Dans l’auguste préfecture de l’Ogou, éloignée de l’effervescence de Lomé par une distance respectable de 190 kilomètres, Séna Alipui, éminent 3e Vice-président de l’Assemblée nationale et érudit membre de l’Union des forces de changement (UFC), orchestre avec brio une campagne de charme auprès des citoyens. En effet,  son objectif est clair : remporter les suffrages lors des imminentes élections législatives et régionales fixées au lundi 28 avril 2024.

Un meeting sous le signe de l’espoir à Ountivou

Le 21 avril, une date désormais marquée d’une pierre blanche dans l’agenda politique local, le candidat Alipui a rallié la localité de Ountivou, aux confins de la nation, jouxtant la frontière béninoise. C’est là qu’il a tenu un meeting empreint de ferveur avec les habitants. Lors de cette assemblée, le député sortant a brillamment exposé les enjeux capitaux du scrutin du 29 avril, suscitant un intérêt palpable parmi l’auditoire.

Malgré une météorologie peu clémente, les citoyens ont afflué en nombre, témoignant d’une adhésion enthousiaste au discours de Séna Alipui. Dans un élan de communion démocratique, le député a dévoilé avec éloquence le projet de société de son parti, promettant une ère nouvelle axée sur le progrès social.

Des engagements forts pour la famille et la jeunesse au cours de la campagne électorale.

L’UFC, sous la houlette de Séna Alipui, envisage des mesures sociales audacieuses. Parmi celles-ci, une revalorisation notable des allocations familiales est à l’horizon, avec une proposition de 15 000 FCFA mensuels pour le premier enfant, dégressifs jusqu’au troisième. De plus, un soutien indéfectible à la jeunesse est annoncé, avec des prêts garantis par l’État et des subventions pour l’entrepreneuriat, ainsi qu’une aide mensuelle pour les jeunes sans emploi, variant entre 25 000 et 50 000 FCFA pendant une durée de six mois.

Sur le front de la santé, Séna Alipui préconise des allégements fiscaux pour les cliniques, facilitant l’acquisition d’équipements médicaux de qualité à des coûts réduits. En outre, il aborde la problématique cruciale de l’accès aux engrais pour les agriculteurs, promettant des subventions accrues et une simplification des démarches administratives, gages d’une agriculture florissante.

En somme , La campagne électorale, riche en promesses et en espoirs, se poursuivra jusqu’au 27 avril 2024, 2 joue avant la  date à laquelle les citoyens de l’Ogou décideront de l’avenir de leur préfecture.

À l’approche des élections législatives et régionales au Togo, le parti Unir a connu une mobilisation remarquable. Des milliers de militants, venus des deux préfectures de Lomé, se sont rassemblés spontanément au siège du parti, marquant ainsi leur soutien indéfectible et leur engagement pour les défis électoraux imminents.

Cette convergence massive est une preuve tangible de l’unité et de la détermination qui animent les membres de Unir, prêts à affronter la bataille électorale. Le Secrétaire Exécutif du parti, connu sous le pseudonyme Atcholi Aklesso sur les réseaux sociaux, a souligné l’importance de la paix et de la sécurité, valeurs incarnées par leur leader.

Dans un appel au calme et à la patience, Atcholi Aklesso a exhorté les militants à maintenir leur sérénité et à attendre le début officiel de la campagne. Cette période pré-électorale est cruciale pour le parti Unir , qui semble plus uni que jamais autour de ses idéaux et prêt à se lancer dans l’arène politique avec vigueur.

Par ailleurs,  le Togo se trouve actuellement à un moment charnière de son histoire démocratique, témoignant d’une activité politique intense jamais vue auparavant. Le parti Unir, en position de leader, se prépare activement à canaliser cette dynamique pour remporter les prochaines élections.

Cependant, cette période est également marquée par d’importantes controverses et des contestations publiques en réponse aux propositions de modification de la constitution. Ces débats reflètent la vitalité de la démocratie togolaise et l’engagement des citoyens dans le processus politique, tout en soulignant les défis inhérents à la gestion du changement constitutionnel dans un contexte de tensions politiques.