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Lomé, 05 juillet 2024 – La cascade de Souroukou, trésor naturel niché dans la préfecture de Mô au Togo, s’apprête à vivre une métamorphose spectaculaire. Un ambitieux projet de valorisation touristique, soutenu par le ministère du Tourisme et les communautés locales, promet de faire de cette merveille naturelle un pôle d’attraction majeur.

La cascade de Souroukou a un potentiel exceptionnel à exploiter

Considérée comme la plus grande cascade d’Afrique de l’Ouest, Souroukou recèle un potentiel touristique inestimable. Le projet de valorisation, élaboré avec l’appui d’experts locaux, vise à mettre en lumière ce joyau caché et à en faire une destination incontournable pour les visiteurs du Togo et d’ailleurs.

Par ailleurs, des travaux d’aménagement sont prévus pour embellir le site et faciliter l’accès à la cascade. Ces améliorations comprendront la construction de sentiers pédestres, de belvédères et d’aires de repos, permettant aux visiteurs de profiter pleinement de la beauté spectaculaire des lieux.

Un développement durable au profit des communautés locales

Au-delà de l’aspect touristique, le projet met l’accent sur les retombés positives pour les populations locales. L’objectif est de stimuler l’économie locale en créant des opportunités d’emploi dans les domaines de l’hôtellerie, de la restauration, de l’artisanat et de l’encadrement touristique. Le tourisme permettra également une répartition équitable des revenus, ce qui contribuera à améliorer les conditions de vie des résidents.

En plus, les habitants de la préfecture de Mô accueillent le projet avec un enthousiasme débordant. Ils voient une occasion unique de valoriser leur patrimoine naturel et de participer activement au développement économique de leur région.

Une nouvelle ère pour le tourisme togolais grâce la cascade de Souroukou

Avec le début des travaux imminent, la cascade de Souroukou s’apprête à devenir une étape incontournable du circuit touristique togolais. En somme, ce projet illustre la volonté du gouvernement de promouvoir un tourisme durable et responsable, soucieux de préserver l’environnement tout en apportant des bénéfices concrets aux populations locales. La métamorphose de Souroukou constitue aussi  une source d’inspiration pour l’ensemble du pays, annonçant un avenir prometteur pour le secteur touristique togolais.

Lomé, 19 juin 2024 – Le paquebot INSIGNIA d’Oceania Cruises a fait escale à Lomé le 11 juin, séduisant ses passagers par les richesses culturelles et la beauté du Togo. Près de 300 touristes, principalement américains, ont découvert les richesses culturelles et historiques du pays, contribuant ainsi au dynamisme du secteur touristique togolais.

Immersion dans la culture et l’histoire togolaises

Les passagers de l’INSIGNIA ont eu l’opportunité d’explorer des sites emblématiques tels que le marché aux fétiches d’Akodessewa, la maison des esclaves à Agbodrafo, le lac Togo, le village des pêcheurs à Pedakondji, et ont assisté à des spectacles de danses traditionnelles Zangbeto et à des cérémonies vodou à Zanguera.

Un attrait touristique croissant

L’arrivée de l’INSIGNIA, deuxième navire de croisière à faire escale au Togo en deux semaines, confirme l’attrait grandissant du pays pour les amateurs de tourisme de luxe. Le Togo se distingue par sa culture riche, son histoire fascinante et ses paysages pittoresques, attirant de plus en plus de visiteurs internationaux.

Un impact positif sur l’économie locale

Cet afflux de touristes stimule l’économie locale, notamment le secteur du tourisme, qui bénéficie d’une visibilité accrue et d’une reconnaissance internationale. Le gouvernement togolais et les acteurs du tourisme local s’engagent à poursuivre leurs efforts pour faire du Togo une destination touristique encore plus attrayante et inoubliable.

Le Togo, une terre d’accueil et de merveilles

En somme, les passagers de l’INSIGNIA repartent avec des souvenirs impérissables de leur escale togolaise, ravis par l’authenticité et la beauté du pays. Le Togo s’affirme comme une destination incontournable pour les voyageurs en quête d’expériences uniques et enrichissantes.

Lomé, 19 juin 2024 – Une équipe du ministère de la Culture et du Tourisme du Togo a effectué une mission d’évaluation de l’état de conservation de l’agglomération Aného-Glidji, classée sur la liste indicative du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2021.

Objectif : préserver l’authenticité et l’intégrité du site

Cette mission visait à dresser un état des lieux précis du site, notamment en ce qui concerne l’intégrité de ses composantes et son état de conservation. Les résultats de cette évaluation serviront à élaborer un plan d’action pour la protection et la valorisation du site en vue de son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Aného-Glidji : un joyau historique et culturel

Située au bord de l’océan Atlantique, l’agglomération Aného-Glidji est un ensemble urbain unique qui témoigne de l’histoire riche et diverse du Togo. En outre, elle abrite un patrimoine immobilier remarquable, composé de bâtiments afro-brésiliens et coloniaux vieux de plus d’un siècle, qui reflètent les influences culturelles multiples qui ont façonné la région.

Un site au fort potentiel touristique

Outre sa valeur historique et culturelle, Aného-Glidji présente également un fort potentiel touristique. Sa situation géographique exceptionnelle, entre mer, lac et fleuve, offre des paysages pittoresques et une grande variété d’activités de loisirs. De plus, le site abrite de nombreuses festivités et traditions locales qui attirent chaque année de nombreux visiteurs.

Le classement au patrimoine mondial de l’UNESCO : un enjeu majeur

L’inscription d’Aného-Glidji sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO permettrait également de renforcer sa visibilité internationale et de favoriser son développement touristique. Cela contribuerait également à la préservation de ce patrimoine exceptionnel pour les générations futures.

La mobilisation des autorités et des populations locales

En somme, les autorités togolaises sont déterminées à œuvrer pour le classement d’Aného-Glidji au patrimoine mondial de l’UNESCO. Elles comptent sur la mobilisation des populations locales et des différents partenaires pour mener à bien ce projet ambitieux.