Un horizon de leadership féminin : Victoire Dogbé et Séfora Kodjo esquissent l’avenir du FILF 2025 au Togo

C’est dans le cadre solennel de la Primature à Lomé que la Première Ministre Victoire Dogbé a rencontré, le 4 avril, Mme Séfora Kodjo, présidente de la Fondation SEPHIS, pour une audience d’une importance particulière. En effet, cet échange a jeté les bases d’un événement d’envergure : la 7ᵉ édition du Forum International du Leadership Féminin (FILF), prévu pour octobre 2025 au Togo. Animées d’un sentiment à la fois solennel et dynamique, les deux femmes ont examiné les détails d’une initiative appelée à jouer un rôle central dans l’inclusion économique des femmes, tant au Togo qu’à travers le monde.

Le Togo se prépare à accueillir le Forum International du Leadership Féminin 2025, affirmant son engagement en faveur de l’inclusionLe Togo, terre d’accueil pour le leadership féminin

En plus, la rencontre s’est teintée d’une ambition limpide. Victoire Dogbé, figure d’autorité et de détermination, a salué le choix du Togo comme terre d’accueil de ce rendez-vous prestigieux. Face à elle, Séfora Kodjo, dont la Fondation SEPHIS porte depuis des années la cause du leadership féminin, a déroulé une vision audacieuse : faire du FILF 2025 un moteur d’innovation où les idées novatrices et les expériences vécues se fusionnent pour redessiner le rôle des femmes dans l’économie. « Ce forum sera une fenêtre ouverte sur les possibles », a-t-elle affirmé, ses paroles résonnant comme une invitation à transcender les barrières encore trop présentes.

Les discussions, d’une richesse rare, ont permis d’esquisser les grandes lignes de l’événement. Au cœur des débats : l’inclusion économique, ce levier essentiel pour libérer le potentiel des femmes togolaises et africaines. Accès accru au financement, formation aux compétences entrepreneuriales, valorisation des initiatives locales : autant de pistes évoquées pour faire de ce forum un catalyseur de changements durables. La Première Ministre, avec une conviction palpable, a réaffirmé l’engagement de son gouvernement à soutenir cette dynamique, voyant dans le FILF une opportunité de conjuguer leadership féminin et progrès collectif.

FILF 2025 : une synergie entre action publique et société civile

L’audience n’a pas seulement été un moment de planification ; elle a révélé une synergie profonde entre deux femmes portées par une même flamme. Là où Victoire Dogbé incarne la puissance de l’action publique, Séfora Kodjo apporte l’élan d’une société civile déterminée à bousculer les paradigmes. Ensemble, elles ont dessiné les contours d’un octobre 2025 où Lomé vibrerait au rythme des voix féminines – entrepreneuses, innovatrices, rêveuses – venues du Togo et d’ailleurs pour partager leurs combats et leurs triomphes.

En somme, ce tête-à-tête, s’il annonce une célébration à venir, soulève aussi une réflexion plus vaste. Le FILF 2025, avec ses promesses d’inclusion et d’émancipation, saura-t-il tenir ses engagements dans un monde dans lequel les inégalités économiques restent tenaces ? Le Togo, en accueillant ce forum, s’affirme comme un éclaireur ; mais la lumière qu’il projette devra-t-elle se frayer un chemin à travers les ombres persistantes des défis structurels ? L’élan est perceptible, tout comme l’espoir ; l’enjeu est de savoir si cette ambition portera ses fruits pour devenir un héritage concret pour l’avenir.

 

Lomé s’illumine pour le Gala des Entrepreneurs : une 3ᵉ édition prometteuse

Le 10 mai 2025, la capitale togolaise, Lomé, se métamorphosera en un carrefour incandescent de l’ambition et de l’innovation. En effet, L’Hôtel Sarakawa, écrin de prestige, accueillera la troisième édition du Gala des Entrepreneurs, un rendez-vous orchestré avec brio par Simera Corporation sous l’égide de Torrès Blaise Amededjisso. Près de 500 âmes audacieuses – entrepreneurs, investisseurs et décideurs – convergeront autour d’un dîner somptueux, prêt à faire jaillir des étincelles d’opportunités.

 Gala des Entrepreneurs : une agora vibrante pour les bâtisseurs d’avenir

Loin de se réduire à une simple agape, ce gala se dresse comme un phare éclatant, guidant les esprits entreprenants vers de nouveaux horizons. Ses ambitions fusent avec une clarté irrésistible : tisser un réseau palpitant où les idées s’entrelacent, offrir une vitrine éclatante aux entreprises en quête de lumière, stimuler des alliances commerciales entre les forces locales et les vents internationaux, et insuffler ainsi une vigueur inédite à l’investissement togolais et africain. Chaque instant de cette soirée s’annonce comme une promesse d’élan, un creuset dans lequel les visions se forgent et les destins se croisent.

Une nuit pour oser et conquérir

Dans l’enceinte feutrée de l’Hôtel Sarakawa, les convives ne se contenteront pas de savourer un repas d’exception. Ils plongeront également dans un tourbillon d’échanges stratégiques, où les poignées de main scelleront des partenariats naissants et les regards échangés dévoileront aussi des opportunités insoupçonnées. Ce sera le théâtre idéal pour partager des récits de triomphes, sonder les perspectives d’affaires et s’inspirer des parcours qui défient l’ordinaire. Par ailleurs, Simera Corporation, fidèle à sa mission, fait de cet événement un levier puissant pour propulser l’entrepreneuriat togolais sous les feux de la rampe.

Un horizon qui appelle l’audace

À mesure que la date approche, l’excitation monte, tel un feu qui couve sous la braise. Le Gala des Entrepreneurs s’érige en une célébration de l’audace, un appel vibrant à ceux qui osent bâtir demain. Mais quel sera l’écho de cette nuit étoilée ? Les graines semées dans l’effervescence des discussions germeront-elles en projets d’envergure ? Lomé, ce 10 mai 2025, pourrait bien devenir le point de départ d’une épopée économique dont les contours restent à dessiner.

 

Kara : une célébration éclatante pour honorer les femmes et leurs droits

Kara, le 10 mars 2025 — L’Université de Kara, nichée au cœur du nord togolais, s’est parée d’une effervescence singulière le 8 mars pour célébrer la Journée Internationale des Droits des Femmes.  En effet, sous l’égide du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, deux initiatives d’envergure ont illuminé cette journée : un concours d’art oratoire et un écojogging, fusion d’élégance verbale et de vitalité physique. Étudiants, encadrants et partenaires, parmi lesquels YasTogo, se sont rassemblés dans une harmonie vibrante, témoignant d’un engagement collectif pour magnifier la voix et la force féminines.

À l'Université de Kara, le 8 mars a été célébré par l'art oratoire et l'écojogging, exaltant les droits des femmes et un futur équitable.L’éloquence comme étendard de la pensée

Dans une salle mielleusement décorée, le concours d’art oratoire a déployé ses fastes, offrant à onze candidats une tribune sur laquelle les mots sont devenus des éclats de lumière. Ces jeunes esprits, armés de verve et de conviction, ont captivé un public suspendu à leurs lèvres, tandis qu’un jury attentif pesait chaque syllabe. Par ailleurs, les thèmes, oscillant entre plaidoyers pour l’égalité et réflexions sur le rôle des femmes dans un monde en mouvement, ont révélé une jeunesse audacieuse, prête à défier les silences imposés. À l’issue de cette joute verbale, chaque participant a reçu un appui tangible pour son cheminement académique, un geste qui transcende la simple récompense pour s’inscrire dans une promesse d’avenir.

À l'Université de Kara, le 8 mars a été célébré par l'art oratoire et l'écojogging, exaltant les droits des femmes et un futur équitable.L’écojogging : un souffle vert pour l’émancipation des femmes

Sous un ciel clément, l’écojogging a pris vie, réunissant étudiants et figures locales, dont le maire de Kozah 1, dans une ronde à la fois sportive et symbolique. Plus qu’une course, cet événement a marié également l’élan du corps à une conscience écologique, chaque foulée résonnant comme un plaidoyer pour un monde plus sain et équitable. En plus, les rires et les encouragements ont ponctué ce parcours, où la sueur s’est mêlée à la joie, incarnant une détermination farouche à faire entendre la voix des femmes tout en préservant la terre qui les porte. Cette activité, teintée de convivialité, a sublimé l’idée que le bien-être et l’engagement peuvent cheminer de concert.

À l'Université de Kara, le 8 mars a été célébré par l'art oratoire et l'écojogging, exaltant les droits des femmes et un futur équitable.Une solidarité tissée par les partenaires

Le succès de cette journée doit beaucoup à l’appui indéfectible des partenaires, YasTogo en tête, dont l’implication a permis de donner corps à ces instants d’exception. Leur présence aux côtés de l’Université de Kara illustre une synergie féconde entre institutions et acteurs privés, tous animés par une même aspiration : celle de voir les femmes s’épanouir et s’élever. Le ministère, par la voix de ses représentants, a salué cette union d’efforts, soulignant combien elle est le ferment d’une transformation durable, enracinée dans l’éducation et la valorisation des talents.

Une flamme qui vacille vers un demain meilleur pour les femmes

En somme, cette célébration du 8 mars n’a pas seulement été un hommage ; elle a été une affirmation, un cri de solidarité et de dépassement. Mais dans l’ombre de ces instants lumineux, une question persiste, aussi légère qu’un souffle : combien de jours encore avant que l’éloquence des femmes n’ait plus à se prouver, avant que leurs pas ne soient plus un symbole, mais une évidence ? À Kara, ce 8 mars 2025, a planté une graine fragile, certes, mais vive dans un sol prêt à accueillir les floraisons d’un avenir plus juste.

Lomé : une conférence au Village du Bénin pour raviver l’éclat de l’identité

Lomé, le 10 mars 2025 — À la veille d’une date empreinte de symbole, le 7 mars dernier, le Village du Bénin, niché au cœur de l’Université de Lomé, s’est métamorphosé en une agora d’idées et d’élans. Le personnel du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche s’y est rassemblé pour une conférence de sensibilisation, orchestrée en harmonie avec l’Agence Nationale d’Identification du Togo (AnidTogo). En effet, sous les ombrages de ce lieu chargé d’histoire, l’importance des documents d’identité a été célébrée comme un sésame vers l’émancipation, à l’aube de la Journée Internationale des Droits des Femmes. Ce fut une escale méditative, un prélude vibrant à une cause qui transcende les calendriers.

La conférence au Village du Bénin à Lomé a célébré l’identité comme clé de l’autonomisation des femmes à la veille de la Journée IDFL’identité, clé d’une existence reconnue

En plus, dans l’intimité de cette rencontre, un message limpide a résonné : posséder une pièce d’identité, c’est bien plus qu’un acte administratif, c’est naître aux yeux de la société. Pour les femmes togolaises, souvent reléguées aux marges des registres officiels, ce droit fondamental ouvre les portes des services publics, des opportunités économiques et d’une citoyenneté pleine. Le programme e-ID Togo, fer de lance de cette ambition, déploie un Numéro d’Identification Unique (NIU) pour chaque résident, tissant une toile numérique où nul ne doit rester invisible. Cette initiative, portée par une technologie au service de l’inclusion, s’érige en rempart contre l’oubli, offrant aux femmes un levier pour s’affranchir des chaînes de l’anonymat.

La conférence au Village du Bénin à Lomé a célébré l’identité comme clé de l’autonomisation des femmes à la veille de la Journée IDFL’identité : une alliance pour l’autonomisation

Sous la houlette du ministère et d’AnidTogo, cette conférence n’a pas seulement éclairé les esprits ; elle a esquissé une vision. En modernisant l’identification, le Togo s’engage à simplifier les démarches, à sécuriser les données et à faire de chaque femme une actrice à part entière de la vie nationale. Les échanges, riches et foisonnants, ont vu les participantes (enseignantes, administratrices, étudiantes) s’emparer de cette promesse avec une ferveur palpable. Les intervenants, par leurs mots ciselés, ont rappelé que l’accès à une identité officielle n’est pas une fin, mais un tremplin : celui qui mène à l’éducation, à la santé, à l’entrepreneuriat, à une dignité reconquise.

Une résonance au-delà des murs

Par ailleurs, Le Village du Bénin n’a pas été qu’un lieu de parole ; il s’est fait écho d’un mouvement plus vaste. Alors que la Journée Internationale des Droits des Femmes s’apprêtait à déployer ses fastes le lendemain, cette sensibilisation a planté une balise dans le paysage togolais. Elle a rappelé que l’autonomisation ne se décrète pas dans les discours, mais se construit dans les actes – ici, par la remise d’une identité tangible à celles qui, trop longtemps, ont été des ombres sans nom. Les partenaires, salués pour leur appui indéfectible, ont insufflé à cet événement une portée qui dépasse les frontières de l’université, touchant au cœur même de la nation.

La conférence au Village du Bénin à Lomé a célébré l’identité comme clé de l’autonomisation des femmes à la veille de la Journée IDFUne lueur qui s’élance vers l’horizon

Et lorsque les dernières voix se sont tues sous les toits du Village du Bénin, une nouvelle clarté a persisté, comme une flamme vacillante, mais tenace. Vendredi, Lomé a vu naître plus qu’une conférence : un serment implicite, celui de ne plus laisser une femme sans visage dans les registres de la vie. Dans ce coin du Togo, où le passé dialogue avec l’avenir, une question s’est élevée, douce et insistante : et si l’identité, ce simple bout de papier, devenait le premier pas vers un monde dans lequel chaque femme, enfin vue, pouvait pleinement s’élever ? Dans un contexte toujours incertain, cette journée a donné une réponse, laissant entrevoir des jours à venir plus radieux.

 

Lomé, théâtre d’une joute oratoire d’exception : la 9e édition du concours d’éloquence de l’ESAM

La capitale togolaise, Lomé, s’est parée de ses plus beaux atours pour accueillir la neuvième édition du concours d’éloquence orchestré par l’École Supérieure d’Audit et de Management (ESAM). Depuis 2017, cette institution érige l’art oratoire en pilier de sa pédagogie, offrant à ses étudiants une tribune où la pensée s’aiguise et la parole s’élève. Hier, dans la grande salle panoramique de l’école, dix finalistes ont donné vie à cette ambition, démontrant avec éclat qu’une tête bien faite surpasse, en éclat et en profondeur, une tête simplement bien pleine.

La 9e édition du concours l’art oratoire de l’ESAM à Lomé, où dix jeunes finalistes ont illuminé la scène par leur talent, Une scène sur laquelle les esprits s’embrasent

Sous les regards attentifs d’un jury d’éminents connaisseurs, avocats, professeurs et figures culturelles locales, ces jeunes orateurs ont rivalisé de verve et de finesse. Les thèmes, aussi divers qu’exigeants : persévérance, éthique, spiritualité ou encore rigueur, ont servi de tremplin à des discours où l’éloquence s’est faite tour à tour arme de conviction et baume d’inspiration. Pendant près de deux heures, la salle a vibré au rythme de leurs mots, chaque intervention révélant une maîtrise rare de la rhétorique et une audace qui transcende les âges. Ces finalistes, issus d’un processus de sélection rigoureux, ont incarné la quintessence d’une jeunesse togolaise avide de sens et de beauté.

 L’art oratoire : un héritage qui s’écrit dans le verbe

Ce concours, devenu une tradition incontournable à l’ESAM, puise ses racines dans une vision portée par Roger Mifetou, directeur général de l’école, qui voit dans l’art oratoire un vecteur d’épanouissement et de rayonnement. Les éditions précédentes ont couronné des talents tels que Ludivine Ametepé en 2020, Fortune Mahoulé Iden en 2021 ou encore Koffi Marius Yomedan en 2022, autant de noms qui résonnent comme des jalons dans cette quête d’excellence. En 2025, cette neuvième mouture n’a pas dérogé à la règle, magnifiant une formation où la clarté du propos et la puissance de l’expression s’entrelacent pour former des esprits libres et affûtés.

Une célébration de l’intelligence vive

L’événement n’a pas seulement été une compétition ; il a été une célébration de l’intelligence en mouvement. Les dix finalistes, par leur aisance et leur créativité, ont prouvé que l’éloquence n’est pas un vain exercice, mais une alchimie subtile entre cœur et raison. Le public, suspendu à leurs lèvres, a oscillé entre admiration et introspection, tandis que le jury, face à une tâche ardue, a dû départager des prestations d’une qualité exceptionnelle. Si le nom du lauréat reste, à l’heure où ces lignes s’écrivent, un secret bien gardé, une certitude demeure : chaque participant a laissé une empreinte indélébile dans cette soirée mémorable.

 L’art oratoire : la parole, flambeau d’un avenir radieux

Et tandis que les échos des discours s’évanouissent dans l’air tiède de Lomé, une vérité s’impose avec la douceur d’une évidence : dans un monde saturé de bruit, ces jeunes voix portent l’espoir d’un dialogue retrouvé. Ils nous rappellent que l’éloquence n’est pas qu’un art de dire, mais une manière d’être – un pont jeté entre les âmes, un souffle qui élève. Ainsi, sous les étoiles togolaises, la 9ᵉ édition du concours de l’ESAM s’achève non pas comme une fin, mais comme une promesse : celle d’une génération qui, par la force du verbe, redessine les contours d’un demain plus lumineux. Car, au bout du compte, ce ne sont pas les mots qui triomphent, mais ce qu’ils éveillent en nous, une étincelle qui, une fois allumée, ne s’éteint jamais.

Lomé, capitale de l’autonomisation féminine en Afrique de l’Ouest.

Ce mardi 25 jusqu’au 26 février 2025, la capitale togolaise, Lomé, vibre au rythme d’un événement majeur : le Forum Régional de la Société Civile sur l’éducation des filles et l’autonomisation économique des femmes en Afrique de l’Ouest et du Centre. Organisée à l’Hôtel 2 Février par le Groupe de la Banque mondiale, en collaboration avec la Fondation Brazzaville, cette rencontre ambitionne de repositionner la société civile comme un levier essentiel dans la quête d’un avenir plus équitable pour les femmes et les filles de la région.

Une plateforme pour l’action et le dialogue sur l’autonomisation féminine

En premier lieu, ce forum n’est pas une simple réunion de circonstance. Il s’inscrit dans une dynamique visant à amplifier la voix des Organisations de la Société Civile (OSC) tout en leur offrant un espace privilégié pour échanger avec les décideurs de la Banque mondiale. À cet égard, au programme : des discussions approfondies pour identifier les priorités d’action, des partages d’expériences inspirantes et la création de réseaux solides destinés à pérenniser les efforts en faveur de l’éducation des filles et de l’indépendance économique des femmes. En d’autres termes, l’objectif est clair : transformer les bonnes intentions en initiatives concrètes et mesurables.

Qui plus est, l’événement intervient à un moment charnière pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, où les inégalités de genre restent un frein majeur au développement. De ce fait, en réunissant des acteurs de divers horizons, le forum entend poser les bases d’une collaboration renforcée entre la société civile, les institutions financières internationales et les gouvernements locaux.

Le Togo, un modèle en devenir

Par ailleurs, le choix de Lomé comme ville hôte n’est pas anodin. Le Togo se distingue ces dernières années par des progrès significatifs dans la promotion de l’égalité des sexes, appréciés à l’échelle internationale. Pour preuve, selon le rapport « Les Femmes, l’Entreprise et le Droit » publié par la Banque mondiale, le pays a décroché un score impressionnant de 97,5 sur 100, le réunissant en tête des nations d’Afrique subsaharienne. Ce résultat reflète des réformes audacieuses, notamment en matière d’accès des femmes à l’entrepreneuriat, à la propriété et aux opportunités économiques.

Ces avancées ne sont pas le fruit du hasard. Elles témoignent d’une volonté politique affirmée, portée par des figures comme Sandra Ablamba Johnson, Ministre et Secrétaire générale de la Présidence de la République togolaise. Lors des Assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI tenues en octobre 2024 à Washington, elle avait martelé un message fort : « Le développement de l’Afrique est inconcevable sans une implication pleine et entière des femmes, qui représentent la majorité de notre population. » Cette déclaration résonne comme un appel à l’action, alors que le Togo s’engage à faire de l’autonomisation féminine un pilier de sa stratégie nationale.

Les enjeux d’un continent en mouvement

Cependant, au-delà des performances togolaises, le forum de Lomé met en lumière une réalité régionale : l’éducation des filles et l’autonomie économique des femmes sont des catalyseurs indispensables à la prospérité collective. En effet, dans une région où des millions de jeunes filles sont encore privées d’accès à l’école et où les femmes peinent à s’extraire des cercles de précarité, les initiatives portées par la société civile apparaissent comme un complément vital aux politiques publiques.

En l’occurrence, les débats prévus durant ces deux jours aborderont des thématiques cruciales : comment lever les barrières culturelles et économiques qui limitent l’accès des filles à l’éducation ? Quels mécanismes financiers innovants peuvent soutenir l’entrepreneuriat féminin ? Et surtout, comment garantir que les engagements pris se traduisent par des changements tangibles sur le terrain ?

Un rendez-vous porteur d’espoir pour l’autonomisation féminine

En conclusion, en accueillant ce forum, Lomé ne se contente pas de jouer les hôtes. La ville se positionne comme un carrefour d’idées et d’ambitions pour une Afrique plus inclusive. Pour les participants, qu’ils soient militants associatifs, experts en développement ou représentants institutionnels, ces 48 heures représentent une opportunité rare de conjuguer leurs forces et d’imaginer des solutions adaptées aux réalités locales.

Ainsi, alors que les projecteurs sont braqués sur l’Hôtel 2 Février, le message est limpide : l’avenir de l’Afrique passe par ses femmes et ses filles. Et le Togo, fort de ses acquis et de son dynamisme, entend bien montrer la voie.

 

le MIATO 2025 ouvre ses portes à l’éclat burkinabè

Lomé,10 février 2025 –  À l’orée de la saison des pluies, Lomé, cité balnéaire aux allures de phénix économique, s’apprêtera à dérouler le tapis vermillon de sa quatrième édition du Marché international de l’artisanat (MIATO). En effet, du 23 avril au 4 mai, la capitale togolaise se muera en palais éphémère où se croiseront mains habiles et regards curieux, sous le patronage remarqué du Burkina Faso, nation invitée. Un événement qui, loin de se réduire à une foire commerciale, s’érige en chambre d’échos des mémoires matérielles africaines.

MIATO : une odyssée artisanale aux racines profondes

Créé en 2019, le MIATO s’est imposé comme un symposium incontesté des métiers d’art, transcendant les frontières pour tisser une toile de dialogues entre potiers, tisserands, forgerons et autres gardiens de traditions. Avec une affluence ayant crû exponentiellement, 2 000 exposants et près de 400 000 visiteurs issus d’une vingtaine de pays lors de la dernière édition, cette biennale est bien plus qu’un marché : c’est une agora où se négocient non des prix, mais des héritages.

« Le MIATO incarne une respiration économique pour nos artisans, souvent invisibilisés dans les circuits conventionnels », explique un membre du comité d’organisation, requérant l’anonymat. Par ailleurs, cette année, l’architecture logistique a été repensée pour orchestrer l’affluence : inscriptions dématérialisées via le portail dédié, relais territoriaux via les Chambres Régionales de l’Artisanat (CRM), et un dispositif d’accueil taillé sur mesure pour les délégations burkinabè.

Le Burkina Faso, invité d’honneur : une consécration en forme d’hommage  

En plus, choisir le Burkina Faso comme pays phare n’est pas anodin. Cette nation, souvent surnommée le cœur battant de l’artisanat ouest-africain, apportera sa patte unique : bronzes à la cire perdue de Bobo-Dioulasso, tissage faso dan fani symbolisant l’identité mossi, ou encore sculptures en bois satiné des ateliers de Ouagadougou. Une présence qui résonne comme un pied de nez aux défis sécuritaires récents, rappelant que la culture demeure un rempart contre l’érosion des identités.

« Mettre à l’honneur le Burkina, c’est célébrer une résilience créative. » « Leurs artisans transforment l’argile et le métal en manifestes de persévérance », souligne Koffi Adanlete, commissaire artistique de l’événement. Des ateliers collaboratifs entre artisans togolais et burkinabè sont prévus, promettant des pièces hybrides où se mêleront motifs kente et symboliques batammariba.

Au-delà des étals : MIATO, levier d’un tourisme réflexif

Si l’artisanat est le socle, le MIATO aspire aussi à redessiner la carte touristique du Togo. Lomé, avec ses marchés débordants de couleurs et son littoral envoûtant, devient, le temps de l’événement, un laboratoire de rencontres interculturelles. Circuits de visites chez les artisans locaux, conférences sur les enjeux de la patrimonialisation et démonstrations de techniques ancestrales comme la fonte du bronze à la manière des Dogon ponctueront ces douze jours.

Pour les exposants, l’enjeu est double : valoriser leur savoir-faire tout en s’appropriant des pratiques commerciales innovantes. « Le MIATO nous apprend à voir nos œuvres non comme des artefacts, mais comme des ambassadeurs culturels », confie Aïssata Sow, céramiste venue de Dédougou.

Perspectives 2025 : entre défis et euphorie 

En somme, malgré l’enthousiasme, les organisateurs gardent un œil vigilant sur les écueils logistiques, la gestion des flux, la sécurisation des œuvres, tout en caressant l’ambition de dépasser le cap des 500 000 visiteurs. Un pari audacieux, mais porté par une conviction : dans un monde en quête d’authenticité, l’artisanat reste un langage universel.

En guise de prélude, des nuées d’artisans s’affairent déjà dans les ateliers, polissant, teignant, martelant. Leurs créations, encore invisibles, formeront bientôt une mosaïque tangible de ce que l’Afrique a de plus précieux : sa capacité à réinventer, sans jamais renier, ses racines.

Lomé accueille une conférence pour catalyser l’entrepreneuriat vert et l’intelligence artificielle

Lomé, 6 janvier 2025 —  Dans un élan de fertilisation des esprits innovants, la capitale togolaise s’apprête à accueillir une conférence éducative d’envergure, conçue pour éclairer les sentiers de la création d’entreprise. En effet, demain 7 février 2025, dès l’aurore (8 h 00), l’hôtel 2 Février de Lomé deviendra l’épicentre d’une synergie inédite entre pouvoirs publics et acteurs du développement économique, à l’occasion d’une cérémonie didactique orchestrée par la Fondation Tony Elumelu (TEF).

Une conférence pour cultiver l’audace économique

Sous l’égide du ministère de l’Épanouissement communautaire, de l’Inclusion financière et de la Dynamique juvénile, cette confluence pédagogique vise à irriguer les ambitions de la jeunesse togolaise. Par ailleurs, en partenariat avec l’Agence de Développement et de Promotion des PME (ADTPME), l’initiative se présente comme un viatique pour les âmes entrepreneuriales en quête de repères. L’objectif cardinal est de démystifier les arcanes du programme TEF 2025, tout en outillant les aspirants dirigeants de leviers concrets pour pérenniser leurs ventures.

Critères d’éligibilité : qui peut saisir ce sésame ? 

En plus, l’appel s’adressait aux visionnaires âgés d’au moins dix-huit révolutions solaires, porteurs de projets embryonnaires ou à la tête de structures économiques de moins de cinq années. Aucun secteur n’est proscrit, mais une prédilection est accordée aux initiatives épousant l’urgence écologique (emplois verts) et les mutations numériques (intelligence artificielle). Ces domaines, perçus comme des piliers du progrès socioéconomique, bénéficieront d’une attention scrutatrice lors des échanges.

Modalités d’inscription : le passage obligé 

En outre, les postulants, animés par la flamme de l’innovation, ont reçu une invitation à manifester leur intérêt avant le jeudi 6 février 2025, à l’heure où le soleil entame son déclin (14h00). Le sésame numérique, accessible via l’URL constitue l’unique porte d’entrée vers ce cercle de savoir.

Une alliance stratégique pour une renaissance économique

Cette démarche s’inscrit dans une mosaïque d’efforts conjugués entre le gouvernement togolais et la Fondation TEF, visant à ériger un écosystème entrepreneurial résilient. En transcendant le simple appui financier, le programme aspire à inculquer une culture de gestion rigoureuse, d’innovation disruptive et de durabilité. L’ambition sous-jacente est de faire éclore des entreprises non seulement viables, mais aussi foyers de création d’emplois, contribuant à l’édification d’une économie inclusive.

Semences d’avenir

En marge des discours et des ateliers techniques, cette conférence incarne une promesse : celle de transformer l’essai d’une génération montante en réussite collective. Pour les participants, il s’agira de capter les lumières dispensées afin de convertir des idées en architectures économiques tangibles. Lomé, en ce jour de février, pourrait bien voir germer les germes d’un nouveau chapitre industriel pour le Togo.  

 

Lomé accueille la 2ᵉ grande rencontre des compliance et risk officers pour la sécurité financière en Afrique.

Du 8 au 9 juillet 2025, Lomé, la capitale togolaise, s’apprête à accueillir un événement phare de la lutte contre les menaces économiques mondiales : la 2ᵉ édition de la Grande Rencontre des Compliance et Risk Officers. Cette rencontre, qui promet d’être un point d’orgue dans la lutte contre le blanchiment des capitaux (LBC) et le financement du terrorisme (FT/FP), rassemble des experts de renommée internationale, des responsables d’institutions financières et des acteurs clés des secteurs financier et non financier.

Plus de 500 professionnels venus des quatre coins du monde sont attendus pour cet événement d’envergure. Ils auront l’occasion d’échanger, de partager leurs expériences et de renforcer leurs engagements en matière de conformité et de gestion des risques. Ce rendez-vous international représente un moment privilégié pour dessiner les contours de la stratégie continentale face aux défis qui entravent la sécurité économique et financière de l’Afrique.

Rencontre des Compliance et Risk Officers : un combat essentiel pour la stabilité économique de l’Afrique

La lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme est plus que jamais au cœur des préoccupations des institutions financières africaines. À travers cet événement, Lomé réaffirme sa place en tant que carrefour stratégique pour les discussions sur la sécurité économique et financière du continent. Cet engagement se traduit par un rassemblement des plus hauts responsables de la conformité, des Risk Officers, des régulateurs et des autorités judiciaires qui œuvrent sans relâche pour éradiquer ces fléaux.

Le secteur financier, pilier essentiel du développement économique africain, joue un rôle crucial dans cette lutte. Les Entreprises et Professions Non Financières Désignées (EPNFD), également représentées, apportent leur expertise et leur collaboration active dans la mise en œuvre de mesures de contrôle et de prévention. Cette mobilisation collective témoigne de la volonté des acteurs économiques de bâtir une Afrique plus sûre, plus stable et plus résiliente face aux risques financiers globaux.

Une plateforme d’échanges pour l’avenir de l’Afrique

Au-delà des sessions de formation et des ateliers techniques, cette rencontre est aussi une plateforme d’échanges inédits entre les professionnels du secteur. Les discussions porteront sur les meilleures pratiques en matière de régulation, d’audit, de gestion des risques et de prévention des activités illicites. À travers des conférences, des panels et des discussions interactives, les participants auront l’opportunité de repenser les stratégies de conformité et de gestion des risques pour anticiper et contrer les nouvelles formes de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme.

Les enjeux sont de taille. L’Afrique, un continent en pleine mutation, doit continuer de s’adapter aux standards internationaux tout en développant ses propres capacités d’intervention face à ces menaces. Cette rencontre se veut ainsi un catalyseur pour de nouvelles politiques et solutions plus efficaces et plus adaptées aux réalités africaines.

Inscrivez-vous dès maintenant.

Les inscriptions pour cet événement exclusif sont désormais ouvertes, du 1ᵉʳ avril au 6 juin 2025, sur le site dédié. Les participants auront l’opportunité de rejoindre cette communauté d’experts et de contribuer activement à la construction d’un environnement économique plus sûr pour l’avenir du continent.

La 2ᵉ édition de la Grande Rencontre des Compliance et Risk Officers ne se contentera pas de réfléchir aux défis, elle tracera les voies d’un futur plus sûr et plus transparent pour les institutions africaines et leurs partenaires internationaux. Une occasion unique de participer à l’émergence d’une Afrique forte et résiliente, prête à relever les défis globaux du XXIe siècle.

Lomé s’apprête donc à devenir le carrefour stratégique où se redéfinissent les engagements en matière de sécurité économique, un rendez-vous incontournable pour tous ceux qui façonnent l’avenir de l’Afrique dans le respect des normes internationales.

Togo Top Impact : Une constellation de talents s’apprête à illuminer Lomé

Dans le firmament des événements culturels togolais, une étoile brille d’un éclat singulier : Togo Top Impact (TTI). En effet, cette cérémonie de distinction, devenue une véritable institution, s’apprête à vivre son septième acte, une apothéose scintillante prévue pour le samedi 1ᵉʳ février 2025 à l’emblématique hôtel Sarakawa de Lomé. Plus qu’une simple remise de prix, TTI est une ode à l’excellence, un hommage vibrant aux artisans du progrès togolais.

Un écrin de prestige pour des talents d’exception

Tel un aimant attirant les forces vives de la nation, TTI rassemble une pléiade d’invités venus d’horizons divers. Par ailleurs, ce creuset de personnalités, allant des figures politiques aux acteurs économiques, en passant par les artistes et les représentants de la société civile, témoigne de la volonté de l’événement de refléter la richesse et la diversité du paysage togolais.

En outre, le dîner de gala, point d’orgue de cette soirée placée sous le signe de l’élégance, offrira une scène de choix aux lauréats. Ces hommes et ces femmes, véritables phares dans leurs domaines respectifs, seront honorés pour leur engagement indéfectible et leurs actions concrètes, qui contribuent à façonner un Togo meilleur.

Togo Top Impact : une symphonie de reconnaissance et de célébration

D’ailleurs, pour cette septième édition, les organisateurs ont orchestré une soirée qui promet d’être mémorable, une véritable symphonie de reconnaissance et de célébration. Au-delà des trophées, la soirée se veut une expérience immersive, une communion autour des valeurs d’excellence et de réussite.

Enplus, des prestations artistiques viendront ponctuer la cérémonie, offrant un spectacle haut en couleurs et en émotions. La présence d’invités de prestige ajoutera une dimension supplémentaire à cet événement déjà exceptionnel.

En conséquence, L’atmosphère, imprégnée de convivialité et de fierté nationale, promet des moments de partage et d’émotion intense. TTI se présente comme une véritable vitrine de l’excellence togolaise, une scène où les talents se révèlent et où les succès sont célébrés.

Togo Top Impact : une mosaïque de distinctions pour une reconnaissance inclusive

Tel un peintre composant une mosaïque de couleurs vibrantes, les organisateurs ont structuré les distinctions en différentes catégories pour refléter la diversité des contributions au développement du Togo. Treize catégories classiques côtoieront quatre catégories populaires, sans oublier les prix spéciaux, tels des joyaux venant parfaire cet écrin de reconnaissance.

Ainsi, cette répartition méticuleuse témoigne de la volonté d’honorer un large spectre de personnalités et d’institutions. L’objectif est clair : mettre en lumière celles et ceux qui, par leur travail acharné et leur vision éclairée, contribuent à faire rayonner le Togo sur la scène nationale et internationale.

Des modèles inspirants pour l’avenir du Togo

Plus qu’une simple remise de prix, TTI est un puissant catalyseur d’inspiration, un tremplin pour les générations futures. En mettant en lumière les parcours exceptionnels des lauréats, l’événement offre à la jeunesse togolaise des modèles concrets, des exemples de réussite et d’engagement.

Ces figures inspirantes incarnent les valeurs d’excellence, de persévérance et de dévouement, des qualités essentielles pour bâtir un meilleur avenir pour le Togo. TTI se positionne ainsi comme un acteur majeur dans la promotion d’une société togolaise plus dynamique, plus innovante et plus prospère.

En somme, cette septième édition s’annonce comme un moment charnière, une célébration de l’excellence togolaise qui marquera les esprits et inspirera les générations futures.