Togo : Pose de la Première Pierre du Centre de Traitement du Cancer

Lomé, le 15 novembre 2024 En présence de Madame le Premier Ministre Dogbe Victoire et de Sevon-Tépé Kodjo ADEDZE, Président de l’Assemblée nationale de la République Togolaise, la cérémonie de pose de la première pierre du centre public moderne de traitement du cancer a eu lieu aujourd’hui dans la commune d’Agoè-Nyivé 1. En effet, ce projet ambitieux reflète la vision et l’engagement de SEM Faure Essozimna Gnassingbe, Président de la République, pour garantir des soins de santé de qualité aux Togolais, conformément aux standards internationaux.

Ce centre moderne, une fois achevé, jouera un rôle crucial dans la prise en charge des patients atteints de cancer au Togo. Il sera équipé des dernières technologies en matière de radiothérapie et de médecine nucléaire, permettant ainsi de fournir des traitements efficaces et de haute qualité. L’impact de ce centre sur les patients atteints de cancer sera significatif, offrant des soins accessibles et spécialisés qui amélioreront considérablement leur qualité de vie et leurs chances de survie.

 cérémonie de pose de la première pierre du centre public moderne de traitement du cancer au Togo, un projet clé pour améliorer les soins Centre de traitement : Impact pour les patients atteints de cancer

La création de ce centre de traitement du cancer à Lomé représente une avancée majeure pour les patients togolais. Actuellement, de nombreux patients doivent se rendre à l’étranger pour recevoir des traitements adéquats, ce qui engendre des coûts élevés et des délais de traitement prolongés. Avec ce nouveau centre, les patients pourront bénéficier de soins de qualité à proximité, réduisant ainsi le stress et les dépenses associées aux voyages médicaux. De plus, la disponibilité de technologies avancées comme la radiothérapie et la médecine nucléaire permettra de traiter les cancers de manière plus ciblée et efficace, augmentant ainsi les taux de survie.

Le cancer et ses conséquences

Par ailleurs, le cancer est une maladie caractérisée par la croissance incontrôlée de cellules anormales dans le corps. Ces cellules peuvent former des tumeurs et se propager à d’autres parties du corps, un processus appelé métastase. Les réactions du cancer sont graves et variées, allant de la douleur et de la fatigue à des complications potentiellement mortelles. Le traitement du cancer peut inclure la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et d’autres thérapies ciblées, chacune ayant ses propres effets secondaires et défis. La détection précoce et le traitement approprié sont essentiels pour améliorer les chances de survie et la qualité de vie des patients.

En somme, ce centre de traitement du cancer à Lomé est une étape importante vers un avenir dans lequel le cancer ne sera plus une fatalité pour les Togolais, mais une maladie traitable avec des soins de qualité à portée de main.

Le Togo face à l’épidémie de choléra : le ministre de la Santé sur le front

Agbetsiko, le 31 octobre 2024 – Le Professeur Tchin DARRE, ministre togolais de la Santé, s’est rendu dans le district des Lacs pour évaluer la réponse de son pays face à l’épidémie de choléra qui sévit dans la région de Bas-Mono. Cette visite a permis au Ministre de constater sur le terrain les efforts déployés pour endiguer la propagation de la maladie.

Le Centre de prise en charge d’Agbetsiko, récemment inauguré, a été la première étape de cette tournée ministérielle. Le Professeur DARRE s’est félicité de la rapidité avec laquelle les autorités sanitaires ont mis en place des structures adaptées pour accueillir et soigner les malades. Il a également salué l’excellence des équipes médicales.

Au cours de sa visite, le Ministre a rencontré les acteurs de la riposte sur le terrain, notamment les agents de santé et les autorités locales. Ces échanges ont permis de discuter des stratégies mises en œuvre et d’identifier les éventuelles difficultés rencontrées.

« Je suis venu constater de visu le déroulement des activités de prise en charge des patients du choléra et toutes les autres activités en lien avec la riposte », a déclaré le ministre. Il a souligné ainsi l’importance de la collaboration entre les différents acteurs pour gagner cette bataille contre la maladie.

Une mobilisation nationale face à l’épidémie de choléra

Cette visite ministérielle témoigne de la détermination du Gouvernement à lutter contre cette maladie. Le ministre a réaffirmé le soutien du Ministère à toutes les initiatives visant à améliorer la santé des populations et a appelé à une vigilance continue pour prévenir de futures épidémies.

En somme, le choléra, une maladie diarrhéique aiguë, représente un véritable défi pour les systèmes de santé, en particulier dans les pays en développement. En outre, la lutte contre le choléra nécessite une mobilisation de tous. Le gouvernement, les acteurs de la santé et la population doivent travailler de concert pour mettre fin à cette épidémie. Avec la détermination affichée par les autorités et le professionnalisme des équipes sur le terrain, le Togo est en bonne voie pour surmonter cette crise sanitaire.

choléra : Le ministre DARRE en mission d’espoir dans la région maritime

Togo, le 30 octobre 2024 – Dans un élan de solidarité et de détermination, le Ministre de la Santé et de l’hygiène publique, prof. Tchin DARRE, a entrepris une visite importante ce matin dans les districts de la région maritime, actuellement en proie à une épidémie de choléra.

Sa première escale fut le district de Bas-Mono, où il a rencontré les acteurs de première ligne, en présence du préfet, pour discuter des mesures urgentes et efficaces à mettre en œuvre. Il a insisté sur la nécessité d’une action coordonnée et rapide pour endiguer la propagation de la maladie.

Le ministre de la santé, Prof Tchin DARRE, a effectué une visite dans les districts maritimes pour renforcer la lutte contre l'épidémie de choléra,Dans la continuité de sa mission, le ministre DARRE s’est rendu au Centre de traitement de l’épidémie d’Agbetsiko, où il a pu observer les efforts déployés pour la prise en charge des patients. Il a exprimé sa reconnaissance envers le personnel soignant pour leur engagement sans faille et leur professionnalisme exemplaire dans la gestion de la crise. Cette visite a également été l’occasion pour le Ministre de souligner l’importance de la prévention, à travers la sensibilisation et l’amélioration des conditions sanitaires, pour prévenir de futures épidémies.

Le Ministre DARRE, en visitant, envoie un message fort à la population qui témoigne de l’engagement du gouvernement à combattre cette épidémie. Cette visite marque aussi un tournant dans la riposte nationale, annonçant des mesures supplémentaires pour intensifier la réponse et assurer la mobilisation des ressources nécessaires.

En somme, cette visite historique du ministre de la Santé est un pas de plus vers l’éradication du choléra dans la région maritime et reflète la résilience et la capacité d’action du pays face aux défis sanitaires. Elle incarne l’espoir d’un meilleur avenir, où la santé publique est au cœur des priorités nationales.

Togo : le ministère de la Santé et Santé Intégrée améliore les soins

Lomé, le 28 octobre 2024 – Le professeur Tchin DARRE, Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, a effectué une tournée dans plusieurs centres de santé du pays, notamment à Sanda Afohou et à Nawaré. L’objectif de cette visite était de s’imprégner des conditions de travail des agents de santé et de l’état d’avancement des projets de développement du secteur.

Le ministre de la Santé visite les centres de santé au Togo et salue l'appui de l'ONG Santé Intégrée dans l'amélioration de l'accès aux soins.Santé Intégrée, un partenaire de choix

Lors de sa visite à l’Unité de Santé de Base (USB) de Sanda Afohou, le ministre a particulièrement apprécié l’appui de l’ONG Santé Intégrée. Présente au Togo depuis 2004, cette organisation non gouvernementale met en œuvre des programmes de soins primaires intégrés dans les communautés, améliorant ainsi l’accès aux soins de santé de base pour les populations les plus vulnérables.

« Le partenariat entre le gouvernement et Santé Intégrée est exemplaire », a déclaré le Ministre Tchin DARRE. « Les actions de cette ONG contribuent significativement à l’amélioration de la santé des populations, en particulier dans les zones rurales. »

L’USP de Nawaré, un autre modèle de collaboration

L’USP de Nawaré, également soutenu par Santé Intégrée, a également été visité par le ministre. En plus des prestations inscrites au programme Wezou, l’organisation soutient le centre dans la mise en œuvre de soins de santé primaires.

Accélération des travaux à l’hôpital préfectoral de Dankpen

Le Ministre s’est ensuite rendu à l’hôpital préfectoral de Dankpen où il a visité le chantier de construction d’un nouveau bloc de maternité et de pédiatrie. Il a insisté sur l’importance de ce projet pour améliorer les conditions d’accueil et de soins des mères et des enfants. Le professeur Tchin DARRE a appelé l’entreprise prestataire à accélérer les travaux afin que ce nouveau bâtiment puisse être mis en service dans les meilleurs délais.

Un engagement fort pour la santé des Togolais

Cette tournée du Ministre de la Santé démontre l’engagement du gouvernement à améliorer l’accès aux soins de santé pour tous les Togolais. Les partenariats avec les organisations de la société civile, telles que Santé Intégrée, jouent un rôle essentiel dans la mise en œuvre de cette politique. En renforçant les capacités des centres de santé de proximité et en développant des partenariats avec les ONG, les autorités sanitaires visent ainsi à améliorer l’accès aux soins pour tous les Togolais, en particulier les populations les plus vulnérables.

Kozah : le ministre sonne le tocsin contre la méningite

Kozah, le 28 octobre 2024 – Dans le cadre de la lutte contre la méningite, le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, le professeur Tchin DARRE, s’est rendu dans la Kozah pour encourager les équipes de vaccination et sensibiliser la population.

Une mini-campagne de vaccination gratuite contre cette maladie a été lancée dans cette région du 22 au 27 octobre 2024. Le Ministre, lors de sa visite sur le terrain, a félicité les agents de santé pour leur engagement et leur dévouement. Il a également saisi cette occasion pour les exhorter à redoubler d’efforts afin de toucher un maximum de personnes, notamment les plus vulnérables.

« J’apprécie de voir la mobilisation de tous les acteurs impliqués dans cette campagne », a déclaré le professeur Tchin DARRE. Il a toutefois appelé à plus d’ardeur dans la sensibilisation des populations, particulièrement celles des zones les plus reculées. « Chaque résident de la Kozah doit être conscient des dangers de la méningite et des avantages de la vaccination », a-t-il insisté.

Le Ministre a aussi insisté sur la qualité de l’accueil dans les centres de vaccination. « Je vous invite à améliorer l’accueil dans les centres et à poursuivre la sensibilisation de la population de proximité sur les bienfaits de la vaccination », a-t-il souligné. Car un accueil chaleureux et des explications claires sont essentiels pour rassurer les populations et les inciter à se faire vacciner, a conclu le ministre Tchin DARRE, s’adressant aux agents de santé.

Le ministre de la Santé du Togo a lancé un appel à la vaccination contre la méningite dans la région de la Kozah du 22 au 27 octobre 2024 .Appel à la population de Kozah 

Par ailleurs, le professeur Tchin DARRE a lancé un appel pressant à la population de la Kozah à se faire vacciner. « Cette campagne est une opportunité unique de se protéger, soi-même et ses proches, contre cette maladie grave », a-t-il déclaré. Il a invité les populations à faire confiance aux agents de santé et à se référer uniquement à des sources d’information fiables.

La méningite, une menace sérieuse

La méningite est une maladie infectieuse grave qui peut entraîner des séquelles neurologiques importantes, voire le décès. La vaccination est le moyen le plus efficace de prévenir cette maladie.

En bref, cette campagne de vaccination s’inscrit dans le cadre des efforts du gouvernement pour prévenir et contrôler les épidémies de méningite, une maladie qui peut être mortelle si elle n’est pas traitée à temps. Le Ministre de la Santé, à travers cette campagne, démontre son engagement à protéger la population. Il est à espérer que cette dynamique se poursuive et que d’autres régions du pays bénéficient de programmes de vaccination aussi efficaces.

La PFPP : Les experts africains en quête de solutions

Lomé, le 22 octobre 2024 – Plus de 150 experts issus de 16 pays différents se sont réunis à Lomé à l’occasion de la 5ᵉ édition de la réunion annuelle de la communauté de pratique en santé de la reproduction. En effet, cet événement majeur, qui se tient jusqu’au 24 octobre, a pour objectif de renforcer la collaboration entre les acteurs de la santé et d’accélérer l’intégration de la planification familiale du post-partum (PFPP) dans les programmes de santé maternelle, néonatale et infantile-nutrition (SMNI-N).

Par ailleurs, les participants, issus de divers horizons professionnels, échangent leurs expériences et leurs connaissances afin de trouver des solutions innovantes pour améliorer la santé reproductive dans la région. « Cette réunion est une opportunité unique de partager les meilleures pratiques et de renforcer nos réseaux », a déclaré le représentant du ministre de la Santé lors de la cérémonie d’ouverture.

Plus de 150 experts réunis à Lomé pour améliorer la santé maternelle et infantile en Afrique en incluant la PFPP aux programmes de santé.L’intégration de la PFPP au cœur des discussions

L’une des principales thématiques de cette édition est l’intégration de la PFPP dans les programmes du SMNI-N. Les experts s’accordent à dire que cette approche est essentielle pour réduire la mortalité maternelle et infantile, améliorer la santé des mères et des enfants et contribuer ainsi à l’atteinte des Objectifs de développement durable (ODD).

« En intégrant la PFPP dans les programmes de SMNI-N, nous créons une synergie qui permet d’améliorer la santé de toute la famille », explique l’USAID. « Cela permet également de renforcer l’autonomisation des femmes et de leur donner les moyens de planifier leurs grossesses. »

Plus de 150 experts réunis à Lomé pour améliorer la santé maternelle et infantile en Afrique en incluant la PFPP aux programmes de santé.Des engagements forts pour l’avenir

Au cours de cette réunion, les participants sont appelés à élaborer des plans d’action concrets et à prendre des engagements forts pour accélérer l’intégration de la PFPP dans leurs pays respectifs. Des ateliers thématiques, des tables rondes et des séances de travail permettront de définir des stratégies efficaces et de mobiliser les ressources nécessaires. Ces engagements contribueront à accélérer les progrès vers l’atteinte des Objectifs de développement durable, notamment en matière de santé maternelle et infantile.

« Cette 5ᵉ réunion est un moment décisif pour notre communauté de pratique », souligne l’UNIFPA. « Nous devons saisir cette opportunité pour renforcer notre collaboration et accélérer le progrès vers un avenir plus sain pour toutes les mères et leurs enfants. »

Avec l’approche de l’échéance des ODD en 2030, la pression est forte pour intensifier les efforts en matière de santé reproductive. Cette réunion annuelle est une étape importante dans cette direction, démontrant la détermination de la communauté internationale à relever ce défi. En accueillant cette importante réunion, le Togo démontre son engagement en faveur de la santé de la reproduction.

Lavage des mains : un geste vital pour l’Afrique

Lomé, 15 octobre 2024 – À l’occasion de la Journée mondiale du lavage des mains, l’Association Africaine de l’Eau et de l’Assainissement (AAEA) a rappelé l’importance cruciale de ce geste simple pour la santé publique. Sous le thème « Pourquoi est-il important de se laver les mains ? » l’AAEA a mis en lumière les bénéfices considérables de cette pratique pour prévenir les maladies et protéger les communautés, en particulier en Afrique.

Le directeur exécutif de l’AAEA, Olivier Gosso, a souligné que le lavage des mains avec de l’eau et du savon reste une mesure de prévention essentielle, malgré son apparence simpliste. « En Afrique, où l’accès à l’eau potable et aux installations sanitaires est encore limité dans certaines régions, le lavage des mains pourrait réduire de manière significative le nombre de cas de maladies diarrhéiques et respiratoires », a-t-il déclaré.

Des chiffres alarmants, mais des solutions existantes

Selon Olivier Gosso, directeur exécutif de l’AAEA, le lavage régulier des mains avec de l’eau et du savon peut réduire de 40 % les infections diarrhéiques et de 21 % les infections respiratoires. Par ailleurs, les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sont éloquentes : 80 % des infections se transmettent par les mains. En Afrique subsaharienne, seulement 15 % à 25 % des individus se lavent exclusivement les mains avec du savon. Face à ces chiffres alarmants, l’AAEA mène des actions concrètes sur le terrain pour améliorer l’accès à l’eau potable et aux installations de lavage des conduites, notamment dans les zones rurales où les infrastructures sont souvent déficientes.

Les bienfaits du lavage des mains pour la santé

Les bénéfices du lavage des mains sont multiples et touchent tous les âges. Chez les enfants, cette pratique réduit considérablement le risque de diarrhée et d’infections respiratoires, deux des principales causes de décès infantiles dans le monde. Chez les adultes, elle contribue à protéger non seulement leur propre santé, mais aussi celle de leur entourage.

Le lavage des mains, un geste de solidarité

Se laver les mains est aussi un acte de solidarité. En limitant la propagation des germes, chacun contribue à réduire la charge qui pèse sur les systèmes de santé et à favoriser un environnement plus sain pour tous. Se laver les mains, c’est non seulement protéger sa propre santé, mais aussi celle de son entourage.

Comment se laver les mains efficacement ?

Pour être efficace, le lavage des mains doit durer au moins 20 secondes et se porter sur toutes les surfaces des mains, du bout des doigts aux poignets. L’utilisation de savon est essentielle pour éliminer les germes.

L’AAEA, un acteur engagé

Consciente des enjeux, l’AAEA intensifie ses efforts pour rendre le lavage des mains accessible à tous, en particulier dans les régions les plus reculées du continent. L’objectif est de faire de cette pratique un réflexe quotidien pour chaque Africain. Par ailleurs, l’association mène des campagnes de sensibilisation, forme les populations et travaille en étroite collaboration avec les autorités locales et les partenaires du secteur privé pour améliorer l’accès à l’eau potable et aux installations sanitaires.

En conclusion, le lavage des mains est un geste simple, mais essentiel pour préserver notre santé et celle de nos proches. Lors de cette Journée mondiale du lavage des mains, l’AAEA appelle chacun à adopter cette pratique au quotidien pour construire un monde plus sain pour tous.

 

Lomé : Un élan régional pour renforcer la santé communautaire

Lomé, 15 octobre 2024 – Du 14 au 17 octobre, Lomé accueille un atelier régional de grande envergure consacré à la santé communautaire dans l’espace CEDEAO. Organisé par l’Organisation ouest-Africaine de la Santé (OOAS), cet événement réunit des experts, des représentants gouvernementaux et des partenaires techniques et financiers tels que l’USAID et l’OMS, autour d’un objectif commun : renforcer les initiatives de santé communautaire au sein de la région.

 L'atelier régional de Lomé vise à harmoniser les stratégies de santé communautaire dans l'espace CEDEAO et à renforcer la coopération Une approche régionale unifiée pour une meilleure santé communautaire

L’atelier a été officiellement ouvert par le représentant du Ministre togolais chargé de la Santé et par le directeur général de l’OOAS, le Dr AÏSSI. Dans son allocution, ce dernier a souligné l’importance de développer une stratégie régionale cohérente en matière de santé communautaire. En effet, face aux défis sanitaires complexes auxquels la région fait face, une approche unifiée est essentielle pour optimiser les ressources et améliorer l’accès aux soins de santé pour tous.

Les représentants de l’USAID et de l’OMS ont abondé dans le même sens, insistant sur le rôle crucial des systèmes de santé dirigés par la communauté pour répondre efficacement aux besoins spécifiques de chaque population. Ces systèmes, qui impliquent une forte participation des communautés locales, permettent de renforcer la prévention des maladies, d’améliorer la prise en charge des patients et de favoriser l’équité en matière de santé.

Gouvernance et partenariats au cœur des discussions

Les participants ont également abordé la question de la gouvernance régionale de la santé, en soulignant la nécessité d’une coordination renforcée entre les différents acteurs impliqués. Les partenariats avec des organisations comme l’UNICEF jouent un rôle essentiel dans l’amélioration de la santé communautaire, en apportant un soutien technique et financier indispensable.

Les principaux enjeux abordés lors de cet atelier portent sur :

  • L’alignement des approches régionales de santé : comment harmoniser les stratégies et les actions des différents pays de la région ?
  • Le renforcement des systèmes de santé dirigés par la communauté : quels sont les mécanismes à mettre en place pour faire participer davantage les communautés dans la gestion de leur santé ?
  • La gouvernance régionale de la santé : comment améliorer la coordination et la collaboration entre les différents acteurs ?
  • Le rôle des partenariats : comment mobiliser les ressources et les compétences nécessaires pour atteindre les objectifs de santé communautaire ?

La session inaugurale de la conférence régionale a conclu avec l’établissement d’une feuille de route stratégique pour l’unification des politiques de santé au sein de la CEDEAO. Cette initiative vise à synchroniser les efforts de santé communautaire à travers les nations membres. Les délégués ont jeté les bases pour des délibérations futures concernant les structures de financement et les systèmes de gouvernance, avec l’objectif ultime d’améliorer l’accès universel aux services de santé. Les prochaines journées seront consacrées à l’élaboration de recommandations concrètes pour renforcer les systèmes de santé communautaire au niveau régional.

En conclusion, cet atelier régional marque une étape importante dans la construction d’une approche régionale cohérente en matière de santé communautaire. Les discussions et les échanges qui ont lieu actuellement  à Lomé permettront de définir des orientations stratégiques pour les années à venir et de renforcer la coopération entre les différents pays de la CEDEAO. Par ailleurs, les décisions de Lomé auront un impact significatif sur la vie de millions de personnes en Afrique de l’Ouest.

CAMES : Qui décrochera le titre d’agrégé ?

Lomé, le 11 octobre 2024 – L’Université de Lomé a assisté, le 10 octobre 2024, à la cérémonie d’ouverture de la 22e session du concours d’agrégation de Médecine Humaine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine Vétérinaire et Productions Animales. Par ailleurs, organisé en mode bimodal par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES), ce concours, qui s’est déroulé en ligne et en présentiel, vise à sélectionner les futurs enseignants-chercheurs de haut niveau dans les domaines de la santé.

 Le concours d'agrégation du CAMES est une étape clé pour la sélection des futurs enseignants-chercheurs de haut niveau en Afrique.En outre, cette édition regroupe 29 candidats, dont 17 de l’Université de Lomé et 12 de l’Université de Kara. De plus, ces enseignants-chercheurs, tous maîtres-assistants ou chefs de travaux pratiques, aspirent à obtenir le prestigieux titre d’agrégé.

Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le professeur Tchin Darré, a souligné l’importance de ce concours pour le renforcement des capacités des universités togolaises et pour l’amélioration de la qualité de l’enseignement supérieur dans la région. D’autre part, le président de l’Université de Lomé, le professeur Adama Mawulé Kpodar, a salué l’organisation de cet événement et souhaité bonne chance aux candidats.

 Le concours d'agrégation du CAMES est une étape clé pour la sélection des futurs enseignants-chercheurs de haut niveau en Afrique.Le concours d’agrégation du CAMES : Un enjeu majeur pour l’enseignement supérieur

Le concours d’agrégation du CAMES, qui est un sésame pour l’enseignement supérieur et la recherche, permet de garantir la qualité de l’enseignement supérieur dans les universités africaines. En plus , il favorise la mobilité académique entre les différents pays membres du CAMES.

En effet, après la présentation des titres et des travaux en ligne, les candidats retenus seront invités à se rendre à Conakry en novembre prochain pour la phase présentielle du concours. Cette dernière étape, qui comprendra des épreuves orales et écrites, permettra de sélectionner les futurs agrégés.

 Le concours d'agrégation du CAMES est une étape clé pour la sélection des futurs enseignants-chercheurs de haut niveau en Afrique.Un défi pour les candidats

Pour les 29 candidats en lice, ce concours représente un enjeu majeur. C’est l’aboutissement de plusieurs années de recherche et d’enseignement. Leur réussite permettra non seulement de renforcer leur carrière universitaire, mais également de contribuer au développement de l’enseignement supérieur dans leur pays.

En bref, les lauréats de ce concours incarneront l’avenir de la santé au Togo. Leur expertise et leur engagement seront précieux pour relever les défis sanitaires de notre pays. Nous souhaitons à tous les candidats une brillante réussite et les encourageons à poursuivre leurs efforts pour faire rayonner la recherche et l’enseignement supérieur au Togo.

Santé pour tous : Le Togo lance un centre de santé digitale

Lomé, le 10 octobre 2024 – Le Togo marque un tournant décisif dans son système de santé avec le lancement officiel des travaux de construction du Centre National de Santé Digitale (CNSD). Ce projet ambitieux, financé à hauteur de 2M$ par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), vise à réduire la mortalité maternelle et infantile, gérer les épidémies mais aussi  révolutionner l’accès aux soins de santé à travers le pays.

La pose de la première pierre préside par la Représentante Résidente du PNUD au Togo, Mme Binta Sanneh, qui a eu lieu ce jeudi, en présence du ministre de la santé Professeur Tchin DARRE marque le début d’une nouvelle ère pour la santé numérique au Togo. Ce centre, une première en Afrique de l’Ouest, aura pour mission de coordonner et de développer les activités de santé numérique à l’échelle nationale.

Grâce au financement du PNUD, le Togo entame la construction d’un centre de santé digitale pour offrir des soins de santé de qualité

Centre de santé digitale : un atout majeur pour l’accès aux soins de qualité

Le CNSD permettra d’améliorer considérablement l’accès aux soins, en particulier pour les populations des zones rurales et reculées. Grâce à des solutions innovantes comme la téléconsultation, la téléexpertise et la télésurveillance, les patients pourront bénéficier de soins de qualité, même dans les régions les plus éloignées des centres urbains. Cette initiative s’inscrit parfaitement dans le cadre de la stratégie nationale Togo Digital 2025 et vient renforcer la couverture maladie universelle, mise en place en janvier 2024.

Grâce au financement du PNUD, le Togo entame la construction d’un centre de santé digitale pour offrir des soins de santé de qualitéRenforcer la résilience du système de santé

Le CNSD jouera également un rôle clé dans la préparation du pays face aux futures crises sanitaires. En développant des systèmes de surveillance automatisés et en optimisant la gestion des ressources médicales, le Centre contribuera à améliorer la capacité de réponse du système de santé face aux épidémies et aux pandémies.

Une avancée majeure pour le Togo

Ce projet témoigne de la volonté du gouvernement togolais de mettre les technologies numériques au service de la santé de ses populations. Grâce au Centre National de Santé Digitale, le Togo se positionnera comme un leader en matière de santé numérique en Afrique de l’Ouest.

 

Togo : Le choléra frappe à nouveau

Lomé, le 4 octobre 2024 –Le Togo est confronté à une nouvelle épidémie de choléra, qui sévit particulièrement dans le district sanitaire du Golfe. Depuis le mois d’août, les cas se multiplient, suscitant l’inquiétude des autorités sanitaires.

Cette maladie diarrhéique aiguë, souvent liée à une mauvaise hygiène et à une consommation d’eau contaminée, a déjà provoqué plusieurs décès. Face à cette situation alarmante, le ministère de la Santé a rapidement réagi en déployant un plan d’urgence.

Des mesures urgentes pour endiguer l’épidémie de choléra 

Pour faire face à cette crise sanitaire, le gouvernement a mis en place plusieurs mesures :

  • Renforcement de la surveillance : Les autorités ont renforcé les systèmes d’alerte pour détecter rapidement tout nouveau cas suspect et déclencher les mesures d’intervention nécessaires.
  • Prise en charge gratuite : Les patients atteints de choléra bénéficient d’une prise en charge médicale gratuite dans les centres de santé.
  • Sensibilisation de la population : Les autorités mènent une vaste campagne d’information pour sensibiliser la population aux gestes barrières et encourager l’adoption de bonnes pratiques d’hygiène.
  • Désinfection des zones touchées : Les zones où il y a de nouveaux cas seront régulièrement désinfectées pour limiter la propagation de la bactérie.
  • Distribution de chlore : Une distribution gratuite de chlore est en cours afin de permettre aux populations de désinfecter leur eau de boisson.

Un appel à la vigilance

Par ailleurs, le Ministère de la Santé appelle la population à redoubler de vigilance et à respecter scrupuleusement les mesures d’hygiène. Il est essentiel de se laver régulièrement les mains avec de l’eau et du savon, de consommer de l’eau potable et des aliments bien cuits, et de signaler tout cas suspect aux autorités sanitaires.

Les équipes de santé mobilisent leurs efforts sur le terrain pour identifier activement les cas, isoler les patients et tracer les contacts. Ils travaillent sans relâche pour contrôler la propagation de la maladie et assurer la sécurité de la communauté. Leur action rapide et coordonnée est essentielle pour maintenir la santé publique. Les autorités sanitaires comptent sur la collaboration de tous pour endiguer cette épidémie et protéger la santé de la population.

En bref, face à cette menace, la responsabilité est collective. Les autorités sanitaires ont un rôle primordial à jouer, mais chaque citoyen doit également s’engager à adopter des comportements responsables pour protéger sa santé et celle de ses proches. En respectant les mesures d’hygiène, en se faisant vacciner lorsque cela est possible, et en encourageant notre entourage à faire de même, nous pouvons contribuer à éradiquer le choléra de notre pays.

Lomé : Le front de la lutte contre la malnutrition aiguë en Afrique

Lomé, la capitale dynamique du Togo, est devenue le théâtre d’un événement majeur dans la lutte contre la malnutrition aigüe en Afrique. Le 23 septembre 2024, sous la présidence du Ministère de la Santé et de l’hygiène Publique Togo (MSPS Togo), la ville a accueilli une formation de renforcement des capacités destinée à un groupe d’experts venus de tout le continent.

En effet, Cette initiative, qui a réuni pas moins de 70 participants, avait pour objectif de s’aligner sur les lignes directrices de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en matière de prévention et de prise en charge de cette urgence sanitaire.

Face au défi de la malnutrition aiguë, le Togo, en partenariat avec l'OMS, organise à Lomé une formation d'envergure régionaleUn plan d’action ambitieux pour éradiquer la malnutrition aiguë en Afrique

Dans le but de lutter contre la malnutrition aiguë, qui demeure un problème de santé publique majeur en Afrique, cette formation a offert aux professionnels de la santé l’opportunité d’acquérir les connaissances et les compétences requises pour une prise en charge optimale de cette pathologie. A travers des ateliers pratiques et des échanges d’expertises, les participants ont pu renforcer leurs capacités et contribuer à l’amélioration des systèmes de santé nationaux et régionaux.

L’événement a également servi de plateforme pour encourager la collaboration transfrontalière entre les pays africains dans la lutte contre la malnutrition. En partageant des stratégies réussies et en harmonisant les efforts, les participants ont souligné l’importance de l’unité et de la solidarité pour surmonter les défis communs en matière de santé publique.

Le MSPS Togo, en organisant cette formation, a non seulement démontré son engagement envers la santé et le bien-être des populations africaines, mais a aussi positionné le Togo comme un leader dans la mise en œuvre des directives de l’OMS. L’impact de cette formation se fera sentir bien au-delà des frontières du Togo, car les connaissances acquises ici seront diffusées et mises en pratique dans les communautés à travers le continent.

En conclusion, la formation de Lomé marque un pas significatif vers l’éradication de la malnutrition aigüe en Afrique. Elle incarne l’espoir d’un avenir où la santé et la prospérité sont accessibles à tous, libres des chaînes de la faim et de la malnutrition. Cet événement est un rappel puissant que, lorsque les nations s’unissent pour un objectif commun, le progrès est non seulement possible, mais inévitable.

Le ministre Tchin DARRE passe la santé aux rayons X

Lomé, le 11 septembre 2024 – Dans le souci d’améliorer la qualité des soins offerts aux populations, le ministre de la santé et de l’hygiène publique, le professeur Tchin DARRE, a effectué une tournée de prise de contact dans les régions Centrale et des Plateaux les 09 et 10 septembre derniers.

Qualité des soins : le ministre Tchin DARRE en appelle à l’engagement

Au cours de cette visite, le ministre a sillonné plusieurs centres de santé, notamment des hôpitaux, afin d’évaluer les conditions de travail des agents de santé et la qualité des services rendus aux patients. Ces échanges ont été l’occasion pour le professeur Tchin DARRE de rappeler l’importance de l’accueil chaleureux des patients, du respect de l’équité, de l’éthique et de la déontologie dans l’exercice de la profession médicale. Ces visites ont également permis d’identifier les besoins spécifiques de chaque région et de planifier des améliorations ciblées.

Le ministre Tchin DARRE en tournée dans les régions Centrale et des Plateaux : un plaidoyer pour un meilleur accueil des patientsUn moment clé de cette tournée a été les échanges fructueux entre le ministre et les agents de santé. Le Professeur DARRE a dialogué avec eux sur l’importance cruciale de leur rôle et les responsabilités inhérentes à leurs fonctions. « L’accueil dans nos centres de santé est la première impression que retiennent nos patients », a souligné le ministre. Il a insisté sur la nécessité de créer un environnement accueillant et rassurant pour tous, afin de renforcer la confiance entre les professionnels de santé et les populations.

Par ailleurs, le professeur Tchin DARRE a également évoqué l’importance de l’équité dans l’accès aux soins, rappelant que tous les citoyens, quel que soit leur statut social, doivent bénéficier des mêmes droits en matière de santé.

Cette tournée du ministre de la santé s’inscrit dans une dynamique de renforcement du système de santé au Togo. Elle témoigne de la volonté du gouvernement d’améliorer les conditions de travail des agents de santé et de garantir une prise en charge de qualité pour tous les citoyens.

Les Savanes : Tournée d’immersion du Professeur Tchin DARRE

Lomé, Togo- Dans un élan de renouveau et d’engagement, le Professeur Tchin DARRE, récemment nommé ministre de la santé et de l’hygiène publique, a lancé une série de visites dans la région des Savanes ce jeudi 5 septembre. En effet, cette initiative, dépourvue de toute fanfare habituelle, symbolise une approche pragmatique et terre-à-terre, visant à transformer le paysage sanitaire de la région.

Le nouveau ministre de la santé, Professeur Tchin DARRE, entreprend une tournée de prise de contact dans la région des Savanes,Le périple du ministre DARRE a débuté par le Centre Hospitalier Régional (CHR) de Dapaong, suivi de près par l’école de formation paramédicale de la même ville. Les Centres de Santé et de Promotion (CHP) de Mango et de Tandjoaré, ainsi que le Centre Médico-Social (CMS) de Bombouaka, figuraient également sur la liste des établissements clés visités. L’objectif déclaré de ces rencontres est de dialoguer directement avec les professionnels de santé et de comprendre les défis spécifiques auxquels ils sont confrontés.

 

Le nouveau ministre de la santé, Professeur Tchin DARRE, entreprend une tournée de prise de contact dans la région des Savanes,Le ministre DARRE a saisit l’opportunité de ces visites pour encourager le personnel à intensifier leurs efforts et leur professionnalisme. Il souligne l’importance cruciale de la qualité des soins et de l’accueil des patients pour faire progresser les standards de santé dans la région. Il considère cette tournée comme le prélude à d’importantes réformes et à des investissements stratégiques dans le secteur de la santé, espérant une amélioration concrète de la qualité de vie des habitants de la région des Savanes.

En somme, le ministre Tchin DARRE, avec cette démarche proactive, pose les jalons d’une politique de santé plus inclusive et réactive. En s’immergeant dans les réalités du terrain, il démontre une volonté de construire une stratégie sanitaire adaptée aux besoins réels de la population, marquant ainsi le début d’une ère nouvelle pour la santé publique dans la région des Savanes.

Wezou : Un succès qui se confirme au Togo

Lomé,  le 26 août 2024  – Le programme national d’accompagnement des femmes enceintes et des nouveaux-nés, Wezou, lancé en 2021, continue de porter ses fruits. Selon les dernières données dévoilées par le Premier ministre Victoire Tomégah-Dogbé lors de sa prestation de l’Assemblée nationale le vendredi dernier, près de 575 000 femmes ont réalisé de ce dispositif en trois ans, soit presque le double des chiffres précédents.

Une avancée significative qui témoigne de l’impact de cette initiative sur la santé maternelle et infantile au Togo. En prenant en charge une partie des frais de soins pour toutes les femmes enceintes, le programme Wezou a permis d’améliorer l’accès aux soins et de réduire les inégalités.

Un investissement payant

Pour mener à bien ce programme, le gouvernement a mobilisé d’importants moyens financiers. Cet investissement se révèle payant au vu des résultats obtenus. « L’ambition est de maintenir cette dynamique et de l’étendre », a souligné le Premier ministre.

Dans cette optique, le gouvernement prévoit notamment d’achever la construction d’hôpitaux mère et enfant, afin d’offrir des soins de meilleure qualité aux femmes enceintes et aux nouveaux-nés.

Un engagement fort de l’État

Le programme Wezou s’inscrit dans une volonté plus globale de l’État togolais de renforcer la protection sociale et d’améliorer les conditions de vie des populations. En mettant l’accent sur la santé maternelle et infantile, le gouvernement démontre son engagement en faveur du bien-être de tous les citoyens.

Wezou est un véritable succès. En trouvant un nombre record de bénéficiaires, il démontre son efficacité et sa pertinence. Le gouvernement togolais, conscient de l’enjeu, entend poursuivre ses efforts pour améliorer la santé maternelle et infantile.

Malgré les progrès significatifs réalisés grâce au programme Wezou, il reste encore des défis en matière de santé maternelle et infantile au Togo. Les disparités régionales, l’accès limité aux soins dans les zones rurales, la faible sensibilisation de certaines populations, ainsi que les complications liées à la grossesse et à l’accouchement demeurent des préoccupations majeures

Pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) en matière de santé, il est crucial de renforcer les infrastructures sanitaires, d’employer davantage de personnel médical, de promouvoir la planification familiale et de lutter contre les pratiques traditionnelles néfastes à la santé.

En bref , le programme Wezou constitue une avancée importante, mais il est nécessaire de poursuivre les efforts pour garantir une couverture sanitaire universelle et réduire la mortalité maternelle et infantile.

Le Professeur Tchin DARRE prend les rênes de la Santé

Lomé, le 23 août 2024 – Dans une cérémonie empreinte de solennité, le professeur Tchin DARRE a bel et bien été installé dans ses nouvelles fonctions de ministre de la Santé et de l’Hygiène publique. En effet, nommé par décret présidentiel, ce spécialiste en anatomie et cytologie pathologique succède au professeur Moustafa MIJIYAWA à la tête d’un ministère stratégique.

Un expert reconnu à la tête de la Santé

 Doyen de la faculté des sciences de la santé, le professeur DARRE est une figure respectée dans le milieu académique. Auteur d’une centaine de publications scientifiques, il apporte également au gouvernement une expertise reconnue et une vision claire pour le secteur de la santé. Par ailleurs,  sa nomination est un signal fort de la volonté politique d’accélérer les réformes et d’améliorer l’accès aux soins pour tous.

Des défis à relever, des espoirs à nourrir

 Les défis qui attendent le nouveau ministre sont nombreux : lutte contre les maladies endémiques, renforcement des infrastructures de santé, de la qualité des soins… Mais le professeur DARRE a abordé ces enjeux avec détermination. Le gouvernement attend de son expérience et de son leadership qu’ils insufflent un nouvel élan au secteur de la santé et qu’ils répondent aussi aux attentes des citoyens.

Une cérémonie sous haute surveillance 

La cérémonie d’installation, présidée par le secrétaire général du gouvernement, a été l’occasion de souligner l’importance de ce ministère dans la mise en œuvre des politiques publiques. Désormais, l’attention se porte sur le professeur DARRE, qui est chargé de jouer un rôle essentiel dans l’amélioration du bien-être de la population.

Les principaux changements attendus

 Avec l’arrivée du professeur DARRE, plusieurs changements majeurs sont à envisager dans le secteur de la santé :

  • Un focus étendu sur la recherche : Le nouveau ministre devrait encourager la recherche médicale et favoriser le transfert de technologie.
  • Une de l’accès aux soins : L’objectif est de rendre les soins de santé plus accessibles à tous, notamment dans les zones rurales.
  • Une lutte renforcée contre les maladies : Le professeur DARRE devra faire face à des défis sanitaires importants, tels que les maladies infectieuses et les maladies chroniques.

En bref, la nomination du professeur Tchin DARRE marque un tournant pour le secteur de la santé. Son expertise, son engagement et sa vision sont autant d’atouts pour relever les défis qui attendent le pays. Les prochaines années s’annoncent déterminantes pour l’avenir de la santé publique au Togo .

Togo : Un bouclier sanitaire contre les pandémies

 Lomé, le 19 août 2024 – Une nouvelle ère s’ouvre pour la santé publique au Togo. Grâce à un projet ambitieux soutenu par le fonds de lutte contre les pandémies, le pays renforce ses capacités à prévenir et à gérer les crises sanitaires.

Ce projet d’une durée de trois ans, annoncé par le ministre de la Santé, le professeur Moustafa MIJIYAWA, en collaboration avec son collègue Jean-Marie TESSI, s’aligne sur les stratégies nationales et la vision du gouvernement pour le Togo à l’horizon 2025.

Une approche holistique pour une santé durable

Le projet vise à institutionnaliser des approches intégrées de santé publique, conformément à la philosophie « Une seule santé », qui reconnaît l’interconnexion entre la santé humaine, animale et environnementale. Cette approche holistique est essentielle pour anticiper et contrer efficacement les menaces sanitaires émergentes. En adoptant cette stratégie, le Togo se positionne comme un modèle dans la région, en mettant l’accent sur la prévention, la surveillance et la réactivité face aux crises sanitaires.

Des objectifs ambitieux contre les pandémies

L’initiative est le résultat d’une collaboration étroite entre divers ministères et partenaires internationaux, reflétant l’engagement du Togo à travailler de manière transversale pour la santé et le bien-être de ses citoyens. Avec ce projet, le Togo espère non seulement améliorer sa capacité à répondre aux urgences sanitaires mais aussi renforcer les systèmes de santé locaux pour les rendre plus résilients et adaptés aux défis futurs.

Le Togo lance un vaste programme pour améliorer sa préparation et sa réponse aux pandémies, en adoptant une approche globale de la santé.Un investissement pour l’avenir

Le financement accordé par le fonds de lutte contre les pandémies témoigne de la confiance de la communauté internationale dans la capacité du Togo à mettre en œuvre des actions efficaces en matière de santé publique. Le ministre MIJIYAWA a exprimé sa gratitude pour ce soutien, affirmant que cet investissement permettra au pays de renforcer sa résilience face aux chocs sanitaires et de contribuer à la réalisation des Objectifs de développement durable.

Un modèle pour la région

En adoptant une approche globale et innovante, le Togo se positionne comme un modèle pour les autres pays de la région. Cette initiative permettra non seulement d’améliorer la santé de la population togolaise mais également de renforcer la coopération régionale en matière de santé.

Les défis à relever

Si ce projet est ambitieux, il ne sera pas sans défis. Le Togo devra notamment faire face à des contraintes financières, humaines et logistiques. Cependant, la détermination du gouvernement et le soutien de ses partenaires permettent d’envisager un avenir plus sûr pour la santé de tous les Togolais.

En conclusion, le lancement de ce projet est une excellente nouvelle pour le Togo. Il témoigne de la volonté du gouvernement de placer la santé de sa population au cœur de ses priorités. En adoptant une approche globale et en s’appuyant sur le soutien de ses partenaires, le Togo est en bonne voie pour devenir un pays plus sain et plus résilient.

 

Le Togo renforce sa surveillance face à la menace du Mpox

Face à la propagation mondiale du Mpox, anciennement connu sous le nom de variole du singe, le Togo a décidé de renforcer sa surveillance épidémiologique. Cette mesure préventive, annoncée par le ministère de la Santé le 15 août dernier, vise à détecter tout cas suspect au plus tôt et à limiter la propagation de cette maladie virale contagieuse.

La menace du Mpox

Le Mpox, classé comme urgence de santé publique de portée internationale par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), se transmet principalement par contact étroit avec des lésions cutanées, des fluides corporels infectés ou des objets contaminés. Les symptômes les plus courants incluent une éruption cutanée, de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et des ganglions lymphatiques enflés.

Le Togo reste vigilant

Le ministère de la Santé du Togo n’a signalé aucun cas à ce jour mais appelle la population à rester vigilante. Les autorités sanitaires ont renforcé la surveillance aux points d’entrée du pays et mis en place des mesures de prévention à l’échelle nationale.

Conseils pour se protéger

Pour se protéger du Mpox, les experts recommandent de suivre certaines mesures préventives:

  • Se laver régulièrement les mains avec de l’eau et du savon ou un désinfectant.
  • Éviter tout contact étroit avec des personnes présentant des symptômes.
  • Ne pas toucher les animaux malades ou morts.
  • Consultez rapidement un professionnel de santé en cas de suspicion.

Une prise en charge efficace

Le ministère de la Santé annonce que les patients peuvent guérir du Mpox lorsque la maladie est détectée et traitée tôt.. Il encourage donc toute personne présentant des symptômes compatibles avec le Mpox à consulter rapidement un centre de santé.

En conclusion, le Togo, tout en restant vigilant, met tout en œuvre pour prévenir la propagation du Mpox. Grâce à une surveillance renforcée et à une sensibilisation accrue de la population, le pays est en mesure de faire face à cette menace sanitaire.

Togo : Un nouvel outil pour améliorer la santé maternelle et infantile

Lomé, le 13 août 2024 – Le Togo franchit une nouvelle étape dans l’amélioration de la santé de sa population. Le ministère de la Santé, en partenariat avec l’OMS et d’autres acteurs clés, vient de lancer effectivement la carte de score SRMNIA. Cet outil innovant permettra de suivre de près les progrès réalisés en matière de santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile et de nutrition, et d’adapter les stratégies en conséquence.

Le Togo lance une carte de score pour améliorer la santé maternelle et infantile, un outil innovant pour suivre les progrès

Un outil pour la santé publique

Concrètement, cette carte de score est un tableau de bord qui permet de visualiser en temps réel les avancées et les défis rencontrés dans le domaine de la santé. Grâce à des indicateurs clés, les décideurs politiques, les professionnels de santé et les partenaires techniques pourront :

  • Identifier les points forts et les faiblesses du système de santé : En mettant en évidence les réussites et les domaines à améliorer, la carte de score permet de cibler les interventions.
  • Optimiser l’allocation des ressources : Les données fournies par la carte de score indiquent à orienter les investissements vers les zones les plus prioritaires.
  • Renforcer la redevabilité : En rendant publiques les performances, la carte de score encourage une meilleure gestion des programmes de santé.

Le Togo lance une carte de score pour améliorer la santé maternelle et infantile, un outil innovant pour suivre les progrès

Un engagement fort pour la santé de tous

Ce lancement s’inscrit dans une dynamique plus large de renforcement des systèmes de santé au Togo. Il témoigne de la volonté du gouvernement de répondre aux Objectifs de développement durable des Nations Unies et d’améliorer la qualité de vie des populations, en particulier les plus vulnérables.

Les défis restent nombreux, mais la carte de score SRMNIA offre un nouvel outil pour y faire face. En combinant les efforts de tous les acteurs, le Togo pourra avancer vers une couverture sanitaire universelle et une meilleure santé pour tous.

Alerte santé : un cas de choléra maîtrisé à Vo

Dans le district sanitaire de Vo, Les autorités sanitaires togolaises ont confirmé un nouveau cas de choléra. Face à cette situation, le ministère de la Santé a mis en œuvre un plan d’urgence comprenant :

Le ministère de la Santé a immédiatement renforcé les systèmes d’alerte précoce dans toute la région et a assuré la gratuité des soins pour les personnes affectées. Parallèlement, le ministère  a lancé une campagne de sensibilisation pour informer les citoyens sur les mesures d’hygiène essentielles à respecter.

Par ailleurs, Le ministre de la Santé, Moustafa Mijiyawa, a exhorté la population à une vigilance accrue et à l’adoption de comportements préventifs tels que le lavage régulier des mains avec de l’eau et du savon, la cuisson complète des aliments, et la protection de la nourriture contre les contaminants.

Le choléra se caractérise par une diarrhée sévère et peut se transmettre par l’ingestion d’eau ou d’aliments contaminés. En plus , les symptômes incluent une diarrhée liquide intense, des vomissements et des douleurs abdominales. La dernière flambée de choléra dans la région remonte à la fin de l’année 2023, soulignant l’importance de la prévention et de la réactivité des services de santé.

Les autorités continuent de surveiller la situation et de rechercher d’autres cas potentiels dans la communauté. Elles rappellent l’importance de traiter l’eau de pluie et de citerne avant utilisation et de désinfecter les fruits et légumes.

Ces mesures, bien que simples, sont cruciales pour prévenir la propagation de cette maladie et protéger la santé publique. La réponse proactive du ministère de la Santé témoigne de l’engagement du gouvernement à garantir la sécurité sanitaire de ses citoyens.

Le Togo lutte contre les maladies parasitaires

Lomé, le 8 août 2024 – Le ministère de la Santé a donné le coup d’envoi d’une campagne nationale de traitement de masse contre l’onchocercose, la bilharziose et les vers intestinaux. En effet, cette initiative, qui se déroulera jusqu’au 17 août prochain, vise à protéger la santé de millions de Togolais.

Un traitement gratuit pour tous

Durant cette période, des équipes d’agents de santé déploieront leurs efforts sur tout le territoire pour administrer des médicaments gratuitement à la population. L’initiative prévoit de donner de l’Albendazole aux enfants âgés de 5 à 14 ans pour combattre les infections par les vers intestinaux. De plus, les individus de 5 ans et plus se verront administrer du praziquantel afin de traiter la bilharziose, affection reconnue par l’excrétion de sang dans l’urine. L’ivermectine, quant à elle, sera distribuée pour combattre l’onchocercose.

Une mobilisation nationale

Le ministre de la Santé, Moustapha Mijiyawa, a appelé la population à participer massivement à cette campagne : « Nous comptons sur la collaboration de tous pour éradiquer ces maladies qui concernent notre santé et notre bien-être. J’exige à chacun d’accueillir favorablement les agents de santé et de suivre leurs recommandations. »

Le Togo, un modèle en matière de santé publique

En somme, cette nouvelle campagne, organisée avec le concours des partenaires (OMS et USAID), s’inscrit dans la continuité des efforts déployés par le Togo pour lutter contre les maladies tropicales négligées. L’activité se conclura le 17 août. En reconnaissance de ses réalisations, notamment l’élimination de quatre maladies tropicales négligées, le pays a reçu une récompense de l’Organisation mondiale de la santé en 2022.

Togo : Des équipements médicaux de pointe pour sauver des vies

Lomé, 02 août 2024-  Le Togo franchit une nouvelle étape dans sa quête d’une couverture sanitaire universelle. Le jeudi 1er août, le ministre de la Santé, Moustafa Mijiyawa, a procédé à la réception d’un important lot d’équipements médicaux, financé par la Banque mondiale. Cet investissement de près de 20 milliards de FCFA marque un tournant décisif dans la modernisation des infrastructures sanitaires du pays.

Le Togo franchit une nouvelle étape vers la couverture sanitaire universelle avec l'arrivée de nouveaux équipements.Le détail des équipements médicaux 

Ce don comprend un large éventail d’équipements médicaux de dernière génération, soigneusement sélectionnés pour répondre aux besoins spécifiques du système de santé togolais. Parmi eux, on retrouve :

  • 7 ambulances médicalisées entièrement équipées pour assurer des transports sanitaires d’urgence dans les meilleures conditions.
  • Près de 8 000 lits d’hospitalisation et d’accouchement pour améliorer l’accueil et les conditions de séjour des patients, en particulier des femmes enceintes.
  • Des centaines d’appareils de radiodiagnostic mobiles numérisés facilitant le diagnostic et le suivi des patients, même dans les zones les plus reculées.
  • Des équipements informatiques pour renforcer la gestion des données de santé et améliorer la coordination entre les différents acteurs du système.
  • Des équipements spécialisés destinés à renforcer les capacités des services de soins intensifs, de néonatologie, etc.
  • 200 motos tout-terrain pour faciliter la mobilité des agents de santé communautaire et renforcer la surveillance épidémiologique.

L’impact attendu grâce à ces nouveaux équipements

Cette dotation en équipements de pointe va permettre d’améliorer significativement la qualité des soins délivrés à la population togolaise, en particulier dans les zones rurales où l’accès aux services de santé reste limité.

Cet investissement vise à transformer le paysage de la santé au Togo. En améliorant les soins prénatals, les accouchements et les soins postnatals, il réduira la mortalité maternelle et infantile. Il améliorera également la gestion des maladies chroniques, y compris le diabète, l’hypertension artérielle et les maladies cardiovasculaires, grâce à une meilleure prise en charge.

De plus, cet investissement renforcera la surveillance épidémiologique et améliorera la capacité de réponse aux épidémies. Enfin, il garantira un accès équitable aux soins de santé pour tous les Togolais, indépendamment de leur emplacement géographique ou de leur statut social, assurant ainsi une couverture sanitaire universelle.

Les enjeux de la mise en œuvre

Pour garantir le succès de ce projet, il est crucial de former activement le personnel de santé aux nouvelles technologies et pratiques médicales. En plus, l’élaboration et l’application d’un plan de maintenance minutieux sont impératives pour maintenir la fonctionnalité et prolonger la durée de vie des équipements.

Finalement , une coordination efficace entre les divers intervenants du système de santé est essentielle pour maximiser les bénéfices de ces avancées technologiques. Ces actions concertées sont les piliers sur lesquels repose la réussite du projet, assurant ainsi une amélioration significative de la qualité des soins de santé.

En conclusion, cette nouvelle étape de réalisation marque une avancée majeure dans la couverture sanitaire universelle au Togo. En renforçant les capacités des structures de santé et en améliorant la qualité des soins, le gouvernement togolais, soutenu par ses partenaires, pose les fondements d’un système de santé plus performant et plus équitable.

Togo : 980 opportunités pour devenir soignant !

Lomé, le 30 juillet 2024 – Le gouvernement togolais vient de lancer un appel à candidatures sans précédent pour renforcer les effectifs de son secteur de la santé. Trois établissements d’enseignement supérieur, piliers de la formation des professionnels de santé, ouvrent leurs portes à de nouvelles promotions : l’École Nationale des Auxiliaires Médicaux (ENAM), l’École Nationale des Sages-Femmes (ENSF) et l’École Nationale des Aides Sanitaires (ENAS).  

980 nouvelles recrues sont attendues pour répondre aux besoins croissants en personnel qualifié dans des domaines aussi variés que la kinésithérapie, l’ophtalmologie, la sage-femme et les soins infirmiers. Une opportunité en or pour les jeunes Togolais, âgés de 18 à 40 ans, désireux de s’engager au service de la santé de leurs compatriotes.

Un accès équitable à l’ensemble du territoire

Pour garantir l’équité et faciliter les inscriptions, les concours d’entrée se dérouleront le 6 septembre 2024 dans six centres d’examen répartis sur toute l’étendue du territoire : Dapaong, Kara, Sokodé, Atakpamé, Tsévié et Lomé. Par ailleurs, les candidats peuvent dès à présent retirer les dossiers d’inscription, disponibles à partir du 29 juillet et ce jusqu’au 30 août à 17 heures. Le quotidien national « Togo Presse » publie tous les détails concernant les conditions d’accès et les pièces à fournir.

980 opportunités : Un investissement pour l’avenir

Cette initiative gouvernementale témoigne de la volonté politique de doter le pays d’un système de santé performant et accessible à tous. En formant une nouvelle génération de professionnels de santé qualifiés, les autorités visent à améliorer la qualité des soins, à réduire les disparités en matière d’accès aux services de santé et à atteindre les Objectifs de développement durable en matière de santé.

En somme, les futurs diplômés de ces écoles joueront un rôle clé dans la mise en œuvre des politiques publiques de santé et contribueront à renforcer la résilience du système de santé face aux défis actuels et futurs.

INAM : Campagne de santé et sensibilisation à l’AMU dans la Kara

Kara, Togo – 17 juillet 2024 – Dans le cadre de son engagement continu en faveur de la santé publique, l’Institut national d’assurance maladie (INAM) a lancé une campagne de consultations médicales gratuites dans la région de la Kara. Cette initiative, qui se déroule du 13 au 21 juillet, vise à offrir des soins de santé essentiels aux populations vulnérables et à sensibiliser à l’importance de l’assurance maladie universelle (AMU).

Un accès aux soins pour tous grâce à la Campagne de santé et sensibilisation 

Menée en collaboration avec les autorités locales et les prestataires de santé, la campagne offre aux habitants de la Kara des consultations médicales gratuites, des tests de dépistage pour l’hypertension artérielle et le diabète, ainsi que des conseils précieux sur la santé. Cette initiative s’inscrit dans la continuité d’une campagne similaire organisée dans le Grand Lomé en mai dernier, réaffirmant l’engagement de l’INAM à garantir un accès équitable aux soins de santé pour tous les Togolais.

Au-delà du geste charitable : une démarche stratégique

L’objectif de l’INAM va au-delà de la simple prestation de soins médicaux. En effet, la campagne permet également de collecter des données sanitaires précieuses sur les populations vulnérables. Ces informations seront analysées afin d’optimiser le régime d’assistance médicale en cours de mise en œuvre dans le cadre du projet AMU. En outre, cette démarche stratégique vise à renforcer les fondements d’un système de santé plus inclusif et efficace, répondant aux besoins spécifiques des populations les plus fragiles.

Campagne de santé et sensibilisation : Un pas vers une assurance maladie universelle

Par ailleurs, la campagne de Kara s’inscrit dans la vision à long terme de l’INAM d’étendre la couverture de l’assurance maladie universelle sur l’ensemble du territoire togolais. En renforçant sa présence sur le terrain et en nouant des liens de confiance avec les communautés locales, l’INAM pose aussi les jalons d’un avenir où chaque Togolais aura accès à des soins de santé de qualité, soutenus par un système d’AMU robuste. et solidaire.

Finalement, l’initiative de l’INAM à Kara constitue un exemple concret de l’engagement de l’institution à améliorer la santé des populations togolaises. En combinant soins médicaux, prévention, éducation et recherche de données, l’INAM démontre ainsi qu’il est possible de construire un système de santé plus juste et performant, au service du bien-être de tous. Cette campagne est un modèle à suivre pour d’autres institutions et acteurs du secteur de la santé, tant au Togo qu’à l’échelle internationale.

Togo : L’AMU et la lutte contre les épidémies au cœur du renforcement du système de santé

Lomé, 11 juillet 2024 – La deuxième réunion du Comité National de Coordination du Secteur de la Santé (CNC-SS), tenue ce jour sous la coprésidence des Ministres Mijiyawa Moustafa et Jean-Marie TESSI, a marqué une nouvelle étape importante dans le renforcement du système de santé togolais. Cette session virtuelle a réuni les principaux acteurs du secteur sanitaire et divers partenaires pour examiner les progrès réalisés et définir les orientations futures.

L’Assurance Maladie Universelle (AMU) au cœur des discussions

Trois mois après son lancement effectif, l’AMU a fait l’objet d’une évaluation approfondie lors de la réunion. Les premiers résultats ont été analysés et des recommandations formulées pour optimiser sa mise en œuvre et garantir un accès équitable aux soins de santé pour tous les citoyens togolais. L’AMU constitue un pilier majeur de la stratégie du Togo pour atteindre la couverture sanitaire universelle et améliorer la santé de sa population.

Le Togo renforce son système de santé en mettant l'accent sur l'Assurance Maladie Universelle (AMU), la lutte contre les épidémiesTransfusion sanguine et lutte contre les épidémies : des priorités majeures

La réunion a également traité de la question de la transfusion sanguine. Les participants ont examiné les performances actuelles du système et ont tracé les perspectives d’avenir pour garantir un accès sûr et durable aux produits sanguins. La gestion de l’épidémie de rougeole a également fait l’objet d’une attention particulière. La discussion a aussi porté sur le plan national de surveillance intégrée des maladies et de réponse aux épidémies 2024-2026, dans le but de renforcer la prévention et le contrôle de cette maladie transmissible.

Suivi des progrès et renforcement des systèmes de santé

Cette deuxième réunion du CNC-SS s’inscrit dans la continuité de la première session tenue le 28 février dernier. Elle a permis de suivre les recommandations émises précédemment et d’analyser le rapport annuel de performance de 2023. Ce rapport a mis en lumière les principaux résultats obtenus dans le domaine de la santé au cours de l’année écoulée, permettant d’identifier les points forts et les axes d’amélioration.

Le Togo renforce son système de santé en mettant l'accent sur l'Assurance Maladie Universelle (AMU), la lutte contre les épidémiesAMU: Un engagement fort pour une meilleure santé publique

Le CNC-SS joue un rôle crucial dans l’orientation des politiques de santé au Togo. Il assure une coordination efficace entre les différents niveaux du système sanitaire et implique activement les partenaires nationaux et internationaux. L’engagement continu du comité pour l’amélioration de la santé publique se reflète dans les efforts déployés pour renforcer les systèmes de santé, notamment à travers l’AMU et la lutte contre les épidémies.

En plus, la réunion a souligné l’importance de la surveillance continue et de l’évaluation des programmes de santé pour une réponse proactive aux défis sanitaires. Les discussions ont mis en évidence la nécessité d’une collaboration étroite entre le gouvernement, les professionnels de la santé et les partenaires internationaux pour atteindre les objectifs de santé nationaux et internationaux.

Le Togo sur la voie d’un système de santé résilient

En somme, le Togo poursuit ses efforts pour un système de santé performant et accessible à tous. L’AMU constitue une avancée majeure vers la couverture sanitaire universelle. Les travaux du CNC-SS et de ses partenaires sont essentiels pour bâtir un système de santé résilient et réactif, capable de répondre aux besoins de la population togolaise et de faire face aux urgences sanitaires. La prochaine réunion du comité sera également une étape importante pour évaluer les progrès réalisés et définir la feuille de route pour l’avenir de la santé au Togo.

Le Togo, un modèle de progrès en matière de santé publique

Lomé, 05 juillet 2024 – Le Togo s’impose comme un modèle de progrès en matière de santé publique, affichant une transformation remarquable au cours des dernières années. Cette performance saluée par le Rapport sur le développement humain 2023/2024 du PNUD positionne le pays comme un leader en Afrique de l’Ouest.

Accessibilité aux soins en forte hausse : un bond de 19 points en 3 ans

L’un des changements les plus notables réside dans l’augmentation significative de l’accessibilité aux soins médicaux. En 2020, seulement 71% de la population togolaise avait accès aux services de santé de base. Grâce à des politiques publiques volontaristes et des initiatives ambitieuses, ce chiffre a bondi à 90,7 % en 2023. Cette progression remarquable de 19 points en trois ans témoigne de l’engagement du gouvernement togolais à placer la santé au cœur de ses priorités.

Le programme Wezou : un succès indéniable pour la santé maternelle et infantile

Le programme Wezou, lancé par le chef de l’État, illustre parfaitement l’impact positif des politiques ciblées. Ce programme a permis à plus de 400 000 femmes enceintes de bénéficier de soins prénataux, avec plus de 221 000 accouchements enregistrés. Une réussite qui démontre l’efficacité de cette initiative dans la protection de la santé maternelle et infantile.

Santé publique : Renforcement du personnel médical et modernisation des infrastructures

Parallèlement à l’amélioration de l’accessibilité, le Togo investit également dans le renforcement de son personnel médical. Plus de 2 500 professionnels de la santé ont été recrutés, contribuant ainsi à garantir la qualité et l’efficacité des soins. De plus, le pays a entreprend un vaste programme de construction et de rénovation d’infrastructures sanitaires. Un hôpital national de référence et six hôpitaux mère-enfant ont été construits dans différentes régions, dont trois sont déjà opérationnels.

Des projets d’envergure pour un accès universel aux soins

Le projet de Services de santé essentiels de qualité pour couverture sanitaire universelle (SSEQCU), doté d’un budget de 40 milliards de FCFA, a joué un rôle crucial dans l’amélioration de l’accès aux soins. Il a permis la création de 86 nouvelles formations sanitaires et la rénovation de 60 autres, ainsi que la mise en place de 47 Unités de soins périphériques (USP), étendant ainsi la portée des services de santé à des populations auparavant sous-desservies.

Le Projet de réhabilitation et d’équipement des centres de santé préfectoraux et régionaux (7, 36 milliards de FCFA) et le Projet Ellipse (67 milliards de FCFA) consacrés à la réhabilitation des CHU de Lomé et de Kara illustrent également l’engagement continu du Togo à moderniser ses infrastructures de santé.

Santé publique : Un modèle à suivre pour l’Afrique de l’Ouest

Les efforts collectifs déployés par le Togo ont non seulement permis d’améliorer l’Indice de développement humain (IDH) du pays, mais ont également positionné le Togo comme un leader en matière de politique de santé publique en Afrique de l’Ouest. En somme, le pays démontre qu’avec une vision claire, des investissements stratégiques et une volonté politique affirmée, il est possible de réaliser des avancées significatives dans la lutte pour l’accès universel aux soins de santé de qualité.

Lomé : Le Forum Pharmaceutique International sonne l’heure de l’accès universel aux soins en Afrique

Lomé, 4 juillet 2024 – La capitale togolaise bouillonne d’effervescence à l’occasion du 23ème Forum Pharmaceutique International, qui se tient du 4 au 6 juillet 2024. Rassemblant près de 1500 professionnels de santé issus de divers horizons, ce rendez-vous majeur s’impose comme une plateforme cruciale pour débattre des enjeux et perspectives du secteur pharmaceutique africain, avec un accent particulier sur l’accès universel aux soins.

Forum Pharmaceutique International: Un thème d’actualité au cœur des préoccupations

Placé sous le thème « Accès universel aux soins, défis, enjeux et perspectives pour le secteur pharmaceutique », le forum s’inscrit dans une dynamique continentale visant à garantir une santé accessible à tous. Les discussions porteront sur des sujets d’une importance capitale tels que :

  • L’innovation dans la production de médicaments
  • La régulation des marchés pharmaceutiques
  • L’éducation et la formation des professionnels de la santé
  • Les partenariats stratégiques pour une meilleure distribution des médicaments

Le Togo, un terreau fertile pour l’innovation et la collaboration

Le choix de Lomé comme ville hôte n’est pas fortuit. En effet, le Togo s’illustre par ses efforts remarquables en matière d’accès aux soins de santé, faisant de cet enjeu une priorité nationale. Cet engagement fort est réaffirmé par le Dr Koundé Innocent Kpeto, ancien président de l’Ordre national des pharmaciens du Togo, qui souligne l’importance du forum pour le pays : « Il s’agit également d’une occasion en or pour le Togo de démontrer son engagement envers la couverture santé universelle et de partager ses expériences avec d’autres nations africaines .

Par ailleurs, le forum offre une scène unique aux jeunes chercheurs et aux startups du domaine pharmaceutique pour présenter leurs travaux et innovations. Des ateliers et des séances de réseautage dédiés faciliteront les échanges entre les différents acteurs du secteur et encourageront la collaboration transfrontalière.

Forum Pharmaceutique International : Un symbole d’espoir pour l’avenir de la santé en Afrique

Au-delà d’un simple rassemblement professionnel, le 23ème Forum Pharmaceutique International apparaît aussi comme un symbole d’espoir et de progrès pour l’avenir de la santé en Afrique. En plus, avec la participation d’experts renommés et de personnalités éminentes, cet événement promet d’impulser une dynamique positive et de marquer un tournant décisif dans la quête d’un accès universel aux soins de santé sur le continent.

En somme, le forum s’annonce comme un succès persistant, contribuant à façonner un avenir meilleur pour les populations africaines et à concrétiser le droit fondamental à la santé pour tous.

Dengue : le Togo de nouveau sous la menace

Lomé, 28 juin 2024 – Le ministère togolais de la Santé et de l’Hygiène Publique a signalé la présence de cas de dengue au cours du deuxième trimestre de l’année. En effet, cette annonce met en garde contre la résurgence de cette maladie infectieuse et réaffirme la nécessité d’une vigilance accrue et d’une implication communautaire pour freiner sa propagation.

Mobilisation contre la dengue

Face à cette situation, les autorités sanitaires ont réactivé leur protocole de lutte contre la dengue. La notification rapide des cas, la sensibilisation des populations et les enquêtes épidémiologiques sont au cœur de la stratégie de riposte.

Prévenir pour mieux combattre

Le ministère appelle l’ensemble de la population à adopter des mesures préventives simples mais efficaces pour réduire les risques de transmission de la dengue. L’utilisation de moustiquaires, le port de vêtements longs, l’élimination des gîtes larvaires et l’assainissement du cadre de vie sont des gestes essentiels pour se protéger.

Une prise en charge rapide est essentielle

Par ailleurs, le ministre Moustafa Mijiyawa a exhorté les personnes présentant des symptômes tels que de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, des nausées, des vomissements ou des éruptions cutanées à consulter immédiatement un médecin. Un diagnostic et une prise en charge précoces sont indispensables pour éviter les complications graves de la maladie.

Lutte collective contre une menace régionale

La dengue, transmise par les moustiques Aedes, vecteurs également responsables du Zika, de la fièvre jaune et du chikungunya, constitue un défi majeur de santé publique en Afrique de l’Ouest. Le Togo, conscient de cette menace, réaffirme son engagement à protéger ses citoyens et appelle à une collaboration internationale renforcée pour endiguer la propagation de cette maladie.

Le Togo en première ligne contre la drépanocytose

Lomé, le 19 juin 2024 – En ce jour de la Journée internationale de lutte contre la drépanocytose, le Togo réaffirme son engagement ferme dans la lutte contre cette maladie qui touche environ 16% de sa population. A Kpalimé, épicentre des manifestations officielles, sensibilisation et dépistage gratuits rythment la journée pour informer et protéger les populations.

Le Centre national de recherche et de soins aux drépanocytaires au cœur de la lutte

Véritable pilier de la lutte contre la drépanocytose au Togo, le Centre national de recherche et de soins aux drépanocytaires, dirigé par le Dr Hèzouwè Magnang, hématologue de renom, offre aux populations, notamment aux jeunes, des séances de sensibilisation et un dépistage gratuit. Une action saluée par FORTIS HEALTHCARE LIMITED, entreprise indienne spécialisée dans la lutte contre la drépanocytose, lors de sa récente visite au Togo.

Un partenariat prometteur avec FORTIS HEALTHCARE LIMITED pour lutter contre la drépanocytose

Fortement impressionnée par les progrès réalisés, notamment grâce au programme de dépistage néonatal de 50 000 nouveau-nés, FORTIS HEALTHCARE LIMITED a proposé un partenariat au Togo. Ce dernier, axé sur le dépistage et des traitements adaptés à moindre coût, a été accueilli avec enthousiasme. Des discussions entre les professionnels togolais, indiens et américains sont également en cours pour définir les modalités de cette collaboration prometteuse.

Des besoins exprimés et des perspectives encourageantes

Lors de leur rencontre au CHU-SO, les professeurs Jules Guedenon et Adama Gbadoe, du service de pédiatrie, ont souligné la nécessité de mécanismes de diagnostic avancés et de soins plus abordables pour les patients drépanocytaires. Par ailleurs, Les professionnels des trois pays envisagent des échanges virtuels réguliers pour discuter des cas cliniques et faire progresser la recherche.

Le Togo, un modèle de lutte contre la drépanocytose

L’engagement du Togo et ses partenariats internationaux illustrent la volonté collective d’améliorer la prise en charge des patients drépanocytaires. En somme, les progrès significatifs réalisés et les perspectives encourageantes dessinent un avenir plus radieux pour les personnes touchées par cette maladie.

Plan National de Sécurité Sanitaire : Le Togo passe à l’évaluation interne

Lomé, 18 juin 2024 – Le Togo s’engage résolument à renforcer sa sécurité sanitaire en lançant aujourd’hui une session d’évaluation interne cruciale. en effet, cette initiative, menée en collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), vise à examiner l’efficacité des capacités du Règlement Sanitaire International (RSI) dans la détection et la réponse rapide aux menaces sanitaires.

Une évaluation proactive avant l’évaluation externe conjointe

Cette évaluation interne revêt une importance particulière puisqu’elle précède l’évaluation externe conjointe du RSI 2005, prévue pour août 2024. Par ailleurs, elle offre au Togo une occasion unique de procéder à une autoévaluation approfondie de son Plan National de Sécurité Sanitaire (PANSS), un document stratégique qui guide la gestion des risques sanitaires dans le pays.

Identifier les lacunes et les opportunités d’amélioration

En outre, le processus d’évaluation interne et externe est essentiel pour identifier les lacunes, les défis et les opportunités d’amélioration dans la préparation et la réponse aux urgences sanitaires. Les résultats de ces évaluations seront déterminants pour l’élaboration du nouveau PANSS, qui définira le cadre d’action du Togo pour garantir une meilleure protection de la santé de sa population contre les menaces de maladies émergentes et réémergentes.

Le Togo lance une évaluation interne de son système sanitaire pour renforcer sa capacité à faire face aux menaces de santé.Un soutien international pour une sécurité sanitaire renforcée

Le soutien du Pandemic Fund à cette session d’évaluation témoigne de l’engagement international envers la sécurité sanitaire mondiale. Ce fonds, destiné à soutenir les pays dans leur préparation et leur réponse aux pandémies, souligne l’importance d’une collaboration transfrontalière et multisectorielle pour faire face aux crises sanitaires.

Vers un Togo plus résilient face aux défis sanitaires du 21ème siècle

En somme, cette session d’évaluation marque une nouvelle étape dans le renforcement de la résilience du Togo face aux défis sanitaires du 21ème siècle. Elle démontre l’engagement du pays à adhérer aux normes internationales et à travailler main dans la main avec ses partenaires pour une santé mondiale plus sûre et plus durable.