Togo.

Dapaong : Révolution scientifique au lycée Nassablé

Dapaong, 14 novembre 2024 – Une bouffée d’air frais vient de souffler sur l’enseignement des Sciences au Togo. Le lycée Nassablé de Dapaong, situé dans la région des Savanes à plus de 600 kilomètres de Lomé, a inauguré un laboratoire scientifique flambant neuf, fruit d’un partenariat entre le gouvernement togolais, Japan Today News et l’UNICEF Togo.

En effet, ce projet ambitieux a permis de doter l’établissement de matériel de pointe, comme des microscopes optiques équipés de caméras, offrant ainsi aux élèves une expérience d’apprentissage totalement inédite.

Kombaté Yendoubé, 17 ans, lycéen de Terminale, en a fait l’expérience en observant pour la première fois des cellules d’oignon. « C’est incroyable de pouvoir observer les cellules d’oignon à travers ce microscope ! » « Je n’aurais jamais imaginé pouvoir faire ça dans mon lycée. » « Cela me donne envie d’en apprendre encore plus sur la science et de poursuivre mes études », s’exclame Kombaté, le regard pétillant d’excitation.

Révolution scientifique au Togo : un lycée à Dapaong se modernise et offre aux élèves un accès aux équipements de pointe.Dapaong : Un tournant pour l’enseignement des Sciences

Au-delà du simple renouvellement du matériel, cette initiative vise aussi à révolutionner l’enseignement des sciences au TOGO. En effet, les disciplines STEM (Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques) sont au cœur de ce projet. Par ailleurs, cette modernisation s’inscrit dans une dynamique plus large de valorisation de l’éducation en Afrique.

En offrant aux jeunes Togolais un accès à des outils pédagogiques modernes, ce projet permet de stimuler leur curiosité et de les encourager à poursuivre des études dans les domaines scientifiques. Kombaté et ses camarades sont les premiers bénéficiaires de cette transformation. Ils pourront ainsi développer leurs compétences en matière de recherche et d’analyse et acquérir les connaissances nécessaires pour relever les défis du 21ᵉ siècle.

Révolution scientifique au Togo : un lycée à Dapaong se modernise et offre aux élèves un accès aux équipements de pointe.Un modèle pour le Togo

Le lycée Nassablé sert désormais de modèle pour les autres établissements scolaires du pays. Cette réussite démontre l’impact positif que peuvent avoir les partenariats internationaux dans le domaine de l’éducation. En offrant aux élèves des outils pédagogiques modernes et adaptés, ce projet contribue à réduire les inégalités et à offrir à tous les jeunes Togolais les mêmes chances de réussite.

En somme, les perspectives ouvertes par cette initiative sont nombreuses. Les élèves du lycée Nassablé, à présent équipés pour mener des expériences scientifiques de qualité, pour devenir les futurs chercheurs et innovateurs du Togo. Le Togo, en investissant dans ses infrastructures scolaires et en favorisant les partenariats internationaux, démontre sa volonté de former une nouvelle génération de scientifiques et d’ingénieurs.

 

Le Togo ouvre les portes de la formation aux énergies renouvelables

Lomé, le 17 octobre 2024. – Une nouvelle ère s’ouvre pour la jeunesse togolaise. L’Institut de Formation en Alternance pour le Développement (IFAD) dédié aux énergies renouvelables a officiellement lancé, ce jeudi 17 octobre, ses inscriptions pour la toute première promotion.

Situé à Lomé, cet établissement de formation a pour ambition d’ancienne une nouvelle génération de professionnels qualifiés dans le domaine des énergies renouvelables, un secteur en plein essor au Togo. Par ailleurs, les futurs apprentis, âgés de 16 à 29 ans et titulaires d’un BEPC, seront immergés pendant trois ans dans les arcanes de la technologie solaire, photovoltaïque et thermique.

« C’est une opportunité en or pour les jeunes Togolais de se former dans un domaine d’avenir et de contribuer ainsi au développement durable de notre pays », a déclaré Commi Nassini, directeur général adjoint de l’Agence Éducation-Développement (AED), lors d’une conférence de presse.

Une formation pratique et complète en énergies renouvelables

Les apprenants bénéficieront d’une formation alliant théorie et pratique. Ils disposeront ainsi des outils nécessaires pour réaliser eux-mêmes des installations solaires photovoltaïques de A à Z, en passant par le dimensionnement et jusqu’à la maintenance.

« Nous avons mis en place des équipements de pointe pour offrir aux apprenants les meilleures conditions d’apprentissage », a souligné Katabale Assima-Kodjovi, directrice générale de l’IFAD Bâtiment & ENR, lors de la visite des locaux.

Comment s’inscrire ?

Pour postuler, les candidats doivent constituer un dossier et le déposer dans l’un des FIDA suivants : aquaculture à Elavagnon, élevage à Barkoissi ou bâtiment à Lomé, quartier Adidogomé. Les inscriptions sont également possibles en ligne sur le site Web de l’AED.

Un enjeu majeur pour le développement du Togo

En bref, la formation aux énergies renouvelables est un enjeu crucial pour le TOGO, qui cherche à diversifier son mix énergétique et à réduire sa dépendance aux énergies fossiles. En formant de nouveaux talents dans ce domaine, le pays pose les bases d’un développement durable et favorise l’émergence d’un secteur économique porteur d’emplois.

 

Lomé : Le CI2L forme la nouvelle génération d’interprètes de conférence

Lomé, 15 octobre 2024 – Le Centre International de Langues (CI2L) de l’Université de Lomé a franchi une nouvelle étape en ouvrant, lundi 14 octobre, les portes de sa deuxième promotion de Master professionnel en interprétation de conférence. Cet événement marque un tournant important pour l’institution et pour le Togo, qui se positionne ainsi comme un acteur majeur dans la formation des professionnels de la communication internationale.

La cérémonie d’ouverture, rehaussée par la présence de personnalités académiques et de représentants d’organisations internationales telles que l’ONU, a été l’occasion de souligner l’importance de cette formation. Par ailleurs, cette formation vise à former des professionnels capables de traduire non seulement des mots, mais aussi des idées et des cultures.

« L’université de Lomé est fière de contribuer à la formation de cette nouvelle génération d’interprètes de conférence. » « Nous sommes déterminés à accompagner nos étudiants tout au long de leur parcours. » Le Professeur Komlan Batawila, 1ᵉʳ vice-président de l’Université de Lomé, a ainsi rappelé l’engagement de l’institution à accompagner les étudiants tout au long de leur parcours.

Le CI2L lance sa 2ème promotion de master en interprétation de conférence, ouvrant les portes d'une carrière internationale.Un métier exigeant, mais porteur d’avenir

Les formatrices, mesdames Clare Donovan (ESIT Paris III Sorbonne) et Marie Duir (ONU-Genève), ont rappelé aux étudiants les exigences de ce cursus intensif. Si l’apprentissage est exigeant, il ouvre les portes d’une carrière passionnante et prometteuse au sein d’organisations internationales comme les Nations Unies. En outre, le directeur du CI2L a félicité les 16 étudiants pour leur succès aux tests de sélection et les a encouragés à profiter de cette occasion exceptionnelle. Il a exprimé sa conviction que ces étudiants relèveraient tous les défis liés à la formation.

Un partenariat fructueux avec l’ONU

Le partenariat entre le CI2L et l’ONU constitue un atout majeur pour cette formation. En effet, il permet aux étudiants de bénéficier d’un enseignement de haut niveau dispensé par des experts reconnus dans le domaine de l’interprétation de conférence. De plus, les lauréats auront l’opportunité de participer à des ateliers de formation organisés par l’ONU-Genève et de réaliser des stages auprès d’interprètes expérimentés.

Répondre à un besoin croissant

La formation d’interprètes de conférence répond à un besoin croissant dans un monde dans lequel la communication interculturelle est essentielle. Les diplômés de ce Master seront en mesure de faciliter le dialogue entre les nations et de contribuer à une meilleure compréhension mutuelle.

Le CI2L: Un rayonnement international pour l’Université de Lomé

Ce Master professionnel contribue à renforcer le rayonnement international de l’Université de Lomé. En formant des interprètes de conférence hautement qualifiés, l’institution répond à un besoin croissant sur le marché de l’emploi et contribue à renforcer le dialogue interculturel.

Les enjeux de l’interprétation de conférence

L’interprétation de conférence est une profession exigeante qui requiert non seulement une maîtrise parfaite de plusieurs langues, mais également des compétences en communication, en analyse et en synthèse. Les interprètes de conférence jouent un rôle essentiel dans la facilitation des échanges internationaux, en permettant à des personnes de cultures et de langues différentes de communiquer efficacement.

En conclusion, l’ouverture de la deuxième promotion du Master professionnel en interprétation de conférence du CI2L marque une nouvelle étape dans le développement de l’enseignement supérieur au Togo. Cette formation, qui bénéficie d’un partenariat étroit avec l’ONU, offre aux étudiants l’opportunité de se former aux plus hauts standards internationaux et de contribuer ainsi au développement de la communication interculturelle.

 

L’ENS d’Atakpamé recrute de nouveaux enseignants : Une opportunité pour la jeunesse togolaise

Atakpamé, le 8 octobre 2024 – L’École normale supérieure (ENS) d’Atakpamé lance un appel à candidatures pour recruter une nouvelle génération d’enseignants du premier cycle. En effet, cette initiative, annoncée par le ministère de l’Enseignement supérieur, vise à renforcer le corps enseignant du pays et à améliorer la qualité de l’éducation.

Par ailleurs, l’ENS d’Atakpamé invite les bacheliers togolais de toutes séries (A, C, D, E) à postuler. Les dossiers de candidature, dont les modalités sont détaillées sur le site de l’ENS d’Atakpamé et dans la presse nationale, seront reçus du 9 au 25 octobre 2024.

Les futurs enseignants bénéficieront d’une formation de trois ans, alignée sur le système Licence-Master-Doctorat (LMD), et aboutissant à l’obtention d’une Licence professionnelle d’enseignement (LPE). Les matières proposées sont diverses et englobent les principales matières enseignées au secondaire : anglais, français, histoire-géographie, mathématiques, physique-chimie et technologie, ainsi que les sciences de la vie et de la terre.

Cette ouverture de l’ENS d’Atakpamé s’inscrit dans le cadre des réformes entreprises par le gouvernement pour moderniser le système éducatif togolais. En offrant une formation initiale de qualité aux futurs enseignants, les autorités visent à améliorer les compétences pédagogiques des enseignants et à renforcer le système éducatif dans son ensemble.

Cette nouvelle session de recrutement à l’ENS d’Atakpamé offre une belle opportunité pour les jeunes Togolais désireux de se consacrer à l’enseignement. En formant de nouveaux enseignants qualifiés, le Togo investit dans son avenir et pose les bases d’un système éducatif plus performant.

Togo : L’ONU et les universités s’unissent pour un avenir meilleur

Lomé , le 26 septembre 2024-  Un tournant majeur vient d’être franchi dans le paysage éducatif et de la recherche au Togo. Les universités de Lomé et de Kara, en partenariat avec le Système des Nations Unies (SNU), ont signé, le 25 septembre dernier, un nouvel accord-cadre qui ouvre de nouvelles perspectives pour le développement du pays.

En effet, lors de la cérémonie solennelle, le Professeur Adama Mawulé Kpodar, au nom des universités publiques du Togo, a rendu un hommage appuyé à l’équipe-pays des Nations Unies pour son soutien indéfectible.  » Cette nouvelle convention, qui s’inscrit dans la perspective des Objectifs de Développement Durable pour 2030, symbolise notre engagement commun et renouvelé envers le progrès éducatif « . En plus, le Président Kpodar a exprimé son engagement total à participer activement au développement du Togo, mettant en évidence l’importance de la collaboration pour l’avenir du pays.

Un nouvel accord entre les universités togolaises et le système des Nations Unies vise à améliorer la qualité de l'enseignement supérieur Un partenariat renforcé au service du développement

Par ailleurs,  Ce partenariat renouvelé vise à renforcer la coopération entre les universités togolaises et les agences onusiennes, afin de favoriser l’émergence d’une nouvelle génération de chercheurs et d’entrepreneurs. Les actions prévues s’articulent autour de plusieurs axes :

  • Formation et recherche : développement de programmes de formation adaptés aux besoins du marché du travail, encouragement de la recherche scientifique et soutien à la création de cours en ligne.
  • Leadership et entrepreneuriat : développement des compétences en leadership et soutien à la création de start-ups.
  • Atteinte des ODD : contribution des universités à l’accélération des Objectifs de Développement Durable.

Un nouvel accord entre les universités togolaises et le système des Nations Unies vise à améliorer la qualité de l'enseignement supérieur Des investissements fructueux pour les universités du Togo

Depuis 2019, le SNU a déjà investi plus de 3 milliards de FCFA dans le cadre de son partenariat avec les universités togolaises. Ces investissements ont permis de réaliser des projets concrets tels que la création d’un pôle d’innovation et de technologie à l’Université de Lomé, l’équipement de laboratoires de recherche et le développement de nouveaux programmes de formation.

Un avenir

En outre, ce nouveau partenariat entre les universités togolaises et le SNU ouvre de nouvelles perspectives pour le développement du pays. En mettant sur l’éducation, la recherche et l’innovation, le Togo pourra relever les défis du 21ème siècle et renforcer sa position sur la scène internationale.

Les défis à relever

Si les perspectives sont prometteuses, les défis restent à relever. La mise en œuvre de cet accord nécessitera une mobilisation importante de ressources humaines et financières. Il sera également essentiel de s’assurer que les résultats de la recherche soient valorisés et mis au service du développement du pays.

En conclusion, la signature de ce nouvel accord marque une étape importante dans le développement des universités togolaises et dans le renforcement du partenariat entre le Togo et le Système des Nations Unies. Ce partenariat promet de porter ses fruits et de contribuer à faire du Togo un pays plus performant et plus durable.

117 Togolais décrochent une bourse au Maroc

Lomé, Togo – Dans un effort continu pour promouvoir l’éducation supérieure et le développement des compétences spécialisées, la Direction des bourses et stages (DBS) du Togo a officiellement annoncé les résultats de la sélection des bacheliers pour les prestigieuses bourses d’études au Maroc. Le lundi 16 septembre 2024, un total de 117 candidats chanceux ont été déclarés bénéficiaires de cette opportunité académique pour l’année 2024-2025. Ces résultats sont le fruit d’un processus de sélection rigoureux qui a débuté avec un appel à candidatures en avril de cette année.

La coopération Togo-Maroc se renforce : 117 étudiants togolais bénéficient de bourses pour poursuivre leurs études au Maroc.Vers l’excellence : des jeunes Togolais partent étudier dans les domaines techniques au Maroc

En plus, les bourses, fournies par l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI), visent à soutenir les étudiants dans des domaines essentiels à la croissance et au progrès du Togo. Les disciplines ciblées incluent l’ingénierie, les sciences, la médecine, l’agriculture, l’informatique et l’architecture, reflétant une stratégie éducative alignée sur les besoins de développement du pays. Cette initiative s’inscrit aussi  dans une série d’actions entreprises par le gouvernement togolais pour renforcer les capacités nationales et répondre aux exigences d’un marché du travail en évolution.

En parallèle, la DBS rappelle que d’autres programmes de bourses sont également accessibles, notamment ceux offerts par le Commonwealth et le Japon, témoignant de la diversité des opportunités disponibles pour les étudiants togolais. Depuis 2021, les autorités ont déployé des efforts significatifs pour améliorer le système de suivi et la gestion des bourses. Ces mesures garantissent une distribution équitable et transparente des ressources éducatives.

Ces bourses marocaines représentent non seulement une chance pour les étudiants de poursuivre une formation de haut niveau à l’étranger, mais aussi une passerelle vers le renforcement des liens bilatéraux entre le Togo et le Maroc. En investissant dans l’éducation de sa jeunesse, le Togo espère voir émerger une nouvelle génération de professionnels qualifiés, prêts à contribuer activement au développement socio-économique du pays.

En bref, la cérémonie officielle de remise des bourses aura lieu le mois prochain, marquant le début d’un nouveau chapitre dans la vie de ces étudiants. Pour beaucoup, c’est l’accomplissement d’un rêve et le début d’un voyage qui façonnera leur avenir et, potentiellement, l’avenir de leur nation.

 

Lomé : La Première Ministre aux côtés des élèves pour la rentrée

 Lomé, le 17 septembre 2024 – Dans une démarche qui souligne l’importance de l’éducation dans le développement national, la Première Ministre du Togo, Victoire Dogbe, a effectué une visite remarquée au Lycée de Tokoin 2 et au CEG Agoè-Nyivé-Ouest ce lundi. À l’occasion de la rentrée scolaire, elle a transmis les vœux du gouvernement pour une année fructueuse et a exhorté les élèves à s’investir pleinement dans leurs études.

 La Première Ministre du Togo, Victoire Dogbe, a visité le Lycée de Tokoin 2 et le CEG Agoè-Nyivé-Ouest, encourageant élèves et enseignantsS’adressant à une assemblée d’élèves attentifs, Mme Dogbe a rappelé que l’éducation est le pilier de l’avenir et a insisté sur la nécessité de redoubler d’efforts pour atteindre l’excellence. « Notre gouvernement accorde une grande importance à l’éducation, et il va fournir les ressources nécessaires pour assurer votre succès » a-t-elle déclaré.

La Première Ministre a également adressé un message d’encouragement aux enseignants et aux parents, reconnaissant leur rôle essentiel dans le soutien des élèves. Elle a souligné que le travail d’équipe entre élèves, enseignants et parents est crucial pour créer un environnement propice à l’apprentissage.

 La Première Ministre du Togo, Victoire Dogbe, a visité le Lycée de Tokoin 2 et le CEG Agoè-Nyivé-Ouest, encourageant élèves et enseignants Le ministre a également  effectué une inspection des cantines scolaires afin d’évaluer les conditions de travail du personnel et d’hygiène des locaux. Elle  a saisi cette occasion pour rencontrer les cuisinières et leur prodiguer des conseils en vue d’optimiser le service de restauration scolaire pour cette nouvelle année.

En conclusion de sa visite, Mme Dogbe a exprimé sa confiance dans la jeunesse togolaise, affirmant que le gouvernement compte sur leur détermination et leur discipline pour mener le pays vers un avenir prospère. « Soyez appliqués, curieux, déterminés et disciplinés. Visez l’excellence, car c’est par le travail et l’effort que vous atteindrez le succès », a-t-elle conclu, suscitant une vague d’optimisme parmi les jeunes présents.

La sécurité, priorité de la rentrée scolaire selon le ministre

Lomé, 17 septembre 2024 – Alors que les écoles s’apprêtent à accueillir des milliers d’élèves pour la nouvelle année scolaire, le Ministre de la Sécurité et de la Protection Civile, Calixte Batossie Madjoulba, a pris la parole pour souligner l’importance de la discipline, du respect et de l’assiduité dans le parcours éducatif des jeunes Togolais. 

Une rentrée scolaire sereine et enrichissante : les promesses du ministre

Dans un discours empreint d’optimisme, le ministre a exprimé ses vœux de réussite et d’épanouissement pour tous les élèves, rappelant que ces valeurs sont cruciales non seulement pour leur réussite académique mais aussi pour leur intégration harmonieuse dans la société.

Le ministre a également appelé à l’union des efforts pour garantir un environnement paisible et sécurisé, favorable à l’apprentissage et au développement personnel des enfants. Il a insisté sur l’importance d’inculquer aux jeunes les principes du vivre-ensemble et de maintenir la tranquillité dans les établissements scolaires et leurs environs.

Face à la recrudescence des accidents, Calixte Batossie Madjoulba a insisté sur le caractère collectif de la sécurité routière. Il a appelé à une mobilisation générale pour protéger les enfants, notamment aux abords des écoles. En rappelant les récents drames, il a exhorté chacun à adopter des comportements responsables sur la voie publique

Afin de prévenir les accidents de la route, dans un contexte marqué par une intensification du trafic routier, notamment avec la rentrée scolaire, le ministre togolais a réaffirmé l’engagement des autorités à améliorer la sécurité routière. Il a appelé à une synergie d’actions entre les différents acteurs pour protéger les élèves et a souligné que la sécurité routière est désormais une priorité nationale.

En appelant à la responsabilité de chacun, le ministre Madjoulba marque l’engagement du Togo à faire de la sécurité routière une priorité. En plaçant l’éducation au cœur de cette démarche, il témoigne de la volonté du pays d’offrir à ses enfants un avenir où la sécurité est une valeur fondamentale.

 

La rentrée scolaire lancée en grande pompe dans les Lacs 1

Lacs 1, 16 septembre 2024 – Le coup d’envoi de la nouvelle année scolaire 2024-2025 a été donné ce lundi au Togo, avec une attention particulière portée sur la commune des Lacs 1. Une délégation ministérielle de haut niveau, conduite par Jean -Marie TESSI, ministre de l’Accès Universel aux Soins, s’est rendue sur place pour marquer l’importance accordée par le gouvernement à l’éducation.

Accompagné de ses collègues Mila Mawougno AZIABLE et Isaac TCHIAKPE, respectivement ministres de l’Eau et de l’Assainissement et de l’Enseignement technique, le ministre TESSI a connu un chaleureux accueil de la part des autorités locales et des acteurs de l’éducation. Au nom du président Faure Essozimna GNASSINGBE, il a souligné l’engagement du gouvernement à offrir à tous les enfants togolais un accès à une éducation de qualité.

Une délégation ministérielle conduite par Jean-Marie TESSI a marqué le coup d'envoi de la rentrée scolaire 2024-2025 dans les Lacs 1,Des dons pour équiper les écoles

Cette visite a été l’occasion pour le gouvernement de remettre du matériel pédagogique aux écoles de la commune. Les élèves ont reçu des manuels scolaires, des fournitures et d’autres équipements pour améliorer leurs conditions d’apprentissage.

Le maire de la commune des Lacs 1, Me Alexis Coffi AQUEREBURU, a exprimé sa gratitude envers le chef de l’État pour cette attention particulière portée à sa commune. Il a souligné que cette initiative vient compléter les efforts locaux en faveur de l’éducation, notamment l’électrification récente d’une école.

Une délégation ministérielle conduite par Jean-Marie TESSI a marqué le coup d'envoi de la rentrée scolaire 2024-2025 dans les Lacs 1,Un message pour les élèves et les parents 

Dans son message, le ministre TESSI a exhorté les élèves à redoubler d’efforts pour réussir leurs études. Il a également appelé les parents à jouer pleinement leur rôle dans la réussite scolaire de leurs enfants.

Mme Glwadys ABIKI, porte-parole des parents d’élèves, a remercié le chef de l’État, le maire et le corps enseignant pour leur soutien à l’établissement. Elle a également engagé les parents à veiller à ce que leurs enfants utilisent correctement les manuels scolaires.

Une délégation ministérielle conduite par Jean-Marie TESSI a marqué le coup d'envoi de la rentrée scolaire 2024-2025 dans les Lacs 1,Une rentrée réussie

La délégation ministérielle a ensuite visité le lycée technique professionnel Aného-Glidji pour s’assurer du bon déroulement de la rentrée scolaire. Les autorités ont constaté avec satisfaction que les élèves avaient repris le chemin des classes dans de bonnes conditions.

En bref, cette rentrée scolaire 2024-2025 marque une nouvelle étape dans la politique éducative du Togo. Le gouvernement, à travers ces actions concrètes, démontre ainsi  sa volonté de faire de l’éducation un levier de développement pour le pays.

Togo : Natchaba souligne les progrès de l’enseignement supérieur  

Lomé, Togo – Dans le cadre prestigieux de l’Université de Lomé, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Kanka-Malik Natchaba, a pris la parole pour ouvrir officiellement le cours régional de politique commerciale organisé par la World Trade Organization (WTO).

Avec une fierté palpable, le Ministre a salué l’événement comme une incarnation du narratif togolais, célébrant les réformes entreprises pour le développement et le rayonnement du Togo dans divers domaines, notamment l’enseignement supérieur et la formation des cadres.

Le Ministre Kanka-Malik Natchaba a souligné les réformes de l’enseignement et l'engagement du Togo envers un commerce mondial équitableLe choix de l’Université de Lomé comme hôte de cette formation illustre la vision du Président Faure Essozimna GNASSINGBE pour un Togo résolument tourné vers l’international. Cette reconnaissance est le fruit d’une politique d’ouverture et d’excellence qui positionne le pays comme un acteur clé sur la scène mondiale.

Le Ministre Natchaba a également mis en avant les investissements significatifs réalisés au sein de l’université, soulignant l’importance de poursuivre ces efforts pour obtenir des résultats toujours plus probants. Ces investissements sont un engagement envers l’éducation et la recherche, secteurs vitaux pour l’avenir du pays.

En conclusion, le Ministre a exprimé sa gratitude envers l’OMC pour sa confiance et a invité l’organisation à continuer de promouvoir un commerce mondial plus juste. Il a souligné l’importance d’une telle démarche pour les pays africains, souvent confrontés à des défis uniques sur le marché international. Cette prise de position réaffirme l’engagement du Togo en faveur d’une intégration économique mondiale qui bénéficie à tous, en particulier aux nations en développement.

Calendrier scolaire 2024-2025 : Les dernières évolutions

Lomé, le 13 septembre 2024- L’année académique 2024-2025 se dessine avec précision suite à l’annonce officielle des ministres de l’éducation. En effet, Les établissements préscolaires, primaires et secondaires font l’objet d’un démarrage unifié le 16 septembre, ce qui représente une étape cruciale pour les élèves et les professeurs. Cette décision conjointe, qui couvre l’ensemble du secteur éducatif, révèle un calendrier bien structuré, promettant une année organisée et productive.

Les ministères ont organisé l’année scolaire de manière à  optimiser le temps d’apprentissage et garantir des périodes de repos essentielles au bien-être des élèves. Les congés de détente, une initiative récente, sont reconduits, témoignant de l’attention portée à l’équilibre entre le travail et la détente. Les vacances traditionnelles de Noël et de Pâques sont également maintenues, offrant des moments de répit durant l’année.

Les grandes vacances, du 11 juillet au 14 septembre, offrent une pause substantielle avant la reprise des cours le 15 septembre 2025. Cette période est cruciale pour les élèves, leur permettant de se ressourcer et de se préparer pour la nouvelle année scolaire. Pour l’enseignement supérieur, Le ministre concerné déterminera les dates spécifiques, assurant ainsi une gestion adaptée à ce niveau d’éducation.

Les apprenants en alternance, les apprentis et les professionnels en formation continue bénéficieront de leurs propres calendriers, une flexibilité nécessaire pour répondre aux exigences de leurs parcours diversifiés. Cette approche différenciée souligne l’importance d’une pédagogie adaptative, capable de répondre aux besoins variés des étudiants.

En somme, le calendrier de l’année académique 2024-2025 est le reflet d’une volonté de concilier exigences éducatives et bien-être des élèves. Il s’agit d’une organisation qui témoigne de la maturité et de l’engagement des ministères envers une éducation de qualité, accessible et équilibrée pour tous.

L’éducation, un levier pour l’autonomisation des filles à Tchamba 1

Tchamba 1, Togo – Ce 13 septembre 2024 restera gravé dans la mémoire des habitants de Tchamba 1, un jour où l’excellence académique des jeunes filles a été célébrée avec faste. En effet, dans une ambiance festive, le Ministère des Enseignements Primaire et Secondaire a célébré le succès de 101 élèves, qui ont brillamment franchi les étapes du CEPD et du BEPC

Le MEPS de Tchamba 1 récompense les jeunes filles les plus brillantes, soulignant ainsi l'importance de l'excellence académique au féminin.Un pas de plus vers l’égalité des genres : des cartables pour toutes les filles

Cette initiative conjointe avec la sensibilisation des acteurs de l’éducation sur l’importance de l’éducation de la jeune fille,  s’inscrit dans le cadre du Projet d’Amélioration de la Qualité et de l’Équité de l’Éducation de Base (PAQEEB). Cette distinction est un signal fort : elle témoigne aussi de l’engagement du gouvernement à investir dans l’avenir des filles et à leur offrir les mêmes opportunités que les garçons.

Les lauréates, dont 71 pour le BEPC et 30 pour le CEPD, ont reçu des prix symboliques mais significatifs: des sacs d’écolier, des dictionnaires, des cahiers, des livres, des ensembles géométriques, des crayons de couleurs, et pour celles qui franchissent le seuil du lycée, des calculatrices. Ces outils ne sont pas de simples cadeaux; ils sont les instruments d’une éducation promise et d’un avenir construit sur la connaissance et l’autonomisation.

Le MEPS de Tchamba1 récompense les jeunes filles les plus brillantes, soulignant ainsi l'importance de l'excellence académique au féminin.Celebration de l’excellence à Tchamba 1

Madame Françoise SIMALA, responsable de la cellule genre au MEPS, a souligné l’importance historique de cette démarche: « Depuis la nuit des temps, nos croyances et pratiques culturelles ont souvent relégué l’éducation de la jeune fille au second plan. Aujourd’hui, nous renversons cette tendance en célébrant et en encourageant nos filles à poursuivre leur quête de savoir. » Ces mots résonnent comme un appel à l’action pour continuer à briser les barrières qui entravent l’accès à l’éducation pour les filles.

Le Préfet de Tchamba, El-Hadj Issaka LAGUEBANDE, a réitéré l’importance de l’éducation comme pierre angulaire du développement et de l’égalité. « L’éducation de la jeune fille est au cœur de nos préoccupations. C’est à nous, acteurs de l’éducation, y compris les parents, de soutenir et de nourrir cette vision, » a-t-il déclaré, soulignant le rôle crucial de la communauté dans l’accompagnement de ces jeunes esprits.

Le MEPS de Tchamba1 récompense les jeunes filles les plus brillantes, soulignant ainsi l'importance de l'excellence académique au féminin.Monsieur Ousmanou KATAFARA, maire de la commune de Tchamba 1, a exprimé sa gratitude envers le MEPS pour son initiative louable. Il a également formulé des vœux de succès continu pour les lauréates, les encourageant à briller encore plus lors des prochains défis académiques.

En somme, au-delà de la célébration des résultats scolaires, cette journée souligne l’importance cruciale de l’éducation des filles dans l’évolution de notre société. Les efforts conjugués du MEPS et de la préfecture de Tchamba témoignent de leur volonté de garantir à toutes les filles ont accès à un enseignement de qualité, afin de leur permettre de s’épanouir pleinement et de contribuer activement au développement de leur communauté .

Plus de 45 000 candidats au CFA au Togo : un pari sur l’avenir

Lomé, le 11 septembre 2024 – L’avenir professionnel de milliers de Togolais se joue en ce moment. Plus de 45.772 candidats, dont une majorité de femmes, sont présentés aux examens du Certificat de Fin d’Apprentissage (CFA). Un record qui témoigne de l’attractivité de la formation professionnelle au Togo.

Les examens du CFA au Togo

Les centres d’examen sont en effervescence. Répartis en 57 spécialités diverses, allant de la couture à la mécanique, en passant par la coiffure, ces candidats représentent l’avenir de l’artisanat et des métiers spécialisés dans le pays. Armés de leurs outils et de leurs connaissances, des milliers de jeunes tentent ainsi de décrocher le précieux sésame qui leur ouvrira les portes du monde du travail.

Par ailleurs, cette mobilisation massive est le fruit d’une politique volontariste du gouvernement togolais qui a fait de la formation professionnelle l’une de ses priorités. Les ministres de l’Apprentissage, Issac Tchiakpé, et de l’Artisanat, Mme Kayi Mivedor-Sambiani, ont d’ailleurs tenu à se rendre sur le terrain pour encourager les candidats et s’assurer du bon déroulement des épreuves. Leur présence au lycée technique Adidogomé, au lycée Agoè et au centre de la Société générale des moulins du Togo (SGMT) en  témoigne.

« Nous voulons former suffisamment de jeunes qualifiée, capable de saisir les opportunités qui se présentent », a déclaré le ministre Tchiakpé. Une ambition qui répond à un enjeu majeur : lutter contre le chômage et favoriser le développement économique du pays.

Pour la ministre Mivedor-Sambiani, cette forte participation est le signe d’une prise de conscience collective : « Les jeunes Togolais ont compris que la formation professionnelle est un véritable tremplin vers l’emploi ». La ministre a également  exprimé sa satisfaction quant aux conditions de démarrage des examens, reflétant l’efficacité du dispositif mis en place par le ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.

En bref, Ces examens du CFA marquent un tournant pour le Togo. En misant sur la formation professionnelle, le pays investit dans son avenir. Les jeunes diplômés seront les artisans de ce développement, apportant leurs compétences et leur dynamisme à l’économie nationale.

Togo : La rentrée scolaire 2024-2025 s’annonce sous le signe de la modernisation

Lomé, le 10 septembre 2024 – Le Togo a entamé, ce lundi 9 septembre, la rentrée pédagogique de tous les personnels d’encadrement scolaire. En effet, cette tradition, instaurée depuis 2020, vise à préparer au mieux le démarrage de l’année scolaire et à assurer une continuité pédagogique.

Une semaine consacrée à la formation et à l’innovation

Pendant une semaine, enseignants, inspecteurs et conseillers pédagogiques vont suivre des formations intensives sur les dernières méthodes pédagogiques et les nouveaux outils numériques. En plus,  l’objectif est de doter les enseignants des compétences nécessaires pour faire face aux défis de l’éducation moderne et d’améliorer la qualité de l’enseignement.

« Il s’agit de rappeler aux collègues la mission essentielle de l’enseignant et de les outiller pour réussir cette mission », a souligné Esso Assiah, inspecteur des enseignements préscolaires et primaires.

Les priorités du ministère pour cette année

Dans une note envoyée régulièrement aux responsables éducatifs, le ministre Dodzi Kokoroko a fixé les grandes orientations pour l’année scolaire 2024-2025. Au cœur de ces orientations : la poursuite de la modernisation du système éducatif.

« Les actions entamées pour une école moderne se poursuivront », a-t-il affirmé. Le ministre a également insisté sur l’importance d’un engagement collectif de tous les acteurs de l’éducation pour atteindre les objectifs fixés.

Les enjeux de cette rentrée scolaire

Par ailleurs, Cette rentrée scolaire s’inscrit dans un contexte marqué par les avancées technologiques et les nouveaux défis de l’éducation. Les enseignants sont appelés à s’adapter à ces changements et à proposer des enseignements plus dynamiques et plus adaptés aux besoins des élèves.

Parmi les enjeux de cette année, on peut citer :

  • La généralisation des outils numériques : Les tablettes, les vidéoprojecteurs et les logiciels éducatifs sont de plus en plus présents dans les classes.
  • Le développement des compétences clés : Les élèves doivent posséder des compétences telles que la créativité, la collaboration et la résolution de problèmes.
  • La lutte contre l’illettrisme et le décrochage scolaire : Des programmes spécifiques seront mis en place pour accompagner les élèves en difficulté.

En conclusion, cette rentrée pédagogique marque une nouvelle étape dans la modernisation du système éducatif togolais. En dotant les enseignants des outils et des compétences nécessaires, le gouvernement vise à améliorer la qualité de l’enseignement et à offrir aux élèves les meilleures chances de réussite.

L’Université de Lomé forme les futurs négociateurs africains

Lomé, le 10 septembre 2024 – L’Université de Lomé s’affirme une fois de plus comme un pôle d’excellence en matière de commerce international. En accueillant pour la deuxième fois consécutive le Cours Régional de Politique Commerciale (CRPC) de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), l’établissement togolais confirme son rôle de leader dans la formation des futurs décideurs économiques de la région.

Un programme intensif pour une meilleure compréhension du commerce mondial

Du 9 septembre au 1er novembre, 24 participants issus de 15 pays africains bénéficieront d’un programme intensif conçu pour approfondir leurs connaissances des règles et enjeux du commerce international. Au cœur des échanges : les accords de l’OMC, le contexte spécifique de l’Afrique et les liens entre commerce et développement.

« Cette nouvelle session du CRPC est une formidable opportunité pour les pays africains de renforcer leurs capacités en matière de négociation commerciale », explique le président de l’université Professeur Adama Mawulé KPODAR. « L’Université de Lomé, avec son expertise et ses infrastructures, offre un cadre idéal pour ces échanges. »

L’Université de Lomé, un acteur clé de la formation en Afrique

Le choix de l’Université de Lomé pour accueillir ce cours n’est pas un hasard. en effet, l’établissement a su convaincre l’OMC par la qualité de ses formations, la compétence de ses enseignants-chercheurs et son engagement en faveur de l’intégration économique régionale.

« Nous sommes fiers de contribuer à la formation de futurs négociateurs commerciaux qui joueront un rôle clé dans le développement de nos économies », souligne le président . « Cette initiative s’inscrit pleinement dans notre volonté de faire de l’Université de Lomé un acteur majeur de l’intégration économique de l’Afrique. »

Des enjeux majeurs au cœur des débats

Pendant cette période de deux mois, les participants bénéficieront de formations détaillées qui leur permettront d’analyser et de méditer sur les mécanismes du système de commerce multilatéral. Ils pourront aussi acquérir des compétences cruciales pour la création de politiques commerciales et la gestion de négociations commerciales, tout cela en bénéficiant de l’accompagnement d’experts de l’Organisation Mondiale du Commerce, de représentants d’organisations régionales, ainsi que d’un corps professoral de l’Université de Lomé.

Un rendez-vous incontournable pour les acteurs économiques africains

Cette nouvelle session du CRPC est un événement majeur pour l’Afrique. Elle permettra aux participants de développer un réseau professionnel solide, de partager leurs expériences et de trouver des solutions concrètes aux défis auxquels font face leurs pays.

      En bref ,   l’Université de Lomé renforce son engagement envers l’excellence éducative en offrant un cadre propice à l’échange de connaissances et d’expériences. Ouverte à la collaboration intersectorielle, elle convie aussi  médias, institutions académiques et organisations à participer à cet événement qui s’annonce comme un carrefour d’enrichissement mutuel et de partage de savoir. Cette initiative souligne la volonté de l’université de tisser des liens étroits avec la communauté tout en favorisant un environnement propice à l’innovation pédagogique.

Togo : L’Université de Lomé et l’Université de Kara s’unissent

Lomé, le 10 septembre  2024 – Une nouvelle ère s’ouvre pour les étudiants togolais. Les universités de Lomé et de Kara ont franchi une étape décisive dans leur collaboration en harmonisant leurs cursus et en ouvrant la voie à une mobilité étudiante plus fluide.

Réunis pendant trois jours, les experts des deux établissements ont travaillé d’arrache-pied pour élaborer un cadre commun. Les résultats de ces travaux sont prometteurs : un manuel de procédures LMD  unique, une cartographie détaillée des formations et, de surcroît, des critères d’harmonisation précis. En plus les experts ont  établit les modèles de syllabus et de maquettes des formations cohérents , simplifiée la procédure d’accréditation , validé le principe de mutualisation des compétences … Autant d’éléments qui vont indubitablement faciliter la reconnaissance mutuelle des acquis et permettre aux étudiants de circuler librement entre les deux universités.

« Cette harmonisation est un véritable tournant pour nos établissements », se réjouit le Professeur Kokou Tchariè, président de l’Université de Kara. « Nous avons posé les fondements d’une coopération renforcée qui bénéficiera à tous nos étudiants. »

Pour le Professeur Adama Mawulé Kpodar, président de l’Université de Lomé, cette initiative s’inscrit pleinement dans la politique du gouvernement en matière d’enseignement supérieur. « En facilitant la mobilité, nous offrons à nos étudiants de nouvelles perspectives et nous renforçons l’attractivité de notre système universitaire. »

Les universités de Lomé et de Kara franchissent une nouvelle étape en harmonisant leurs cursus et en facilitant la mobilité étudiante Des avancées concrètes les Universités de Lomé et de Kara

Parmi les avancées majeures de ces travaux, il est louable de parler de ceux ci  :

  • L’harmonisation des programmes: Les cursus des deux universités seront désormais plus alignés, facilitant ainsi les équivalences et les poursuites d’études.
  • La simplification des procédures administratives : Les étudiants pourront également s’inscrire et suivre leurs cours plus facilement dans l’une ou l’autre université.
  • La création d’un cadre juridique solide : Un projet de texte interuniversitaire est en cours de finalisation pour réglementer la mobilité étudiante.

Les étudiants, premiers bénéficiaires

En outre , cette nouvelle dynamique est une nouvelle excellente pour les étudiants, qui pourront bénéficier d’une plus grande diversité de formations et d’un environnement d’apprentissage enrichi. « C’est une opportunité unique de découvrir d’autres horizons et de développer de nouvelles compétences », souligne un étudiant de l’Université de Lomé.

Et pour l’avenir ?

Les deux universités entendent poursuivre leurs efforts pour renforcer leur coopération. À terme, elles envisagent aussi de développer des programmes de double diplôme et de créer un véritable campus numérique partagé.

En bref, cette harmonisation des cursus et l’ouverture à la mobilité étudiante marquent une nouvelle étape dans l’histoire des universités togolaises.

Togo : La rentrée scolaire bat son plein

L’effervescence a gagné les établissements scolaires togolais. Lundi 9 septembre 2024, la rentrée pédagogique a officiellement débuté, marquant le coup d’envoi d’une nouvelle année scolaire. Enseignants, personnels administratifs et parents d’élèves sont mobilisés pour assurer une rentrée réussie.

Dans les écoles de Lomé, les préparatifs vont bon train. Les salles de classe sont nettoyées, les tableaux rénovés et les inscriptions se poursuivent. « Ça sent la rentrée et une joie m’anime », confie Akakpo Bruno , une élève impatiente de retrouver ses camarades.

Cette rentrée pédagogique est cruciale. Elle permet aux enseignants de finaliser leurs programmes et aux établissements de s’assurer que tout est en place pour accueillir les élèves dans les meilleures conditions. « Nous voulons offrir un environnement propice à l’apprentissage », explique un directeur d’école.

Le défi financier pour les parents

Si l’enthousiasme est palpable chez les élèves, la rentrée scolaire représente également un défi financier pour de nombreux parents. « Les temps sont difficiles, mais nous faisons tout pour que nos enfants puissent étudier », confie Kodjovi Antoine, père de deux élèves. Les fournitures scolaires, les uniformes et les frais d’inscription alourdissent considérablement les budgets familiaux.

Une aubaine pour les commerçants

Pour certains, cette période est synonyme de bonnes affaires. Les vendeurs de fournitures scolaires et les couturiers voient leurs caisses se remplir. « C’est la période la plus active de l’année », se réjouit une vendeuse de cartables.

En bref, avec cette rentrée pédagogique réussie, le Togo pose les bases d’une nouvelle année scolaire. Les élèves sont impatients de retrouver leurs camarades et leurs enseignants, tandis que les autorités éducatives s’engagent à offrir un enseignement de qualité.

L’UL reçoit NATCHABA : Des défis à relever ensemble

Lomé, le 4 septembre 2024 – Le nouveau ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Kanka-Malik NATCHABA, a effectué sa première visite officielle à l’Université de Lomé le vendredi 30 août dernier. Accompagné de sa directrice de cabinet Mme GAMETI Ama Dzifa et de cadres du ministère, il a été accueilli avec enthousiasme par la communauté universitaire.

Lors de cette visite, le ministre a pu prendre la température de l’université et échanger avec les différents acteurs de la communauté universitaire : le président de l’université, les responsables des différentes structures, les enseignants, les étudiants et le personnel administratif.

Le ministre NATCHABA effectue une visite de travail à l'Université de Lomé pour renforcer la collaboration et relever les défis de l'enseignement supérieur.Des échanges fructueux autour des défis et des perspectives

Les discussions ont abordé les difficultés auxquelles l’université fait face, ainsi que les perspectives d’avenir. En effet, le Professeur BALOGOU Agnon Ayelola Koffi, qui préside la commission scientifique et pédagogique, a présenté un bilan de l’Université. Par ailleurs, il a également mis en exergue les trois missions fondamentales de l’établissement.

D’autre part, le président de l’université, le professeur Adama Mawulé KPODAR, a présenté les réalisations de l’institution et souligné l’importance d’un accompagnement renforcé du ministère pour relever les défis actuels. Ainsi, pour faire face aux divers enjeux, le professeur a jugé sage de diriger les récentes initiatives gouvernementales vers des voies prometteuses, dans le but d’atteindre plus efficacement les objectifs établis dans le plan d’action du gouvernement pour ce sous-secteur spécifique.

De même, Monsieur ADJITA Akrawati Shamsidine, président de la conférence des doyens et directeurs de l’Université de Lomé, a exprimé ses félicitations au ministre lors de son discours, tout en lui affirmant le soutien et la disponibilité de son équipe pour contribuer au succès de sa mission.

Enfin, les représentants des enseignants, des étudiants et du personnel administratif ont également saisi l’occasion pour exprimer leurs préoccupations et leurs attentes. Ils ont notamment insisté sur l’amélioration des conditions de travail et de vie au sein de l’université.

Le ministre NATCHABA effectue une visite de travail à l'Université de Lomé pour renforcer la collaboration et relever les défis de l'enseignement supérieur.NATCHABA : Un engagement fort pour le développement de l’enseignement supérieur

De son côté, le ministre NATCHABA a réaffirmé son engagement à mettre en œuvre la feuille de route gouvernementale pour le développement de l’enseignement supérieur. Il a salué les efforts de l’Université de Lomé et a souligné l’importance de travailler en collaboration étroite pour relever les défis du secteur.

La visite s’est achevée par une visite des chantiers des différents centres d’excellence de l’université, témoignant ainsi de l’ambition de l’institution de se positionner comme un acteur majeur de la recherche et de l’innovation en Afrique.

En bref, cette visite marque le début d’une nouvelle dynamique pour l’enseignement supérieur au Togo. Le ministre NATCHABA a donné le ton d’une collaboration étroite entre le ministère et l’université, avec pour objectif de renforcer l’excellence académique et de former les futurs cadres du pays.

Togo : l’harmonisation des curricula et la mobilité étudiante

Lomé, le 29 août 2024 – Au cœur de Lomé, capitale du Togo, un événement historique se prépare à transformer le paysage éducatif : les universités de Lomé et de Kara s’engagent dans un processus d’harmonisation des curricula et de mobilité étudiante. Du 26 au 28 août, une rencontre décisive a eu lieu, marquant le début d’une nouvelle ère pour l’enseignement supérieur togolais.

Uniformisation et Excellence

En effet, les discussions intensives de ces trois jours ont porté sur l’uniformisation des unités d’enseignement et la mise en place de critères harmonisés pour l’attribution des diplômes. Cette initiative vise à standardiser le niveau académique et à faciliter la reconnaissance des qualifications à l’échelle nationale et internationale.

Les deux institutions prévoient d’adopter un manuel de procédures commun pour le système LMD (Licence-Master-Doctorat), ainsi qu’une cartographie détaillée des offres de formation. Ce travail collaboratif est essentiel pour assurer la transparence et la cohérence des programmes éducatifs.

Technologie et mobilité : l’intégration innovante qui redéfinit la cohérence programmatique

Un référentiel pédagogique sera créé, intégrant les nouvelles technologies et les procédures établies. Cela représente un pas en avant significatif dans la modernisation des méthodes d’enseignement et la préparation des étudiants aux défis du monde contemporain.

Les universités travailleront également à identifier les unités d’enseignement clés et à développer des outils d’évaluation et des guides pour la rédaction des syllabus. Ils formuleront des propositions concrètes pour encourager la mobilité des étudiants et pour élaborer des maquettes harmonisées, garantissant ainsi une uniformité entre les programmes des deux universités.

En plus, Komlan Batawila, premier Vice-président de l’Université de Lomé, a mis en exergue l’importance de l’initiative, affirmant qu’elle assure l’équivalence et la reconnaissance des diplômes et ouvre aux étudiants des horizons nouveaux en termes d’échanges académiques. De son côté, Kokou Tcharie, président de l’Université de Kara, a souligné l’importance de collaborer avec l’Université de Lomé afin d’enrichir la qualité des programmes éducatifs.

Harmonisation des Curricula : Un Précédent Gouvernemental

Il est important de rappeler que depuis le début de l’année académique 2023-2024, le gouvernement togolais a initié une harmonisation des curricula dans tous les établissements privés, instituant des examens d’État pour renforcer la qualité et l’uniformité de l’éducation.

En conclusion, cette collaboration entre les universités de Lomé et de Kara représente un tournant décisif pour l’enseignement supérieur au Togo, avec des implications profondes pour l’avenir académique et professionnel des étudiants togolais.

L’UL prend son envol avec le WIMI : un partenariat pour l’excellence

Lomé, le 22 août 2024 – Une nouvelle ère s’ouvre pour l’Université de Lomé. L’établissement supérieur togolais a jeté les bases d’un partenariat stratégique avec le Washington International Management Institute (WIMI), une institution américaine spécialisée dans la formation professionnelle.

Cette collaboration, dont les contours ont été définis lors d’une rencontre entre Adama Kpodar, président de l’Université de Lomé, et Bruno Mukendi, fondateur du WIMI, vise en effet à renforcer les compétences des cadres de l’université et à favoriser le développement. de l’enseignement supérieur au Togo.

Un partenariat gagnant-gagnant

Par ailleurs, ce partenariat permettra au WIMI de s’appuyer sur l’expertise de l’Université de Lomé, notamment dans certains domaines de recherche et d’enseignement. En retour, les cadres de l’université bénéficieront d’un accès privilégié aux formations du WIMI, leur permettant ainsi de renforcer leurs compétences en matière de gouvernance, de leadership et de management.

Une vision partagée

Cette alliance s’inscrit parfaitement dans la vision de l’Université de Lomé, qui ambitionne de devenir une université de référence en Afrique. « Ce partenariat va nous permettre de renforcer notre offre de formation et de mieux répondre aux besoins du marché de l’emploi », a déclaré Adama Kpodar.

Le WIMI, un acteur clé du développement

Créé en 1995, le WIMI s’est donné pour mission de soutenir les pays en développement dans leur processus de transformation. En s’associant avec l’Université de Lomé, l’institut américain contribue ainsi à renforcer le système éducatif togolais et à anciens dirigeants du pays.

En somme, ce partenariat entre l’Université de Lomé et le WIMI marque une étape importante dans le développement de l’enseignement supérieur au Togo. Il témoigne de la volonté des deux institutions de travailler ensemble pour les anciens des cadres compétents et de répondre aux défis de demain.

Togo : Des fournitures scolaires pour tous

Dans le but de garantir une rentrée scolaire 2024-2025 sereine et accessible à tous, le gouvernement togolais a organisé une rencontre stratégique avec les principaux acteurs de la distribution de fournitures scolaires. Cette réunion, présidée par Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale, a permis de discuter des enjeux liés à la disponibilité et au coût des fournitures scolaires.

Le gouvernement et le secteur privé unis pour l’approvisionnement du marché en fournitures scolaires 

Lors de cette rencontre, le gouvernement a salué la collaboration fructueuse avec les importateurs et distributeurs, qui ont su assurer l’approvisionnement du marché en fournitures scolaires, malgré un contexte économique mondial complexe.

Par ailleurs, les discussions entre les acteurs du secteur des fournitures scolaires ont abouti à des engagements significatifs pour assurer une rentrée scolaire sereine et équitable pour tous. Premièrement, la disponibilité des fournitures scolaires sera garantie, avec un engagement ferme des fournisseurs à maintenir des stocks suffisants pour répondre à la demande croissante des élèves.

Deuxièmement, la stabilité des prix sera une priorité, avec des mesures concertées pour éviter la spéculation et assurer des prix accessibles, préservant ainsi le pouvoir d’achat des familles. Finalement , les autorités renforceront le respect des normes nationales pour l’étiquetage des produits, en accordant une attention particulière à l’impression des symboles de la République. Cette mesure garantit la conformité des produits vendus avec les exigences gouvernementales.

Ces mesures reflètent une volonté collective de promouvoir l’éducation et de soutenir les familles dans la préparation de la nouvelle année scolaire.

Un partenariat au service de l’éducation

Ce partenariat entre le gouvernement et le secteur privé démontre la volonté commune de mettre l’éducation au cœur des préoccupations. En outre, cette alliance stratégique vise à démocratiser l’éducation, en assurant que les fournitures scolaires soient accessibles à tous, ce qui est un pas crucial vers l’égalité des chances pour les élèves.

De plus, cette collaboration soutient les familles en préservant leur pouvoir d’achat, notamment en s’attaquant à la problématique de l’inflation des prix. Enfin, elle renforce le sentiment national en encourageant le respect des symboles de la nation, ce qui est essentiel pour forger une identité collective forte. Ensemble, ces efforts contribuent non seulement à l’épanouissement individuel des élèves, mais aussi au développement durable de la société dans son ensemble.

Pour renforcer ce partenariat et garantir le suivi des engagements pris, les autorités compétentes renforceront les dispositifs de contrôle du marché. Cette approche collaborative permettra d’assurer une rentrée scolaire réussie et de contribuer à l’amélioration du système éducatif togolais.

Le Togo fait le point sur l’insertion professionnelle de ses diplômés

Au cœur de Lomé, la capitale togolaise, une nouvelle initiative du ministère de l’enseignement technique et de la formation professionnelle (ETFP) suscite l’intérêt.  Dans un élan de modernisation et d’évaluation, une nouvelle enquête a été lancée au Togo pour l’évaluation de l’insertion professionnelle des diplômés de l’enseignement technique et de la formation professionnelle (ETFP). En effet, cette initiative, menée par le ministère en charge de l’ETFP, vise à mesurer l’efficacité des formations dispensées et à ajuster les programmes en fonction des besoins du marché du travail.

Un suivi rigoureux des parcours professionnels

En interrogeant les diplômés de l’année 2018-2019, l’enquête permettra de suivre leur parcours cinq ans après la fin de leurs études. Les données recueillies fourniront des informations précieuses sur les taux d’emploi, les secteurs d’activité des diplômés, ainsi que sur les compétences les plus recherchées par les entreprises.

Une démarche stratégique pour améliorer l’emploi des jeunes

Selon Eke Kokou Hodin, ministre de l’ETFP, cette enquête est essentielle pour « apprécier l’efficacité externe du système éducatif et de la formation professionnelle ». Les résultats permettront ainsi d’identifier les forces et les faiblesses des formations proposées, afin d’adapter les programmes aux réalités du marché de l’emploi et d’améliorer les perspectives d’avenir des jeunes diplômés.

Un suivi régulier pour une meilleure adéquation formation-emploi

Cette enquête s’inscrit dans une démarche de suivi régulier des parcours professionnels des diplômés, mise en place par le Togo depuis plusieurs années. Les résultats des enquêtes précédentes ont déjà permis d’améliorer l’adéquation formation-emploi et d’augmenter le taux d’insertion professionnelle des jeunes.

En fournissant l’évaluation au cœur de sa politique éducative, le Togo se positionne comme un exemple pour les autres pays africains. En bref, cette approche permet de garantir que les investissements dans l’éducation portent leurs fruits et contribuent au développement économique et social du pays.

Togo : Formation agricole renforcée pour la nouvelle génération

Le Togo investit massivement dans son avenir agricole. Le gouvernement a annoncé l’ouverture des inscriptions au concours d’entrée à l’Institut national de formation agricole (INFA) de Tové. Cette décision, qui s’inscrit dans le cadre de la politique agricole rénovée du pays, vise à ancienne une nouvelle génération d’agriculteurs qualifiés et innovants.

Dix spécialités pour répondre aux défis agricoles

L’INFA de Tové, reconnu pour l’excellence de ses formations, propose désormais dix spécialités allant de l’agropastoralisme à la gestion durable des terres en passant par l’agroéquipement. Ces formations, organisées en cycles de Baccalauréat et de Licence professionnelle, visent à doter les futurs diplômés des compétences nécessaires pour relever les défis d’une agriculture moderne et durable.

En offrant 30 places en Baccalauréat et 35 en Licence, l’INFA de Tové forme les futurs acteurs clés du secteur agricole togolais. Les diplômés auront ainsi toutes les cartes en main pour trouver un emploi dans les entreprises agricoles, les coopératives, les administrations ou pour créer leur propre exploitation.

Formation agricole à Tové: Un concours ouvert à tous les jeunes togolais

Les jeunes togolais âgés de 18 à 28 ans peuvent s’inscrire au concours d’entrée. Les épreuves écrites auront lieu dans cinq villes du pays, à savoir Lomé, Kpalimé, Sokodé, Kara et Dapaong. Les intéressés doivent déposer leurs candidatures entre le 29 juillet et le 30 août.

Une réorientation stratégique pour l’INFA de Tové

Cette ouverture de nouvelles spécialités s’inscrit dans une dynamique de modernisation de l’INFA de Tové, entamée il y a quelques années. L’objectif est d’aligner les formations de l’institut sur les besoins actuels du secteur agricole et de contribuer ainsi à la sécurité alimentaire et au développement rural du Togo.

En offrant des formations de qualité et en s’adaptant aux évolutions du secteur agricole, l’INFA de Tové joue un rôle essentiel dans la construction d’un avenir plus prometteur pour le Togo. Les jeunes qui choisiront de s’engager dans cette voie auront l’opportunité de contribuer à la modernisation de l’agriculture togolaise et de participer également  à la construction d’un pays plus prospère.

Université de Lomé : Ascension fulgurante dans le Top 100 des universités africaines

Lomé, 11 juillet 2024 – L’Université de Lomé a franchi une nouvelle étape majeure dans sa quête d’excellence en se hissant dans le prestigieux classement du Top 100 des universités africaines selon UniRank 2024. Cette performance remarquable, marquée par une progression de 33 places par rapport à l’année dernière, témoigne de l’engagement du Togo à promouvoir une éducation supérieure de qualité.

Une reconnaissance de la qualité de l’enseignement et des infrastructures de Université de Lomé

Ce lien significatif dans le classement UniRank, reconnu pour son impartialité, récompense les efforts déployés par l’Université de Lomé pour améliorer la qualité de son enseignement et renforcer ses infrastructures. L’établissement répond désormais aux critères les plus exigeants en matière d’accréditation et de délivrance de diplômes, allant de la licence au doctorat.

Deuxième meilleure université francophone d’Afrique

En outre, cette ascension fulgurante positionne l’Université de Lomé comme la deuxième meilleure université francophone d’Afrique, juste derrière l’Université Cheikh Anta Diop au Sénégal. Une reconnaissance qui renforce sa réputation au niveau national et dans la sous-région, faisant d’elle un pôle d’excellence attractif pour les étudiants et les chercheurs.

Le leadership visionnaire du Professeur Dodji Kokoroko

Par ailleurs, la progression remarquable de l’Université de Lomé est largement attribuée au leadership visionnaire du Professeur Dodji Kokoroko. Sous sa présidence, l’établissement a connu des réformes majeures et des avancées notables en termes d’infrastructures, contribuant ainsi à l’amélioration de son environnement pédagogique et à son attractivité.

Une évaluation transparente et équitable

Il est important de souligner que le classement UniRank se distingue par son approche non académique, reposant sur des indicateurs web objectifs provenant de sources indépendantes. Cette méthodologie garantit une évaluation transparente et équitable des universités, offrant aux étudiants et aux acteurs du monde universitaire une référence fiable pour apprécier la performance des établissements d’enseignement supérieur.

Université de Lomé : Un modèle d’excellence pour l’Afrique

L’entrée de l’Université de Lomé dans le Top 100 africain constitue une source de fierté pour la communauté universitaire togolaise et les autorités du pays. Cette reconnaissance internationale positionne l’établissement comme un modèle d’excellence pour l’enseignement supérieur en Afrique, inspirant d’autres institutions à poursuivre une quête d’amélioration continue.

Vers de nouvelles opportunités pour les étudiants

Cette performance ouvre la voie à de nouvelles perspectives pour les étudiants de l’Université de Lomé, leur offrant un diplôme reconnu et valorisé sur le plan international. L’établissement, résolument tourné vers l’avenir, continuera à œuvrer pour renforcer son positionnement et offrir à ses étudiants une expérience d’apprentissage de qualité, leur permettant de s’épanouir et de contribuer positivement au développement de leur pays et du continent africain .

 

Togo : Maires et cadres de l’enseignement outillés pour le PSE

Kpalimé, Togo (10 juillet 2024) – Dans le cadre du renforcement de la gouvernance locale et de l’efficacité du système éducatif, une session de formation cruciale a réuni les maires et les cadres de l’enseignement des régions des Plateaux, Maritime et Grand Lomé à Kpalimé le lundi 9 juillet.

Organisée par le ministère des Enseignements Primaire et Secondaire, avec l’appui du PNUD et de l’AFD, cette formation visait à s’approprier le Plan Sectoriel de l’Éducation (PSE). En effet, l’objectif principal était de stimuler une participation plus active et éclairée des acteurs locaux dans la mise en œuvre du PSE.

En mettant l’accent sur une gestion décentralisée, la formation visait à outiller les participants avec une compréhension approfondie de leurs rôles et responsabilités dans le système éducatif.

« Nous voulons que les élus locaux maîtrisent les responsabilités qui leur reviennent dans la gouvernance du système éducatif et qu’ils intègrent les questions éducatives dans leurs plans de développement communal », a souligné Sena Yawo Akakpo Numado, secrétaire permanent du PSE.

Une session similaire est prévue pour les maires des régions Centrale, de la Kara et des Savanes, afin de tester l’engagement du gouvernement à améliorer l’éducation par une étroite collaboration avec les autorités locales.

Le PSE, cadre stratégique pour le développement du système éducatif togolais, sert de guide pour les décideurs et les acteurs éducatifs. Il s’agit d’un outil crucial pour garantir une meilleure qualité d’éducation pour tous les citoyens.

En somme, cette initiative illustre l’importance croissante accordée à l’éducation comme moteur de développement national et de prospérité à long terme. En impliquant activement les élus locaux, le Togo s’engage à créer un système éducatif plus réactif et adapté aux réalités de chaque commune.

Togo : l’IFAD, un cap sur l’employabilité et le développement des jeunes

L’ouverture des Instituts de Formation en Alternance pour le Développement (IFAD) marque un nouveau chapitre dans l’histoire de l’éducation professionnelle au Togo. Ces établissements, répartis dans des domaines clés tels que l’aquaculture, la construction et l’élevage, offrent aux jeunes Togolais une occasion unique d’acquérir des compétences recherchées et de s’intégrer dans des secteurs stratégiques pour la croissance économique du pays.

Une formation axée sur la pratique et l’employabilité

Par ailleurs, les IFAD se distinguent par leur approche pédagogique résolument orientée vers la pratique et l’employabilité. L’accent est mis sur l’acquisition de compétences techniques et professionnelles concrètes, permettant aux étudiants de s’adapter rapidement aux exigences du marché du travail. En outre,  cette démarche vise à combler le fossé souvent observé entre les cursus scolaires et les besoins du monde professionnel, en dotant les jeunes des atouts nécessaires pour réussir dans un environnement en constante évolution.

Accessibilité et inclusion au cœur du processus de recrutement du IFAD Togo

Soucieux de promouvoir l’égalité des chances, le processus de recrutement du IFAD a mis l’accent sur l’accessibilité. Les programmes s’adressent aux jeunes âgés de 16 à 30 ans, titulaires d’un BEPC, et privilégient la motivation et la passion pour le domaine d’études choisi. Commi Nassini, directeur général adjoint de l’Agence Éducation-Développement (AED), illustre cette approche inclusive en mettant en avant l’engagement personnel comme élément clé de la réussite dans ces formations.

Des formations qualifiantes et des perspectives d’avenir grâce à l’ IFAD Togo

D’une durée de trois ans, les cursus IFAD débouchent sur l’obtention d’un Baccalauréat professionnel, ouvrant la voie à de multiples opportunités professionnelles. En plus, La prise en compte du coût des formations, bien que significative, s’illustre par des options de paiement flexibles. Cette mesure reflète l’engagement de l’AED à rendre l’éducation professionnelle accessible à un plus grand nombre.

L’expansion continue du réseau IFAD, avec des projets d’instituts dédiés aux énergies renouvelables et à l’élevage, témoigne également de l’ambition nationale de développer un système d’éducation professionnelle solide et diversifié.

Un impact concret sur la vie des étudiants et l’économie locale

Le succès des premiers diplômés du IFAD en aquaculture, dont la majorité a déjà obtenu un financement pour lancer leur activité, illustre l’impact positif de ces programmes sur la vie des étudiants et sur l’économie locale. En investissant dans l’éducation et la formation professionnelle, le Togo se positionne ainsi comme un acteur de premier plan dans la promotion du développement durable et de l’autonomisation des jeunes.

En conclusion , l’initiative du IFAD, avec son approche innovante et ses résultats concrets, constitue un modèle inspirant pour les autres pays africains soucieux de relever les défis du développement économique et social.

BEPC 2024 au Togo : Taux de réussite en baisse, un système éducatif à l’épreuve

Lomé, 03 juillet 2024 – Les résultats du Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC) pour l’année 2024 ont révélé une baisse inquiétante du taux de réussite national, passant de 81% en 2023 à 48,18 % cette année. Cette contre-performance suscite des interrogations et soulève des défis majeurs pour le système éducatif togolais.

Disparités régionales et inégalités d’accès

Au-delà du taux national en baisse, les disparités régionales sont particulièrement préoccupantes. Le Grand Lomé affiche un taux de réussite de 65,85 %, tandis que les régions de Kara, Maritime, Plateaux Est et Ouest enregistrent respectivement 39,11 %, 31,27 %, 30,72 % et 28,96 %.  En plus, la région Centrale, avec un taux de 21,48 %, est la plus touchée, mettant en lumière les inégalités d’accès à l’éducation de qualité et aux ressources pédagogiques.

Les causes à identifier, des solutions à construire

Cette baisse de performance nécessite une analyse approfondie pour identifier les causes profondes. Par ailleurs, des experts évoquent des facteurs tels que l’insuffisance des infrastructures éducatives, la nécessité d’une meilleure formation des enseignants, l’adaptation des programmes d’études et un investissement accru dans les technologies éducatives. Une approche holistique est indispensable, prenant en compte à la fois les aspects académiques et le bien-être socio-émotionnel des élèves.

Mobilisation collective pour un avenir meilleur

En somme, les résultats du BEPC 2024 sonnent l’alarme et appellent à une mobilisation collective des acteurs de l’éducation. Il est urgent d’améliorer la qualité de l’enseignement, de réduire les disparités et de garantir l’égalité des chances pour tous les élèves. Le chemin vers l’amélioration sera long, mais avec une volonté commune et des efforts concertés, le Togo peut construire un avenir éducatif plus prometteur pour ses jeunes.

Togo : Colloque international sur le droit des affaires et le climat des affaires

Lomé, 3 juillet 2024 – Le 28 juin 2024, l’Université de Lomé a accueilli un événement majeur pour le monde juridique togolais : le colloque international sur le « Droit des affaires et climat des affaires au Togo ». Organisé par la prestigieuse revue « Les Mercuriales » en collaboration avec de nombreux partenaires de renom, dont l’Université de Lomé, la SCP Martial AKAKPO & Associés, la société CCT Batimat, le CIAM, la RTDAA, la Digital Team Togo et l’ Association Internationale des Étudiants Juristes (AIEJ-Togo), ce colloque a aussi  réuni des experts, des universitaires et des professionnels du droit pour une journée de réflexion et d’échanges autour des enjeux actuels du droit des affaires au Togo.

L’AIEJ-TOGO au cœur de l’organisation du Colloque

Par ailleurs, l’Association Internationale des Étudiants Juristes (AIEJ-TOGO) a joué un rôle crucial dans la réussite de ce colloque, en assurant un soutien logistique indispensable et un accueil chaleureux aux participants. Cet événement a permis à l’association de réaffirmer son engagement fort en faveur de l’éducation juridique et de la préparation des futurs juristes à relever les défis complexes du monde des affaires de demain.

Colloque international sur le droit des affaires et le climat des affaires au Togo : un succès franc pour une journée de réflexionHommage au Doyen Santos Akuete

En plus, le moment fort du colloque a été l’hommage rendu au Doyen Santos Akuete, figure emblématique du droit des affaires en Afrique et premier parrain de l’AIEJ-TOGO. Les participants ont salué sa contribution majeure au développement du droit togolais et son influence durable sur la communauté juridique du pays.

Colloque international sur le droit des affaires et le climat des affaires au Togo : un succès franc pour une journée de réflexionLe Prix Mercuriales du meilleur mémoire en droit des affaires

La finale du concours pour le « Prix Mercuriales du meilleur mémoire en droit des affaires » a également marqué les esprits. Hugues Tossou a remporté ce prix prestigieux pour ses recherches comparatives sur la cession de créance en droit OHADA et en droit français. Cette distinction met en lumière l’excellence académique et l’innovation au sein de la communauté juridique togolaise.

Des échanges riches et stimulants

En outre, les débats du colloque ont porté sur un large éventail de sujets d’actualité, tels que le cadre juridique des partenariats public-privé, l’adaptation aux crises politiques en Afrique de l’Ouest et l’impact des innovations biométriques sur le climat des affaires. Ces discussions stimulantes ont permis de mettre en lumière les enjeux majeurs auxquels le droit des affaires est confronté aujourd’hui et d’explorer des pistes de réflexion pour l’avenir.

 Colloque international : un succès collectif au service du droit des affaires togolais

En conclusion, le colloque international sur le « Droit des affaires et climat des affaires au Togo » a été un franc succès. Cette rencontre a constitué une plateforme d’échange d’idées et de connaissances précieuse pour tous les acteurs du droit des affaires togolais. Elle a également permis de célébrer le dynamisme et la richesse de la communauté juridique du pays. Le succès de ce colloque est le fruit d’une collaboration étroite entre l’ensemble des partenaires impliqués, et il démontre l’engagement collectif en faveur d’un droit des affaires moderne, performant et adapté aux besoins du Togo.

Début des épreuves du BTS au Togo : 2.046 candidats en lice

Lomé, le 1er juillet 2024 – Le coup d’envoi des épreuves écrites du Brevet de technicien supérieur (BTS) a été donné ce lundi au Togo, marquant le début d’une semaine cruciale pour 2. 046 jeunes aspirants à une qualification professionnelle. Parmi les candidates, 1. 774 sont des femmes, témoignant d’une participation féminine croissante dans ce domaine.

Une mobilisation forte malgré une légère baisse du nombre de candidats aux BTS 2024

Si le nombre de candidats est légèrement inférieur à celui de l’année dernière (2. 306), l’engouement pour le BTS reste indéniable. Par ailleurs, Les candidats, répartis dans les centres d’examen à travers le pays, abordent les épreuves avec détermination et espoir, conscients que ce diplôme est un tremplin important pour leur future carrière.

Soutien gouvernemental et perspectives d’avenir

Soucieux de soutenir et d’encourager les candidats, le professeur Ihou Wateba, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a conduit une délégation gouvernementale dans plusieurs centres d’examen. Il a rappelé l’importance de ces examens, qui servent de référence pour l’ensemble du système éducatif togolais, et a aussi  exhorté les candidats à donner le meilleur d’eux-mêmes.

Le ministre Wateba a également annoncé l’extension des examens nationaux aux autres niveaux d’études supérieures, dès la prochaine rentrée académique. Cette mesure vise à harmoniser et à élever les normes éducatives dans le pays.

Des épreuves dangereuses pour l’avenir

En plus, les épreuves du BTS, qui se dérouleront jusqu’au vendredi 5 juillet, représentent plus qu’un simple test de connaissances techniques. Elles constituent une étape clé dans le parcours des candidats et dans la construction d’une main-d’œuvre qualifiée, essentielle au développement socio-économique du Togo.

Concentration et espoir

L’atmosphère dans les centres d’examen est empreinte d’une concentration intense, reflétant les aspirations et les espoirs d’une génération déterminée à réussir. Les résultats de ces épreuves, attendus avec impatience, ouvriront la porte à de nouvelles opportunités pour les jeunes diplômés sur un marché du travail en pleine mutation.

en conclusion, le gouvernement togolais, conscient de l’enjeu que représente l’éducation et la formation professionnelle pour l’avenir du pays, réaffirme son engagement à mettre en place un environnement propice à l’épanouissement des jeunes et à leur insertion professionnelle.