Togo : le Ministre Katari FOLI BAZI en croisade pour les forêts communautaires de Goubi et Bago

Dans les réponses verdoyantes de la préfecture de Tchamba, une silhouette déterminée a foulé le sol le week-end dernier. En…

Le Ministre togolais de l’Environnement, Katari FOLI BAZI, sensibilise les communautés de Goubi et Bago à la préservation de leurs forêts

Dans les réponses verdoyantes de la préfecture de Tchamba, une silhouette déterminée a foulé le sol le week-end dernier. En effet, Katari FOLI BAZI, Ministre de l’Environnement et des Ressources Forestières du Togo, a choisi les villages de Goubi et de Bago comme étapes d’une tournée pas comme les autres. Ainsi, loin des bureaux de Lomé, il est venu, porteur d’un message vibrant, tisser une toile de conscience écologique parmi les habitants. De plus, avec les salutations chaleureuses du Président Faure Essozimna Gnassingbé et de la Cheffe du gouvernement Victoire Dogbé en étendard, il a déployé une parole claire : les forêts communautaires, ces sentinelles de verdure, doivent être protégées comme un bien inaliénable.

Le Ministre togolais de l’Environnement, Katari FOLI BAZI, sensibilise les communautés de Goubi et Bago à la préservation de leurs forêts Katari FOLI BAZI : une rencontre au cœur de la nature

D’abord, ce n’était pas une simple escale protocolaire. Effectivement, à Goubi et Bago, le ministre a plongé dans l’âme des lieux, là où les arbres dressent leurs ramures comme des gardiens d’un temps révolu. Ensuite, la tournée, empreinte d’une volonté d’éveiller les esprits, a vu Katari FOLI BAZI dialoguer avec ces communautés qui, depuis des lustres, dansent au rythme des saisons et des chants forestiers. « Ces étendues boisées sont plus que des arbres alignés », a-t-il lancé, la voix teintée d’une ferveur contenue. « Elles sont les veines d’une terre vivante, un bouclier face aux assauts du climat, un refuge pour une faune qui s’éteint ailleurs. »

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Le soutien des sommets de l’État

En outre, en émetteur des plus hautes instances, le ministre a transmis les pensées du Président Gnassingbé et du Premier Ministre Dogbé, une marque de solidarité qui ancre cette initiative dans une ambition nationale. « Ils vous saluent et vous encouragent », a-t-il partagé avec une simplicité désarmante, avant d’ajouter : « Leur confiance repose sur vous, sur votre capacité à faire de ces forêts un héritage durable. » Ainsi, ce geste, bien plus qu’une formalité, dessine les contours d’une gouvernance qui mise sur l’union entre les dirigeants et les citoyens pour façonner un avenir vert.

Pourquoi les forêts communautaires comptent

Par ailleurs, le cœur du message de FOLI BAZI battait au rythme d’une urgence écologique. Les forêts de Goubi et de Bago ne sont pas de simples paysages ; elles sont des réservoirs de vie. En plus, elles abritent des espèces que le monde perd à une vitesse alarmante, captent le carbone qui étouffe l’atmosphère et offrent aux villageois des ressources vitales : du bois pour le feu, des remèdes tirés des écorces, des fruits gorgés de soleil. « Les préserver, c’est semer pour demain », a-t-il insisté, ses mots comme des galets jetés dans l’eau, créant des ondes de réflexion parmi son auditoire.

Un appel à l’élan collectif

Cependant, le ministre n’est pas venu les mains vides. Au contraire, au-delà des paroles, il a tendu une invitation : celle de devenir les artisans d’une gestion éclairée de ces espaces. En conséquence, reboisement concerté, pratiques agricoles qui caressent la terre plutôt que de la bénédiction – autant de pistes évoquées pour que les communautés prennent en main les rêves de leur destin environnemental. « Le gouvernement sera votre allié », a-t-il promis, esquissant un partenariat où savoirs ancestraux et appuis modernes pourraient s’entrelacer.

Le Ministre togolais de l’Environnement, Katari FOLI BAZI, sensibilise les communautés de Goubi et Bago à la préservation de leurs forêts Une clôture baignée de lumière

Finalement, quand les ombres du jour ont commencé à s’étirer sur les collines de Tchamba, un vent d’optimisme soufflait sur Goubi et Bago. Ainsi, la présence de Katari FOLI BAZI, tel un phare dans la brume, a laissé derrière elle une empreinte indélébile : celle d’un possible renouveau. De ce fait, ces villages, modestes, mais résolus, pourraient bien devenir les éclaireurs d’un Togo où la nature ne serait plus une ressource à épuiser, mais une alliée à chérir. Et si leurs efforts s’épanouissent, si leurs forêts continuent de chanter sous les étoiles, alors ce week-end marquera le début d’une épopée discrète, mais puissante – celle d’un peuple qui redonne à la terre sa voix et à ses enfants un horizon radieux.

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