Une concertation inédite pour dompter les aléas économiques

Le cabinet de la ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale, Madame Kayi Mivedor-Sambiani, s’est mué en un creuset d’échanges vitaux avec les opérateurs économiques togolais le mardi. Dans une atmosphère empreinte de pragmatisme, cette réunion technique a réuni les artisans du commerce national pour débroussailler les enjeux qui pèsent sur les marchés : surveillance des flux, disponibilité des denrées essentielles, maîtrise des prix, lutte contre l’inflation galopante et contrôle strict de la qualité des produits.

En effet, ce n’est pas une simple causerie : cette assise s’inscrit dans un cadre d’échanges réguliers, instauré pour tisser un filet solide entre l’État et les acteurs économiques, afin de juguler les soubresauts du marché.

Une boussole pour naviguer dans les tempêtes économiques

Pour commencer, Mme Mivedor-Sambiani a insufflé une énergie résolue dans la salle. Dans un premier temps, elle a salué la synergie palpable qui unit son ministère aux opérateurs, avant de planter le décor d’un défi majeur : anticiper les vagues de tensions qui secouent la demande, tant au Togo que dans la sous-région.

« Les cycles de pression, comme le ramadan, la fin d’année ou la rentrée scolaire, ne nous prennent pas au dépourvu si nous savons les voir venir », a-t-elle lancé, la voix teintée d’une détermination limpide. Ensuite, elle a peint un tableau clair : les prix dans les marchés togolais ne dansent pas seuls, mais au rythme des vents extérieurs, notamment la demande des pays voisins sans littoral, qui puisent dans les réserves locales de sucre, d’huile ou de riz.

« Quand ces pays de l’hinterland cessent de frapper à notre porte, il faut tendre l’oreille et scruter l’horizon », a-t-elle ajouté, insistant sur l’urgence d’une veille économique affûtée. Pour le ministre, ces rendez-vous ne sont pas une formalité : ils sont une lanterne dans la brume, un moyen d’éclairer les mouvements de l’offre et de la demande et d’anticiper les bourrasques exogènes qui pourraient faire chavirer les prix intérieurs. À cet égard, une approche qui, selon elle, exige des échanges sans faux-semblants, où chaque voix compte pour dessiner des solutions robustes.

Des pistes à travailler ensemble

Par la suite, la réunion n’a pas esquivé les dossiers épineux. Fiscalité, permis d’import-export, autorisations de mise sur le marché : ces sujets, souvent perçus comme des nœuds gordiens, ont été posés sur la table. Plutôt que de promettre des miracles, la ministre a tendu une perche aux opérateurs : « Apportez-nous des idées qui respectent la route, nous les ferons néanmoins germer avec les ministères concernés. »  Cette invitation à co-construire a résonné dans l’assemblée, où les acteurs économiques ont hoché la tête, conscients que leur expertise est une pièce maîtresse du puzzle.

De son côté, Thierry Awesso, directeur général de NIOTO, a saisi la balle au bond. « Le gouvernement allume une chandelle pour stabiliser les prix et maintenir l’inflation en respect, et nous sommes prêts à souffler dans la même direction », a-t-il affirmé avec un aplomb mesuré. En outre, il a applaudi ce cadre permanent de concertation, un outil qu’il juge essentiel pour protéger le portefeuille des ménages tout en dopant la production locale. « Une veille stratégique, des mesures bien équilibrées : voilà ce qui peut faire la différence », conclut-il en esquissant un sourire confiant.

Un Togo qui regarde loin

En réalité, cette rencontre n’est pas un feu de paille : elle s’inscrit dans une volonté plus vaste de l’État togolais de poser des jalons durables. En effet, avec une inflation qui a flirté avec les 5 % en 2024 dans la zone UEMOA et des chaînes d’approvisionnement parfois chahutées par les crises régionales, le Togo cherche à reprendre les rêves.

Par conséquent, le ministère de Mme Mivedor-Sambiani ne se contente pas de réagir : il veut devancer, anticiper, bâtir un rempart pour les consommateurs et les producteurs locaux. Quant aux opérateurs, ils ne sont pas de simples spectateurs : ils sont conviés à façonner cet édifice, à y apporter leurs briques.

En conclusion, alors que le soleil déclinait sur Lomé ce mardi, la réunion s’est achevée sur une note d’élan collectif. Aucune grande annonce tonitruante, mais une promesse tacite : celle de continuer à tendre les fils d’un dialogue qui, mois après mois, pourrait redessiner les contours d’un marché plus stable et plus équitable. Pour le Togo, cette concertation est une ancre dans les flots incertains de l’économie mondiale et peut-être le prélude à une moisson plus sereine.

 

Togo : Le Guetteur numérique qui redéfinit les frontières du commerce

Lomé, le 20 février 2025 — Dans un geste audacieux pour sublimer les entraves commerciales en leviers de croissance, le Togo a dévoilé hier le Mécanisme d’Alertes aux Obstacles au Commerce (MAOC), une innovation numérique décrite comme « le guetteur vigilant de l’écosystème économique ». En effet, sous les auspices de M. Comlan Nomadoli Yakpey, Secrétaire Général du ministère du Commerce, une constellation d’acteurs publics, privés et internationaux s’est réunie à Lomé, scellant ainsi une alliance inédite entre pragmatisme technologique et ambition continentale.

Le Togo inaugure le Mécanisme d’Alertes aux Obstacles au Commerce (MAOC), un outil numérique révolutionnaire qui transforme les entravesUne cérémonie sous le signe de la symbiose stratégique

Par ailleurs, l’événement, teinté d’une solennité prospective, a transcendé le simple protocole. En présence de la cheffe de la coopération allemande, du président de la Chambre de commerce et de représentants de l’ITC et de la GIZ, le lancement du MAOC s’est mué en conclave symbolique. Chaque intervenant a incarné un maillon d’une chaîne ambitionnant de réécrire les règles du jeu commercial, non par des discours convenus, mais par des engagements tangibles. « Cet outil n’est pas un simple miroir reflétant les dysfonctionnements ; il en est le correcteur proactif », a souligné M. Yakpey, dépeignant le mécanisme comme une vigie numérique.

Le Togo inaugure le Mécanisme d’Alertes aux Obstacles au Commerce (MAOC), un outil numérique révolutionnaire qui transforme les entravesLe MAOC : architecte d’un dialogue économique régénéré

Conçu comme une agora numérique, le MAOC permet aux opérateurs de signaler, en temps réel, les barrières tarifaires, logistiques ou bureaucratiques entravant leurs activités. Mais au-delà de sa fonction de plateforme d’échanges, il incarne un écosystème de résolution où chaque alerte déclenche une cascade de réponses coordonnées des douanes aux instances fiscales. « Imaginez un phare guidant les navires échoués vers des eaux navigables : c’est le rôle du MAOC pour nos entreprises », a analogisé un représentant de la GIZ.

Intégré au projet AMI Commerce Togo, ce dispositif s’inscrit dans une stratégie plus vaste visant à ériger le pays en carrefour commercial incontournable. Parmi ses piliers : la réduction des barrières non tarifaires, l’optimisation du Portail de Facilitation des Échanges (PFE) et l’assouplissement des formalités pour les TPME. « L’objectif est de transformer chaque obstacle en tremplin, chaque plainte en opportunité de réforme », a précisé un expert de l’ITC.

Le Togo inaugure le Mécanisme d’Alertes aux Obstacles au Commerce (MAOC), un outil numérique révolutionnaire qui transforme les entravesUne vision ancestrale dans un écrin numérique  

Bien que récemment médiatisé, le MAOC puise ses racines dans une politique initiée en 2018, reflet de la feuille de route gouvernementale 2020-2025 axée sur l’emploi et la résilience économique. Ce mécanisme s’aligne avec l’ambition du Président Faure Gnassingbé de faire du Togo un laboratoire de réformes agiles, capable de concilier rigueur administrative et agilité entrepreneuriale. « Le numérique n’est qu’un outil ; le véritable changement réside dans la culture de coopération qu’il instaure », a rappelé M. Yakpey, insistant sur la dimension humaine derrière les algorithmes.

L’aube d’une renaissance économique numérique 

En inaugurant le MAOC, le Togo ne se contente pas d’adopter un outil, il embrasse une philosophie : celle d’une économie dialogique, où chaque acteur, du petit exportateur au ministre, contribue à sculpter le paysage commercial. Si les défis persistent (connectivité rurale, formation aux outils digitaux), cette initiative pose les jalons d’un modèle où transparence rime avec performance.

À l’heure où l’Afrique cherche à s’affirmer dans l’arène commerciale mondiale, le Togo, à travers ce guetteur numérique, envoie un message clair : les obstacles ne sont pas des murs, mais des portes vers l’innovation. Reste à voir si cette mécanique du dialogue saura inspirer une contagion vertueuse au-delà de ses frontières, faisant du pays non seulement un modèle, mais un narrateur de nouvelles réussites économiques.

En conclusion, le MAOC n’est pas un aboutissement, mais un prélude. À l’image d’un métier à tisser moderne, il entrecroise fils publics et privés pour dessiner une toile commerciale plus résistante et inclusive. Le Togo, en pionnier, démontre que les révolutions silencieuses sont souvent les plus pérennes.

 

Togo : les TPME et les Géants industriels tissent une toile collaborative

Lomé, 31 janvier 2025 — Sous les ors feutrés de l’hôtel Sarakawa, une alchimie singulière s’est opérée le jeudi. Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation, a inauguré le Forum de la Sous-Traitance et des Partenariats, point d’orgue de la deuxième édition des Journées du Secteur Privé. En effet, Placé sous le thème « Partenariat entre les grandes entreprises et les TPME : un levier de développement économique », cet événement hybride, mêlant webinaires et rencontres physiques du 28 au 30 janvier, a servi de creuset à des réflexions stratégiques pour une économie togolaise plus interconnectée.

Le Forum de la Sous-Traitance et des Partenariats, inauguré par Mme Kayi, met en lumière les opportunités entre grandes entreprises et TPME,TPME : une synergie à l’épreuve des turbulences  

Alors que les défis globaux, tensions sur les chaînes d’approvisionnement, inflation des matières premières continuent d’ébranler les économies africaines, le Togo a choisi de répondre par la soudure des maillons faibles. Ainsi, avec près de 90 % du tissu entrepreneurial incarné par les Très Petites, Petites et Moyennes Entreprises (TPME), leur résilience devient un enjeu cardinal. « Les TPME ne sont pas des acteurs de second ordre, mais les artères vitales de notre économie », a martelé M. ABOKI Vignon, président du Groupement togolais des TPME (GTPME), rappelant leur poids dans l’écosystème national.

Pourtant, ces entreprises peinent à transcender les écueils structurels : accès limité aux financements, management parfois archaïque ou difficultés à certifier leurs produits. Paradoxalement, les grandes entreprises, représentées par l’Association des Grandes Entreprises du Togo (AGET), partagent aussi des maux similaires, comme l’a souligné son président, Jonas DAOU : « La gouvernance et l’accès aux marchés sont des défis transversaux. » « Seul un partenariat gagnant-gagnant, fondé sur un développement mutuel, brisera cette dualité stérile. »

Le Forum de la Sous-Traitance et des Partenariats, inauguré par Mme Kayi, met en lumière les opportunités entre grandes entreprises et TPME,L’État, architecte d’un nouveau modèle

Dans son allocution, Mme MIVEDOR-SAMBIANI a salué une mobilisation aussi rare que féconde, avec près de 1 000 participants aux webinaires et aux assises physiques. Par ailleurs, elle a réaffirmé l’engagement du gouvernement à ériger le secteur privé en pilier de la vision présidentielle, celle d’une transformation structurelle de l’économie, ancrée dans nos forces endogènes. Un plaidoyer appuyé pour une synergie public-privé, où l’État se positionne en facilitateur plutôt qu’en dirigeant.

En plus, parmi les pistes évoquées, la création d’une bourse de sous-traitance a émergé comme un outil phare. Objectif : formaliser les relations inter-entreprises, fluidifier les contrats et instaurer un climat de confiance. « Sans certification des produits et renforcement des capacités managériales des TPME, toute ambition resterait lettre morte », a insisté un participant, évoquant la nécessité de standards de qualité pour percer les marchés régionaux.

Le Forum de la Sous-Traitance et des Partenariats, inauguré par Mme Kayi, met en lumière les opportunités entre grandes entreprises et TPME,Des recommandations à l’aune des réalités

Les travaux ont accouché de propositions concrètes : programmes de mentorat entre géants industriels et TPME, fonds de garantie pour sécuriser les prêts bancaires, ou encore plateformes digitales de mise en réseau. Autant de leviers pour désenclaver le potentiel entrepreneurial, selon les mots d’un expert présent.

En clôture, la ministre a appelé à une contractualisation audacieuse des idées nées durant ces journées, rappelant que l’agilité du secteur privé est le socle sur lequel se bâtira la prospérité de demain. Reste à voir comment ces engagements, une fois transposés en politiques tangibles, irrigueront un paysage économique encore fragmenté.

Vers une renaissance économique ?

En somme, si les mots ont parfois la légèreté des promesses, ce forum aura eu le mérite de poser les jalons d’un dialogue renouvelé. Dans un Togo en quête d’émergence, la collaboration entre David et Goliath économiques pourrait bien incarner ce pont entre l’audace des uns et l’expérience des autres, pour reprendre une formule lancée en séance. Un pari dont l’enjeu dépasse les simples partenariats : il s’agit ni plus ni moins de réinventer les règles du jeu économique.

Fluctuations des prix des produits céréaliers au Togo

Lomé, 20 janvier 2025 – L’alimentation est un enjeu majeur pour toute société. Au Togo, les prix des produits céréaliers, denrées de base de l’alimentation, connaissent des fluctuations régulières, impactant directement le pouvoir d’achat des ménages. Cet article se propose d’analyser les tendances récentes des prix de ces produits sur les marchés de Lomé, Anfoin et Sokodé, en mettant en évidence les facteurs susceptibles d’influencer ces variations.

Le marché togolais : une mosaïque de prix

En premier lieu, les enquêtes de terrain menées dans les marchés de Lomé, Anfoin et Sokodé révèlent une grande diversité de prix, même pour des produits similaires. Cette semaine, par exemple, le prix du bol de maïs a grimpé à 700 FCFA, contre 650 FCFA la semaine précédente. De plus, le soja se vend à 1200 FCFA, tandis que le sorgho, bien que négociable à 900 FCFA, est affiché à 1000 FCFA. En outre, le petit mil reste à 1200 FCFA le bol, alors que le haricot varie entre 1700 F et 2000 FCFA selon la taille des grains.

Impact des unités de mesure sur les coûts 

Ensuite, le marché d’Anfoin, situé à 61 km de Lomé sur la route nationale n°34, est l’un des plus fréquentés. Sur place, les commerçants utilisent deux types de bols pour mesurer les quantités : le Kpogban et le Blidogban. Le choix du bol, une décision laissée à la discrétion des clients, influe sur le prix final. Le bol de gari, mesuré avec le Kpogban, coûte 500 FCFA, tandis que le maïs rouge et blanc est à 450 FCFA.

Le haricot et le sorgho sont respectivement à 1100 FCFA et 1100 FCFA, ce dernier étant négociable à 1000 FCFA. Par ailleurs, le Blidogban, un bol plus grand utilisé à Lomé, offre le maïs rouge à 750 FCFA et le maïs blanc à 650 FCFA. Une mesure et demie du Kpogban équivaut à une mesure du Blidogban, ce dernier contenant environ 2,5 kg de produit.

Comparaison des prix entre marchés régionaux

De surcroît, À 190 km de la capitale, le marché d’Amou-Oblo affiche des prix similaires : 700 FCFA pour le bol de maïs, 1000 FCFA pour le soja et 1700 FCFA pour le haricot. De même, à Sokodé, le bol de maïs est au prix de 650 FCFA, avec une possibilité de négociation à 600 FCFA. Le haricot, quant à lui, est proposé entre 1700 F et 2000 F CFA, une baisse par rapport aux 2000 F à 3000 F CFA d’il y a deux mois. En ce qui concerne le mil, autre denrée essentielle, il est passé de 1200 F à 1300 F CFA, tandis que le soja est disponible à 800 F CFA.

Hausse des prix des huiles végétales et des œufs

En outre, les huiles végétales et les œufs ne sont pas en reste. Le bidon de 25 litres d’huile végétale de marque Aïcha coûte désormais 27 500 FCFA, soit 2000 FCFA le litre, contre 26 000 FCFA pour la marque Aigle, à 1800 FCFA le litre. Le plateau d’œufs oscille entre 1800 F et 2500 F CFA selon la taille.

En somme, cette augmentation des prix, si elle persistait, pourrait avoir des répercussions significatives sur le pouvoir d’achat des ménages togolais, soulignant la nécessité d’une intervention rapide pour stabiliser le marché et garantir l’accès aux denrées de base pour tous.

Cérémonie des vœux 2025 : une mobilisation exemplaire au ministère du Commerce

Lomé, 8 janvier 2025 – Lundi dernier, la grande salle de conférence du Ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale a été le théâtre d’une cérémonie empreinte de chaleur humaine et d’optimisme. En effet, dans une ambiance conviviale, À l’occasion de la présentation des vœux du Nouvel An, Mme Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, ministre en charge du commerce, et le Professeur Kossivi HOUNAKE, ministre délégué, ont reçu les hommages et les vœux de toute l’équipe ministérielle.

 cette cérémonie des vœux 2025 au Ministère du Commerce a été un moment fort d'engagement et de gratitude envers les dirigeants, marqué par des discours inspirants et une mobilisation exemplaire du personnel.Une cérémonie empreinte de chaleur humaine et d’optimisme

Par ailleurs, cet événement, riche en émotions, a rassemblé les principaux responsables du ministère, des directeurs généraux, des chefs de structures affiliées et l’ensemble du personnel. Cette cérémonie a aussi été une opportunité précieuse pour chacun de témoigner de son engagement et de sa reconnaissance envers les dirigeants du ministère.

Monsieur Comlan Nomadoli YAKPEY, secrétaire général du ministère, s’est fait le porte-parole de ses collègues. Il a exprimé une gratitude sincère pour le leadership de Mme MIVEDOR-SAMBIANI et du Professeur HOUNAKE, en soulignant la sagesse et l’efficacité de leur gestion. « Nous sommes reconnaissants pour la manière dont vous guidez ce ministère vers l’atteinte de ses objectifs », a-t-il déclaré, reflétant un sentiment largement partagé au sein de l’assistance.

Engagement réitéré par la Ministre

Dans son discours, Mme MIVEDOR-SAMBIANI a réitéré son engagement envers les objectifs stratégiques du ministère, tout en remerciant le personnel pour sa loyauté et son travail acharné. Elle a également souhaité à chacun santé et prospérité pour l’année à venir, tout en les encourageant à maintenir une rigueur et une ardeur accrues dans leurs missions. En outre , son intervention a été ponctuée de témoignages de gratitude et d’encouragements à poursuivre les efforts entrepris sous l’égide du Président de la République, Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE.

Ce moment de convivialité a renforcé les liens entre les différents acteurs du ministère et réaffirmé l’importance de l’unité et de la collaboration pour atteindre des résultats significatifs. À travers les échanges et les discours, une vision partagée a émergé : celle d’un ministère résolu à jouer un rôle clé dans le développement économique et artisanal du Togo, en misant sur l’innovation et la cohésion d’équipe.

En somme, la cérémonie s’est achevée sur une note d’optimisme et d’engagement collectif, laissant présager une année 2025 placée sous le signe du succès et de la prospérité pour le Ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale.

 

TOME TEXTILE : Un fil d’espoir tissé dans le cœur du Togo

Lomé, 6 janvier 2025 – Dans les tréfonds de l’industrie togolaise, un fil d’espoir se tisse, robuste et lumineux. TOME TEXTILE INDUSTRIE, tel un artisan méticuleux, façonne l’avenir du secteur textile du pays. En effet, sous la houlette éclairée de Mme Manuella M. Santos, Ministre de l’Industrie et de la Promotion des Investissements, cette entreprise a ouvert ses portes le 3 janvier dernier à une visite qui s’est muée en véritable célébration du savoir-faire togolais.

Plongez au cœur de TOME TEXTILE, une entreprise qui tisse l'avenir du Togo grâce à une production textile responsable et diversifiée.680 mains expertes : TOME TEXTILE, plus qu’une simple usine

Avec 680 mains expertes, TOME T est bien plus qu’une simple usine. C’est un creuset dans lequel se forge l’avenir, où chaque employé est un maillon essentiel d’une chaîne productive et solidaire. L’entreprise, en créant des emplois moyens décents, répond à un enjeu crucial pour le Togo : celui de donner à chacun les moyens de s’épanouir.

Au-delà des frontières nationales, les produits « Made in Togo » tissés par TOME TEXTILE gagnent en notoriété. Bénin, Mali, Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Niger… autant de pays où les étoffes togolaises s’imposent par leur qualité et leur élégance. C’est là une véritable prouesse, qui témoigne de l’ambition de l’entreprise de faire rayonner le savoir-faire togolais à travers l’Afrique.

Plongez au cœur de TOME TEXTILE, une entreprise qui tisse l'avenir du Togo grâce à une production textile responsable et diversifiée.Mais TOME TEXTILE ne se contente pas de tisser des tissus. En s’associant à SOFACO Togo SARL, elle a également lancé une nouvelle aventure : l’assemblage d’appareils électroménagers. Une diversification stratégique qui témoigne d’une entreprise à la pointe de l’innovation et soucieuse de répondre aux besoins d’une population en constante évolution.

Plongez au cœur de TOME TEXTILE, une entreprise qui tisse l'avenir du Togo grâce à une production textile responsable et diversifiée.Et parce que l’avenir se construit dans le respect de l’environnement, TOME TEXTILE a fait du développement durable son credo. En intégrant l’énergie solaire dans son processus de production, l’entreprise prouve qu’il est possible de concilier croissance économique et préservation de la planète.

En somme, au-delà des chiffres et des réalisations, c’est l’histoire humaine qui se dessine chez TOME TEXTILE. Une histoire de passion, de travail, d’innovation et d’espoir. Une histoire qui inspire et qui donne envie de croire en un meilleur avenir pour le Togo.

TOME TEXTILE, un fil d’espoir tissé dans le cœur du Togo, un symbole de la renaissance industrielle d’un pays qui a choisi de regarder vers l’avenir.

Lomé s’illumine des mille feux du commerce : La 39ème Grande Quinzaine Commerciale ouvre ses portes

Lomé, le 17 décembre 2024 – Un vent de fraîcheur commerciale souffle sur la capitale togolaise ! En effet, la Chambre de commerce et d’industrie du Togo vient d’annoncer avec enthousiasme le lancement de la 39ᵉ édition de la Grande Quinzaine Commerciale, un événement incontournable qui se tiendra du 18 décembre 2024 au 5 janvier 2025 sur le site emblématique d’Agbadahonou.

Pendant quinze jours, le cœur économique de Lomé va battre au rythme des échanges, des découvertes et des bonnes affaires. Ce rendez-vous annuel, véritable vitrine du dynamisme économique togolais, est une invitation à célébrer le savoir-faire des artisans et des commerçants locaux, mais aussi à découvrir les produits et services innovants d’entreprises de tous horizons.

La Grande Quinzaine Commerciale : Un écrin de diversité et de créativité 

Le site d’Agbadahonou se transformera en un véritable marché de Noël géant, où les couleurs chatoieront et les senteurs éveilleront les papilles. Les visiteurs pourront flâner parmi les allées, à la découverte d’une multitude de produits : de l’artisanat local aux produits alimentaires, en passant par les vêtements, les objets de décoration et bien d’autres surprises.

Cette année encore, la Grande Quinzaine Commerciale promet d’être un événement riche en animations. Des démonstrations de savoir-faire, des dégustations, des ateliers créatifs et des concerts rythmeront les journées. C’est l’occasion idéale pour les familles de passer un moment convivial et de faire aussi leurs achats de fêtes de fin d’année.

Un levier pour l’économie locale

Au-delà de l’aspect festif, la Grande Quinzaine Commerciale est un véritable moteur pour l’économie locale. Elle permet aux entreprises, notamment aux petites et moyennes entreprises, de se faire connaître, de développer leur clientèle et de stimuler leurs ventes. C’est également l’occasion pour les producteurs agricoles de valoriser leurs produits et de nouer de nouveaux partenariats.

Un rendez-vous incontournable

La cérémonie d’ouverture officielle, prévue ce jeudi 19 décembre 2024, marquera le coup d’envoi de cette quinzaine placée sous le signe de la convivialité et de la réussite économique. Le gouvernement togolais, à travers le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale, apportera son soutien à cette manifestation qui contribue à renforcer le tissu économique du pays.

En résumé, la 39ᵉ édition de la Grande Quinzaine Commerciale est un événement à ne pas manquer. C’est l’occasion de faire du shopping, de découvrir de nouveaux produits, de soutenir l’économie locale et de passer un moment agréable en famille ou entre amis.

 

Lomé : Huit nouveaux contrôleurs pour protéger les consommateurs

Lors d’une cérémonie solennelle organisée ce vendredi 13 décembre à Lomé, huit nouveaux agents, dont cinq inspecteurs et trois contrôleurs, ont obligatoirement prêté serment et pris leurs fonctions au sein du ministère chargé du Commerce.

Ces nouveaux contrôleurs auront pour mission cruciale de renforcer la surveillance des activités commerciales sur l’ensemble du territoire national. Ils seront chargés de veiller au strict respect des réglementations en vigueur, notamment en matière de fixation des prix, de qualité des produits et de conformité des pratiques commerciales.

Un engagement fort pour la protection des consommateurs

Lors de la cérémonie, le juge Koudowovo Esse a exhorté les nouveaux agents à agir avec rigueur et intégrité dans l’exercice de leurs fonctions. « La protection des consommateurs repose sur l’efficacité de vos contrôles sur le terrain », a-t-il souligné, rappelant ainsi l’importance de leur mission pour garantir les droits des citoyens.

Une réponse aux enjeux actuels

Cette entrée en fonction intervient dans un contexte marqué par la volonté du gouvernement de renforcer la régulation des pratiques commerciales et de lutter contre la vie chère. La formation spécialisée suivie par ces nouveaux agents, couplée à leur nomination officielle, témoigne de cet engagement.

Les nouveaux agents auront à relever de nombreux défis, notamment celui de lutter contre la fraude, la concurrence déloyale et les pratiques commerciales trompeuses. Ils devront également s’adapter aux évolutions constantes du marché et aux nouvelles formes de commerce, telles que le commerce en ligne.

Cette cérémonie marque une étape importante dans le renforcement des contrôles économiques au Togo. Elle démontre la détermination des autorités à mettre en place un environnement commercial sain et équitable, au bénéfice des consommateurs et des entreprises.

Togo : Le gouvernement et les opérateurs économiques s’unissent pour réguler les prix

Lomé, le 13 décembre 2024 – Face aux enjeux de la fin d’année et soucieux de préserver le pouvoir d’achat des ménages, le gouvernement togolais a organisé une rencontre avec les principaux acteurs du secteur privé, notamment les industriels et les importateurs de produits de grande consommation. Cette rencontre, présidée par Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale, a eu lieu le jeudi 12 décembre 2024.

Par ailleurs, les échanges ont porté principalement sur la disponibilité et la qualité des produits de première nécessité ainsi que sur la stabilité des prix. Face à la période des fêtes de fin d’année, traditionnellement marquée par une hausse des prix, le gouvernement souhaite mettre en place des mesures préventives pour éviter toute spéculation et garantir ainsi un accès équitable à ces produits pour tous.

Le gouvernement togolais et les opérateurs économiques s'unissent pour stabiliser les prix des produits de première nécessitéUn engagement fort du gouvernement pour la stabilité des prix 

La ministre Kayi MIVEDOR-SAMBIANI a rappelé l’engagement du Président de la République, Faure Essozimna GNASSINGBÉ, à améliorer le niveau de vie des Togolais. Elle a aussi souligné que les mesures prises récemment, telles que la baisse des prix des produits pétroliers et du transport, témoignent de cette volonté.

Un partenariat public-privé pour une meilleure régulation des marchés

Les opérateurs économiques, de leur côté, ont exprimé leur soutien aux initiatives du gouvernement et se sont engagés à collaborer étroitement pour assurer la disponibilité et la stabilité des prix des produits de grande consommation. Ils ont notamment accepté de mettre en place des stocks suffisants pour éviter les ruptures et les tensions sur les prix.

Un appel à la vigilance et à la responsabilité

La ministre a invité tous les acteurs de la chaîne de valeur à jouer leur rôle pour garantir la régularité des marchés. Les distributeurs et les détaillants sont particulièrement encouragés à ne pas pratiquer de marges excessives et à respecter les prix fixés.

Pour lutter contre les pratiques commerciales déloyales, le gouvernement a mis en place un numéro vert gratuit (8585) permettant aux consommateurs de signaler tout abus.

En résumé, cette rencontre entre le gouvernement et les opérateurs économiques marque une nouvelle étape dans la politique de protection du consommateur au Togo. En renforçant le dialogue public-privé et en mettant en place des mécanismes de régulation efficaces, les autorités espèrent garantir un accès équitable aux produits de qualité à des prix abordables pour tous les Togolais.

Togo: Un succès rémanent pour la 19ème édition de la FIL

Lomé, le 9 décembre 2024 – La Foire Internationale de Lomé vient de clore ses portes sur un bilan plus que positif. Cette 19ᵉ édition de la FIL a attiré un nombre record de visiteurs et d’exposants, confirmant ainsi son statut d’événement incontournable au Togo et dans la sous-région.

Succès phénoménal pour la FIL 2024 ! Plus de 700 000 visiteurs ont participé à cette édition record. Un véritable secrets de cette réussite.Lomé fait le plein à la Foire Internationale(FIL )

La 19ᵉ édition de la Foire Internationale de Lomé (FIL) s’est achevée en apothéose. Avec plus de 704 000 visiteurs, cet événement a largement dépassé les attentes, marquant une nouvelle étape dans son histoire.

Organisée au Centre togolais des Expositions et Foires (CETEF), la FIL 2024 a rassemblé 1 300 exposants venus de 24 pays différents. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : une hausse significative par rapport à l’édition précédente. Cette dynamique positive s’explique notamment par la diversité des activités proposées, allant des échanges commerciaux aux rencontres culturelles.

Les professionnels ont également été au cœur de cette édition. Plus de 680 sessions B2B ont été organisées, générant 203 promesses de partenariat. par ailleurs, ces résultats témoignent de la vitalité du tissu économique togolais et de son attractivité pour les investisseurs étrangers.

Un événement populaire et fédérateur

Au-delà de son aspect commercial, la FIL est devenue un véritable rendez-vous populaire. Les visiteurs, en majorité togolais (74,3 %), ont plébiscité l’événement pour son caractère festif et convivial. L’enquête de satisfaction réalisée à l’issue de la foire révèle un taux de satisfaction global très élevé, notamment en ce qui concerne l’organisation, l’accueil et la propreté des lieux.

Pour Dr Alexandre de Souza, Directeur Général du CETEF, « La Foire Internationale de Lomé est bien plus qu’un simple événement commercial. » « C’est un lieu de rencontres, d’échanges et de partage. »

Des perspectives prometteuses pour l’avenir

Fort de ce succès, les organisateurs de la FIL envisagent déjà l’avenir avec ambition. La 20ᵉ édition, qui se tiendra en 2025, promet d’être encore plus riche en nouveautés et en surprises.

En somme, la 19ᵉ édition de la Foire Internationale de Lomé aura marqué les esprits par son dynamisme et son succès. Avec des chiffres records et une participation toujours plus internationale, l’événement s’affirme comme un rendez-vous incontournable pour les acteurs économiques et culturels de la région. Les prochaines éditions promettent d’être encore plus riches et innovantes, positionnant ainsi Lomé comme un véritable hub commercial en Afrique de l’Ouest.

La députée Abira Bonfoh en immersion au cœur de la 19ème Foire Internationale de Lomé

Lomé, le 5 décembre 2024 – Hier, la députée Abira Bonfoh a marqué de sa présence la 19ᵉ édition de la Foire Internationale de Lomé, qui se tient au Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF TOGO 2000) du 22 novembre au 8 décembre 2024.

L’élue a arpenté les allées de la foire, visitant les nombreux stands des exposants nationaux et internationaux. Cette immersion lui a en effet permis de découvrir l’étendue de la production locale et de saluer l’ingéniosité des entrepreneurs togolais. Elle a également tenu à souligner la participation remarquable du Mali, pays invité d’honneur de cette édition.

La députée Abira Bonfoh a effectué une visite des stands de la 19e Foire internationale de Lomé, où elle a prodigué des conseils aux exposantsUn événement fédérateur

Par ailleurs, cette visite a été l’occasion pour la députée de féliciter les organisateurs pour la qualité de l’événement et de remercier tous les acteurs qui contribuent à son succès. « Je suis impressionnée par la diversité des produits et services présentés ici », a déclaré la députée. « Cette foire est une véritable vitrine du dynamisme économique de notre pays et de la sous-région. »

Abira Bonfoh a aussi remercié les organisateurs de l’événement pour leur professionnalisme et leur dévouement. « Je salue le travail remarquable des équipes qui ont œuvré pour la réussite de cette foire », a-t-elle souligné.

En marge de sa visite, la députée a appelé à la vigilance de tous, tant les exposants que les visiteurs. « Je souhaite à tous une foire réussie et invite chacun à respecter les mesures de sécurité mises en place », a-t-elle conclu.

La Foire Internationale de Lomé, un rendez-vous incontournable

Cette 19ᵉ édition de la Foire Internationale de Lomé confirme une nouvelle fois l’importance de cet événement pour le développement économique du Togo. En réunissant des acteurs économiques de divers horizons, la Foire favorise ainsi les échanges, les partenariats et les investissements.

En somme, la présence de l’honorable Abira Bonfoh à la Foire Internationale de Lomé témoigne de l’importance qu’elle accorde au développement économique du pays et à la promotion des entreprises locales. Son engagement en faveur de l’entrepreneuriat et de l’innovation s’inscrit pleinement dans les objectifs de cet événement majeur.

Togo : Le gouvernement renforce la protection des consommateurs à l’approche des fêtes

Lomé, le 3 décembre 2024 – Alors que les fêtes de fin d’année approchent à grands pas, le gouvernement togolais redouble d’efforts pour garantir la protection des consommateurs. La ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale, Mme Kayi Mivedor-Sambiani, a rencontré le lundi 2 décembre les responsables de la Ligue Togolaise des Consommateurs (LTC) et de l’Association Togolaise de Protection des Consommateurs (ATC).

À l'approche des fêtes, le gouvernement togolais intensifie les contrôles pour garantir la qualité des produits et protéger les consommateurs.Des contrôles renforcés pour des fêtes sereines

Cette rencontre fait suite à une série d’inspections menées sur les marchés de la Capitale. L’objectif est clair : renforcer les contrôles pour s’assurer de la qualité et de la conformité des produits mis en vente. Les discussions ont notamment porté sur l’augmentation des prix des produits de première nécessité, un phénomène souvent observé à l’approche des fêtes, ainsi que sur la lutte contre la falsification des produits et la vérification des dates de péremption.

« Les contrôles ne se limitent pas au mois de décembre, mais durant cette période, ils sont intensifiés pour rappeler aux commerçants l’importance de proposer des produits conformes et propres à la consommation humaine », a souligné la ministre.

À l'approche des fêtes, le gouvernement togolais intensifie les contrôles pour garantir la qualité des produits et protéger les consommateurs.Une collaboration étroite avec les associations de consommateurs

En outre, les associations de consommateurs, en première ligne pour défendre les droits des citoyens, ont apprécié cette initiative et se sont engagées à collaborer étroitement avec le ministère. Elles jouent un rôle de relais sur le terrain en sensibilisant les consommateurs et en signalant les éventuelles pratiques abusives.

Un numéro vert à votre disposition.

Pour signaler toute pratique commerciale abusive, les consommateurs peuvent appeler le Numéro vert ( 8585) mis en place par le ministère. Ce numéro permet de signaler les augmentations de prix injustifiées, les produits de mauvaise qualité, les tromperies sur les étiquettes ou encore les refus de vente.

En somme, la protection des consommateurs est un enjeu de santé publique. En garantissant la qualité des produits alimentaires, le gouvernement contribue à préserver la santé des citoyens et à renforcer la confiance dans les produits locaux.

Togo : Un Salon d’Affaires pour Booster les Partenariats Entre Grandes et Petites Entreprises

Lomé, le 28 novembre 2024 Le Ministère de l’Industrie et de la Promotion des Investissements, en collaboration avec la GIZ, organise un événement majeur le 2 décembre 2024 pour le tissu économique togolais. Ce salon d’affaires et de réseautage, qui se tiendra au CETEF, salle Afrique, en marge de la Foire Internationale de Lomé, vise à faciliter les échanges et les collaborations entre les petites et moyennes entreprises (PME) locales et les grandes entreprises bénéficiant de régimes fiscaux spéciaux.

Des opportunités de croissance pour les petites et moyennes entreprises

Cet événement représente une occasion unique pour les PME togolaises de :

Tout d’abord, élargir leur réseau professionnel. En rencontrant des acteurs majeurs de l’économie nationale, les PME pourront nouer de nouveaux partenariats et développer leur visibilité.

De plus, accéder à de nouveaux marchés. En effet, les grandes entreprises pourront offrir de nouvelles opportunités d’affaires aux PME, notamment en matière de sous-traitance ou de co-développement de projets.

Enfin, améliorer leur compétitivité. Les différents panels et ateliers proposés permettront aux PME de se former sur les dernières tendances et les bonnes pratiques en matière de qualité et de compétitivité.

Un programme riche et varié

Le programme de ce salon est conçu pour répondre aux besoins spécifiques des PME. Il comprend notamment deux panels de discussion avec des thèmes variés :

  • Panel 1 : Synergies interentreprises & compétitivité.
  • Panel 2 : Qualité & opportunités pour les PMEs.

Des experts et des représentants du secteur privé débattront de ces sujets pour permettre aux petites et moyennes entreprises d’être mieux outillées sur la question. Il y aura également des sessions de rencontres individuelles où les PME pourront rencontrer des représentants de grandes entreprises afin de discuter de projets de collaboration concrets.

Un soutien fort de l’État et de ses partenaires

En organisant cet événement, le gouvernement togolais et la GIZ témoignent de leur volonté de soutenir le développement des PME, qui jouent un rôle essentiel dans la création d’emplois et la croissance économique du pays.

 

Lomé célèbre l’émergence de ses champions économiques

Lomé, 18 novembre 2024 La capitale togolaise a vibré hier au rythme de l’innovation et de l’entrepreneuriat. Victoire Dogbé, la Cheffe du gouvernement en visite dans la ville, a salué l’élan entrepreneurial qui anime la jeunesse togolaise.

Parmi les pépites qui ont retenu son attention, l’entreprise Imep dirigée par Namo Johnson s’est distinguée. Spécialisée dans la production d’emballages en carton, cette société basée à Aného est un acteur clé de l’économie locale, employant 128 personnes et rayonnant à l’échelle sous-régionale.

Autre fleuron de l’industrie togolaise : la Société de Production des Équipements Médicaux (SOPROEM). Sous la houlette de Yolande Soukou, cette entreprise fournit des équipements médicaux essentiels à l’Afrique de l’Ouest. Avec ses 80 employés, SOPROEM contribue activement à améliorer la santé des populations de la région.

Le Togo célèbre l'émergence de champions économiques tels qu'Imep et SOPROEM, soutenus par un gouvernement engagé dans la promotionDes modèles d’excellence

Ces entreprises ne sont pas de simples réussites économiques. Elles incarnent les valeurs de discipline, d’innovation et d’excellence qui font la fierté du Togo. Leur succès témoigne de l’importance d’un environnement favorable à l’entrepreneuriat et d’une vision à long terme.

« Le mois du consommons local » : un tremplin pour l’entrepreneuriat

« Le mois du consommons local », célébré actuellement au Togo, est l’occasion de mettre en lumière ces champions nationaux. En privilégiant les produits locaux, les consommateurs soutiennent l’économie nationale et encouragent la création d’emplois.

Le Gouvernement togolais, conscient de l’importance de ces acteurs économiques, multiplie les initiatives pour les soutenir. Des politiques ciblées et un accompagnement personnalisé permettent aux entrepreneurs togolais de s’épanouir et de contribuer au développement du pays.

Le Togo, terre d’opportunités

Les histoires de succès de l’IMEP et de SOPROEM sont celles d’une nation en mouvement. Le Togo, grâce à l’audace et à l’ingéniosité de ses entrepreneurs, se positionne comme un exemple à suivre sur le continent africain.

 

Togo : Le gouvernement durcit le ton contre la contrefaçon

Lomé, 12 novembre 2024 Le gouvernement togolais vient de renforcer les mesures de lutte contre la contrefaçon et le commerce illicite. Dans un communiqué conjoint publié ce mardi, les ministres en charge du commerce et de l’économie ont rappelé l’obligation pour les opérateurs économiques de marquer fiscalement les produits de grande consommation tels que les boissons et les produits du tabac.

Marquage fiscal obligatoire : une mesure renforcée contre la contrefaçon 

Depuis 2017, la réglementation togolaise impose le marquage fiscal sécurisé pour certains produits. Cette mesure vise à garantir l’origine des produits, à lutter contre la fraude fiscale et à protéger les consommateurs. Face aux pratiques frauduleuses persistantes, le gouvernement a décidé de renforcer le contrôle de cette disposition.

Désormais, tous les produits concernés doivent impérativement porter la marque fiscale sécurisée avant d’être mis sur le marché. Les autorités ont précisé que les produits non conformes seront saisis.

Une application pour vérifier l’authenticité des produits

Pour aider les consommateurs à s’assurer de l’authenticité des produits qu’ils achètent, l’Office Togolais des Recettes (OTR) a mis en place une application mobile. Cette application permet de vérifier la validité d’une marque fiscale en scannant simplement le code-barres du produit.

Des contrôles renforcés et des sanctions prévues

Afin de garantir le respect de cette réglementation, les autorités ont annoncé le renforcement des contrôles aux frontières et sur l’ensemble du territoire national. Les contrevenants s’exposent à des sanctions sévères, notamment la saisie des produits illégaux.

Un enjeu de santé publique et de sécurité

La lutte contre la contrefaçon est un enjeu majeur pour la santé publique. Les produits contrefaits peuvent être dangereux pour la santé et porter atteinte à la sécurité des consommateurs. En renforçant les contrôles et en sensibilisant les populations, le gouvernement togolais montre sa détermination à protéger les consommateurs et à garantir la loyauté de la concurrence.

En conclusion, cette décision du gouvernement est une véritable bouffée d’air frais pour les consommateurs togolais, qui pourront désormais faire leurs achats en toute confiance. Les entreprises locales, quant à elles, verront leurs efforts récompensés et pourront se développer dans un environnement plus équitable. Il reste cependant du chemin à parcourir pour éradiquer complètement le phénomène de la contrefaçon. La vigilance de chacun est donc indispensable pour garantir le succès de cette initiative.

Vous pouvez dénoncer les anomalies via les numéros verts 8585 et 8280.

Togo : Une nouvelle dynamique pour la certification des produits agricoles

Lomé, le 4 novembre 2024 Le secteur agricole togolais s’apprête à franchir une nouvelle étape. Une formation intensive destinée aux acteurs de la certification a débuté ce lundi à Lomé, sous l’égide de la Haute Autorité de la Qualité et de l’Environnement (HAUQE) et du Comité togolais d’Agrément (COTAG).

Un enjeu majeur pour la compétitivité

Pendant six jours, les participants vont approfondir leurs connaissances sur les normes internationales en vigueur et les procédures de certification. L’objectif est de renforcer la qualité des produits agricoles togolais et de faciliter leur accès aux marchés internationaux, notamment dans le contexte de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).

« La certification est devenue un véritable passeport pour accéder aux marchés exigeants », a souligné Koffivi Lakoussan, directeur général du COTAG. « La formation destinée aux professionnels de la certification contribuera à l’implémentation d’un système efficace pour la sécurité alimentaire ».

Un appui financier crucial

Par ailleurs, cette formation, qui bénéficie du soutien financier du Programme de résilience du système alimentaire en Afrique de l’Ouest (FSRP Togo), financé par la Banque mondiale, témoigne de l’importance accordée par les autorités togolaises à la modernisation du secteur agricole.

« En investissant dans la certification, nous renforçons la confiance des consommateurs et des partenaires commerciaux envers nos produits », a ajouté M. Lakoussan. « C’est aussi un gage de qualité et de sécurité alimentaire. »

Les TPME au cœur de la démarche de certification

Les petites et moyennes entreprises (TPME) du secteur agricole sont particulièrement visées par cette initiative. En effet, la certification peut leur ouvrir de nouvelles perspectives de développement et leur permettre de mieux résister à la concurrence.

Le directeur général du COTAG a également encouragé les très petites et moyennes entreprises à obtenir la certification, expliquant que, dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), respecter les normes est essentiel pour rester compétitif sur le marché.

Cette formation s’inscrit dans une dynamique plus large de modernisation du secteur agricole togolais. En renforçant la qualité et la sécurité des produits, le Togo vise à développer une agriculture plus compétitive et durable, répondant ainsi aux enjeux de la sécurité alimentaire et du développement économique.

 

Togo : 150 PME togolaises vont être digitalisées

Lomé, le 29 octobre 2024 – La Chambre de commerce et d’industrie du Togo (CCI-Togo) vient de lancer un appel à manifestation d’intérêt pour accompagner 150 petites et moyennes entreprises (PME) dans leur transformation numérique. En effet, ce projet ambitieux, soutenu par la Coopération Allemande (GIZ), vise à renforcer la compétitivité des entreprises togolaises sur le marché national et international.

Un coup de pouce pour les PME

par ailleurs, cette initiative, fruit d’un partenariat avec la Coopération Allemande (GIZ), vise à doter les PME togolaises des outils numériques nécessaires pour améliorer leur compétitivité et leur croissance. Les entreprises sélectionnées bénéficieront de formations spécifiques pour les aider à intégrer les technologies numériques dans leur gestion quotidienne, à développer aussi leur commerce en ligne et à optimiser leur présence sur les réseaux sociaux.

Des critères d’éligibilité précis

Les PME togolaises qui souhaitent bénéficier de cet accompagnement doivent également répondre à certains critères. Elles doivent notamment :

  • Proposer des services ou des produits non numériques.
  • Être inscrit dans une base de données d’une structure d’appui.
  • Disposer d’au moins 10 employés et d’un chiffre d’affaires de 30 millions FCFA.
  • Faire preuve d’une utilisation régulière du numérique dans leurs activités.

Cet appel d’intérêt s’adresse principalement aux entreprises proposant des services ou des produits non numériques. Il sera aussi considéré comme un avantage supplémentaire d’utiliser régulièrement des outils numériques.

En outre, les entreprises sélectionnées bénéficieront de formations spécifiques pour les aider à intégrer les outils numériques dans leur gestion quotidienne. Elles bénéficieront pareillement d’un soutien pour développer leur commerce en ligne et améliorer leur visibilité sur les réseaux sociaux.

Un élan continu pour la digitalisation

Cet appel à projets est une extension du projet Lon’Kèlèw, initié par la CCI-Togo en 2023, qui a formé cinquante informaticiens consultants. Ces experts se concentrent sur le soutien aux entreprises dans leur transition vers le numérique.

La digitalisation est cruciale pour le développement économique du Togo, car elle offre aux PME l’opportunité d’augmenter leur productivité, de minimiser leurs coûts, d’explorer de nouveaux marchés et de renforcer leur position concurrentielle. Les PME désireuses de bénéficier de cet accompagnement doivent soumettre leur candidature avant le 7 novembre 2024. Pour plus d’informations, veuillez consulter le lien fourni pour cet appel à projets.

En somme, si cet accompagnement est une avancée significative, de nombreux défis restent à relever pour assurer une digitalisation durable des PME togolaises. L’accès à un Internet haut débit abordable, la formation continue des entrepreneurs et l’adaptation des écosystèmes économiques sont autant d’enjeux à prendre en compte.

Togo : l’étiquetage sécurisé entre en vigueur le 4 novembre

Lomé, le 24 octobre 2024 – Une nouvelle ère s’ouvre pour le commerce au Togo. À compter du 4 novembre prochain, le contrôle de l’étiquetage obligatoire des produits devient la norme. En effet, cette mesure, annoncée lors d’une récente réunion à Lomé, vise à renforcer la sécurité des produits sur le marché et à protéger les consommateurs.

Un dispositif pour une meilleure traçabilité

Mis en place en septembre 2020 dans le cadre de la Solution de Marquage Automatisé (SAM), ce système d’étiquetage sécurisé piloté par le comité interministériel de lutte contre la contrebande et la contrefaçon a pour objectif de sécuriser les recettes fiscales, d’améliorer la traçabilité des produits et de lutter contre la contrefaçon. Les boissons alcoolisées, les bonbons, le tabac et les jus de fruits figurent parmi les premières catégories de produits concernés par cette réglementation.

Afin d’assurer le respect de cette nouvelle mesure, les autorités ont prévu des sanctions sévères à l’encontre des contrevenants. Les produits ne portant pas l’étiquette sécurisée seront illégaux et saisis.

Une période de transition pour une meilleure adaptation

Conscient des enjeux liés à cette transition, le gouvernement a accordé un délai de grâce de 15 jours à compter du 4 novembre pour permettre aux opérateurs économiques de se mettre en conformité. Les autorités prévoient également des campagnes de sensibilisation afin de sensibiliser les acteurs économiques aux bénéfices d’un étiquetage sécurisé et aux risques associés à son non-respect.

Les avantages d’un étiquetage sécurisé

Selon Mme Esso-Wavana Adoyi, présidente du Comité de tutelle de la SAM, ce système d’étiquetage présente de nombreux avantages :

  • Une concurrence loyale : L’étiquetage sécurisé permet de lutter contre la concurrence déloyale en identifiant les produits contrefaits.
  • Une meilleure collecte des impôts : ce dispositif contribue à améliorer la traçabilité des produits et facilite ainsi le recouvrement des taxes.
  • Une protection des consommateurs : les consommateurs sont assurés d’acquérir des produits de qualité et sûrs.

En somme, la mise en œuvre de ce contrôle obligatoire de l’étiquetage s’inscrit dans une démarche plus globale visant à formaliser l’économie togolaise et à renforcer la protection des consommateurs. En améliorant la transparence des transactions commerciales, cette mesure contribue à renforcer la confiance des acteurs économiques et à favoriser le développement du pays.

 

60 ans de fidélité : BB Lomé récompense ses bars emblématiques

Lomé, le 18 octobre 2024 – Dans une ambiance festive et empreinte de reconnaissance, la Brasserie BB Lomé a célébré son 60e anniversaire en mettant à l’honneur les établissements qui ont marqué son histoire. En effet, trois nouveaux bars emblématiques de la capitale, le Bar Bien-être, le Bar Madiba et le Bar Prudencia, ont rejoint la liste des récompensées, après les Îles Galápagos, Escale 3 et Coin Mao.

BB Lomé fête ses 60 ans en rendant hommage aux bars qui ont marqué son histoire et en renforçant ses liens avec ses partenaires.Une reconnaissance méritée

Par ailleurs, lors d’une cérémonie riche en émotions, les gérants de ces établissements ont reçu des distinctions honorifiques, témoignant de la profonde gratitude de BB Lomé pour leur fidélité et leur contribution au succès de la marque.

Thierry Féraud, directeur général de la brasserie, a souligné l’importance de ces partenariats de longue date : « Nous sommes profondément reconnaissants pour leur soutien continu et leur fidélité. Ces récompenses sont aussi le symbole de notre appréciation. Ces bars sont bien plus que de simples points de vente, ils sont des témoins de notre histoire, des lieux de vie et de partage. » Des initiatives spéciales sont prévues pour honorer cet engagement, y compris des présents pour les employés et une promotion renforcée pour les bars concernés.

BB Lomé fête ses 60 ans en rendant hommage aux bars qui ont marqué son histoire et en renforçant ses liens avec ses partenaires.Des histoires inspirantes

Les propriétaires des bars honorés ont partagé leurs parcours, souvent marqués par des défis, mais aussi par une grande résilience. Leurs témoignages ont aussi souligné l’importance de ces partenariats pour le développement de leurs établissements. En plus, les histoires des récompensés ont véritablement ému l’assistance.

M. Kpogno Koffi, propriétaire du Bar Bien-être, a évoqué avec émotion les défis surmontés pour maintenir son établissement ouvert pendant 25 ans. « Ce prix est une reconnaissance de tout le travail accompli », a-t-il déclaré.

De son côté, Mme Migan Alipossi Philomène, gérante du bar Prudencia, a partagé son parcours inspirant, passant d’un petit commerce de salade à un bar incontournable du quartier. « C’est grâce à la confiance de mes clients et au soutien de BB Lomé que j’en suis arrivée là », a-t-elle confié.

BB Lomé: Une tournée nationale

Cette série de célébrations ne s’arrête pas à Lomé. BB Lomé prévoit de poursuivre sa tournée de reconnaissance dans toutes les régions du Togo. « Nous voulons montrer à tous nos partenaires que nous les apprécions », a ajouté Thierry Féraud.

En célébrant ses 60 ans, BB Lomé nous rappelle que le succès d’une entreprise ne se mesure pas seulement en termes de chiffres, mais aussi en termes d’héritage et de relations humaines. En honorant ses partenaires de longue date, BB Lomé écrit une nouvelle page de son histoire, une histoire dans laquelle la fidélité, le respect et la reconnaissance sont les maîtres mots. Cette célébration est une invitation à tous à lever nos verres et à porter un toast à 60 ans de succès et à un avenir prometteur.

50 stands pour 50 entrepreneurs à la Foire Internationale de Lomé

Lomé, 2 octobre 2024  –La 19e édition de la Foire Internationale de Lomé (FIL), prévue du 22 novembre au 8 décembre 2024, se veut plus inclusive que jamais. En effet, dans une démarche visant à promouvoir l’entrepreneuriat des jeunes, le Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF Togo 2000) a annoncé la mise à disposition d’espaces spécifiques à des tarifs préférentiels.

Ces espaces, au nombre de 50, sont destinés à accueillir principalement des jeunes entrepreneurs, avec une répartition ciblant 60 % de femmes et 40 % d’hommes. En plus, cette initiative, soutenue par le Ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale, vise à offrir aux jeunes une opportunité unique de se faire connaître et de développer leurs activités.

« Nous souhaitons faire de cette foire un véritable tremplin pour les jeunes entrepreneurs », a déclaré Alexandre De Souza, Directeur général du CETEF Togo 2000. « En leur offrant des conditions privilégiées, nous leur permettons de participer à cet événement d’envergure et de bénéficier d’une visibilité accrue. »

Les jeunes entrepreneurs intéressés par cette offre exceptionnelle ont jusqu’au 15 octobre 2024 pour réserver leur espace. Pour toute information complémentaire, ils peuvent contacter le CETEF Togo 2000 aux numéros suivants : 91 20 70 70 / 99 20 70 70.

Cette 19e édition de la Foire Internationale de Lomé (FIL) adopte le thème « Normes et qualités des produits et services : outils de compétitivité et d’accès aux marchés connectés ». En outre, le Mali se distingue en tant que pays invité d’honneur pour cet événement.

En somme, cette initiative du CETEF TOGO 2000 s’inscrit dans une dynamique de soutien à la jeunesse entrepreneuriale, un enjeu majeur pour le développement économique du Togo. Il sera intéressant d’évaluer les retombées de cette édition et d’observer comment la Foire évoluera dans les années à venir.

Togo : Les TPME prêtes à conquérir l’Afrique

Lomé, le 10 septembre 2024 – Dans un contexte de mondialisation croissante, les petites et moyennes entreprises (TPME) togolaises sont appelées à relever de nouveaux défis. Pour les aider à gagner en compétitivité et à s’imposer sur les marchés nationaux, régionaux et internationaux, le gouvernement togolais, en partenariat avec la GIZ, a lancé une série de formations spécifiques.

Des enjeux majeurs pour les TPME

Avec l’ouverture de l’économie togolaise et l’émergence de nouvelles zones de libre-échange comme la ZLECAf, la concurrence s’intensifie considérablement. Les TPME, souvent fragilisés par leur taille, doivent faire face à des défis importants :

  • Maîtriser les règles du commerce international : Les normes, les réglementations et les procédures douanières peuvent être complexes et évolutives.
  • Négocier efficacement les contrats : Les contrats commerciaux internationaux comportent des clauses spécifiques qu’il est essentiel de comprendre et de maîtriser.
  • S’adapter aux exigences des marchés : Les attentes des clients et les tendances du marché évoluent rapidement.

Les TPME togolaises sont formées pour mieux négocier leurs contrats et conquérir les marchés internationaux grâce à la ZLECAf.Une formation sur mesure pour répondre aux besoins des TPME

Dans le but d’améliorer la compétitivité des petites et moyennes entreprises (TPME) au Togo, le Ministère du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale a lancé une initiative de formation.

La formation, qui a débuté le lundi 9 septembre 2024, se déroule sur cinq jours dans la salle de conférence principale du ministère. L’atelier comprend des discussions pratiques sur la négociation de contrats commerciaux, l’utilisation des incoterms pour accéder aux marchés à l’échelle nationale, régionale et internationale, ainsi que sur les droits et obligations des partenaires commerciaux potentiels dans les échanges nationaux et internationaux.

Les objectifs de cette formation 

Par ailleurs, cette formation vise à éclairer les participants sur l’importance des contrats internationaux et à leur fournir des méthodes pour identifier et négocier les clauses cruciales. Elle a pour but de déterminer les principes juridiques qui régissent la création de contrats commerciaux, tant au niveau national qu’international, et de proposer des stratégies pour gérer et prévenir les conflits après la signature des contrats.

Monsieur Comlan Nomadoli YAKPEY, Secrétaire Général, a présidé la cérémonie d’ouverture en tant que représentant de Mme Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale. Cette cérémonie s’est déroulée également en présence des représentants de la GIZ, des cadres de l’administration publique et des représentants du secteur privé.

Il a souligné le rôle crucial des TPME et du secteur privé dans l’économie togolaise, notamment dans la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND) et de la feuille de route gouvernementale 2020-2025. Ces initiatives visent à induire une transformation structurelle de l’économie togolaise vers une croissance robuste, durable, résiliente, inclusive et génératrice d’emplois.

En plus, Il a insisté sur la nécessité pour les responsables des TPME d’avoir les outils et compétences essentiels pour demeurer compétitifs et réussir dans leurs négociations commerciales, afin de conquérir des parts de marché.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du Programme d’amélioration de la compétitivité du secteur privé au Togo (ProComp), un programme soutenu par la coopération allemande GIZ.

Le gouvernement outille les TPME pour plus de compétitivité

Lomé, le 4 septembre 2024 – Les dirigeantes des Très Petites, Petites et Moyennes Entreprises (TPME) togolaises sont en pleine formation. Organisé par le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale, cet atelier de deux jours, qui s’est ouvert le 3 septembre, vise à renforcer leurs compétences en matière de partenariat d’affaires.

L’objectif est clair : doter les chefs d’entreprise des outils nécessaires pour établir des collaborations fructueuses et développer leurs activités. Au programme : des modules sur les techniques de recherche et de négociation de partenariats, l’élaboration de contrats, le statut juridique des entreprises, et la recherche d’opportunités.

Le Togo investit dans l'avenir de ses TPME en organisant un atelier pour les anciens aux techniques de partenariat et les aiderUne initiative gouvernementale pour soutenir les TPME

Dirigée par le représentant la Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale M. Comlan Nomadoli YAKPEY, secrétaire général, en présence du coordonnateur national du programme cadre intégré renforcé, du président du groupement des TPME, ainsi que des cadres de l’administration publique et des dirigeants des TPME.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la feuille de route gouvernementale 2020-2025, qui accorde une place centrale au développement des TPME. La création récente de l’Agence de développement des TPME témoigne de la volonté du gouvernement de soutenir ce secteur, moteur de la croissance économique et de la création d’emplois.

Le Togo investit dans l'avenir de ses TPME en organisant un atelier pour les anciens aux techniques de partenariat et les aiderDes partenariats, clé de la réussite des entreprises

Selon Comlan Nomadoli YAKPEY, secrétaire général du ministère du Commerce, cette formation vise donc à doter les dirigeants de TPME non seulement des outils et méthodes pour déceler et construire des partenariats bénéfiques, mais également pour améliorer leurs aptitudes en négociation, communication et gestion des relations professionnelles. Il a mis en exergue que dans le secteur des affaires, qui évolue sans cesse, l’aptitude à établir des alliances robustes est indispensable.

« Les partenariats sont une alliance stratégique qui, lorsqu’elle est bien gérée, peut apporter des avantages mutuels et propulser les entreprises vers de nouveaux sommets», a-t-il martelé .

Une trentaine de participants, issus de différents secteurs, suivent avec attention les différentes communications. Ils sont unanimes : cette formation répond à un besoin réel et leur permettra de mieux appréhender les enjeux des partenariats d’affaires.

En bref, cet atelier marque une étape importante dans le développement des TPME au Togo. En dotant les dirigeants des outils nécessaires pour établir des partenariats solides, le gouvernement leur offre les moyens de renforcer leur compétitivité et de saisir de nouvelles opportunités. L’avenir s’ annonce des perspectives pour les entreprises togolaises, qui pourront ainsi contribuer de manière significative à la croissance économique du pays .

SAM Togo : Une nouvelle application mobile pour lutter contre la contrefaçon

Lomé, le 28 août 2024 – Une avancée majeure dans la lutte contre la contrefaçon au Togo. L’Office Togolais des Recettes (OTR) a lancé, ici, l’application mobile SAM (Solution Automatisée de Marquage), un outil innovant permettant aux consommateurs de vérifier l’authenticité des produits qu’ils achètent.

Disponible sur Google Play Store, SAM fonctionne de manière simple : il suffit de scanner le code présent sur le produit à l’aide de son smartphone. L’application, développée en partenariat avec la société suisse SICPA, experte en sécurisation des produits, analyse alors les données et informe l’utilisateur de l’authenticité du produit. En cas de doute, le consommateur peut signaler le produit aux autorités compétentes.

SAM: Une protection renforcée pour les consommateurs

Cette initiative s’inscrit dans une volonté gouvernementale de garantir la sécurité et la santé des consommateurs togolais. Comme l’a souligné la ministre du Commerce, Rose Kayi Mivedor, « SAM n’est pas simplement un outil technologique. Il est également la traduction concrète de l’engagement du gouvernement à garantir à chaque Togolais la sécurité, l’authenticité et la traçabilité des produits qu’ils consomment ».

En effet, la contrefaçon ne met pas seulement en danger la santé des consommateurs, elle porte également atteinte à l’économie du pays en favorisant la concurrence déloyale et en particulier les recettes fiscales.

Un dispositif complet

Le lancement de l’application SAM vient compléter un dispositif plus grand mis en place par l’OTR depuis 2020. Ce dispositif comprend notamment un marquage sécurisé des produits à la source, permettant ainsi de suivre leur parcours jusqu’au consommateur final.

Les bénéfices pour tous

Les avantages de cette nouvelle application sont multiples :

  • Protection des consommateurs : en permettant de vérifier l’authenticité des produits, SAM contribue à réduire les risques pour la santé liés à la consommation de produits contrefaits.
  • Lutte contre la contrefaçon : en rendant plus difficile la commercialisation de produits illégaux, SAM permet de protéger les entreprises légitimes et de préserver les recettes fiscales.
  • Modernisation de l’administration : l’utilisation de technologies innovantes comme l’application SAM contribue à améliorer l’efficacité et la transparence des services publics.

En bref, avec SAM, le Togo franchit une nouvelle étape dans la lutte contre la contrefaçon et affirme sa volonté de mettre en place un environnement économique sûr et transparent.

Togo : La HAPLUCIA forme les gestionnaires de marchés publics

Lomé, le 27 août 2024 – La corruption, un fléau qui gangrène de nombreux secteurs au Togo, est dans le viseur de la Haute Autorité de Prévention et de Lutte contre la Corruption (HAPLUCIA). Lundi dernier, en collaboration avec l’Autorité de Régulation de la Commande Publique (ARCOP), l’institution a lancé une formation intensive destinée aux gestionnaires de marchés publics.

L’objectif de cette formation est de renforcer leurs connaissances des textes juridiques et les outiller pour prévenir et combattre efficacement les pratiques corruptrices dans les marchés publics. « Les agents chargés de la gestion des marchés publics sont en première ligne face à la corruption », a souligné Aba Kimelabalou, président de la HAPLUCIA. « C’est pourquoi il est crucial de les doter des outils nécessaires pour agir avec transparence et équité »..

Pendant deux jours, les participants ont approfondi leurs connaissances sur la transparence des procédures et l’égalité de traitement des soumissionnaires. Cette formation s’inscrit dans une démarche globale de la HAPLUCIA visant à sensibiliser tous les acteurs impliqués dans la commande publique, de la société civile aux acteurs judiciaires.

La HAPLUCIA essaie de résoudre une problématique nationale

Malgré les efforts déployés, la corruption reste un fléau qui gangrène de nombreux secteurs au Togo. L’ignorance des textes juridiques est souvent pointée du doigt comme l’une des principales causes de ces pratiques.  Selon Aba Kimelabalou, « la méconnaissance des textes est souvent à l’origine de pratiques corruptrices ». En renforçant les compétences des gestionnaires de marchés publics, la HAPLUCIA espère non seulement réduire les risques de corruption mais aussi améliorer la qualité des services publics et renforcer la confiance des citoyens dans les institutions.

La corruption a des conséquences désastreuses pour un pays : elle ralentit le développement économique, creuse les inégalités sociales et érode la confiance dans les institutions. En attaquant la corruption dans la commande publique, le Togo fait un pas important vers une gouvernance plus transparente et plus efficace.

Kossivi HOUNAKEY rejoint l’équipe du ministère du Commerce

Lomé, le 23 août 2024 – Le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale a accueilli le jeudi un nouveau membre. En effet, le Secrétaire général adjoint du Gouvernement, Makre SKPANE, a présidé la cérémonie d’installation officielle du Professeur Kossivi HOUNAKEY en tant que Ministre délégué auprès de la Ministre Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, qui a été reconduite à son poste. Cette cérémonie marque un tournant pour le département ministériel.

Le Professeur Kossivi HOUNAKEY rejoint le ministère du Commerce pour renforcer l'équipe de Madame MIVEDOR-SAMBIANI.
Monsieur Makre SKPANE, Secrétaire général adjoint du Gouvernement

Un renforcement de poids avec le Professeur HOUNAKEY

La nomination du Professeur HOUNAKEY est perçue comme un renforcement de l’équipe ministérielle. Son expertise, alliée à la longue expérience de Madame MIVEDOR-SAMBIANI, devrait donner un nouvel élan aux politiques commerciales du pays. Le Secrétaire général adjoint du Gouvernement à d’ailleurs salue cette décision, soulignant la volonté du Chef de l’État de doter le ministère des moyens nécessaires pour atteindre ses objectifs.

Une collaboration prometteuse

Lors de son discours, Madame MIVEDOR-SAMBIANI a exprimé sa gratitude au Chef de l’État pour la confiance renouvelée et a assuré au nouveau ministre délégué de son plein soutien. De son côté, le Professeur HOUNAKEY a remercié également le Président de la république pour sa nomination et a souligné son engagement à travailler en étroite collaboration avec l’ensemble des acteurs du ministère.

Le Professeur Kossivi HOUNAKEY rejoint le ministère du Commerce pour renforcer l'équipe de Madame MIVEDOR-SAMBIANI.Les enjeux à venir

Par ailleurs, cette nouvelle configuration du ministère laisse présager de nouvelles orientations. Les défis sont nombreux : favoriser le développement des entreprises locales, favoriser les exportations, protéger les consommateurs. Le Professeur HOUNAKEY et Madame MIVEDOR-SAMBIANI auront à cœur de mettre en œuvre les politiques commerciales définies par le gouvernement et de contribuer à la croissance économique du pays.

 En bref, l’arrivée du Professeur HOUNAKEY au sein du gouvernement témoigne de la volonté politique de renforcer le secteur du commerce. Mais comment ces nouvelles orientations s’inscrivent-elles dans la stratégie globale de développement économique du pays ? Et quels en seront les impacts sur la vie quotidienne des Togolais ?

José Kwassi Symenouh prend les rênes de la CCI – Togo 

Lomé, 21 août 2024 – Un nouveau chapitre s’ouvre pour la Chambre de commerce et d’industrie du Togo (CCI-Togo). Au cours d’une cérémonie officielle tenue le mardi 20 août, José Kwassi Symenouh a officiellement succédé à Nathalie Bitho en tant que dirigeant de l’institution.

Le nouveau président, élu à l’enjeu de contrôle serré, a reçu les clés de la CCI-Togo avec pour mission de représenter et défendre les intérêts du secteur privé togolais. Fort de son expérience à la tête de l’Association des grandes entreprises (AGET) et de son expertise dans le domaine des assurances, José Symenouh entend insuffler un nouveau dynamisme à la CCI-Togo.

Le programme ambitieux de José Kwassi Symenouh

José Symenouh, le nouveau président de la Chambre de commerce et d’industrie du Togo (CCI-Togo) ambitionne, pour son mandat, de favoriser le soutien aux entreprises, la valorisation du secteur privé et le développement du tourisme d’affaires.

Dans une démarche visant à dynamiser l’économie togolaise, M. Symenouh a insisté sur l’importance de fournir des services de qualité aux entreprises pour stimuler l’innovation et la croissance. Il envisage aussi  de transformer la CCI-Togo en un pilier économique en promouvant le rôle du secteur privé dans la création d’emplois et de richesses.

Par ailleurs, en mettant en lumière les sites touristiques du Togo, il souhaite attirer plus d’investisseurs internationaux et de renforcer l’attractivité du pays sur la scène mondiale. Ces initiatives s’inscrivent dans une stratégie globale de développement économique et social durable pour le Togo.

Un appel à l’unité

Dans son discours, le nouveau président a appelé à l’unité de tous les acteurs économiques. « Loin d’être une déclaration d’euphorie à la suite d’une élection âprement disputée, ma main tendue à nos compétiteurs est sincère. Le chantier est immense pour n’être que l’affaire du bureau », a-t-il déclaré.

De son côté, Nathalie Bitho, présidente sortante, a félicité José Symenouh et lui a souhaité plein succès dans ses nouvelles fonctions. Elle a également exhorté les membres élus de la nouvelle assemblée consulaire à travailler d’armon avec le nouveau président pour relever les défis qui attendent la CCI-Togo.

Les défis à relever

José Symenouh, face à un tournant économique crucial, il aura  la lourde tâche de relancer l’économie togolaise. Sa mission première sera de soutenir les entreprises dans leur reprise d’activité, une étape essentielle pour redynamiser le marché intérieur.

Parallèlement, il devra œuvrer à l’amélioration du climat des affaires, en simplifiant les procédures administratives et en réduisant les coûts pour les entreprises, afin de renforcer l’attractivité du Togo sur l’échiquier économique international.

Enfin, le développement des exportations sera un axe majeur, la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCI-Togo) ayant pour mission d’accompagner les entreprises locales dans l’exploration et la conquête de nouveaux marchés à l’étranger.

Les prochaines années s’annoncent donc déterminantes pour la CCI-Togo. Sous la houlette de José Symenouh, l’institution aura un rôle clé à jouer dans le développement économique du Togo.

Passation de pouvoir à la CCI-Togo

Lomé, 19 août 2024- Dans une ambiance empreinte de solennité, la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCI-Togo) a vécu un tournant majeur le vendredi 16 août 2024. En effet, au cours d’une cérémonie riche en symboles, on a correctement installé les 75 élus consulaires et élu un nouveau bureau.

Une nouvelle équipe à la tête de la CCI-Togo

Conformément aux dispositions légales, Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, a procédé à l’installation de l’assemblée consulaire. À l’issue des élections, le Dr José Kwassi SYMENOUH a été élu président de la CCI-Togo pour un mandat de quatre ans. Il succède ainsi à Madame BITHO Nathalie qui a dirigé la délégation spéciale consulaire depuis 2021.

La CCI-Togo tourne une nouvelle page avec l'installation officielle de son nouveau bureau consulaire, présidé par Dr José Kwassi SYMENOUH.Un engagement fort pour le développement économique

Dans son discours, le ministre a souligné l’importance de cette nouvelle étape pour le secteur privé togolais. Elle a félicité les nouveaux élus et les a aussi exhortés à œuvrer pour renforcer la cohésion au sein de la chambre et à jouer un rôle moteur dans le développement économique du pays.

De son côté, le nouveau président, Dr José Kwassi SYMENOUH, a exprimé sa gratitude pour la confiance placée en lui et a présenté ses ambitions pour la CCI-Togo. Il a notamment évoqué le renforcement des capacités opérationnelles de l’institution et son positionnement en tant qu’interface privilégiée entre l’État et le secteur privé.

Cette passation de pouvoir marque la fin d’une période de transition et ouvre une nouvelle ère pour la CCI-Togo. Nathalie BITHO, qui a occupé le poste de présidente de la chambre pendant plusieurs années, a reçu des compliments pour son engagement et son dévouement.

En bref, l’installation du nouveau bureau de la CCI-Togo est un événement majeur pour le tissu économique togolais. Le rôle que jouera cette institution dans les années à venir est très important.

José Kwassi Symenouh, une figure de proue à la barre de la CCIT

José Kwassi Symenouh, docteur en droit maritime et des transports et diplômé de l’Institut des assurances d’Aix-en-Provence, a récemment été élu à la présidence de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT).

 Un Leadership Affirmé et Incontestable

Sa carrière illustre, marquée par son rôle actuel de PDG de La Protectrice, ainsi que sa fondation de l’Institut supérieur de droit et d’interprétariat (ISDI), témoigne de son engagement envers l’excellence académique et professionnelle.

En tant que président d’honneur de l’Association des grandes entreprises du Togo (AGET) et conseiller économique et financier du Conseil national du patronat (CNP), Symenouh a su démontrer une vision stratégique et un leadership efficace.

Son administration de plusieurs sociétés, dont OAM et SAFER, et son successeur à Germain Meba à la tête de la CCIT, soulignent sa capacité à naviguer dans les eaux complexes du commerce et de l’industrie.

Victoire de José Kwassi Symenouh à la présidence de la CCIT

L’élection du 15 août 2024 a vu Symenouh remporter la présidence de la CCIT avec 43 voix contre 31 pour son concurrent, Patrick Magnon. Cette victoire inaugure son mandat de trois ans, au cours duquel il dirigera l’institution dans ses missions cruciales.

La CCIT, en tant qu’établissement public, sert d’interface essentielle entre le monde des affaires et les pouvoirs publics, offrant des services consultatifs, de soutien, d’information, de formation et de gestion des services industriels et commerciaux.

Avec une portée nationale et internationale, la CCIT joue aussi un rôle clé dans l’accueil et l’assistance aux opérateurs économiques, offrant des conseils sur l’environnement des entreprises et organisant des formations diversifiées.

En tant qu’organe de promotion et de coopération, la CCIT facilite les échanges entre les entreprises togolaises et le reste du monde, renforçant ainsi sa position au sein de plusieurs associations de chambres de commerce.

L’ascension de Symenouh à la présidence de la CCIT est un témoignage de son expertise et de son dévouement au développement économique du Togo. Les acteurs économiques et les observateurs internationaux attendent avec impatience la vision qu’il a pour l’avenir de la CCIT, ainsi que son impact potentiel sur le commerce et l’industrie dans la région.

En  bref, Avec une approche qui allie tradition et innovation, Symenouh est prêt à guider la CCIT vers de nouveaux horizons, stimulant la croissance et la prospérité dans un marché mondial en constante évolution.

MIATO 2025 : Un rendez-vous incontournable de l’artisanat africain à Lomé

Lomé, le 08 août 2024 – L’Afrique, berceau de l’artisanat, aura une nouvelle fois les yeux rivés sur Lomé. En effet, la quatrième édition du Marché international de l’artisanat de Togo (MIATO) se tiendra du 23 avril au 04 mai 2025. Cet événement biennal, véritable vitrine du savoir-faire artisanal africain, promet d’être plus grand et plus riche. que jamais.

 MIATO : Un écrin pour la créativité

C’est sur l’esplanade du Palais des Congrès de Lomé que se réuniront, pendant dix jours, des centaines d’artisans venus des quatre pièces du continent et d’ailleurs. Sculptures, tissus, bijoux, objets de décoration… une multitude de créations originales et authentiques seront exposées, offrant ainsi aux visiteurs un voyage au cœur de la diversité culturelle africaine.

Une plateforme d’échanges et de commerce

Le MIATO, plus qu’une simple exposition, offre aux artisans un espace idéal pour établir des contacts, échanger des expériences et forger des partenariats. Par ailleurs, les organisateurs prévoient des ateliers, des démonstrations et des conférences durant l’événement, ce qui donnera l’opportunité aux participants d’enrichir leurs connaissances et de se tenir au courant des dernières tendances de l’artisanat.

Un événement phare pour le développement économique

En mettant en valeur l’artisanat togolais et africain, le MIATO contribue à promouvoir l’économie locale et à créer des emplois. L’événement est également une opportunité pour les artisans de commercialiser leurs produits et de toucher un public international.

Un programme riche et varié

Pour cette quatrième édition, le comité d’organisation a concocté un programme particulièrement riche et varié. Outre les expositions, les visiteurs pourront assister à des spectacles de danse et de musique traditionnelle, à des défilés de mode, et à des dégustations de produits locaux. Des animations pour les enfants seront également proposées, afin de sensibiliser les plus jeunes à la richesse du patrimoine culturel africain.

 MIATO : Un engagement fort du gouvernement

Le gouvernement togolais, à travers le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation locale, apporte son soutien sans faille à l’organisation du MIATO. Cette manifestation s’inscrit pleinement dans la stratégie de développement du secteur de l’artisanat, un secteur porteur d’emplois et de croissance économique.

Lomé, capitale de l’artisanat africain

Avec le MIATO, Lomé se positionne comme une référence en matière d’artisanat sur le continent africain. En somme, cet événement contribue à renforcer le rayonnement international de la ville et à promouvoir l’image du Togo comme une destination touristique attractive.

Togo : Un pas de plus vers l’administration numérique

Le Togo franchit une nouvelle étape dans sa transformation numérique. Le ministère du Commerce, en partenariat avec l’Agence Togo Digital, vient de digitaliser huit procédures administratives clés liées au commerce et à l’artisanat. Cette avancée majeure simplifie considérablement les démarches pour les entreprises et les citoyens, tout en renforçant la transparence et l’efficacité de l’administration.

Des démarches simplifiées pour un climat des affaires amélioré

Les entrepreneurs togolais peuvent désormais effectuer en ligne des démarches telles que :

  • Les demandes d’autorisation d’importation de produits sensibles : Cette dématérialisation accélère les procédures et réduit les coûts pour les importateurs.
  • Les demandes de mise sur le marché national des denrées alimentaires : La digitalisation de cette procédure renforce la sécurité sanitaire et facilite le contrôle des produits alimentaires.
  • Les demandes de carte d’importateur ou d’exportateur : Cette simplification facilite l’accès au commerce international pour les entreprises togolaises.
  • Les demandes de certificat d’origine hors CEDEAO : Cette dématérialisation facilite les échanges commerciaux avec les pays hors de la zone CEDEAO.

Dans le domaine de l’artisanat, les artisans peuvent désormais effectuer en ligne :

  • La demande de carte professionnelle : Cette simplification facilite l’exercice de leur activité.
  • L’enregistrement d’un apprenti : Cette dématérialisation facilite la formation des futurs artisans.
  • L’inscription à l’examen du Certificat de fin d’apprentissage : Cette simplification facilite la reconnaissance des compétences des apprentis.
  • La demande du diplôme : Cette dématérialisation facilite l’obtention du diplôme pour les artisans.

Une ambition : un État numérique au service des citoyens

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la volonté du gouvernement togolais de faire du pays un hub numérique en Afrique de l’Ouest. En facilitant l’accès aux services publics, la dématérialisation contribue aussi à améliorer le climat des affaires, à renforcer la compétitivité de l’économie togolaise et à réduire la corruption.

Les défis à relever

Cette avancée significative soulève des défis importants à surmonter. Premièrement, il est crucial d’assurer l’accès à Internet et aux outils numériques pour tous les citoyens, en particulier dans les régions rurales, pour combler la fracture numérique.

Deuxièmement, la transformation numérique réussira uniquement si les agents publics reçoivent une formation adéquate qui les prépare à utiliser efficacement les nouveaux outils numériques. Enfin, la cybersécurité demeure un enjeu critique, avec la nécessité de protéger les données personnelles et de combattre la cybercriminalité de manière proactive.

En conclusion, la dématérialisation des services publics au Togo est une étape importante dans la modernisation de l’administration et l’amélioration des services offerts aux citoyens et aux entreprises. Cette initiative s’inscrit dans une dynamique plus large de transformation numérique qui positionne le Togo comme un pays pionnier en Afrique.