Affoh Atcha-Dédji officiellement installé gouverneur de la Région des Savanes

Lomé, le 19 décembre 2024 Affoh Atcha-Dédji, nommé gouverneur de la Région des Savanes le 23 août dernier par le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, a été spécifiquement installé dans ses fonctions ce matin. C’est le Ministre de l’Administration Territoriale, le Colonel Hodabalo Awate, qui a présidé la cérémonie d’installation.

Atcha-Dédji a été officiellement installé Gouverneur de la Région des Savanes. Il s'engage à travailler pour le développement de la région Dans un discours prononcé à cette occasion, le nouveau gouverneur a exprimé sa profonde gratitude au Chef de l’État pour la confiance placée en lui. Il a aussi salué la vision du Président Gnassingbé qui a permis d’engager le Togo dans un processus de décentralisation ambitieux, visant à renforcer la gouvernance locale et à rapprocher l’administration des populations.

« Cette nomination est pour moi un honneur et une grande responsabilité », a déclaré Affoh Atcha-Dédji. « Je m’engage à travailler sans relâche pour le développement de la Région des Savanes, en étroite collaboration avec les élus locaux, les chefs traditionnels et la population. »

Les défis à relever du  nouveau gouverneur des Savanes

Par ailleurs, le nouveau gouverneur devra relever de nombreux défis, notamment celui de renforcer le développement économique de la région, d’améliorer les infrastructures, de promouvoir l’éducation et la santé et de renforcer la sécurité. Il devra également œuvrer pour une meilleure répartition des ressources et une plus grande équité entre les différentes zones de la région.

Un nouveau souffle pour la décentralisation

L’installation d’Affoh Atcha-Dédji marque une nouvelle étape dans la mise en œuvre de la politique de décentralisation du gouvernement. Cette politique vise à transférer davantage de pouvoirs et de ressources aux collectivités locales, afin de les rendre plus autonomes et plus réactives aux besoins des populations.

Face aux nombreux défis qui l’attendent, le nouveau gouverneur aura à cœur de mettre en œuvre les politiques publiques définies par le gouvernement, tout en s’adaptant aux réalités locales. La réussite de cette entreprise passera par une collaboration étroite entre le gouverneur, les élus locaux, la société civile et les partenaires au développement. La région des Savanes doit ainsi être un laboratoire pour l’expérimentation de nouvelles formes de gouvernance et de développement.

Togo : Les indicateurs de développement sont au vert

Lomé, 14 décembre 2024Dr. Sandra Ablamba Johnson, Ministre, Secrétaire Générale de la Présidence, a présidé, au nom du Chef de l’État, la présentation des résultats détaillés du Cinquième Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH-5) et de la deuxième édition de l’Enquête Harmonisée sur les Conditions de Vie des Ménages (EHCVM-2).

L’événement a réuni des représentants de divers ministères, des partenaires techniques et financiers, dont la Banque mondiale et le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), ainsi que des acteurs du secteur privé, de la société civile et des médias. Il a mis en exergue les avancées significatives réalisées par le Togo ces dernières années sous la conduite du Président Faure Essozimna Gnassingbé.

Le gouvernement s’est engagé à renforcer l’inclusion sociale et économique et à améliorer le bien-être de sa population, en mettant l’accent sur le fait de ne laisser personne de côté. Pour y parvenir, des réformes substantielles ont été entreprises pour renforcer le système statistique national, permettant la collecte de données fiables pour l’élaboration de politiques efficaces.

Le Togo fait un état de progrès significatifs en matière de développement social et économique, selon les résultats du RGPH-5 et de l'EHCVM-2Dynamique démographique et accès aux services sociaux de base

Sur le plan démographique, la population résidente du Togo est de 8 095 498 habitants selon le RGPH-5 de 2022, avec 51,3% de femmes et 48,7% d’hommes. Une caractéristique notable de cette population est sa jeunesse. L’âge moyen est de 23,4 ans et environ 42% de la population totale a moins de 15 ans. Le taux d’accroissement annuel moyen a légèrement diminué, passant de 2,9% en 2010 à 2,3% en 2022.

En ce qui concerne l’accès aux services sociaux de base, la grande majorité des ménages togolais, soit 83%, ont accès à une source d’eau améliorée. En ce qui concerne l’accès à l’électricité, 70,3% des ménages y ont accès, avec environ 9 ménages sur 10 en milieu urbain contre 5 ménages sur 10 en milieu rural, soulignant ainsi les défis d’extension de l’électricité dans les zones rurales.

Progrès en éducation et santé au Togo

En éducation, la parité est atteinte au niveau primaire, avec un taux brut de scolarisation (TBS) presque égal pour les garçons et les filles, respectivement 115% et 114% en 2022. De plus, 70% des personnes âgées de 15 ans et plus savent lire et écrire, montrant des avancées significatives dans l’alphabétisation.

En santé, la mortalité infantile a diminué de près de 50%, passant de 124 décès pour 1 000 naissances vivantes en 2010 à 58 décès pour 1 000 naissances vivantes en 2022, soulignant des progrès remarquables dans ce domaine.

Évaluation de la pauvreté : une approche complète pour évaluer le développement

Sur le plan économique, l’évaluation de la pauvreté monétaire basée sur les revenus ou les dépenses des ménages montre ses limites dans les contextes ruraux dominés par l’autoconsommation et l’économie informelle. Une approche non monétaire de la pauvreté apparaît donc plus pertinente pour comprendre ses multiples facettes.

Les données révèlent que la proportion de la population à la fois pauvre monétairement et non monétairement est passée de 25,3% en 2018 à 20% en 2021. Les enquêtes de 2018-2021 indiquent une réduction de la pauvreté non monétaire, de 37,1% en 2018 à 28,9% en 2021, soit une baisse de 8,2 points de pourcentage.

Le Togo fait un état de progrès significatifs en matière de développement social et économique, selon les résultats du RGPH-5 et de l'EHCVM-2La pauvreté monétaire, évaluée à partir des revenus ou des dépenses, a également diminué, passant de 45,5% en 2018 à 43,8% en 2021 et 55,1% en 2015. Cela représente une baisse de plus de 11 points de pourcentage en six ans.

Cependant, des défis subsistent, notamment les disparités régionales. La région des Savanes présente l’incidence la plus élevée, tandis que le Grand Lomé a la plus faible. Ces améliorations résultent de la politique d’inclusion sociale et économique du chef de l’État, conformément à l’axe 1 de la feuille de route gouvernementale Togo 2025.

Ces réalisations sont attribuées aux politiques d’inclusion sociale et de développement économique du gouvernement, notamment à des programmes comme School Assur, les cantines, la gratuité des frais de scolarité et le programme Wezou pour les femmes enceintes.

Perspectives futures pour le développement

À l’avenir, le gouvernement prévoit de :

  • Utiliser les données pour éclairer la conception et la mise en œuvre de programmes sociaux ciblés.
  • Continuer à renforcer le système statistique national.
  • Améliorer la collecte et l’utilisation des données pour suivre les progrès vers la réalisation des objectifs de développement durable.

Dr. Sandra Ablamba Johnson a souligné l’importance de ces résultats pour façonner le développement futur du Togo et a appelé tous les Togolais à participer au processus d’enregistrement biométrique en cours.

Les partenariats et la coopération internationale ont joué un rôle déterminant dans l’obtention de ces résultats de développement. La Banque mondiale et l’UNFPA ont salué les efforts du Togo et promis de continuer à l’appuyer.

En somme, les progrès réalisés par le Togo sont indéniables, mais le chemin reste long. Les données du RGPH-5 et de l’EHCVM-2 fournissent une photographie précise de la situation et permettent de mieux cibler les interventions. En s’appuyant sur ces résultats, le gouvernement, en partenariat avec les acteurs de la société civile et les partenaires techniques et financiers, doit aussi poursuivre ses efforts pour réduire la pauvreté, améliorer les conditions de vie des populations et assurer un développement durable pour tous.

Togo : bientôt les élections sénatoriales

Lomé, le 5 décembre 2024 – Le gouvernement togolais a annoncé hier la date des prochaines élections sénatoriales, marquant un tournant historique pour la démocratie dans ce pays d’Afrique de l’Ouest. Prévues pour le dimanche 2 février 2025, ces élections inaugureront la mise en place de la seconde chambre du Parlement togolais, une étape clé dans la transition vers la Vᵉ République et son régime parlementaire.

Les élections sénatoriales : préparatifs intenses des partis politiques pour

En effet, cette annonce survient alors que les partis politiques et les candidats indépendants se préparent intensément, voyant dans cette date une opportunité de se lancer dans la course électorale et de rallier l’électorat à leur cause.

La campagne électorale débutera officiellement le 17 janvier 2025 à minuit et s’étendra jusqu’au 31 janvier à 23 h 59, offrant aux candidats une fenêtre de deux semaines pour convaincre les électeurs de leur vision pour l’avenir du Togo.

Le gouvernement a également précisé les modalités financières de cette élection, avec un cautionnement de 300 000 FCFA pour les candidats masculins et de 150 000 FCFA pour les candidates féminines. Les prétendants au Sénat devront verser ce montant au Trésor public dans les 48 heures suivant la publication de la liste provisoire des candidats, soulignant l’importance de l’équité et de la responsabilité financière dans le processus électoral.

Ces premières élections sénatoriales représentent une avancée majeure pour le Togo, qui s’apprête à renforcer son système législatif par l’introduction d’une chambre haute, promesse d’un débat politique plus riche et d’une représentation plus équilibrée des différentes voix de la société togolaise.

Alors que le pays s’apprête à franchir ce cap important, l’attention se tourne vers les candidats et les partis, dont les stratégies et les programmes passeront à la loupe des citoyens togolais. Avec l’espoir d’une forte participation électorale et d’un scrutin exemplaire, le Togo s’engage sur la voie d’une démocratie renouvelée.

Togo : Un budget 2025 de 2394 milliards FCFA axé sur le social et la sécurité

Lomé, 27 novembre 2024 Le gouvernement togolais a dévoilé hier un projet de loi de finances pour l’année 2025, affichant une croissance de 9,9 % par rapport à l’exercice précédent. Ce budget de 2 394 milliards de FCFA, adopté en Conseil des ministres, s’inscrit dans un contexte international marqué par un ralentissement économique et des tensions sécuritaires régionales.

budget 2025 : priorité au social et à la sécurité

Malgré ces défis, le gouvernement togolais a fait du social une priorité absolue. Près de la moitié du budget, soit 49,7 %, sera consacrée aux politiques sociales, témoignant ainsi de la volonté de l’exécutif d’améliorer le bien-être des populations et de renforcer l’inclusion sociale. Cette décision s’inscrit dans la droite ligne des recommandations du Fonds monétaire international (FMI), qui a salué les progrès réalisés par le Togo en matière de dépenses sociales et de lutte contre la pauvreté.

Parallèlement, le gouvernement maintiendra ses efforts pour garantir la sécurité du territoire national et protéger les populations. Face aux menaces sécuritaires persistantes dans la région, le gouvernement maintiendra les dépenses consacrées à la défense et à la sécurité à un niveau suffisant.

Des réformes budgétaires pour une meilleure gestion des finances publiques

Le Togo poursuit également ses efforts de réforme de la gestion des finances publiques. L’objectif est de maîtriser le déficit budgétaire, qui devrait passer de 6,7 % du PIB en 2023 à 3 % en 2025. Le FMI apporte son soutien à ces réformes au titre d’un programme d’aide économique.

Un contexte économique favorable

Le gouvernement togolais table sur une croissance économique de 5,3 % en 2024-2025, soutenue par la mise en œuvre de réformes structurelles et par un environnement international plus favorable. Cette croissance devrait permettre de financer les ambitions du gouvernement en matière de développement social et d’infrastructures.

En somme, le budget 2025 du Togo est un signal fort de la volonté du gouvernement de mettre en œuvre une politique économique ambitieuse et inclusive. En privilégiant le social et la sécurité, tout en poursuivant les réformes structurelles, le Togo se donne les moyens de réaliser ses objectifs de développement.

Zouréhatou Kassah Traoré, nouvelle gouverneure du Grand Lomé

Lomé, le 8 octobre 2024 –Lors d’une cérémonie officielle, le Ministre AWATE Hodabalo a officiellement installé Mme Zouréhatou Kassah Traoré dans ses nouvelles fonctions de gouverneur du District Autonome du Grand Lomé, marquant ainsi un tournant majeur pour la capitale togolaise et ses environs.

Anciennement ministre chargé des infrastructures et des transports au sein du gouvernement, Zouréhatou Kassah-Traoré prend ainsi la tête d’un district rassemblant 13 communes dans le Sud du pays ( Commune Agoe-Nyivé 1,  Commune Agoe-Nyivé 2  , Commune Agoe-Nyivé 3Commune Agoe-Nyivé 4Commune Agoe-Nyivé 5Commune Agoe-Nyivé 6Commune du Golfe 1Commune du Golfe 2Commune du Golfe 3Commune du Golfe 4Commune Golfe 5Commune du Golfe 6Commune du Golfe 7 ). Reconnue pour son expérience et son dévouement, Mme Traoré est appelée à jouer un rôle clé dans le développement du Grand Lomé.

Une gouvernance au service des citoyens

En confiant les rênes du Grand Lomé à cette personnalité emblématique, le ministre AWATE Hodabalo a souligné l’importance d’une gestion territoriale adaptée aux besoins spécifiques des populations. Par ailleurs, cette nouvelle gouvernance devrait permettre de renforcer la participation citoyenne dans les processus décisionnels et de favoriser une meilleure coordination entre les différents acteurs locaux.

Les enjeux d’un Grand Lomé en mutation

Le Grand Lomé, pôle économique et démographique majeur du Togo, fait face à de nombreux défis : urbanisation rapide, inégalités sociales, problèmes environnementaux… Madame Traoré aura pour mission de relever ces défis et de faire du Grand Lomé un modèle de développement durable.

Zouréhatou Kassah Traoré devient la nouvelle gouverneure du Grand Lomé, marquant un tournant décisif pour la gouvernance locale Avec l’arrivée de Mme Traoré à la tête du Grand Lomé, de nouvelles perspectives s’ouvrent pour la capitale togolaise. Son expertise et son engagement devraient permettre de donner une nouvelle impulsion à cette région et de faire du Grand Lomé un modèle de développement urbain en Afrique.

En somme, la nomination de Zouréhatou Kassah Traoré marque un tournant historique pour le Grand Lomé. Son dynamisme et sa vision stratégique sont autant d’atouts pour relever les défis d’une métropole en pleine mutation. En mettant la participation citoyenne et le développement durable au cœur de son action, la nouvelle gouverneure ouvre une nouvelle ère pour le Grand Lomé, une ère dans laquelle l’innovation et la tradition se conjuguent pour bâtir un univers plus sûr pour tous.

IDA 21: Le Togo partage son modèle de résilience face aux défis sécuritaires

Lomé, le 11 octobre 2024 – Dans le cadre prestigieux du sommet pour le soutien à la reconstitution de l’IDA 21 de la Banque mondiale, la Première Ministre du Togo, Victoire Dogbe, a représenté le Président Faure Essozimna Gnassingbé lors du panel inaugural des chefs d’État et de gouvernement. Ce sommet, qui s’est tenu à Abidjan, a été l’occasion pour les leaders africains de discuter des priorités de développement sur le continent.

Lors de l'IDA 21 à Abidjan, le Premier Ministre Victoire Dogbe a exposé l'approche togolaise pour la paix en réponse aux enjeux sécuritairesLa Première Ministre Dogbe a mis en avant l’expérience du Togo dans la construction d’une réponse robuste et multidimensionnelle aux défis sécuritaires qui touchent la région. Elle a souligné l’importance d’une stratégie qui combine des mesures militaires avec des initiatives socio-économiques pour renforcer la résilience des populations.

Dans un contexte de menaces croissantes à la sécurité, le Togo a plaidé pour une approche concertée et équilibrée. Le pays mise particulièrement sur des investissements stratégiques dans les domaines de la paix, de l’énergie et du capital humain, considérés comme essentiels pour établir les fondations d’une Afrique stable et prospère.

Lors de l'IDA 21 à Abidjan, le Premier Ministre Victoire Dogbe a exposé l'approche togolaise pour la paix en réponse aux enjeux sécuritairesLe modèle togolais présenté par la Première Ministre Dogbe propose une vision holistique, où la sécurité ne se limite pas à la dimension militaire, mais englobe également le bien-être économique et social des citoyens. Le TOGO considère cette approche comme un élément essentiel pour assurer le développement durable et la prospérité à long terme du continent. Il espère aussi que ce modèle servira d’exemple au continent face à la menace grandissante du terrorisme.

Le sommet de l’IDA 21 a donc été une plateforme clé pour le Togo afin de partager ses réalisations et ses ambitions, illustrant ainsi son engagement envers une Afrique plus sûre et florissante pour les générations futures.

Togo : Un avenir prometteur pour les jeunes filles

Lomé, le 10 octobre 2024 – Le Togo se prépare à célébrer la Journée internationale de la fille, le 11 octobre prochain, sous le thème national « Encourager l’excellence académique de la fille : une réponse à la sous-représentation des femmes aux postes de responsabilité ». En effet, cette année, la célébration sera marquée par le lancement de la campagne « L’Afrique éducative, ses filles », une initiative panafricaine visant à promouvoir l’éducation des filles et sera marquée par la remise de prix d’excellence aux meilleures bachelières du pays.

Dans une interview, la ministre de l’Action sociale, de la solidarité et de la promotion de la femme, prof. Kossiwa Zinsou-Klassou, a souligné l’importance de cette journée pour mettre en lumière les progrès réalisés en faveur de l’égalité des genres et les défis qui restent à relever. Elle a rappelé que l’éducation est un levier essentiel pour l’autonomisation des filles et leur permettre de s’épanouir pleinement.

« La recherche de l’excellence est incontestablement une des principales clés d’accès aux postes de responsabilité », a indiqué la ministre. « Le thème choisi vise le développement de tout le potentiel des filles, pour les rendre aptes à surmonter les obstacles d’ordre socioculturel et les mutations grossières compétitives du monde du travail actuel. »

Des actions concrètes pour l’émancipation des filles

En plus, la professeure Kossiwa Zinsou-Klassou n’a pas manqué de préciser que le gouvernement togolais travaille sans relâche à promouvoir l’égalité des genres et à renforcer l’inclusion sociale. Pour atteindre ces objectifs, le Gouvernement a mis en place plusieurs mesures :

  • La gratuité de l’éducation : La suppression des frais de scolarité dans les établissements publics a considérablement amélioré l’accès à l’éducation pour tous, y compris les filles.
  • La promotion de l’excellence : des programmes de bourses et de soutien sont mis en place pour encourager les filles à exceller dans leurs études et à poursuivre des études supérieures.
  • La lutte contre les violences basée sur le genre : La loi de 2022, qui protège les apprenants contre les violences à caractère sexuel, constitue un outil essentiel pour assurer la sécurité des filles dans l’environnement scolaire.
  • La lutte contre les mariages précoces et les grossesses en milieu scolaire : Des campagnes de sensibilisation et des programmes d’accompagnement sont mis en œuvre pour lutter contre ces pratiques néfastes.

Ces efforts reflètent l’engagement du Togo à créer une société plus équitable et inclusive pour tous ses citoyens.

Bilan des actions menées par le Togo pour l’émancipation des filles

La ministre a mis aussi en exergue le soutien indéfectible du Gouvernement togolais aux initiatives favorisant l’égalité des chances. Elle a souligné l’impact significatif de programmes tels que le Programme de l’excellence pour les femmes en Afrique et le Programme de l’excellence académique du leadership, qui ont contribué à l’avancement de 794 jeunes filles togolaises. En outre, 145 étudiantes remarquables ont reçu des bourses d’excellence dans les domaines scientifiques et techniques, ce qui a facilité leur progression éducative.

La ministre a également relevé les progrès réalisés dans la lutte contre les grossesses et les mariages précoces, avec un impact positif sur 74 communautés. Pour conclure, elle a fait état des ateliers de haute couture organisés pour les jeunes filles et femmes, visant à améliorer leur compétitivité et leur indépendance financière sur le marché de l’emploi.

Une cérémonie de récompense pour célébrer l’excellence

À l’occasion de cette journée, le gouvernement togolais récompensera les 60 meilleures élèves filles du baccalauréat 2024 et les 25 meilleures du BEPC. La cérémonie se tiendra à Agora SENGOR, célébrant l’excellence et encourageant les jeunes filles à continuer leurs études. Des activités variées, incluant des séances de sensibilisation et des conférences, maqueront ainsi cette journée.

Engagement pour l’égalité : un appel à l’action lors de la célébration nationale

Par ailleurs, la ministre a rendu un vibrant hommage au chef de l’État, Son Excellence M. Faure Essozimna GNASSINGBE, saluant sa politique d’inclusion favorisant l’éducation des filles au Togo. Elle a exprimé la reconnaissance du gouvernement envers les partenaires et les acteurs de la société civile pour leur dévouement à la cause féminine et à l’équité des genres.

Soulignant le rôle crucial des médias et des activistes, la ministre a incité les parents à éduquer leurs enfants sans discrimination, assurant une égalité des chances. En cette journée dédiée, elle a adressé ses vœux aux filles du TOGO et d’ailleurs, les incitant à viser l’excellence et à nourrir de grandes ambitions pour leur avenir.

Les défis restent nombreux.

Malgré les progrès réalisés, des défis persistent. Les inégalités entre les sexes subsistent encore dans certains domaines, et il est nécessaire de poursuivre les efforts pour garantir à toutes les filles l’accès à une éducation de qualité et à des opportunités égales.

En célébrant la Journée internationale de la fille, le Togo réaffirme son engagement en faveur de l’égalité des genres et de l’autonomisation des femmes. Les actions menées par le gouvernement, en partenariat avec la société civile et les partenaires techniques et financiers, contribuent ainsi à créer un monde agréable pour les jeunes générations de Togolaises. Le gouvernement invite également les parents, les enseignants, les acteurs de la société civile et tous les citoyens à s’impliquer dans cette dynamique et à soutenir les filles dans leur parcours scolaire.

 

Le Togo, champion africain des réformes en Afrique de l’Ouest

Lomé, le 8 octobre 2024 – Le Togo confirme sa position de leader en réformes économiques en Afrique. Selon le rapport Business Ready 2024 de la Banque mondiale, le pays est premier en Afrique de l’Ouest et troisième en Afrique subsaharienne, grâce à sa politique de réformes ambitieuses.

Un cadre réglementaire attractif

Cette performance, fruit d’une stratégie gouvernementale visant à améliorer le climat des affaires et à attirer les investissements, a été mise en avant lors d’une réunion dirigée par Dr Sandra Ablamba Johnson, ministre et secrétaire général de la Présidence de la République et gouverneur du Togo auprès de la Banque mondiale.

L’événement a vu la participation de Rose Kayi Mivedor-Sambiani, ministre du Commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, de Christopher Balliet Bleziri, représentant-pays de la Société financière internationale (SFI), de Coami Laurent Tamegnon, président du Conseil national du patronat (CNP), ainsi que de représentants des partenaires techniques et financiers et des médias.

Le Togo confirme sa position de leader en matière de  réformes des affaires en Afrique de l'Ouest, selon le dernier rapport Business Ready.Un modèle de réussite en Afrique

Par ailleurs, le Togo se distingue par la qualité de son cadre réglementaire, la facilité de création d’entreprises et la rapidité des procédures administratives. Ces avancées sont le fruit d’une volonté politique forte et d’une collaboration étroite entre le secteur public et le secteur privé.

« Le Togo a su saisir les opportunités offertes par la digitalisation pour simplifier les démarches administratives et améliorer l’environnement des affaires », a souligné Dr Sandra Ablamba Johnson.

Reformes togolais: une reconnaissance internationale

En plus, cette reconnaissance internationale est le résultat de plusieurs années de réformes menées par le gouvernement togolais sous la houlette du Président Faure Essozimna Gnassingbé. Ces réformes ont porté leurs fruits, comme en témoignent les performances du Togo dans les différents indicateurs du Business Ready 2024.

En facilitant la création d’entreprises, en améliorant l’accès aux financements et en renforçant la protection des droits de propriété, le gouvernement togolais encourage le développement du secteur privé et contribue à la croissance économique.

Le succès du Togo est également le fruit d’un partenariat étroit avec la Banque mondiale et d’autres partenaires au développement. Le soutien technique et financier de ces institutions a été déterminant dans la mise en œuvre des réformes.

Le Togo confirme sa position de leader en matière de  réformes des affaires en Afrique de l'Ouest, selon le dernier rapport Business Ready.Les défis à relever pour de meilleurs reformes 

Malgré ces résultats encourageants, le Togo reste conscient des défis à relever, notamment en matière de services financiers et de concurrence. Le gouvernement s’engage à poursuivre ses efforts pour améliorer encore davantage le climat des affaires et libérer pleinement le potentiel du secteur privé. Les autorités ont annoncé de nouvelles mesures pour attirer de nouveaux investissements.

Les réactions

Dr Sandra Ablamba Johnson a salué cette performance, soulignant l’importance du partenariat entre le secteur public et le privé. Le représentant pays de la Société financière internationale a félicité le Togo pour ses avancées et réaffirmé le soutien de la SFI.

Le programme Business Ready (B-READY)

Initiative du Groupe de la Banque mondiale, le programme Business Ready (B-READY), successeur du programme Doing Business, évalue le climat des affaires et des investissements à l’échelle internationale. Pour sa première édition, B-READY 2024 se concentre sur trois piliers : le cadre réglementaire, les services publics et l’efficacité opérationnelle. Cinquante économies nationales ont été sélectionnées pour cette évaluation, couvrant des domaines allant de la création d’entreprises à l’insolvabilité.

En Conclusion, le Togo est devenu un modèle en matière de réforme du climat des affaires en Afrique. Les résultats obtenus grâce à une politique volontariste et un partenariat efficace démontrent que l’amélioration de l’environnement des affaires est un levier essentiel pour le développement économique et social.

L’ANC défend fermement sa décision de boycott parlementaire

Lomé, le 2 septembre 2024–Dans le paysage politique animé du Togo, le débat sur la participation au parlement prend une nouvelle tournure. Jean-Pierre Fabre, le leader de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), a fait une apparition remarquée dans l’émission « Retro7 » sur Victoire FM ce week-end.

Boycott parlementaire au Togo : l’ANC se retire de l’Assemblée en signe de protestation

Au cœur des discussions, la décision de l’ANC de ne pas siéger au parlement, une stratégie qui a suscité de vives critiques de la part de figures gouvernementales, notamment le ministre Gilbert Bawara. Ce dernier, en charge de la Réforme du service public, du Travail et du Dialogue social, n’a pas mâché ses mots sur New World TV, qualifiant l’action de l’ANC de « trahison, de mépris et d’incohérence ».

Face à ces accusations, Jean-Pierre Fabre a pris la parole pour défendre la position de son parti. Avec une assurance inébranlable, il a expliqué que la décision avait été mûrement réfléchie, prise en toute connaissance de cause et non pas en réaction à des événements récents. Il a souligné l’étrangeté de l’attention que le régime porte à cette affaire, questionnant la raison pour laquelle une telle préoccupation émerge si, comme le prétend le gouvernement, le boycott ne les affecte pas.

L’entretien a également été l’occasion pour Fabre de clarifier la position des conseillers régionaux de l’ANC, qui adopteront une démarche similaire en refusant de siéger dans les conseils régionaux. Cette cohérence dans l’approche de l’ANC souligne une stratégie de résistance délibérée face à ce qu’ils considèrent comme des dysfonctionnements dans le processus démocratique du pays.

« Ce n’est pas des décisions pour manifester une réaction épidermique. C’est simple, c’est une position de résistance », a déclaré Jean-Pierre Fabre, marquant ainsi une détermination claire de l’ANC à maintenir sa ligne de conduite. Cette déclaration vient renforcer l’image d’un parti uni et résolu dans ses convictions, prêt à défendre ses principes même face à l’adversité gouvernementale.

En bref, l’impact de cette position sur le paysage politique togolais est à observer, mais une chose est certaine : le dialogue entre l’ANC et le gouvernement promet d’être sous haut tensions et de débats passionnés dans les jours à venir.

Mila Aziablé : Une nouvelle ère s’ouvre pour l’eau au Togo

Lomé, le 27 août 2024 – L’eau, source de vie et pivot central du développement durable, est désormais au cœur de la stratégie nationale du Togo, sous l’impulsion de Mila Aziablé, figure emblématique du gouvernement togolais,  nommée nouvellement ministre de l’Eau et de l’Assainissement. Après avoir durant  quatre années marqué de son empreinte les secteurs de l’énergie et des mines, elle se lance désormais dans un nouveau défi : garantir l’accès universel à l’eau potable au Togo.

L'accès à l'eau potable, enjeu crucial pour le développement du Togo, est au cœur des nouvelles  préoccupations de Mila Aziablé,Mila Aziablé : Un tournant pour le secteur de l’eau

Ce changement de poste intervient à un moment crucial pour le Togo. L’accès à l’eau potable, condition essentielle à la santé et au développement, reste un enjeu majeur dans de nombreuses régions du pays. Forte de son expérience dans des secteurs stratégiques, Mila Aziablé est appelée à apporter un nouveau souffle à la politique de l’eau.

Dans un discours empreint d’enthousiasme et de détermination, la nouvelle ministre a souligné l’importance de cette mission. Elle a également  rappelé les succès obtenus dans les secteurs de l’énergie et des mines, et s’est engagée à mettre toute son énergie au service de l’accès à l’eau pour tous les Togolais.

Par ailleurs, dans un élan de gratitude, elle a rendu hommage à Dieu, et remercié le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, et à la Première Ministre Victoire Tomégah-Dogbé pour leur confiance renouvelée, ainsi qu’à ses collègues et partenaires qui ont soutenu ses efforts précédents.

Mila Aziablé : Un défi colossal pour une femme de défis

 Le défi qui attend Mila Aziablé est immense. Le domaine de l’eau au Togo, tout comme dans de nombreux pays africains, fait face à des défis complexes. Forte de son expérience à la tête des dossiers stratégiques, Mila Aziablé aborde aussi ce nouveau défi avec détermination.

Parmi les enjeux complexes, on peut citer :

  1. Pénurie d’eau dans certaines régions : Le changement climatique et une mauvaise gestion des ressources ont accentué les problèmes de sécheresse dans certaines zones du pays.
  2. Qualité de l’eau : La pollution des cours d’eau et des nappes phréatiques est une menace constante pour la santé des populations.
  3. Infrastructures déficientes : Le réseau de distribution d’eau est souvent vétuste et inégalitaire, limitant l’accès à l’eau potable pour de nombreux Togolais.
  4. Assainissement précaire : Les systèmes d’assainissement sont insuffisants, favorisant la propagation de maladies hydriques.

L'accès à l'eau potable, enjeu crucial pour le développement du Togo, est au cœur des nouvelles  préoccupations de Mila Aziablé,Une feuille de route pour une mission ambitieuse

Pour relever ces défis, Mila Aziablé  la nouvelle ministre devra mettre en œuvre des politiques ambitieuses et mobilisatrices de ressources considérables dans  sa politique.

  1. Accélérer l’accès à l’eau potable : Il s’agira de développer des infrastructures de captage, de traitement et de distribution d’eau, en privilégiant les zones rurales et les quartiers défavorisés.
  2. Améliorer la qualité de l’eau : Des mesures seront prises pour lutter contre la pollution de l’eau et garantir la qualité des ressources hydriques.
  3. Renforcer l’assainissement : Le développement de systèmes d’assainissement adaptés et la promotion de bonnes pratiques d’hygiène seront au cœur des actions menées.
  4. Mobiliser des financements réalisation : La de ces objectifs nécessitera des investissements importants, tant publics que privés. Le ministre devra donc mobiliser des financements nationaux et internationaux.
  5. Impliquer les acteurs locaux : La participation des communautés locales est essentielle pour assurer la durabilité des projets.

Un enjeu de santé publique et de développement

L’accès à l’eau potable est un droit fondamental qui a des répercussions sur la santé, l’éducation, l’économie et la sécurité alimentaire. En améliorant l’accès à l’eau, le Togo pourra réduire la mortalité infantile, améliorer la productivité agricole et favoriser le développement économique. par conséquent son choix  de placer l’eau au cœur de ses priorités est un signal fort pour l’Afrique qui fait face à des défis majeurs en matière d’accès à l’eau.

En somme, la nomination de Mila Aziablé à la tête du ministère de l’Eau et de l’Assainissement marque un tournant pour le Togo. Les défis sont immenses, mais la détermination de la nouvelle ministre et le soutien du gouvernement laissent espérer des avancées significatives dans les années à venir. L’accès à l’eau potable est un enjeu crucial pour le développement durable du pays, et les actions des entreprises dans ce domaine auront des répercussions positives sur la vie de millions de Togolais.

Togo : Nouveau gouvernement, nouvelles ambitions

Lomé? le 26 août 2024 – Le Togo a inauguré un nouveau gouvernement le 20 août dernier, sous la direction de Victoire Tomégah-Dogbé. La cheffe du gouvernement , a présenté vendredi dernier devant l’Assemblée nationale ses priorités pour les prochaines années. Sécurité, développement social et services de base figurent en tête des enjeux. En effet, Cette équipe a pour mission de consolider les acquis des dernières années et d’accélérer la transformation du pays.

 Le nouveau gouvernement togolais, dirigé par Victoire Tomégah-Dogbé, dévoile ses ambitions pour le pays : sécurité renforcée, des services sociaux et accélération du développement.Priorités : sécurité, bien-être et développement

Lors de la présentation de son programme devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre a mis l’accent sur cinq axes prioritaires. La sécurité, notamment dans l’extrême-nord du pays, constitue un enjeu majeur. « Nous allons renforcer le dispositif sécuritaire pour garantir la paix et la quiétude de tous les Togolais », a-t-elle assuré. Le programme « PURS » (Programme d’urgence et de renforcement de la résilience et de la sécurité des communautés) sera intensifié.

Parallèlement, le gouvernement s’engage à améliorer le bien-être des populations en mettant l’accent sur les services sociaux de base. « Santé, éducation, eau et énergie sont au cœur de nos préoccupations », a souligné Victoire Dogbé. Concrètement, cela se traduira  également par la poursuite de la construction d’infrastructures sanitaires, l’extension de l’assurance maladie universelle, le renforcement du système éducatif et l’amélioration de l’accès à l’eau potable et à l’électricité.

Des actions concrètes pour une meilleure qualité de vie

Pour concrétiser ces ambitions, le gouvernement a annoncé plusieurs mesures phares :

  • Santé : Construction d’environ environ 80 nouvelles  formations sanitaires, l’achèvement  de la construction des hôpitaux mère et enfants, extension de l’assurance maladie universelle, recrutement et formation de personnel médical.
  • Éducation : Construction de salles de classe et des infrastructures universitaires, développement de l’enseignement supérieur, formation des enseignants ainsi que  la réalisations deux IFAD supplémentaires sur les métiers de l’élevage et de l’aquaculture.
  • Eau et assainissement : Accélération des projets d’alimentation en eau potable, de l’assainissement.
  • Énergie : Augmentation de la capacité de production d’énergie, diversification des sources d’approvisionnement.

 Le nouveau gouvernement togolais, dirigé par Victoire Tomégah-Dogbé, dévoile ses ambitions pour le pays : sécurité renforcée, des services sociaux et accélération du développement.Une feuille de route ambitieuse du nouveau gouvernement

« Nous voulons un Togo où chaque citoyen puisse réaliser son potentiel », a déclaré le Premier ministre. Pour y parvenir, le gouvernement compte s’appuyer sur les acquis des dernières années et accélérer la mise en œuvre de projets structurants.

En bref ,le nouveau gouvernement devra relever de nombreux défis complexes et interconnectés. Outre la consolidation des acquis et l’accélération du développement économique, il devra aussi  s’attaquer aux problèmes de chômage des jeunes, d’inégalités sociales, de corruption et de changement climatique. La réussite de cette entreprise nécessitera une vision à long terme, une gouvernance efficace et une mobilisation de tous les acteurs de la société

Togo : Un nouveau cap pour la Vème République

Lomé, le 26 août 2024 – Le gouvernement togolais, dirigé par Victoire Tomégah-Dogbé, a présenté vendredi dernier devant l’Assemblée nationale son programme d’actions pour les prochaines années. Cette déclaration de politique générale, riche en enjeux, marque une nouvelle étape dans la transition vers la Vème République.

 Face aux députés, Victoire Tomégah-Dogbé présente devant l'Assemblée nationale un programme ambitieux pour le Togo,Tomégah-Dogbé dresse un bilan positif 

La cheffe du gouvernement a dressé un bilan positif des réalisations accomplies depuis 2020 dans le cadre de la feuille de route Togo 2025. Malgré un contexte difficile, des progrès significatifs ont été enregistrés dans divers secteurs. Toutefois, Victoire Tomégah-Dogbé a souligné la nécessité d’accélérer la mise en œuvre de certaines réformes et de répondre aux attentes exprimées par les populations lors des dernières élections.

Cinq axes prioritaires

Pour relever ces défis, le gouvernement a défini cinq axes prioritaires :

  • Sécurité, stabilité et paix : Assurer un climat de sécurité propice au développement.
  • Satisfaction des besoins sociaux de base : Améliorer l’accès aux services sociaux comme la santé et l’éducation.
  • Emploi des jeunes : Favoriser l’insertion professionnelle des jeunes.
  • Soutien à l’agriculture : Faciliter l’accès des agriculteurs aux entrants, crédits et marchés.
  • Modernisation de la vie publique : Renforcer la transparence et l’efficacité de l’administration.

Transition institutionnelle

La cheffe du gouvernement a également abordé la question de la transition institutionnelle vers la Vème République. Elle a assuré que le processus serait mené de manière inclusive et transparente, en étroite collaboration avec le Parlement. La mise en place de nouvelles institutions, comme la Cour de cassation et le Conseil d’État, est prévue dans les prochains mois.

 Face aux députés, Victoire Tomégah-Dogbé présente devant l'Assemblée nationale un programme ambitieux pour le Togo,Un soutien parlementaire conditionnel à la cheffe du gouvernement Tomégah-Dogbé

Le Président de l’Assemblée nationale, Kodjo Adédzé, a salué le programme du gouvernement et a assuré de l’appui de l’institution. Toutefois, il a souligné que le Parlement jouerait pleinement son rôle de contrôle et d’évaluation. « Les élus du peuple seront bien regardants sur toutes les actions et tous les projets du gouvernement », at-il déclaré.

En bref ,le nouveau gouvernement togolais a présenté un programme ambitieux pour les prochaines années. Les défis sont nombreux, mais la détermination de l’équipe gouvernementale et le soutien du Parlement laissent espérer des avancées significatives pour le Togo.

Malgré les notables avancés, le nouveau gouvernement devra faire face aux défis de taille. La croissance économique, bien qu’en progression, reste fragile et les inégalités sociales persistantes, accélèrent la diversification économique, créent des emplois durables, notamment pour les jeunes, et réduisent la pauvreté seront des priorités absolues.

La mise en œuvre de réformes structurelles, telles que la modernisation du secteur agricole et le développement des infrastructures, sera essentielle pour stimuler la croissance et améliorer le niveau de vie des populations .

Togo : Le nouveau gouvernement prend ses marques

Lomé, 22 août 2024 –Le remaniement ministériel géré au Togo continue de se concrétiser. Plusieurs ministres ont officiellement pris leurs fonctions hier, marquant ainsi une nouvelle étape dans la mise en œuvre des politiques publiques.

Le Togo inaugure un autre chapitre de son nouveau gouvernement avec la prise de fonction de plusieurs ministres clés. Culture, enseignement supérieur, aménagement du territoire, urbanisme et enseignement technique : autant de domaines qui voient leurs têtes changer.

Yawa Kouigan prend les rênes de la culture, succédant à Gbenyo Lamadokou. La nouvelle ministre a promis de poursuivre la valorisation du patrimoine culturel et de promouvoir les talents togolais. Au ministère de l’enseignement supérieur, Kanka-Malik Natchaba fait son retour au gouvernement, s’engageant à répondre aux attentes des acteurs du secteur. Son portefeuille est particulièrement stratégique dans un contexte marqué par les enjeux de la formation et de l’employabilité des jeunes

Dans le cadre de la réforme administrative, de nouveaux ministères ont vu le jour. Koamy Gbloèkpo Gomado , maire du Golfe 1, est désormais en charge de l’aménagement et du développement des territoires. Ce nouveau ministère témoigne de la volonté du gouvernement de renforcer la politique d’aménagement du territoire, un enjeu majeur pour un développement équilibré du pays.

Yawa Djibodi Tségan prend les commandes du ministère de l’urbanisme, de l’habitat et de la réforme foncière. Ce domaine fait face à divers défis, tels que l’accès au logement et la gestion de l’urbanisation, et l’on espère qu’elle s’en sortira mieux que son prédécesseur.
Enfin, Isaac Tchiakpé est le nouveau ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, un secteur appelé à jouer un rôle crucial dans le développement économique du Togo.

Les enjeux à venir du nouveau gouvernement

Ces passations de pouvoir ont été l’occasion pour les nouveaux ministres d’exprimer leur gratitude au chef de l’État et de présenter leurs ambitions pour leur département. Ils ont également apprécié le travail accompli par leurs prédécesseurs.

Les défis à relever sont nombreux : modernisation des infrastructures, de la qualité de l’enseignement, promotion de la culture, développement durable. Les nouveaux ministres auront à cœur de répondre aux attentes des populations et de relever les nombreux défis qui se posent à leurs secteurs respectifs. 

En bref, ce remaniement ministériel marque une nouvelle étape dans la transformation du Togo. Les prochains mois seront déterminants pour évaluer l’efficacité de cette nouvelle équipe gouvernementale.

Jeunesse Togolaise : Myriam Dossou-d’Almeida lance un vibrant appel à l’action

Lomé, 22 aout 2024 –Dans un message émouvant et inspirant, Myriam Dossou-d’Almeida, l’ex-Ministre du développement à la base, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes du Togo, s’est adressée à la jeunesse de son pays avec un sentiment de fierté et de reconnaissance envers Dieu.

Elle a exprimé sa profonde gratitude envers le Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbe, pour lui avoir donné l’opportunité de contribuer à l’action gouvernementale et pour les responsabilités qu’elle a assumées au sein de l’Assemblée nationale.

Vers un avenir humaniste : Myriam Dossou-d’Almeida galvanise la jeunesse togolaise pour construire le changement

Mme Dossou-d’Almeida a souligné que l’histoire héroïque du Togo se poursuivra dans une dynamique d’épanouissement et de responsabilité partagée, et a mis en avant les liens solides et éternels construits non pas en métal ou en béton, mais sur l’humanisme, une matière qui ne s’érode ni ne s’use avec le temps.

Elle a encouragé la jeunesse togolaise à saisir les opportunités offertes par les changements dans leur environnement pour s’engager davantage et se transformer positivement afin de relever les défis contemporains tels que la paix, la sécurité, la digitalisation, la santé mentale et physique, ainsi que la culture de valeurs citoyennes et sociales. Ex-ministre  a insisté sur l’importance de canaliser l’énergie positive et productive pour exister pleinement, avertissant que l’ignorer pourrait mener à l’inaction et à l’effacement.

Myriam Dossou-d’Almeida a rappelé que l’obtention de résultats différents nécessite de changer notre manière d’agir, et que ce changement commence individuellement pour le bien collectif. Elle a appelé à développer un sentiment d’appartenance à la nation togolaise et a souligné la responsabilité partagée de créer un avenir meilleur pour tous, indépendamment de la position de chacun.

En somme, ce discours marque un appel à l’action pour la jeunesse togolaise, les incitant à être les acteurs du changement et à prendre part activement à la construction de leur pays sous la 5e République.

Togo : Natchaba, un nouveau souffle pour l’enseignement supérieur

Lomé, le 22 aout 2024- Dans un élan de renouveau et d’engagement, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche du Togo, Kanka-Malik Natchaba, a pris la relève d’Ihou WATEBA.

Dans une récente déclaration publiée sur son compte X, Natchaba a exprimé sa reconnaissance sincère envers le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, pour l’honneur qu’il a reçu grâce à cette importante nomination au sein du nouveau gouvernement. Il a également rendu hommage au travail accompli par son prédécesseur, saluant les progrès réalisés dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche sous sa direction.

Natchaba Appelle à l’Innovation et à la Continuité dans l’Éducation Togolaise

En plus, Natchaba a souligné l’importance de la continuité et de l’innovation, affirmant son désir de s’appuyer sur les fondations solides établies par WATEBA. Il a mis en avant sa volonté de travailler en étroite collaboration avec les équipes du ministère pour répondre efficacement aux attentes des acteurs du secteur. Cette transition marque un moment crucial pour l’enseignement supérieur et la recherche au Togo, secteurs clés pour le développement et l’avenir du pays.

Kanka-Malik Natchaba, le nouveau Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, exprime sa gratitude et son engagementMobilisation Générale pour l’Avenir de l’Éducation au Togo 

L’implication des équipes sera déterminante pour relever les défis à venir et pour assurer la mise en œuvre de politiques éducatives innovantes. Natchaba a appelé à une mobilisation générale pour que, collectivement, les objectifs ambitieux fixés pour l’éducation et la recherche puissent être atteints. Avec une vision claire et un leadership déterminé, le nouveau ministre aspire à transformer le paysage éducatif togolais et à le propulser sur la scène internationale.

Natchaba insiste sur la qualité et l’innovation dans le domaine de l’éducation.

Le principal objectif sera d’améliorer la qualité de l’enseignement, de promouvoir la recherche scientifique et de renforcer les capacités institutionnelles. Natchaba envisage une ère de prospérité où l’enseignement supérieur et la recherche joueront un rôle prépondérant dans l’épanouissement économique et social du Togo.

En bref, son message est un appel à l’action, invitant tous les acteurs à se joindre à lui dans sa mission cruciale pour l’avenir du pays.

Togo : Un gouvernement élargi et diversifié prend les rênes

Lomé, 21 aout 2024 – Dans un mouvement politique décisif, le Président Faure Essozimna Gnassingbé a annoncé la formation d’un nouveau gouvernement le mardi 20 août. Cette décision, prise sur la recommandation du Premier ministre, s’aligne avec les dispositions transitoires de la Constitution récemment amendée le 6 mai 2024. Les nominations ont été faites dans un esprit de renouveau et de progrès, promettant une ère de gouvernance dynamique et réformée pour répondre aux aspirations de la nation.

La composition du nouveau gouvernement, suite aux récents remaniements, inclut des figures notables telles que:

  • Premier ministre, chef du Gouvernement : Victoire Sidémého Tomégah-Dogbé
  • Ministre d’Etat, ministre des ressources halieutiques, animales et de la réglementation de la transhumance : Général Damehame Yark 

Au titre des Ministres au sein  gouvernement 

  • Ministre de la réforme du service public, du travail et du dialogue : Gilbert Bawara
  • Ministre de l’économie numérique et de la transformation digitale : Cina Lawson 
  • Ministre de l’environnement et des ressources forestières : Katari Foli-Bazi 
  • Ministre de l’urbanisme, de l’habitat et de la réforme foncière :Yawa Djigbodi Tségan 
  • Ministre de l’agriculture, de l’hydraulique villageoise et du développement rural : Antoine Lékpa Gbégbéni
  • Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale : Rose Kayi Mivedor Sambiani 
  • Ministre des travaux publics et des infrastructures : Sani Yaya 
  • Ministre des affaires étrangères, de l’intégration régionale et des Togolais de l’Extérieur : Prof Robert Komlan Edoh Dussey 
  • Ministre de l’administration territoriale, de la décentralisation et de la chefferie coutumière : Colonel Hodabalo Awate
  • Ministre de la communication, des médias, de la culture, Porte-parole du Gouvernement : Yawa Kouigan
  • Ministre des enseignements primaires et secondaires : Prof Komla Dodzi Kokoroko
  • Ministre du développement à la base, de l’inclusion financière, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes : Mazamesso Assih 
  • Ministre du désenclavement et des pistes rurales : Bouraima Kanfitine Tchede Issa 
  • Ministre de la sécurité et de la protection civile : Colonel Calixte Batossie Madjoulba 
  • Ministre de l’industrie et de la promotion des investissements :Manuella Modukpe Santos 

En qualité de Ministres

  • Ministre de l’accès aux soins et de la couverture sanitaire :Jean Marie Koffi Ewonoule Tessi 
  • Ministre de la justice et de la législation, Garde des Sceaux : Mipamb Nahm-Tchougli
  • Ministre de l’eau et de l’assainissement : Mawugno Mila Ami Aziable 
  • Ministre des droits de l’homme, de la formation à la citoyenneté, et des relations avec les Institutions de la République : Me Pacôme Yawovi Adjourouvi 
  • Ministre des sports et des loisirs : Lt-Colonel Lidi Bessi-Kama
  • Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche  : Kanka Malik Natchaba 
  • Ministre de l’économie et des finances : Essowè Georges Barcola 
  • Ministre de la santé et de l’hygiène publique : Prof Tiem Daré 
  • Ministre des mines et des ressources énergétiques : Robert Koffi Messan Eklo 
  • Ministre de l’aménagement et du développement des territoires : Koami Gomado 
  • Ministre de l’économie maritime et de la protection côtière : Richard Kangbeni 
  • Ministre de l’action sociale, de la solidarité et de la promotion de la femme : Prof Akossiwa Zinsou Klassou 
  • Ministre de l’enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’apprentissage  : Isaac Tchiakpe 

Au titre des Ministres délégués au sein  gouvernement 

Ministre délégué auprès du Ministre des mines et des ressources énergétiques  

Mawussi Kakatsi 

Ministre délégué auprès du Ministre de la sécurité et de la protection civile 

Mohamed Ouro-Sama 

Ministre délégué auprès du Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale 

Prof Kossivi Hounake 

Ministre délégué auprès du Ministre du développement à la base, de l’inclusion financière, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes 

Abdul Fahd Fofana 

Au titre des Ministres rattachez à la Présidence de la République 

Pascal Akoussoulèlou Bodjona 

Kokou Edem Tengue 

Le ministère de la planification, du développement et de la coopération, et le ministère des armées sont rattachés à la Présidence de la République. 

Le ministère des transports terrestres, aériens et ferroviaires est rattaché à la Primature. 

En conclusion, le ministère du tourisme a été dissous. À sa place, un Haut-commissariat au tourisme sera établi pour continuer à développer et à promouvoir le secteur touristique.

Togo : Une nouvelle ère de réformes transforme le Gouvernement

Lomé, 21 août 2024- Dans un élan de renouveau politique, le Togo s’apprête à écrire un nouveau chapitre de son histoire avec la nomination d’une équipe gouvernementale fraîchement constituée. Après une période transitoire consacrée à la gestion des affaires courantes, le pays accueille avec enthousiasme l’annonce officielle d’un exécutif innovant. Sous la houlette de Victoire Dogbé, nommée par décret présidentiel le 20 août 2024 , cette nouvelle garde promet de dynamiser l’administration togolaise et d’insuffler un vent de changement.

Avec une composition reflétant des avancées significatives et des orientations stratégiques audacieuses, le Togo se tient prêt à naviguer vers des horizons prometteurs, sous le regard attentif de son président, Faure Essozimna Gnassingbé. En effet, c’est une ère de transformation qui s’annonce, portée par une volonté ferme de réforme et d’innovation au service des citoyens togolais.

Renouvellement et parité au cœur du nouveau gouvernement togolais

Dans cette dynamique de renouvellement, le gouvernement de la République Togolaise a annoncé la composition de sa nouvelle équipe, marquée par une augmentation du nombre de portefeuilles ministériels et un engagement renouvelé envers la parité de genre.

Avec 35 portefeuilles, dont certains rattachés directement à la Présidence et à la Primature, cette nouvelle structure gouvernementale dépasse de deux le nombre de postes du cabinet précédent, formé en octobre 2020 et ayant connu plusieurs remaniements depuis.

Changement et continuité : Les figures du nouveau gouvernement

Le remaniement a conduit à un changement significatif avec 11 membres sortants, qui ont été remerciés pour leurs services ou appelés à d’autres fonctions honorifiques, et 13 nouveaux entrants. Ces derniers prennent les rênes de ministères clés, tels que l’économie et les finances, la santé publique, l’économie maritime, ainsi que les mines et l’énergie, sans oublier l’enseignement supérieur et la recherche, des secteurs vitaux pour le développement et l’avenir du pays.

La Force Féminine : une présence marquée dans le nouveau cabinet

La présence féminine, déjà notable dans l’ancien cabinet, se voit confortée dans cette nouvelle formation avec 10 femmes ministres, représentant près d’un tiers de l’exécutif. Ces femmes d’influence occupent ou conservent des postes de premier plan, notamment à la Primature, dans les domaines du numérique, de l’urbanisme, du commerce, du développement à la base et de l’inclusion financière, ainsi que dans l’industrie et la promotion des investissements, affirmant ainsi la volonté du gouvernement de promouvoir l’égalité des sexes et de valoriser le rôle des femmes dans la sphère politique et économique du Togo.

Restructuration gouvernementale : nouveaux ministères et redéfinition des attributions

Par ailleurs,  le nouveau  gouvernement a annoncé une série de changements structuraux, marquant ainsi une nouvelle ère dans la gestion des affaires publiques. Ces ajustements s’alignent sur les directives récentes du chef de l’État, visant à optimiser l’efficacité administrative et à répondre aux besoins évolutifs de la nation.

Innovation dans l’Administration : Création de Ministères Spécialisés

Un des changements les plus notables est la création d’un vaste ministère consacré exclusivement à la pêche, à l’élevage et à la réglementation de la transhumance, soulignant l’importance croissante de ces secteurs dans l’économie nationale. Parallèlement, le gouvernement a élevé le développement et l’aménagement du territoire ainsi que la formation professionnelle au rang de ministères à part entière, auparavant gérés comme ministères délégués. Cette décision reflète la détermination à renforcer ces secteurs essentiels pour le progrès national.

Fusion et Synergie : Vers une Gestion Plus Cohérente

L’hydraulique villageoise est désormais intégrée au ministère de l’agriculture et du développement rural, tandis que l’inclusion financière est associée au développement à la base, à la jeunesse et à l’emploi des jeunes. Cette consolidation vise à harmoniser les efforts et à maximiser l’impact des politiques publiques. De même, la culture bénéficie d’une synergie renforcée avec le ministère des médias, promettant une diffusion plus large et une valorisation accrue du patrimoine culturel.

Valorisation des Traditions : Un Nouveau Chapitre pour la Chefferie Traditionnelle

Une attention particulière est accordée à la chefferie traditionnelle et coutumière, qui se voit attribuer un rôle central au sein du ministère de l’administration territoriale et de la décentralisation. En outre, cette initiative témoigne d’une reconnaissance de l’importance des structures traditionnelles dans la gouvernance locale et la cohésion sociale.

Tourisme : Une Nouvelle Vision Stratégique

Le ministère du tourisme, pilier historique des cabinets précédents, se transforme en Haut-commissariat. En plus, cette entité aura pour mission de dynamiser l’attractivité touristique du pays, un secteur clé pour le développement économique et l’image internationale.

Ouverture politique : Un gouvernement inclusif

Enfin, le cabinet accueille deux nouveaux ministres issus de courants politiques jusqu’alors non représentés à l’assemblée nationale, signalant une ouverture et une gouvernance plus concertée. Le Secrétaire général du Gouvernement, Christian Trimua, a souligné cette évolution comme un pont entre tradition et innovation, portée par des personnalités compétentes et dévouées au service de la nation.

En bref, les réformes entreprises par le Togo incarnent une transformation profonde, marquant un tournant décisif vers une gouvernance renouvelée. Elles symbolisent l’engagement du pays à adopter une approche plus stratégique et transparente, essentielle pour répondre aux aspirations de sa population. En harmonie avec la nouvelle constitution, ces changements sont aussi un pas en avant vers la réalisation d’un avenir où la prospérité et l’équité sont accessibles à tous les citoyens togolais.

 

Victoire Tomégah-Dogbé rencontre les diplomates togolais

Lomé,13 août 2024 – Dans une démarche visant à renforcer la diplomatie togolaise et à promouvoir une image positive du pays sur la scène internationale, la cheffe du gouvernement Victoire Tomégah-Dogbé a accueilli à la Primature, le 10 août 2024, les ambassadeurs et chefs de missions diplomatiques du Togo. Cette réunion de haut niveau fait suite à une conférence dédiée à ces éminents représentants, organisée par le ministère des affaires étrangères quelques jours auparavant.

Focus sur le Rapport de la Conférence diplomatique

Lors de cette rencontre, une attention particulière a été accordée au rapport de la conférence, qui comprenait des suggestions stratégiques pour l’expansion de l’influence diplomatique du Togo. Le Secrétaire général du ministère, Ousmane Afo Salifou, a mis en lumière les objectifs de la visite des diplomates, notamment l’analyse des récentes évolutions sociopolitiques du pays.

Parmi les sujets abordés figuraient l’adoption de la nouvelle constitution instaurant un régime parlementaire et marquant le passage à la Ve République, ainsi que le processus d’établissement des institutions prévues par cette constitution et la mise en œuvre de la feuille de route gouvernementale.

Conseils et directives pour les diplomates

Les ambassadeurs et chefs de missions ont également bénéficié des conseils et directives de la Première ministre, dans l’optique d’améliorer leur efficacité à l’étranger. Le Secrétaire général a exprimé une satisfaction générale quant à la formation reçue, soulignant l’importance de cette initiative pour maintenir les diplomates informés des progrès du pays, malgré la distance.

Finalement , l’ambassadeur du Togo au Koweït, Mohamed Sad Ouro-Sama, a pris la parole en tant que doyen des ambassadeurs pour exprimer sa reconnaissance à la Première ministre pour son rôle dans l’organisation d’un dialogue fructueux. Soulignant l’importance de cette initiative, il a mis en lumière l’écoute attentive de la Première ministre aux propositions visant à promouvoir l’influence diplomatique du Togo.

Par ailleurs, la Première ministre a loué la qualité des discussions tenues et a encouragé les ambassadeurs et responsables des missions diplomatiques togolaises à l’étranger à continuer de représenter fidèlement les intérêts du pays dans leurs affectations respectives.

En bref,  Cette réunion illustre l’engagement du Togo à promouvoir une diplomatie dynamique et réactive, capable de naviguer avec aisance dans le complexe paysage géopolitique actuel.

Le Togo se rapproche des objectifs du Pacte international

Lomé, le 9 août 2024 – Le Togo franchit une nouvelle étape dans son engagement en faveur des droits humains. Le Ministre chargé des Droits de l’Homme, Maître Pacôme Yawovi ADJOUROUVI, a officiellement ouvert les travaux de l’atelier de validation nationale du troisième rapport périodique sur la mise en œuvre du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels.

Ce rapport, élaboré dans un esprit de participation et de transparence, vise à dresser un bilan des progrès accomplis par le pays en matière de travail, de santé, d’éducation, de logement, et d’autres droits fondamentaux. Il s’agit également d’identifier les défis persistants et de définir les prochaines étapes à franchir.

Le Ministre ADJOUROUVI ouvre l'atelier de validation du rapport sur la mise en œuvre du Pacte international.Des actions concrètes au service du bien-être des Togolais

Le Ministre ADJOUROUVI a rappelé les nombreuses initiatives mises en œuvre par le gouvernement pour améliorer les conditions de vie des populations, telles que la feuille de route gouvernementale 2020-2025, le FNFI, le FAIEJ, les cantines scolaires, le PAEIJ-SP et l ‘AMU. Ces programmes témoignent de la volonté politique de faire des droits économiques, sociaux et culturels une priorité.

Un dialogue constructif avec la société civile

Cet atelier constitue une occasion unique pour les représentants de l’État, de la société civile et des institutions nationales d’échanger sur les avancées et les défis rencontrés dans la mise en œuvre du Pacte international. Le gouvernement togolais souhaite ainsi renforcer le dialogue avec tous les acteurs concernés et s’inscrire dans une démarche de co-construction des politiques publiques.

Les prochaines étapes

À l’issue de cet atelier, un rapport définitif sera élaboré et soumis au Comité des droits économiques, sociaux et culturels des Nations Unies. Ce document permettra au Togo de rendre compte de ses engagements internationaux et de bénéficier aussi des recommandations de la communauté internationale.

Togo : Une transition politique en douceur après les législatives

Le 21 mai dernier, la Première ministre togolaise, Victoire Tomégah-Dogbé, a présenté sa démission au Président Faure Gnassingbé, marquant ainsi la fin d’un cycle politique et ouvrant la voie à une nouvelle équipe gouvernementale. Cette démission, consécutive aux récentes élections législatives, s’inscrit dans le cadre constitutionnel et témoigne de la stabilité politique du pays.

Une gestion des affaires courantes pour assurer la continuité en attendant la transition 

Le gouvernement sortant gère les affaires courantes jusqu’à ce qu’un nouvel exécutif prenne place, conformément aux usages. Cette gestion assure la continuité de l’action publique et préserve les intérêts de la nation pendant la transition. De plus, les ministres sortants supervisent les opérations quotidiennes, concluent les dossiers en cours et garantissent le bon fonctionnement des services publics. Ils maintiennent également l’ordre public, assurent la sécurité, gèrent les finances de l’État et soutiennent l’économie face aux dossiers urgents. Enfin, ils traitent les affaires que le Président leur confie, répondant ainsi aux sollicitations spécifiques du chef de l’État.

Des restrictions pour éviter tout dépassement 

Le président  a mis en place des restrictions afin d’éviter tout engagement irréversible avant que le nouveau gouvernement ne prenne ses fonctions. Tout d’abord, il a restreint les engagements financiers en empêchant les nouvelles dépenses ou les nouveaux projets de prendre naissance. En outre, il a limité les désignations de cadres, qui doivent maintenant être approuvées par le Président. Finalement, il a supervisé les missions à l’étranger, demandant une autorisation préalable pour toute sortie à l’étranger. L’objectif de ces mesures est de garantir une gestion prudente et suivie jusqu’à la transition officielle du pouvoir.

Les enjeux de la prochaine équipe gouvernementale

L’attention se porte désormais sur la formation du nouveau gouvernement. Les choix du Président Gnassingbé seront déterminants pour l’avenir politique du Togo. Les défis sont nombreux : consolider les acquis démocratiques, poursuivre les réformes économiques, renforcer la coopération internationale et répondre aux attentes des citoyens.

La démission du gouvernement togolais et la mise en place d’une gestion des affaires courantes illustrent la maturité politique du pays. Cette transition pacifique et ordonnée est un signal fort pour la stabilité régionale et témoigne de l’attachement du Togo aux principes démocratiques.

Togo : Un pas de plus vers une gouvernance foncière renforcée

L’amélioration continue de la gouvernance foncière au Togo franchit une nouvelle étape avec la tenue de la quatrième édition du forum national des acteurs du foncier à Lomé. En effet, réuni du 24 au 25 juillet, cet événement majeur s’est concentré sur la vulgarisation du code foncier et domanial, un outil essentiel pour la sécurisation des terres et le développement durable.

Par ailleurs, sous le thème « Les approches communautaires de sécurisation foncière à l’aune du code foncier et domanial », les participants ont approfondi leur compréhension des mécanismes établis pour gérer les ressources foncières de manière équitable et transparente. De plus, ils ont souligné l’importance de l’engagement des communautés dans ce processus, en particulier par la facilitation de l’acquisition du livret foncier, garantissant ainsi un titre de propriété sécurisé.

D’autre part, Aklasson Toléba, président de la coalition foncière nationale togolaise, a souligné la nécessité de rendre le code foncier accessible à tous, en particulier aux populations rurales. Ainsi, les efforts déployés pour simplifier les procédures et accompagner les citoyens dans leurs démarches ont été appréciés.

Depuis son entrée en vigueur en 2018, le nouveau code foncier et domanial a profondément transformé la gestion des terres au Togo. Par conséquent, en renforçant la sécurité juridique et en promouvant une gouvernance plus transparente, il a contribué à un climat d’investissement plus favorable et à une meilleure répartition des ressources.

En conclusion, ce forum témoigne de la volonté du Togo de poursuivre sur cette voie en favorisant un dialogue constructif entre tous les acteurs concernés. Finalement , il souligne l’importance d’une gouvernance foncière solide pour assurer la stabilité sociale, stimuler le développement économique et préserver les ressources naturelles.

Togo : Top 5 africain en matière de politiques (Banque mondiale)

Lomé, 25 juillet 2024 – Le Togo poursuit sa dynamique d’amélioration des politiques publiques et institutionnelles. En effet, la dernière évaluation de la Banque mondiale pour l’Afrique, publiée récemment, place le pays en position de force sur ce plan.

Avec une note globale de 3, 8, le Togo gagne 0, 1 point par rapport à l’année dernière et se hisse ainsi dans le top 5 continental, à égalité avec la Côte d’Ivoire. Ce score positionne le pays bien au-dessus de la moyenne de l’Afrique de l’Ouest et centrale (3, 3) et de la moyenne IDA en Afrique subsaharienne (2, 9). Dans la sous-région ouest-africaine, le Togo se distingue sur le podium aux côtés du Bénin et du Cap-Vert.

Le Togo intègre le top 5 des pays africains ayant les meilleures politiques publiques, selon une récente évaluation de la Banque mondiale.Inclusion sociale, équité et gestion économique saluées

Cette performance s’explique notamment par les excellentes notes obtenues par le Togo dans les domaines de l’inclusion sociale et de l’équité (4, 0), où le pays se classe parmi les dirigeants de la région. Les actions pour les femmes et la protection sociale ont eu un succès particulier.
La gestion économique est également saluée, notamment pour les efforts de mobilisation des ressources domestiques.

Cependant, Le rapport de la Banque mondiale indique que les politiques structurelles constituent un domaine dans lequel il reste à accomplir des progrès . Les actions engagées par le gouvernement devraient néanmoins porter leurs fruits à court terme.

Le Togo intègre le top 5 des pays africains: Consolider les acquis et renforcer la crédibilité internationale

Pour l’exécutif togolais, l’objectif est clair : consolider ces évolutions positives et conforter davantage la crédibilité du pays sur le plan international. Les autorités entendent ainsi poursuivre les réformes en cours et en engager de nouvelles pour faire du Togo un modèle de gouvernance en Afrique.

Ce nouveau progrès en matière de politiques publiques et institutionnelles est un signe encourageant pour le Togo. Il témoigne de l’engagement du pays à promouvoir la bonne gouvernance et à créer un environnement favorable au développement économique et social.

Le Togo, un exemple de développement et de stabilité en Afrique de l’Ouest

Lomé, 05 juillet 2024 – Le Togo grimpe au rang des modèles de développement et de stabilité en Afrique de l’Ouest, avec une progression notable de son Indice de développement humain (IDH) et un climat politique favorable sous la houlette du président Faure Essozimna Gnassingbé.

Une progression remarquable de l’IDH

Le Togo affiche une amélioration de son IDH, passant de 0,539 en 2021-2022 à 0,547 en 2023-2024, se positionnant en première place de l’UEMOA et quatrième de la CEDEAO, derrière le Cap-Vert, le Ghana et le Nigéria. En effet, cette performance s’appuie sur des réalisations concrètes, telles que la construction et la réhabilitation d’infrastructures routières vitales.

Infrastructures : un pilier du développement économique

En 2023, 3 000 km de pistes rurales ont été construites ou rénovées, 300 km de routes ont été réhabilitées et 3 000 ouvrages de franchise ont été érigés. Par ailleurs, ces infrastructures essentielles stimulent les échanges commerciaux, facilitent les déplacements, renforcent l’intégration régionale et contribuent à la croissance économique durable.

Une vision à long terme pour un développement durable

La stratégie de développement du Togo s’inscrit dans une perspective à long terme, visant à bâtir une économie solide et inclusive. En plus, l’engagement du gouvernement envers la construction d’infrastructures de qualité et la promotion d’un environnement stable est un facteur clé de cette réussite.

Le leadership du président Gnassingbé au cœur de la stabilité

Conscient du lien crucial entre la paix et le développement, le président Faure Gnassingbé joue aussi un rôle actif dans la promotion du dialogue et de la sécurité au Togo, dans la sous-région, en Afrique et au-delà. En outre, son leadership éclairé représente un catalyseur de changement positif, contribuant à un climat propice à la croissance et à l’innovation.

Un modèle inspirant pour l’Afrique de l’Ouest

Le Togo, à travers ses réalisations récentes, démontre le pouvoir transformateur d’une gouvernance avisée et d’une politique de développement ambitieuse. Le pays se positionne ainsi comme un exemple inspirant pour d’autres nations africaines en quête de progrès et de prospérité.

Togo : 1er de l’UEMOA et 4ème de la CEDEAO en développement humain

Lomé, 05 juillet 2024 – Le Togo a réalisé une avancée notable en matière de développement humain, selon le Rapport sur le développement humain 2023/2024 publié par le gouvernement et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). L’Indice de développement humain (IDH) du pays a progressé de 0,539 en 2021-2022 à 0,547 en 2023-2024, positionnant le Togo au premier rang de l’UEMOA et 4ème de la CEDEAO en termes de développement humain.

En effet, cette performance remarquable s’inscrit dans la dynamique de la Feuille de route gouvernementale Togo 2025 , qui a placé l’inclusion économique et sociale au cœur de ses priorités. Les réalisations concrètes dans des domaines clés tels que la santé, l’éducation, l’accès à l’eau potable, l’assainissement, l’électrification et l’agriculture ont également été déterminantes dans cette progression.

Un atelier de diffusion à l’endroit des médias , présidé par Madame Sandra Ablamba Johnson, Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République, et en présence de Madame Yawa Kouigan, Ministre de la Communication et des médias, Porte-parole du gouvernement , a eu lieu ce 04 juillet 2024 à Lomé. Par ailleurs, l’objectif de cette rencontre était d’échanger avec les acteurs des médias sur les performances du Togo en matière de développement humain et les facteurs explicatifs de ces progrès.

Le Togo affiche une performance remarquable en matière de développement humain, se classant 1er de l'UEMOA et 4ème de la CEDEAO.Les principaux points forts de cette performance en matière de développement humain sont les suivants :

  • Santé : Accroissement du taux d’accessibilité aux soins de santé, renforcement du personnel médical, construction d’infrastructures hospitalières modernes, programmes d’appui à la santé maternelle et infantile.
  • Éducation : Augmentation du nombre de salles de classe, recrutement d’enseignants, distribution gratuite de manuels scolaires, cantines scolaires, couverture sanitaire des élèves.
  • Accès à l’eau potable : Extension des réseaux d’adduction d’eau, forages, branchements domestiques, bornes fontaines.
  • Cadre de vie : Assainissement, gestion des déchets, construction de latrines.
  • Accès à l’énergie électrique : Augmentation du taux d’électrification, programmes d’électrification rurale, développement des énergies renouvelables.
  • Agriculture : Subventions sur les engrais, crédits agricoles, zones d’aménagement agricoles planifiées (ZAAP), irrigation.
  • Infrastructures rurales : Pistes rurales, itinéraires, ouvrages de franchisage.

En plus, ces avancées remarquables sont le fruit d’un engagement politique fort et d’une étroite collaboration entre le gouvernement et les différents acteurs de la société civile. Le Togo se positionne ainsi comme un modèle de développement humain en Afrique de l’Ouest, avec des perspectives prometteuses pour l’avenir.

En s’appuyant sur ces acquis et en poursuivant les efforts dans les domaines clés du développement humain, le Togo a le potentiel de franchir le seuil de la catégorie des pays à indice de développement humain moyen d’ici 2025.

Togo : Awaté en tournée pour outiller les conseillers régionaux

Dans le cadre d’une initiative visant à consolider la démocratie locale et à outiller les élus pour leurs nouvelles responsabilités, le ministre de l’Administration territoriale du Togo, Hodabalo Awaté, a entamé une série de rencontres avec les conseillers régionaux nouvellement élus. Cette démarche, inaugurée à Dapaong le 4 juin, marque un tournant décisif dans la politique de décentralisation du pays.

Objectifs multiples pour une mission cruciale

Cette initiative poursuit un double objectif : d’une part, préparer les conseillers régionaux à assumer pleinement leurs responsabilités , notamment en ce qui concerne la convocation, l’organisation, le déroulement et la tenue effective des premières réunions des conseils régionaux. D’autre part, recueillir les attentes et besoins en matière de renforcement des capacités exprimées par ces élus locaux afin de leur offrir les meilleurs outils et appuis possibles pour l’exercice de leurs fonctions.

Hodabalo Awaté lance un appel à l’engagement et au sacrifice pour le développement local

S’adressant aux conseillers régionaux, le ministre Awaté a souligné la nécessité d’un engagement total et d’un esprit de sacrifice de leur part pour le développement harmonieux des régions. Il a insisté sur leur rôle crucial dans la consolidation de la démocratie locale, participative et inclusive, pour le bien-être de la population.

Une tournée inclusive de Awaté pour un développement harmonieux

Après Dapaong, le ministre Awaté poursuivra sa tournée dans les régions de Kara, Sokodé, Atakpamé et Tsévié, témoignant ainsi de la volonté du gouvernement d’ impliquer l’ensemble des conseillers régionaux dans ce processus d’apprentissage et de renforcement des capacités.

Vers des conseils régionaux performants au service des Togolais

Rappelons qu’à l’issue des élections régionales du 29 avril dernier, 179 conseillers régionaux ont été élus pour un mandat de six ans renouvelable deux fois . Leur prise de fonction effective et l’exercice optimal de leurs attributions constituant une étape importante dans le processus de décentralisation au Togo, visant à rapprocher davantage la gouvernance des citoyens et à répondre plus efficacement à leurs besoins spécifiques de développement local.

Élections Régionales au Togo : L’UNIR Triomphe

23 mai 2024– La Cour Suprême du Togo a confirmé mardi la victoire écrasante du parti Union pour la République (UNIR) lors des élections régionales qui ont suivi les législatives il y a 10 jours. Les résultats définitifs, proclamés par la chambre administrative de la juridiction, révèlent une répartition des sièges qui dessine le paysage politique togolais.

UNIR remporte 137 sièges sur 179

En effet, le parti au pouvoir, l’Union pour la République (UNIR), a obtenu une majorité écrasante de 137 sièges sur les 179 en jeu. Cette victoire confirme la position dominante d’UNIR dans le paysage politique togolais. Le parti a su mobiliser ses électeurs et consolider son emprise sur les régions.

En outre, les 42 sièges restants sont répartis entre 12 autres formations politiques et des listes d’indépendants. L’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) arrive en deuxième position avec 9 sièges de conseillers régionaux, suivie de près par l’Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI) qui remporte 8 sièges. Le parti BATIR et l’Union des forces de changement (UFC) se partagent chacun 5 sièges.

Dynamique pour la Majorité du peuple (DMP) et autres partis

La Dynamique pour la Majorité du peuple (DMP) obtient 4 conseillers, tandis que les Forces Démocratiques pour la République (FDR) et le Pacte socialiste pour le renouveau (PSR) gagnent respectivement 3 et 2 sièges. Le Nouvel engagement togolais (NET), le Parti démocratique panafricain (PDP), le Comité d’Action pour le Renouveau (CAR), ainsi que les listes des indépendants, la Voix des sans voix, le Nouveau départ et Honneur aux Paysans (HP) ont chacun obtenu 1 siège.

Mandat de 6 ans renouvelable deux fois

Les conseillers régionaux élus auront un mandat de 6 ans, renouvelable deux fois. Ils joueront également  un rôle essentiel dans la gouvernance locale et la prise de décisions qui affectent directement les citoyens togolais.

En somme, cette victoire d’UNIR soulève des questions sur l’équilibre politique au Togo et sur la capacité des autres partis à se faire entendre dans un paysage dominé par le parti au pouvoir. Les prochaines années seront cruciales pour l’évolution politique du pays, et les conseillers régionaux auront un rôle clé à jouer dans ce processus.

La vision de GNASSINGBÉ pour une cuisson propre

Paris, le 14 mai 2024 – Dans un élan progressiste pour l’Afrique, le Président du Togo, Faure Essozimna GNASSINGBÉ, a marqué sa présence au premier sommet dédié à la problématique de la cuisson propre sur le continent. En effet, ce sommet historique, qui se tient aujourd’hui à Paris , voit la collaboration du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) et de l’Agence internationale de l’énergie.

L’Appel du Président GNASSINGBÉ pour l’action environnementale

Le Président GNASSINGBÉ, dans son discours, a souligné l’urgence de s’attaquer à la pollution de l’air résultant de l’utilisation de combustibles inappropriés pour la cuisson. Un problème qui touche profondément la santé des populations africaines, en particulier celle des femmes dans les zones rurales.

“La cuisson propre n’est pas seulement une question de santé publique, c’est aussi une question de dignité humaine et d’égalité des sexes,” a déclaré le Président GNASSINGBÉ. Il a insisté sur la nécessité d’une action politique et financière concertée pour relever ces défis majeurs, qui doivent converger vers la protection de l’environnement et l’amélioration significative de la qualité de vie en Afrique.

Le Président du Togo, Faure Essozimna GNASSINGBÉ, participe au premier sommet sur la cuisson propre en Afrique à Paris ,Vers des solutions durables : Les alternatives de cuisson non polluantes

Par ailleurs, le sommet vise à catalyser un changement, en promouvant des solutions de cuisson non polluantes qui sont à la fois abordables et accessibles. Les discussions porteront sur des stratégies pour réduire la dépendance aux combustibles traditionnels et explorer des alternatives durables, telles que les cuisinières à gaz et solaires.

En outre , Les participants, comprenant des chefs d’État, des experts en énergie et des représentants de la société civile, exploreront des voies pour intégrer ces technologies dans les politiques nationales et régionales. L’objectif est clair : faire de la cuisson propre une réalité pour tous les Africains, et ce, dans un avenir proche.

En somme, Ce sommet est un pas de géant vers un avenir où chaque foyer africain pourra préparer ses repas dans un environnement sain, contribuant ainsi à la vision d’une Afrique plus verte et plus prospère.

Togo: Une nouvelle constitution pour une gouvernance renforcée

Dans une atmosphère empreinte de solennité, le Président Faure Gnassingbé a promulgué la nouvelle Constitution de la République Togolaise le lundi 06 mai 2024, marquant l’avènement d’une nouvelle république pour cette nation de 8 millions d’âmes. Cette réforme constitutionnelle, qui a pris forme suite à son adoption en seconde lecture par l’Assemblée nationale le 19 avril dernier, est le fruit d’une initiative parlementaire audacieuse.

Le texte révisé inaugure un changement de paradigme dans la gouvernance togolaise avec la transition vers un régime parlementaire. Cette évolution majeure est accompagnée par l’introduction de la fonction de Président du Conseil, ainsi que par la création d’un Conseil d’État, des institutions destinées à renforcer la démocratie et la séparation des pouvoirs au sein du pays.

La population togolaise accueille avec espoir et optimisme la promulgation de cette loi fondamentale. En effet, bientôt publiée dans le Journal Officiel de la République Togolaise, elle représente pour les citoyens l’aube d’une ère de progrès et de stabilité politique. Par ailleurs, cette loi, attendue avec impatience, marque un tournant décisif pour le pays.

D’autre part, cette révision constitutionnelle représente un tournant démocratique significatif pour le Togo. Elle reflète l’aspiration des citoyens à une gouvernance plus inclusive et participative. De plus, l’instauration d’un régime parlementaire promet une répartition plus équilibrée du pouvoir et une meilleure représentativité au sein des instances décisionnelles.

Vers une gouvernance renouvelée

Avec l’émergence de la fonction de Président du Conseil et la création d’un Conseil d’État, le Togo s’engage sur la voie d’une gouvernance renouvelée, où la concertation et le dialogue politique prendront une place prépondérante. Ces nouvelles structures visent à consolider l’architecture institutionnelle du pays et à garantir une meilleure gestion des affaires publiques.

La nouvelle Constitution togolaise est plus qu’un simple document juridique; elle est le symbole d’un engagement collectif envers la démocratie et le développement durable. Elle ouvre la voie à des réformes profondes et nécessaires pour assurer la prospérité et le bien-être de tous les Togolais.

En somme, cette promulgation historique est une étape cruciale dans la quête d’un Togo plus juste et prospère, où chaque citoyen aura la possibilité de contribuer pleinement à l’essor de sa nation.

 

Élections Togolaises : Unir s’impose, la nation célèbre la Paix

Dans l’éclat des récentes élections législatives et régionales, le parti Union pour la République (Unir) s’est distingué par une victoire retentissante, s’adjugeant une majorité écrasante des sièges. Par ailleurs, ce succès, annoncé par la Commission électorale nationale indépendante, marque un tournant décisif dans le paysage politique togolais. En outre, la nation a réagi avec une profonde gratitude face à la sérénité qui a prévalu lors du scrutin. De même, aux quatre coins du Togo, des offices religieux ont été célébrés, témoignant de la reconnaissance collective pour la tranquillité des élections.

 Victoire électorale de l'Union pour la République au Togo, la nation célèbre la paix et l'appel à l'unité après les électionsD’autre part, le Président Faure Essozimna Gnassingbé a honoré de sa présence le culte d’actions de grâce à l’Église évangélique presbytérienne de Kougnohou. Cet événement a rassemblé divers membres du gouvernement et a été l’occasion d’appeler à l’unité, à la fraternité et au vivre-ensemble, piliers de la paix et de l’harmonie nationales. Par conséquent, plus de 14.000 bureaux de vote ont été le théâtre d’une participation citoyenne exemplaire. Les observateurs internationaux, présents en nombre, ont salué le déroulement impeccable du double scrutin, reflétant l’engagement démocratique du peuple togolais.

Enfin, à Lomé et dans d’autres localités, les célébrations ont réuni des fidèles de diverses confessions, illustrant la diversité et la richesse spirituelle du Togo. Ces rassemblements ont été l’occasion de renouveler l’engagement envers des valeurs fondamentales de fraternité et de coexistence pacifique, essentielles à la prospérité et à la stabilité de la nation.

Majorité absolue pour Unir aux élections législatives

Dans le cadre des récentes élections législatives, l’Union pour la République (Unir) a remporté une victoire retentissante, s’adjugeant 108 des 113 sièges disponibles à l’Assemblée nationale, ce qui représente une quasi-unanimité de 96%. Cette domination électorale laisse seulement cinq sièges à l’opposition, répartis entre l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) avec deux sièges, et un siège respectivement pour l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP), et les Forces Démocratiques pour la République (FDR).

Annonce solennelle des résultats provisoires des élections législatives

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a solennellement annoncé les résultats provisoires lors d’une cérémonie au siège de la CENI à Lomé, retransmise en direct à la nation. Par ailleurs, le président de la CENI, Dago Yabré, a également fait savoir que les proclamations des résultats des élections régionales, concernant 179 sièges, se feront sous peu.

D’autre part, l’affluence aux urnes a été notable avec un taux de participation de 61%, soit 2 565 623 votants sur les 4 203 711 inscrits. De plus, les observateurs internationaux, issus de l’Union africaine, de la CEDEAO, de la CEN-SAD et de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), ont attesté de la transparence et de la liberté du scrutin, tout en louant l’excellente organisation par les autorités électorales.

En conclusion, le président de la CENI a exhorté les partis politiques ayant des griefs à se référer aux instances judiciaires adéquates, en assurant que la commission électorale s’emploiera à rectifier les irrégularités et les difficultés rencontrées. Finalement, la Cour constitutionnelle doit ratifier les résultats pour qu’ils soient définitifs.